jeudi 1er août - par DerWiderstand

MACRON, un président aussi « brillant »... que la pomme tendue à Blanche Neige !

« Je ferais n'importe quoi, si tu me le demandais ; je renierais ma patrie, si tu me le demandais, etc, etc ». Écoutons les paroles de l'Hymne à l'Amour chanté lors de la cérémonie d'ouverture des JO 2024, en nous demandant pourquoi Macron s'évertue à « faire n'importe quoi , « à renier sa patrie » sans que ni Édith Piaf, ni Céline Dion ne lui demande. Admettons avec Aragon que « le poète a toujours raison » et, avec René Char, « que les paroles connaissent de nous des choses que nous ignorons d'elles »...

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Joker, personnage cynique et manipulateur, grand maître des démocraties occidentales ?

Au-delà de ces références littéraires, deux grilles de lecture s'offrent à nous pour comprendre la séquence actuelle. La première consiste à voir ce temps que nous avons la disgrâce de vivre à l'aune des excès d'un pouvoir individuel ; la seconde oscille plutôt à voir les choses de plus haut, prendre en compte le pouvoir cybernétique inscrit dans la révolution techno-culturelle en cours.

Quelle que soit l'option choisie, tenons pour hypothèse que le macronisme ne relève pas plus du champ politique que l'art conceptuel ne relève de l'art. Il y a une erreur sur la marchandise, fatale à notre compréhension et à notre survie. Cette confusion des genres nous maintient dans l'illusion des lendemains qui chantent. L'enchaînement des événements récents, tambouille politique, élections confiscatoires, détournement diversitaire des JO, montre que nous avons quitté le champ du politique pour entrer dans celui de la foire. Il s'agit en fait de maintenir un état de stupeur collective. Mais il y a aussi et surtout un arrière-plan beaucoup plus froid et planificateur ; en d'autres termes, un agenda globaliste à observer coûte que coûte. Anthropologie négative, l'utopie « diversitaire », décryptée par Mathieu Bock-Coté, sert davantage à « faire diversion » pour asservir la majorité que de célébrer les « diversités ».

La discrimination de ces deux moments, un temps court et médiatique, un temps long et mécanique, relève sans doute d'une stratégie globale. Ce n'est qu'au terme d'une longue réflexion centrée sur l'art conceptuel, aidé par la lecture de l'ouvrage « L'imposture de l'art contemporain », que le système s'est pour moi révélé au grand jour. Il n'y a, contrairement à ce que l'on pourrait croire, aucune place au hasard, aucune circonstance atténuante dans la mise en représentation de la société du spectacle. Il y a un plan d'effacement inscrit depuis 200 ans avec la complicité de l'État. Effacer l'entendement, l'estime de soi par le faux art, la dérision de toutes choses, l'inversion accusatoire, tout en mettant en place une politique répressive, implique l'écriture d'un contre-récit, l'errection de contre- symboles. La déconstruction actuelle implique la mise au pinacle de bouffons pathétiques. On commettrait cependant sans doute une erreur à invoquer en toute circonstance la théorie du « complot ». L'existance d'un plan cybernétique moteur de la « société du spectacle » nous parait relever d'un octave de compréhension plus élevé.

Il explique pourquoi l'électoralisme est devenu, lui aussi, un jeu de foire. Cela revient à vouloir gagner au jeu du poussoir à pièces. Les élections confiscatoires récentes ont bien démontré ceci : rien ne peut sortir des urnes car le vote fonctionne sur la logique des pièces qui se poussent en dégringolant les unes sur les autres. De toutes façons, le système a fait en sorte que l'opposition elle-même a renoncé à être un contre-poison. Il est difficile de comprendre comment fonctionne ce pouvoir cybernétique sauf à regarder l'art contemporain. L'"AC" est peut-être même le miroir de tous les autres miroirs ; le symptôme de tous les autres symptômes.

La très lourde erreur consiste à appliquer les critères esthétiques de l'art à ce qui n'en est pas, à ce qui nie la beauté et l'âme. C'est là non seulement une erreur de jugement, mais même une faute morale. Nous louons ceux qui ont le courage de dire les choses et l'intelligence de la démonstration. A mon sens, il est tout aussi fatal de juger le Macronisme à l'aune de critères politiques traditionnels que de juger l' "AC" à l'aune de critères esthétiques. Le Macronisme est autre chose. Emmanuel Todd, économiste de renom, affirme même que "Macron ne comprend pas ce qu'il dit". Il ne comprend pas, tel un drogué, les mots qu'il prononce. Il s'agit moins de satanisme que de managériat d'entreprise appliqué à un peuple. A moins d'employer un mot pour un autre, n'employons donc pas le terme « politique ». Le Macronisme entraîne la casse sociale, l'effacement des résistances immunitaires, individuelles et collectives, afin d'instaurer un nouvel ordre sociétal. Tout ceci est certes plus simple à intuiter qu'à démontrer. La stratégie macronoïde est d'autant plus masquée qu'elle agit toujours par degrés et étapes : de la culture à la guerre. Il n'y a qu'une différence de degrés et non de genre entre la guerre culturelle en cours et la guerre belliqueuse. En fin de mandat, Macron pourrait très bien déclarer la guerre à la Russie avant de prendre la fuite en Californie. Ne disons pas que les chefs d’État seraient dépassés par les événements ; ce sont eux qui ouvrent les vannes de l'immigration massive, qui saccagent le socle industriel d'un pays, qui creuse la dette afin de détruire le barrage. Cela n'est pas le fait d'une machine, mais de quelques hommes élus et non élus. Certes. Mais cela n'exclut pas non plus l'existence d'un autre plan, cybernétique celui-là. Dans ce plan, la Culture agit comme la fissure dans le barrage ; le tsunami migratoire fait le reste.

L'injonction contenue dans l'artefact de l'AC repose sur la même logique : créer une faille cognitive qui va permettre l'effondrement de l'édifice, par déflagrations sucessives. La cérémonie d'ouverture des JO est intéressante à observer en détails. Une belle cérémonie ponctuée de provocations totalement hors sujet. Vu de loin, le spectacle a pu subjuguer par le faste et les lumières. Le piano en feu sur la Seine scénarisée a pu émouvoir ; le cheval d'argent a pu éblouir. Les intonations de voix de la chanteuse ont pu faire frémir le monde entier. Avec un budget léonin de 122 millions d'euros, on ne s'attendrait pas à moins. L'armoire était belle mais certains tiroirs vermoulus. Le public, émerveillé, n'y a vu que du feu.

Il y aurait eu bien d'autres scénographies à réaliser, explorer la symbolique solaire de la barque traversant Paris sur la Seine. Un passage de flambeaux entre la déesse Isis et Sainte Geneviève, relais symbolique du paganisme au christianisme. Au lieu de cela, nous avons eu des éléments disparates sans unité scénographique.

La scène de Dionysos entouré de drag-queens a particulièrement choqué. La parodie de la Cène accompagne l'effacement de l'homme blanc. De surcroît, un chanteur de second plan interprétant une chanson quelconque. Bref, le parfait idiot du système pour faire passer l'effacement de l'homme blanc, peint en bleu. Il y a encore 20 ans, cela aurait étonné tous le monde de ne voir sur scène que des étrangers ou des binationaux. Des drag-queens délurées. Aujourd'hui, personne ne s'en émeut. Mais que les antiracistes professionnels ne se réjouissent pas trop vite car la finalité du système est moins humaniste que transhumaniste. Il faut bien comprendre que la prochaine étape consistera à remplacer l'homme par la machine de l'Intelligence Artificielle. Faire en sorte que personne ne s'offusque pas de voir une armée d'androïdes sur la scène en 2100. Quand l'égalité raciale sera remplacée par l'égalité homme-machine ; telle sera, alors, la victoire terminale du système.

Il y a peut-être des relents satanistes dans cette mise en scène, en tout cas du mauvais goût, et de l'insulte à la raison lorsque le metteur en scène – autre pion dans l'échiquier macroniste - ose déclarer avoir cherché à « réconcilier ». La reine de France qui chante sa propre décapitation sur fond de musique « métal » (sorte de « guillotine » sonore) cherche, à l'instar de l'art conceptuel, à créer la suspension, ouvrir une faille cognitive collective. Il est dans l'ordre des choses que les bouffons se moquent des rois. La moquerie ne me choque donc moins que la stratégie de sidération. Il est une manière de désacraliser le réel, voire de l'inverser. Entrer dans les JO pour y distiller une propagande grossière, dissoudre l'Assemblée nationale et organiser des Élections à la va-vite relève toujours de la même stratégie de sidération.

J'insiste : l'erreur fatale serait de prendre tout cela pour de la politique, même politicienne. En fait, tout cela relève d'autre chose. En prenant de la hauteur, nous comprenons que le pouvoir mondialiste n'est pas seulement le fait d'individus calculateurs, mais aussi d'une « cybernétique », auto-mouvement lié aux forces de l'argent et de la techno-science. De ce point de vue, les Macron et Trudeau et autres Youngs Leaders, sont à la fois des tireurs de ficelles et des sinistres pantins. Le pouvoir cybernétique mondialisé secrète comme une matrice, des types d'hommes, des anthropologies particulières ; d'un côté, des grabataires séniles du type Biden ; de l'autre, des Peter Pans arrogants, Jokers manipulateurs et imprévisibles, comme Macron.

La reine Grimhilde de la légende de Blanche Neige, Arthur Frayne du film Zardoz, et plus encore le Jocker de Batman sont autant de figures annonçant des temps post-démocratiques. Comme le Joker, Macron est un clown triste et machiavélique. Il n'a pas besoin d'appartenir à une secte aux rites occultes ; il est un néo-libéral intégral. Non pas que les loges noires n'existeraient pas, mais que la caste néo-libérale sans foi, ni loi, suffit à réaliser leurs rêves. Ces Young Leaders hors-sol ont la dérision dans l'âme, la profanation dans le sang, mais aussi la trahison ; l'Histoire est remplie de retournés et de collabos lorsque le pouvoir change de mains.

Dans le contexte actuel de dérision généralisée, d'élection confiscatoire, il reste plus que jamais à nous regrouper en cellule de résistance. Tout organisme vivant agit de la sorte. Il faut insister sur le fait que le Macronisme ne relève pas plus de la politique, que l'AC ne relève de l'art. Contre cette entreprise, il convient de chercher à nous prémunir du laid et du corrompu derrière le bouclier du beau et du vrai éternels. Les artificiers de l'Apocalypse peuvent bien organiser les jeux de la Bête, il arrive que leurs pétards de foire leur explosent dans les mains. Entendons cette ultime parole qui retentit du fond de la France humiliée et crucifiée : « Père, ne leur pardonne pas, car ils savent ce qu'ils font ! ».

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la machine pousse-pièces illustre le rôle de l’élection dans la foire démocratique actuelle.


22 réactions


  • Étirév 1er août 09:58

    Emmanuel Macron et les objectifs fixés par l’État profond à la « Macronie » :
    Élu à la Présidence de la République en 2017, nous résumerons le 1er et début du 2ème quinquennat d’Emmanuel Macron avec cet extrait du livre de Valérie Bugault (« Les raisons cachées du désordre mondial », 2019), dans lequel il est écrit :
    « Dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont, aujourd’hui, pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États. La politique généreusement appliquée sur le territoire français est « globaliste » ; elle fait, à ce titre, fort peu de cas des petites gens et des petites et moyennes entreprises pour, au contraire, laisser la part du lion aux multinationales et à leurs propriétaires anonymes. »
    Dans la foulée de cet extrait du livre de V. Bugault, citons les propos de Jean Parvulesco (dans son ouvrage « Le Retour des Grands Temps », 1997), dans lequel il est fait référence à la « prédestination » et au « rôle » de la France en cette ultime fin de Cycle :
    « Aujourd’hui plus que jamais, parce que, aujourd’hui, ce que l’on veut, ce que l’on compte déjà obtenir, c’est purement et simplement la disparition même de la France, le démantèlement sans retour de sa propre réalité historique et nationale, l’abrogation définitive de sa prédestination suprahistorique, de la mission occulte à l’avant-garde du combat de maintenance de l’Église dans l’histoire et, derrière celle-ci, du combat, dans l’invisible, du Royaume de Dieu, du Sanctum Regnum dont la France restera jusqu’à la fin la figure héroïque, mystique et sacrificielle, la figure de l’amoureuse élection divine qui s’est confidentiellement arrêtée sur elle à ses origines et qui la portera jusqu’à la fin du Saeculum. »
    Aujourd’hui, il devient de plus en plus évident que la France « macronienne » qui n’a aucune politique, et encore moins de politique socialiste, dans le sens « social » du terme, est en revanche l’un des principaux fers de lance de l’agenda globaliste, lequel prospère sur le développement de la misère humaine.
    NB : Le « dérapage » de Gaël Giraud lors d’une interview donnée à la chaîne « Thinkerview » le 23/10/2022, à propos d’Emmanuel Macron (rappelons que G. Giraud est Normalien, Directeur de recherche au CNRS, récompensé par le Cercle des économistes, ancien chef économiste à l’Agence Française de Développement, écrivain, etc.) :
    « L’arrivée d’Emmanuel Macron à Rothschild a été décisive pour lui. Il a été pris sous la coupe de David de Rothschild, l’ancien Pdg de cette banque, qui, si je comprends bien, en 1981, a perdu sa banque à cause de la nationalisation de Rothschild.
    « David de Rothschild est un homme tout à fait honorable qui a une revanche à prendre sur les nationalisations de 1981 et qui, lui, a un grand projet eschatologique qui vise la fin des temps, qui est la privatisation absolue du monde, et la médiocrisation de l’Etat, de manière à ce qu’un traumatisme comme les nationalisations de 1981 ne soient plus possibles.
    « C’est mon point de vue sur une information qui circule à Paris.
    « Emmanuel Macron est le porte flamme de David de Rothschild ; il est un petit peu comme les « enfants soldats » du Congo, c’est-à-dire les enfants qui sont capables de tout. Les « enfants soldats » du Congo sont les enfants à qui, la première chose qu’on leur demande c’est d’aller tuer leurs parents, pour être sur qu’ils sont prêt à tout.
    « D’une certaine manière, la personne « Emmanuel Macron » sur laquelle on est très très focalisée, n’est pas très intéressante : c’est un garçon qui exécute un programme qui lui est dicté par d’autres, notamment David de Rothschild, et ce programme c’est la privatisation du monde et la destruction de l’Etat social. »
    Conséquences pour G. Giraud : Massacré pendant 48h par tous les médias mainstream, accusé de complotisme, d’antisémitisme et de plagiats, il finira par expliquer qu’il avait « dérapé » et que ça n’était pas ce qu’il voulait dire, etc.
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    • karibo karibo 2 août 14:19

      @Étirév
      Mille merci pour vos contributions toujours aussi percutantes et d’ à propos !


    • Jason Jason 2 août 17:39

      @Étirév

      Vous citez six fois quelqu’un qui nomme une certaine banque. Vous ne vous mouillez pas, vous vous contentez de citer. On vous voit venir. L’homme qui a vu l’homme qui avu l’homme qui a vu l’ours. Et on laisse publier des âneries pareilles !


  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 1er août 11:40

    J’hésite à dire ce que m’inspire ce texte, tellement les choses sont dites, et bien dites.Emmanuel

     

    L’auteur dit : 

    ’’Todd, économiste de renom, affirme même que « Macron ne comprend pas ce qu’il dit". Il ne comprend pas, tel un drogué, les mots qu’il prononce. » ’’

    Et  :

    ’’ Il faut bien comprendre que la prochaine étape consistera à remplacer l’homme par la machine de l’Intelligence Artificielle ’’

    >

     Macron pas plus qu’une IA ne pose de question excepté quand il fait les questions et les réponses, ce qui n’est jamaisqu’un procédé rhétorique.

    ’’ Il faut insister sur le fait que le Macronisme ne relève pas plus de la politique, que l’AC ne relève de l’art. ’’

    >

    Je crois que parler du macronisme est une erreur. Le macronisme n’existe pas, Macron n’est qu’un exécutant.. En revanche, la macronite, l’adhésion à ce trop fameux projêêêt, est une maladie de plus en plus préoccupante.


  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 1er août 11:41

    ’’ « Je ferais n’importe quoi, si tu me le demandais ; je renierais ma patrie, si tu me le demandais, etc, etc ». Écoutons les paroles de l’Hymne à l’Amour chanté lors de la cérémonie d’ouverture des JO 2024, en nous demandant pourquoi Macron s’évertue à « faire n’importe quoi , « à renier sa patrie » sans que ni Édith Piaf, ni Céline Dion ne lui demande ’’

    >

    Belle remarque. Cependant, je ne cois pas que ce soit Macron qui dise là qu’il renierait sa patrie : il n’a pas besoin de le dire à qui de droit (!), c’est déjà fait. Je pense plutôt que ce sont les larbins en charge du spectacle qui le lui disent.

     

    ’’ Il n’y a, contrairement à ce que l’on pourrait croire, aucune place au hasard, aucune circonstance atténuante dans la mise en représentation de la société du spectacle ’’

    >

     La spectacle à ce niveau, plus que de la politique, c’est du (dé)constructivisme.

     

     Franklin D. Roosevelt : « En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi »

    Nicholas Murray Butler : « Le monde se divise en trois catégories de gens : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité » 

    Paul Warburg : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question sera de savoir si il sera créé par conquête ou par consentement » 

    Enfin, David Rockefeller : « Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire »


  • DerWiderstand DerWiderstand 1er août 12:07

    Il n’y a pas que la cérémonie des JO qui pose problème, le traitement des sportifs, qui en parle ? Logement sans climatisation, nourriture insuffisante, tout cela est hors spectacle et caméra.
    Au fond, le traitement des délégations reflètent celui imposé aux français dans ce système alliant décrépitude et incompétence. 


    • ETTORE ETTORE 1er août 13:03

      @DerWiderstand
      Il y a toujours deux faces à ce qui est entrepris par la SCI Macronide.
      La provocation, devant servir d’alibi à une supériorité inexistante
      Le « bordel », résultat d’un illogisme congénital, de créations spontanées, qui ne vont jamais dans le sens d’un accomplissement global, mais simplement destiné à être « la couette de superficialité », qui à l’image de son horizon, est très très proche, et limitée de ses ambitions, pondues sur le moment, et en fonction du résultat, même pas escompté.
       C’est à l’image d’un Stand Up politique, où le sensationnel, est sensé remporter la palme,face à réflexion, et à une certaine idée de la France...au loin...Temps..
       C ’est un déboisement en continu, juste faire pour faire, avec des outils si peu adéquats, mais voilà....
      Ce poste acquis par nombrilisme, permet la jouissance de travers pré-éxistants, dont nous ne sommes, même pas les médicaments, puisque la dose prise, vas créscendo, et le rend encore plus « emmerdant » par besoin, et acte scatologique.
      La fin seras un vrai feu d’artifice, c’est certain, probable, inéluctable.
      Espérons juste en être spectateurs, joyeux, et pas condamnés, comme simples serviteurs accompagnants, du phar-a-ion momifié.


    • Samy Levrai Samy Levrai 1er août 14:56

      @DerWiderstand
      « Tout ce que touche Macron se transforme en merde »
      Trump.


    • alinea alinea 1er août 22:38

      @DerWiderstand
      Ils ont dû embaucher les potes, donc aucun savoir-vivre, aucun savoir-faire, juste du fric à se faire ; ça a coûté très cher pour de la merde ! c’est un peu à l’image de notre société maintenant où l’on compte sur les doigts d’une main les artisans que l’on connaît qui sont compétents, réglos et pas exorbitants !! tous les autres font de la com et de la merde pour très cher.


  • alinea alinea 1er août 22:31

    Je pense que c’est beaucoup plus simple que cela en ce qui concerne macaron et sa clique : il rêvait de pouvoir absolu, il y parvient ; question loisirs ou arts il n’a pas grande culture ni compétence, il offre donc en grandiose ce qu’il aime : le trash ; il nous le lance à la gueule comme une provocation : venez donc me chercher... s’il a un peu d’instinct il sait qu’ils touchent le fond son trans et lui.

    S’ils avaient juste envie de s’amuser, se prouver et prouver au monde que « faire de la politique » c’est juste du culot et des relations, ils auraient arrêté au premier mandat ; jean-bri qui était encore brigitte pour tous à l’époque, avait dit qu’il se présentait si tôt, parce que, dans cinq ans je serai vieille, ça ne sera pas aussi aisée, le visage, tout ça... ! quand on voit ce qu’iel est devenu, effectivement, ils auraient dû arrêter plus tôt.

    Mais les lois universelles sont indépassables : sauf le Sage, le Juste et le Saint, l’homme va toujours trop loin, jusqu’à la chute.


  • Sauf que , les rêves ou les cauchemars se précisent ... !

    « Nous sommes entrés dans une nouvelle phase, et la pression sur tous les fronts pour forcer la résistance à se rendre ne réussira pas. L’entité sioniste doit attendre la réponse de l’honorable. »

    Il a poursuivi : « L’assassinat de Haniyeh à Téhéran est allé au-delà de l’atteinte à la souveraineté iranienne pour nuire à sa sécurité nationale et franchir les lignes rouges.

    Le ton du guide suprême Sayyed Ali Khamenei après l’assassinat de Haniyeh était plus dur que son ton après le ciblage du consulat iranien à Damas.

    La bataille est ouverte sur tous les fronts et est entrée dans une nouvelle phase. »

    https://ina.iq/eng/33920-nasrallah-the-zionists-must-be-prepared-the-battle-is-open-on-all-fronts-and-has-entered-a-new-phase.html

    A moins que le milieu des truands journalopes de la France possèdent d’autres informations plus positives et vrai .


  • The Ultimate Ultra Nightmare J O Paris 2024..

    Seine polluée par les pesticides et les excréments( des parisiens ).

    Boxe ;

    Athlète transgenre qui défonce le visage d’une vrai femme boxeuse .

    ............. !

    Macron le pire salopard , Nightmare ....


    • ETTORE ETTORE 2 août 11:41

      @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

      The Ultimate Ultra Nightmare J O Paris 2024..

      Seine polluée par les pesticides et les excréments( des parisiens ).

      Boxe ;

      Vu le cloaque à miasmes, qu’est devenu ce fleuve-égout, comment s’étonner, que la dégénérescence, ou, mutations, s’opèrent sur certains humains ( dont certains, par motivation à la Hulk, vont boire à la source même, désirant booster le processus de zombification, afin d’être en parfait raccord, par mimétisme caricatural, avec les Houngan de la prê (trai)trise ElyséHaine. ?

      C’est la vraie « SIGNATURE » de ces jeux, malheureusement !

      Le grand écart, qui expulse le testicule du slip, entre le temple solaire Grec, et les caCacombes à orgies Parigotte .


  • mcfr 2 août 11:21

    La cause de la dictature qui s’impose en Occident depuis 30 ans, c’est le silence complice des médias, intellectuels et politiques face à la répression Haarp, connue de tous mais tue par tous. 

    La répression électromagnétique permet de torturer et tuer à distance. Cette répression vise absolument tout le monde. Si on ne dénonce pas Haarp, rien ne sert ensuite de déplorer le coup d’Etat en cours, qui n’est que le prolongement de la répression secrète permanente qui sévit dans le monde depuis des décennies.

    http://orwell111.unblog.fr/2022/08/18/le-gouvernement-se-permet-de-torturer-les-internautes/


  • Jason Jason 2 août 17:22

    Bonjour,
    Vous faites bien des efforts pour illustrer les travers de cet homme. Il ne mérite pas tant de mots.
    J’emprunte deux épigrammes à Voltaire :
    « Un jour au creux d’un vallon un serpent piqua Macron.
    Que pensez-vous qu’il arriva ?
    Ce fut le serpent qui creva ».
    Ou encore :
    Savez-vous pourquoi Jérémie dans sa vie a tant pleuré ?
    C’est qu’en prophète il prévoyait
    Que Macron nous dirigerait."


  • ricoxy ricoxy 2 août 21:59

     

    « Il faut bien comprendre que la prochaine étape consistera à remplacer l’homme par la machine de l’Intelligence Artificielle. Faire en sorte que personne ne s’offusque pas de voir une armée d’androïdes sur la scène en 2100. »

     

    C’est déjà fait avec notre phare de la pensée qui est un « réplicant ». Je me suis renseigné auprès de Rick Deckard, le blade runner bien connu qui passe se retraite en Californie. Ce dernier n’a pu que confirmer mes soupçons. Par bonheur ce réplicant, qui serait produit par la Gafam Corporation, aurait une durée de vie limitée (cinq ans, éventuellement renouvelables).

     


  • DerWiderstand DerWiderstand 2 août 22:39

    « Réplique » vraiment piquante ! Je viens de regarder un film de SF et en lisant votre commentaire, c’est comme une fissure temporelle ou le message de la Phitie, qui sait ?

    Les étapes vers l’homme hybride se rapprochent...  


  • DerWiderstand DerWiderstand 3 août 07:27

    Le problème essentiel : nous continuons à nous battre avec des outils politiques sans nous rendre compte que l’ère de la politique est dépassée.
    Nous rentrons avec Macron dans l’ère de la « trans-politique ».

    Certes, les Zoulous ont réuni à gagner une bataille avec des flèches. Mais l’Afrique du sud a été colonisée...
    Nous en sommes là. Des Zoulous face à des banques-Etats et de l’IA.


    • ricoxy ricoxy 3 août 10:45

       
      @DerWiderstand
       
      Il reste encore la force de l’esprit. Ne désespérons pas ; les « trans » ne gagneront pas.
       


    • DerWiderstand DerWiderstand 3 août 10:59

      regardez « Transcendance » film SF de Christopher Nolan. 


    • ricoxy ricoxy 3 août 11:24

       
      @DerWiderstand
       
      Je connaissais Inception de Chr. Nolan, mais pas Transcendance (je suis un piètre cinéphile). Je ne manquerai pas de me le procurer.
       


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