mardi 9 juin 2020 - par olivier cabanel

Echouer pour réussir

Combien de centaines de femmes et d’hommes ont été rejetés par « l’intelligentzia », et qui pourtant, par la suite, ont démontré leur évident talent ?

D’Albert Einstein, à Walt Disney, en passant par Oprah Winfrey, et par Steve Jobs, les Beatles, ou Michael Jordan, ces femmes et ces hommes à qui l’on prévoyait un triste destin, sont pourtant aujourd’hui devenus des légendes célèbres... de quoi donner de l’espoir à tous ces recalés de notre monde d’experts.

En effet on a tous oubliés que les Beatles, à leur début avaient été virés des studios Decca, dont les patrons déclaraient qu’ils n’avaient aucun avenir dans le show business, ajoutant qu’ils n’aimaient pas leur son...lien

Quant à Walt Disney, son journal l’avait viré dénonçant une « panne d’imagination », et une « absence d’idées originales ». lien

Les professeurs d’Albert Einstein disaient de lui « qu’il n’irait jamais très loin  », d’autant qu’il avait été quasi incapable de parler jusqu’à l’âge de  4 ans. lien

Le grand, dans tous les sens du mot, Michael Jordan, s’était enfermé dans sa chambre pour pleurer, après s’être fait viré de son équipe de basket, au lycée. lien

Lucide, il avait déclaré « j’ai raté plus de 9000 tirs dans ma carrière et perdu près de 300 matchs... 26 fois on m’a fait confiance pour prendre le tir de la victoire... et j’ai raté. J’ai échoué encore, et encore dans ma vie...et c’est pourquoi je réussis  ».

Et pour finir en beauté, Ophrah Winfrey avait perdu sa place de présentatrice vedette, au motif « qu’elle n’était pas faite pour la télévision »...elle est devenue millionnaire à l’âge de 32 ans. lien

Une autre grande dame du monde du spectacle a pour nom Jeanne Moreau... mis à la porte de la maison familiale par son père, son directeur de casting lui déclarera qu’elle n’est pas assez jolie pour devenir actrice. lien Prenons le cas du grand Steven Spielberg : avant de connaitre le succès que l’on sait, il avait été auparavant refusé à l’école de théâtre et de cinéma...et il avait réalisé une comédie en 1941, qui n’est sortie que 40 ans après. lien

L’incontournable Stephen King, avant d’être l’auteur à succès que l’on sait, a vu son premier roman « Carrie » refusé 30 fois par les éditeurs. lien

Idem pour l’autrice d’Harry Potter, J.K. Rowling, cette maman divorcée qui vivait d’allocations, a poursuivi son projet d’écriture pendant 7 ans, une dépression en prime, lequel projet a été refusé par de nombreux éditeurs, avant que Christopher Little, un agent littéraire ne s’y intéresse, et l’aide à faire publier son livre, lequel fera d’elle une milliardaire. lien

Dans le domaine de la science, le cas de Thomas Edison est exemplaire. Ses professeurs, tout en lui reconnaissant une hyperactivité, ils déclaraient qu’il était trop bête pour apprendre n’importe quoi. lien

Restons dans ce domaine pour s’attacher à la personne de Newton : on disait de lui qu’il n’était pas très doué, et voyant son échec scolaire, sa mère l’avait chargé de l’exploitation de la ferme familiale...échouant là aussi, avant de se retrouver à Cambridge, devenant par la suite l’un des plus grands scientifique de tous les temps. lien

Le monde politique n’échappe pas à ce constat, tel, Churchill, lequel s’était tourné vers la carrière militaire, au vu de ses résultats scolaire déplorables : il avait redoublé sa 6ème année, et était affligé d’un défaut d’élocution.

Après avoir tenté une carrière ecclésiastique, il s’était tourné vers la politique, mais hélas, sans grande réussite, détesté qu’il était des conservateurs, de la gauche, et du parti libéral, il avait réussi l’union contre lui...pour finalement connaitre la carrière que l’on sait. lien

En vrac, citons encore Honoré de Balzac, expulsé de son collège à l’âge de 14 ans, Emile Zola dont la copie littérature a été jugée nulle au baccalauréat, Jean Cocteau qui s’y est pris à 3 fois pour réussir son bac, notre Jean-Michel Apathie n’a obtenu son bac qu’à 24 ans... au contraire de Jean-Paul Gautier lequel n’a jamais obtenu son bac, tout comme Vanessa Paradis qui ne l’a pas obtenu non plus, Picasso qui a dû quitter l’école à 10 ans, Georges Lucas qui s’est lui-même défini comme un très mauvais étudiant, Philippe Noiret qui s’était attribué le titre de cancre, Michel Drucker qui a avoué n’avoir rien appris à l’école entre l’âge de 7 ans... et celui de 17 ans..., sans oublier l’écrivain Daniel Pennac qui raconte sa dérive scolaire dans son livre « chagrin d’école », prix Renaudot 2007.

Et quid de Catherine Deneuve, qui après quitté ses études en seconde, a multiplié les hommages et les récompenses... tout comme Nicole Kidman qui a abandonné l’école à 16 ans...elle a été battue d’une année par Johnny Depp qui a quitté l’école à 15 ans...

Quant à l’une des plus grosses fortunes de France, François Pinault en l’occurrence, il a toujours méprisé les études, et avait quitté l’école à 16 ans...sans obtenir son bac.

C’est un espoir pour tous les cancres du monde entier, car finalement, ils sont légions ceux que la société avait rejetés avec mépris, et qui finalement sont aujourd’hui célèbres.

Finalement, on pourrait conclure que pour réussir, il faut « passer entre les gouttes », échapper à celle du formatage scolaire, ou fréquenter les « écoles parallèles », appelées encore « écoles alternatives, ces lieux de vie où la créativité mène le jeu.

Elles ont pour nom Freinet, Montessori, Steiner, et on en dénombre une centaine dans le pays, regroupant 20 000 élèves, dans lesquels on apprend à développer son autonomie, son esprit critique, avec comme leitmotiv « apprendre à apprendre ». lien

On doit à un instituteur français, Célestin Freinet, l’école du même nom, école dans laquelle on fait la promotion de l’apprentissage de la confiance en soi...et on valorise l’absence totale d’esprit de compétition. lien

Quant à l’école Montessori, on la doit à un médecin italien, Maria Montessori.

Pour elle, il est primordial de laisser à l’enfant le temps de se construire, en respectant son rythme et ses besoins permettent de susciter son intérêt. lien

Les 20 établissements Steiner-Waldorf accueillent environ 2000 élèves en France, et l’une des enseignantes, Nina en l’occurrence, aime dire qu’on l’on s’adresse à la tête, mais aussi au cœur et au corps. On y propose de développer l’esprit critique des enfants, et d’agir collectivement. lien

Evidemment, tout ça à un prix, même si il est fonction des revenus de la famille, et suivant les régions, et les écoles, le coût varie entre 85 et 600 € par enfant, et par mois.

Ajoutons pour la bonne bouche que les parents ne sont pas exclus de ces établissements. A l’école Freinet de Rennes, une salle leur est réservée dans laquelle ils peuvent venir à n’importe quel moment de la journée.

Et nous nous attardions à observer le phénomène de plus en plus courant des fautes qui parsèment les interventions des internautes sur les réseaux sociaux ?

Depuis la création d’internet et des réseaux sociaux, les fautes les plus criardes s’accumulent, à commencer par ces jolis « participes passés » qui se transforment en vilains infinitifs... pourtant ce sont souvent les fautes qui ont modifié en profondeur notre langue.

C’est ce qu’on a pu découvrir sur France-Inter, grâce à l’intervention débonnaire et insolente de 2 humoristes Belges, Arnaud Hoedt et Jérôme Piron.

Sous le titre, « l’Académie, c’est du flan », les deux humoristes s’en donnent à cœur joie pour lever un voile sur cette institution. lien

Ils commencent par un cours d’histoire, et nous apprennent que l’Académie Française est passée au travers de la Révolution Française, comme si elle n’avait pas eu lieu.

Encore mieux, ils affirment que l’Académie Française met la langue en danger, car elle réduit la langue, elle empêche la création lexicale en prétendant valider les mots... la seule chose qu’ils ont réussi en 2 siècles, c’est de faire reculer le féminin dans la langue, en supprimant par exemple les mots « autrice  », ou « peintresse »...et en justifiant leur choix en affirmant : « le masculin est plus noble à cause de la supériorité du mâle par rapport à la femelle »... et ces préjugés ont encore cours aujourd’hui, puisque l’académicien Pierre Gaxotte disait en 1980 : « si on élisait une femme à l’Académie Française, on finirait par élire un nègre ». lien

Gaxotte nous a quitté en 1982... et, ironie de l’histoire, c’est en 1980 qu’une femme a enfin été élue à l’académie française, Marguerite Yourcenar, en l’occurrence. lien

En ces temps où les violences policières, s’en prennent régulièrement aux humains dont la peau est colorée, cette parole prouve que le racisme est profondément ancré dans les plus vieilles institutions françaises.

Comme dit mon vieil ami africain : « la trace du fouet disparait plus vite que celle des injures ».

Le dessin illustrant l’article est de De La Fuente Merci aux internautes pour leur aide précieuse

Olivier Cabanel

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27 réactions


  • Clark Kent Séraphin Lampion 9 juin 2020 11:40

    Tout comme le mythe de l’« ascenseur social » (en panne aujourd’hui) était une carotte destinée à motiver les enfants de prolos à se décarcasser pour faire fonctionner les usines des fils à papa (qui les ont virés quand ils ont commencé à délocaliser), le mythe de la « deuxième chance » permet aux « loosers » de fantasmer en imaginant qu’ils sont des génies. Le chichon les aide un peu, faut dire !


  • Laconique Laconique 9 juin 2020 11:46

    Fuck yeah ! If Julius Caesar hasn’t lost in Gergovia, he wouldn’t have won in Alesia. Defeat is a part of life, we must deal with it.


  • keiser keiser 9 juin 2020 12:19

    « .et il avait réalisé une comédie en 1941 »

    En 1941, Spielberg n’était pas né. smiley

    « 1941 », est son cinquième film (1979 )


  • cevennevive cevennevive 9 juin 2020 12:36

    Salut olivier,

    Bien d’accord avec toi...

    L’une de mes filles, Nathalie BEURIER, bourrée de talent, et reconnue pour ses cours de peinture ancienne, de fabrications de couleur à l’aide de plantes tinctoriales, et de réparations de tableaux du 18e siècle, a été refusée autrefois à l’école des Beaux Arts de Nîmes...

    (Voir son site)

    Et pour les écoles parallèles, l’un de mes petits fils, 3 ans, fréquente l’école Steiner de Toulouse. J’en suis heureuse.

    J’ai bien peur que l’école, où nous avons toi et moi passé des années d’études et de convivialité, soit désormais une fabrication de cancres décervelés et dédaigneux.

    J’en suis triste, moi qui ai aimé l’école et qui ai un peu enseigné avec mon coeur et ma foi en la jeunesse. Mais tout cela est si loin...


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 juin 2020 12:51

      @cevennevive
      merci pour ton témoignage, et longue vie à ta descendance ! smiley


    • JC_Lavau JC_Lavau 9 juin 2020 23:02

      @Tall. Tu n’as jamais été un trouveur, et tu n’as aucune idée de ce que c’est.
      Le minoritaire doit vérifier trente fois plus que les majoritaires, qui eux ont l’impunité garantie par la meute.
      Oui depuis les années 74-76, nous avons pris le pli de cartographier les infirmités intellectuelles qui pour des raisons socio-culturelles, notamment hiérarchiques, sont exigées chez nos concurrents bien plus riches et plus puissants. Jamais nous ne nous sommes permis de transposer cela en « tous des cons ». Nous ne te ressemblons en rien.


  • gaijin gaijin 9 juin 2020 14:16

    échouer pour réussir ?

    ben du coup avec macron tous les espoirs sont permis ?

    ou pas ....

    tous ceux qu’on réussit ont échoué ....mais tout ceux qui échoué n’ont pas réussit


  • nono le simplet 9 juin 2020 14:37

    je ne peux pas résister à donner ce lien smiley


  • Surya Surya 9 juin 2020 20:20

    Bonjour Olivier,


    Certains enfants surdoués se mettent à parler tard, contrairement à ce que certains sites internet affirment qui ne parlent que de ceux qui se mettent à parler très tôt, croyant sans doute qu’un enfant surdoué est forcément en avance sur tout. Il parait que c’est dû au fait que, conscients de leurs lacunes, ils « préfèrent » attendre de se sentir suffisamment sûr d’eux pour se lancer, en gros. Ce fut peut être le cas d’Einstein, mais je suppose qu’à l’époque, les recherches sur les enfants surdoués étaient rares.

    Ce site mentionne rapidement les possibles retards de langage chez eux, mais c’est un résumé, donc il n’explique pas les raisons possibles.

    Ici, le site dit : "Certains enfants précoces utilisent peu le langage jusqu’au moment où ils y témoignent subitement d’une maîtrise remarquable." (je n’ai ni le courage ni le temps de tout lire, et pourtant ça doit être très intéressant).


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 9 juin 2020 20:37

      @Surya

      Bonsoir. Mon fils qui a réussi haut la main ses études ,lorsqu’il était petit c’était l’inverse. Il nous a claqué un sujet verbe complément correct vers seize mois mais n’ a réussi à marcher que vers vingt mois ...le cerveau en développement ne peut tout faire à la fois.


    • olivier cabanel olivier cabanel 9 juin 2020 20:55

      @Surya
      bonjour et merci pour tes infos supplémentaires
      je vais tenter de lire tout çà !


  • Julot_Fr 9 juin 2020 20:58

    L’école un instrument de subversion ou on formate le moutons, échouer n’est effectivement pas forcément une mauvaise chose.. Surtout quand on se rapelle le scandale du bacchalauréat 2019 fuité d’un lycée juif (les chances ne seraient pas égales). Le seul et unique problème avec le manque de diplome étant que les controlleurs du système nous obligent à en passer par la avant d’ouvrir les portes de leur multinationales pourries


    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 9 juin 2020 21:30

      @Julot_Fr

      Moi prolo et sa mère aussi ,notre fils est sorti parmi les premiers des ingés art et métiers. Il s’est planté six mois après son bac (18 9 en S ) en médecine. Il a rattrapé avec les maths sur donc un an et demi. Un an avant son diplôme d’ingénieur finalisé il avait des des propositions d’emplois... Et pas des moindres venant de grosses boites...exigeantes.


    • babelouest babelouest 10 juin 2020 03:58

      @Julot_Fr
      Tout dépend de l’établissement où l’on tombe, je pense. Si les profs s’ingénient à faire penser par soi-même, c’est bon, quoique pas forcément tout de suite. Je pense être passé par un lycée pas mauvais : dans la classe en-dessous il y avait un certain Ph de Villiers entre autres.... encore eut-il le handicap de passer le bac en 68, ce qui n’est peut-être pas le meilleur millésime.


  • babelouest babelouest 10 juin 2020 03:36

    Olivier, pour l’anecdote, 1975 était l’année de la femme. Une amie avec qui je corresponds presque tous les jours, s’est dit qu’après tout, puisque c’était une année particulière, elle se devait d’avoir aussi une candidate à l’Académie Française. Journaliste, elle avait déjà été éditée plusieurs fois, y compris par Hachette. Pas dégonflée, elle a posé sa candidature au fauteuil de Robert Aron. Grand bruit dans le Landerneau ! Journaux, radios, télévisions furent mobilisés pour traquer l’intruse. Elle fut d’ailleurs invitée plusieurs fois par Philippe Bouvard, et Michel Simon a même failli lui confier ses mémoires à rédiger (le temps a manqué, deux semaines plus tard il était décédé).

    Bien entendu elle ne fut pas élue (pas une voix), et c’est Maurice Druon qui eut la place. Il fallut attendre 1980 pour que Marguerite Yourcenar soit admise sous la Coupole.


  • ZenZoe ZenZoe 10 juin 2020 09:51

    Article intéressant Olivier.

    La clé du succès est double : avoir confiance en soi et avoir une passion. Tant de gens restent au bord du chemin parce qu’il leur manque soit l’un soit l’autre.

    Pour la confiance en soi, les parents, ou à défaut un adulte proche de l’enfant, ont un rôle majeur à jouer. Sans encouragement, un gamin aura du mal à empoigner la vie. Je me rappellerai toujours un témoignage d’Anémone à qui ses parents répétaient qu’elle était la plus belle et la plus douée, ce qui lui a donné la confiance pour entamer une carrière de comédienne. A l’inverse, les gamins humiliés sans arrêt ne vont que rarement au bout de leurs rêves (s’ils en ont).

    Sans passion, il voguera de ci de là sans faire de vagues ou restera bloqué dans une vie peut-être un peu trop ordinaire. Claire Chazal, pas ma tasse de thé, a pourtant dit quelque chose d’intelligent une fois : alors qu’on lui demandait ce qu’elle souhaitait à son fils nouveau-né, elle répondit : d’avoir une passion, une passion sauve de tout.

    Ceci dit, il faut quand même dire que, même sans « réussir », même si on n’égalera jamais Bill Gates ou Bernard Arnault, on peut aussi avoir une vie belle et épanouissante.

    Bonne journée Olivier


    • olivier cabanel olivier cabanel 10 juin 2020 10:19

      @ZenZoe
      bonjour !
      je partage totalement ton opinion !
      douce journée.


    • babelouest babelouest 10 juin 2020 10:24

      @ZenZoe
      B. Gates, né dans une famille très aisée, n’a rien inventé, mais a accaparé, filouté : un coucou, quoi. Pas du tout de quoi pavoiser. Je n’envie pas du tout la fortune de B Arnaud.
      .
      J’aime mieux une réussite comme celle de Steve Wozniak, plus discrète, et en même temps tellement plus riche !


    • ZenZoe ZenZoe 10 juin 2020 11:20

      @babelouest
      C’est bien ce que je dis : Bill Gates, enfant choyé, a une passion : filouter les autres smiley


  • Eric F Eric F 10 juin 2020 11:39

    Evitons de laisser entendre aux jeunes qui liraient ces lignes que tous ceux qui ont réussi ont été en échec scolaire, et que tous ceux qui ont été en échec scolaire sont des génies incompris.

    Bien évidemment, tout ne se résume pas à la course au diplôme, mais même dans les voies transversales, mieux vaut avoir eu de bonnes bases de départ. Et celui qui a la passion et la motivation y arrivera.


  • Baron de Risitas Oncle-Paul 10 juin 2020 11:45

    Malgré que j’ai eu mon bac d’eau chaude et mon bac d’eau froide , je n’ai pas réussi une fois dans la vie active smiley


  • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 10 juin 2020 12:12

    Salut....hum !!! tant que un talent x qui n’est pas de notre fait, est utilisé pour me mettre au dessus...les humains vont s’entre-tuer, s’utiliser etc

    Cette manipulation du maître qui ne fait que appuyer sur notre dégénérescence mentale, désolé mais c’est un fait, lui sied à merveille, il est sur que tout le monde va être en conflit , en combat avec les autres, pendant que là haut, les truands à qui on donne de facto le pouvoir et bien eux ils coopèrent..

    Le talent le plus haut ne nous est pas donné....nous devons le trouver car il est vital..


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