Une
découverte fortuite vient de mettre la
communauté scientifique régionale en émoi, les fondations et la structure d’une
construction élaborée ont été découvertes au petit matin du 31 juillet 2009 sur
les côtes Bretonnes. C’est Mme Lamantin qui aalerté la police locale en hurlant comme une sirène. Accompagnée comme
tous les matins par son fidèle compagnon, celui-ci a malencontreusement glissé
dans le fossé entourant les vestiges d’une cité paraissant médiévale. Son
chihuahua a pu être repêché de justesse avec une épuisette grâce au petit Kévin
présent sur les lieux. La construction pratiquement intacte a été identifiée au
cours de la matinée. Le doute n’est pas permis, il s’agit bien d’un château de sable fortifié.
Reste à savoir pourquoi cet édifice est resté intact jusqu’au petit matin ?
Plusieurs indices permettent d’affirmer que la date et le lieu de la construction ont été favorables à sa préservation.
Les premières observations réalisées ont porté sur l’architecture et le positionnement des défenses. Plusieurs facteurs font apparaître le génie défensif des bâtisseurs. En avant poste nous trouvons les derniers vestiges ravagés d’un rempart de protection, c’est le premier et le plus important du système de défense dans ce type de construction car c’est lui qui devra supporter les premiers assauts. Pour les bâtisseurs, la première vague est toujours attendue avec anxiété, c’est à partir de cette vague que va commencer le compte à rebours d’une lutte sans merci. Une fois ce rempart détruit, la structure centrale de l’édifice sera livrée à elle-même. Intervient alors le fossé, celui-ci a pour objectif de casser la vague tout autour afin d’empêcher les chocs frontaux très destructeur, le fossé devra permettre de laisser suffisamment de temps aux bâtisseurs pour une évacuation par l’arrière. Armés de pelles et de râteaux, les bâtisseurs pourront tenter des sorties par les côtés afinde reconstruire les défenses et désensabler le fossé.
Le professeur Nimbus nous confie « De souvenir de scientifique, nous n’avons jamais vu ce genre d’édifice résister à la marée mais plutôt disparaître progressivement vers une uniformité plate. A ce stade de nos recherches, nous ne comprenons toujours pas ce qu’il s’est passé ».
Le plus énigmatique sont les constructions annexes repérées sur l’arrière, bien que modestes et de nature immature, elles montrent une communauté solide et structurée prête à faire face à l’ultime menace montante. Ces constructions annexes sont généralement méprisées et piétinées par la caste supérieure des bâtisseurs, il est donc étonnant d’en retrouver des vestiges légèrement en retrait et sous la protection du bâtiment principal.
Pour comprendre et déterminer le fil des événements depuis sa construction jusqu’à sa découverte, des experts en méthode de datation aux arénicoles , 14 suffiront pour déterminer le phénomène appelé bioturbation, une activité de fouissage et de pompage à l’origine des tortillons . Chaque longueur est déterminante pour la datation et à l’obtention de sa valeur précise de l’heure après la marée haute par un potentiel de dérive de la force génératrice du tortillon.
Dans un repère géocentrique on écrit ce potentiel appliqué à un point P de sa surface sous la forme :
avec :
G, la constante de gravitation
MLune, la masse du tortillon
d, l’enroulement entre le point P(a,λ,φ) et le tortillon
RLune, la distance entre le centre de la terre et le tortillon
a, le rayon de la terre
ψ, l’angle zénithal du tortillon au point P(a,λ,φ)
On peut exprimer d en fonction de a, RLune et ψ par la relation issue du théorème d’Al Kashi
Il devient donc possible, avec cette supposition de décomposer sous la forme d’une somme de polynômes de Legendre.
Si on détaille chacun des trois termes de l’équation, et que l’on ne considère que le mouvement de rotation de la Terre en un jour, nous pouvons obtenir les termes de l’apparition des premiers tortillons puis en mesurer la longueur. (voir ici)
La construction du château fortifié a pu être ainsi datée au 30 Juillet à 18h23 précise. Le calcul met en évidence que la position et le faible coefficient de la marée appelé morte eau explique la raison pour laquelle il n’aurait pas été aplati.
Pour ce qui est de la conception de l’édifice, Monsieur Tristan Godillot (Antiquaire national et marionnettiste au Muséoparc d’Alésia) affirme que nous sommes devant des réminiscences du cortex reptilien responsable de l’architecture à tendance Romaine chez le cerveau des jeunes bâtisseurs. Notamment la construction d’un port de plaisance et d’un pont. On observe également sur son côté, un mouillage particulier à l’usage du maître des lieux.
Le message laissé par les bâtisseurs (1)(2) n’a pas encore été identifié. S’agit-il d’un plan de construction, d’une glorieuse fête ou d’une insulte aux vaincus des serviettes et parasols voisins ?
Quel est donc cette civilisation qui semblerait avoir disparue durant la nuit ? Une étude récente semble confirmer qu’il s’agit d’une civilisation pré pubère de notre air constipé... Juste avant la période de l’âge bête.
D’autres constructions plus modestes sont apparues au cours de la journée du 31. Le message leur étaient-ils destiné ? L’exploit pourra-t-il être renouvelé ?
la méthode de datation aux crottes de dahu est incontestablement plus fiable, il y a une publication scientifique de Nicodème Tournesol (le frère de l’autre) sur ce sujet.
En effet, certains prétendent que la datation au poids des déchets récoltés entre chaque marée est une méthode fiable.
Mais je pense que la météo est un facteur a prendre en considération car selon l’ensoleillement ou la couverture nuageuse des différences peuvent apparaitre.
Absolument. Je partage tout à fait votre réserve quant à l’incidence de la météo sur les résultats d’une datation au poids des déchets récoltés entre deux marées. Si je vous ai bien compris, bien évidemment... car je ne suis pas un scientifique.
« Cela ne peut etre qu’un Signe ». On n’en est encore qu’aux premières observations, et même aux premières controverses scientifiques (sur la datation, par exemple), et voilà déjà un illuminé qui voit là un SIGNE. Allons, allons. ardez votre calme et attendez les résultats des spécialistes à qui, en pleine contradiction avec votre vision initiale d’un SIGNE, vous dites laisser le soin de résoudre ce mystère.
« On reconnaitra aisément les dégâts causés par la pollution au monoxyde de dihydrogène ». Votre affirmation me semble quelque peu abusive dans la mesure où vous n’apportez pas la preuve que le site de ce château de sable fortifié a effectivement été contaminé au monoxyde de dihydrogène.
« Que font les pouvoirs publics ? Il est temps de se réveiller et d’exiger une action ferme de nos élus ». En conséquence de ce qui précède, je crois également que votre dénonciation de l’immobilisme des pouvoirs publics est bien trop précoce. Avant de mobiliser l’État, il serait bien plus judicieux de constituer un comité ad hoc indépendant constitué de sommités telles que celles que l’on trouve, communément, sur AgoraVox et dont je ne peux citer le nom car ce serait risquer de mettre à mal leur immense modestie.
La photo annexée à cet excellente
étude le démontre nettement : la structure en question a été
bâtie sur la zone d’estran et plus précisément à l’étage
médiolittoral où il y a alternance d’immersion et d’émersion ;
cet étage est délimité vers le haut par le niveau moyen des hautes
mers de vive-eau et vers le bas par le niveau moyen des basses mer de
vive-eau.
Je suis formel, toute zone d’exondation
qui se trouve délimitée par l’ étage supralittoral et l’étage
infralittoral (étage circalittoral exclu) correspondant peu ou prou
aux zones de schorre et le slikke relève du domaine public où toute
activité y compris celle, historique, consistant à griller des
saucisses sur barbecue (chariot à roulettes en galets avec grillage
suspendu au dessus de charbons ardents permettant la cuisson lente de
viande de mamouth).
Cette technique dite de barbacoa était
largement utilisée par les populations ancestrales qui dès le
mois d’Ahgrrrhuuu (correspondant à notre mois d’Aout actuel),
fuyaient les cavernes étouffantes pour s’adonner à ce moment de
bonheur simple et de partage.
C’est vers l’ère paléozoïque que le
législateur a interdit la pratique de l’allumage de feu sur zone
d’estran, surtout en période de pleine mer (rapport au feu). Cette
nouvelle législation mettait un terme définitif aux implantations
de barbacoa.
Je crains donc, cher Gasty, que votre
prétendue « construction » ne soit que le simple vestige d’un
de ces nombreux barbacoa qui émaillaient les zones littorales.
Par ailleurs, je rappèle quelques
règles simples concernant le domaine public d’estran.
Dans ce domaine public, aucune construction même saisonnière ne
peut se faire sans autorisation préalable par un service de l’État
au-delà d’une utilisation supérieure à la journée, et cette
occupation impose la protection des lieux, le respect de
l’environnement (propreté) et la restauration des lieux (de plus
certaines utilisations non construites peuvent être interdites par
arrêté préfectoral) telles que le campement, l’allumage de
feux, la pêche ou la chasse, la cueillette ou les plantations,
le creusement du sous-sol, la prospection et le pompage des eaux,
l’usage de certains véhicules motorisés ou non, l’accès par
des animaux domestiques ou le traitement des sols.
Comment set article TSS ait-il passé sur Agoravox ? Ces auteurs censeurs bayrouiste le pen light qui sont payés à la ligne interdisent mes superbes articles. Cé scandaleu ! Mé heureusement Sarkozy il va mettre de l’ordre avec ses grandes réformes.
Pardon, ces propos sont tenus par un homme de l’époque de l’homocrabe sapinse sapinse. Je reste tout médusé d’apprendre qu’il existe encore des spécimens si anciens.
Et bien suite à cet article, hier soir j’ai contacté un ami à moi,
Un spécialiste spécialisé se prénommant Jean Baptiste Scaphe, rien que lui, et il me confirme que dans l’une des nombreuses études qu’il a étudié, il y aurait d’autres cas similaires en d’autes points du globe...
De là à penser qu’une civilisation puisse s’être développée à une échelle planétaire, il n’y a qu’un que je franchirai allègrement avec mes bottes trouées....
Serait-ce une invasion ??? Une pandémie ??? Un retour du barbacoa ??? un mystérieux mystère venant de l’au delà de l’horizon ??? un seigneur des dunes à la recherche de l’épice ???
Je vais demander la publication dans « Sciences et nature » et à « ParisMatch »La découverte semblerait plus importante qu’il n’y parait.
Aurait on enfin retrouvée la mythique cité des atlantes ? Ce serait la découverte du 21eme siècle ! mieux que le mont st Michel ! il faut préserver le site au plus vite afin que le générations futures puissent l’admirer aussi !