Cette course infernale, cette prise de vitesse n’est rien d’autre
qu’une fuite en avant alimentée par l’illusion du « vouloir posséder
toujours plus », elle-même alimentée par le conditionnement
médiatique du citoyen devenu matière première, consommateur et variable d’ajustement
financière. De peur de mourir, l’homme oubli de vivre en se réfugiant dans l’éphémère…