@François Pignon Oui, mais lui parlait français, un excellent français, et exigeait la présence d’interprètes lorsqu’il négociait rudement avec les USA ou la GB. Une anecdote raconte (à peu près, je crois) que Churchill ayant répondu « No, no » lors d’une discussion orageuse, il se tourna vers le gars et dit « Interprète, traduisez ! »