pemile pemile 9 mai 2020 18:25

@doctorix « Mais visiblement Pemile n’en trouve pas de contraire, aussi il affirme qu’il y en a, à tout hasard. »

wiwi, soit vous ne cherchez pas, soit vous êtes incapable de trouver ?

Rome, 4 mai 2020 - Une clarification est nécessaire concernant l’article publié dans l’édition en ligne d’Il Tempo.

Le texte contient une inexactitude macroscopique qui risque de donner un message trompeur sur un sujet très complexe, et d’un grand intérêt médiatique, comme les thérapies pour l’infection au COVID-19. Comme il avait été correctement communiqué au journaliste par écrit, les données du registre lancé par la Société italienne de rhumatologie (SIR) nous indiquent que les patients sous hydroxychloroquine représentent environ 15% du total des 150 patients atteints de maladies rhumatologiques qui ont été signalés et contractés l’infection. Nous ne disposons donc pas de données sur 65 000 patients, comme indiqué dans l’article, il n’est donc pas possible, sur la base de ces données, de faire valoir la possibilité de prévention de ce médicament contre l’infection. Si jamais les quelques données disponibles nous indiquent que même certains patients qui prennent chroniquement de l’hydroxychloroquine peuvent être infectés selon une conclusion diamétralement opposée à ce qui est rapporté dans l’article en question. La Société italienne de rhumatologie précise qu’à ce jour, sur la base des données disponibles, il n’est en aucun cas possible d’attribuer à ce médicament une action préventive potentielle contre l’infection par le SRAS-Cov2.

Luigi Sinigaglia
Président national SIR

Traduction posté par @gGaribaldi2 avant hier avec le lien vers l’article en italien.


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