Il existe
déjà dans l’Etat de Oaxaca (Mexique) une telle manière de vivre un
autogouvernement populaire « fondé sur un lien étroit au territoire »
ainsi que sur des « pratiques de réciprocité et de construction du commun ».
Cela s’appelle la « communalité » et se vit comme un « bien-vivre
communal » dans cette convergence entre « capacité coopérative, art
de prendre soin du collectif et épanouissement des singularités individuelles »
J’ai souligné le passage de l’article reproduit
ci-dessus parce qu’il me paraît pouvoir entraîner un débat sur les moyens de
“réparer le monde“. Les deux problèmes posés par cette expérience me semblent
être
1/ Sa possible survie dans le capitalisme totalitaire
et de plus en plus mondialisé
2/ Sa possible extension au monde entier hors le
choix du socialisme mondialisé.