Une excellente description de l’horreur.
Cela fait sortir, mûrir plein de choses en moi ; je me demande si je suis du genre à me suicider d’impuissance devant la montée du fascisme, que j’ai observée en détail depuis quatorze ans, ou bien à émigrer... sauf à trouver des luttes réelles à initier ou suivre, hors manifestations.
Le confort de la pensée, la douceur des sentiments, ne sont pas pour demain.