Précision sur le pari de Pascal : c’est une sorte de sophisme, qui suppose que c’est la croyance en dieu ou la non croyance qui détermine l’accès au paradis ou la rélégation en enfer.
Il me plait de penser, moi, que le paradis d’un tel dieu ne serait peut-être pas préférable à celui de son enfer !