lundi 26 novembre 2018 - par delepine

ALERTE : informations destinées à ceux qui pensent que la vaccination anti HPV pourrait diminuer le risque de cancer anal. Détox

L’augmentation paradoxale du risque de cancer du col de l'utérus après Gardasil est avérée aussi pour les cancers du canal anal à la lumière des registres du cancer de la Grande Bretagne et de l’Australie où les populations sont importantes et donc les registres plus utilisables.

En Australie entre 2007 et 2015, la vaccination des filles a été suivie d’une augmentation du risque de cancer anal de 25%, alors que chez les garçons, non vaccinés avant 2013, l’incidence n’a pas augmenté.

 En Angleterre, entre 2007 et 2015, la vaccination des filles, loin de les protéger du cancer anal, a été suivie d’une augmentation du risque de ce cancer de 55%, quatre fois plus élevée que chez les garçons non vaccinés (+13%).

L’extension de la recommandation aux garçons a d’ailleurs été déconseillée en Nouvelle Zélande pour son inefficacité probable[9]

Ces constatations devraient conduire à un moratoire, et à la prudence extrême en évitant les "expérimentations " déjà en cours plusieurs pays dont ceux cités, et toute propagande et obligation. Cela relève du simple bon sens.

 

 MARCHANDISATION DU CORPS HUMAIN ET DESINFORMATION DES POPULATIONS

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 ALERTE : informations destinées à ceux qui pensent que la vaccination anti HPV pourrait diminuer le risque de cancer anal. Détox !

 

Le chemin vers l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions

 

Certaines associations et militants anti-sida, de défense LGBT et la ligue contre le cancer[1], trompés et/ou manipulés par le lobby de l’industrie pharmaceutique et les gouvernants ont cru que l’extension de la vaccination anti HPV aux hommes pourrait diminuer les risques de cancer du col de l’utérus, anal et/ou ORL chez les personnes exposées.

 

Et la ministre A Buzyn vient de faire adopter une loi instaurant dans deux départements (à titre prétendument expérimental ?) la vaccination chez les garçons. Il n’y avait aucune raison d’expérimenter cette recommandation en France car la vaccination des garçons est réalisée en Australie depuis 2013 avec des résultats cancérologiques discutables et qu’il suffit d’attendre un peu pour pouvoir en confirmer définitivement la nocivité.

Par cet article, nous voulons rappeler que le vaccin anti HPV n’a toujours pas prouvé qu’il était capable d’éviter le cancer, et prévenir ces populations particulièrement ciblées par la propagande mensongère, qu’il existe au contraire des raisons très sérieuses de craindre qu’il en augmente le risque de manière importante et rapide.

 

Le grave échec cancérologique des vaccins anti HPV est avéré pour les cancers du col de l’utérus, ainsi que nous l‘avons montré dans des textes publiés sur Agoravox[2] [3] [4] et sur notre site, ainsi qu’au Parlement wallon, et précisé dans un livre récent[5].

 LE CANCER DU COL DE L UTERUS AUGMENTE CHEZ LES POPULATIONS VACCINEES

En Suède, d’après le registre officiel du cancer Nordcan[6] les filles appartenant au groupe d’âge vacciné ont vu depuis leur risque de cancer doubler !

En Angleterre, d’après le registre officiel du cancer de Cancer Research United Kingdom[7], le groupe des femmes 24-29 ans qui regroupe les filles vaccinées tardivement est exposé à un risque deux fois plus élevé qu’avant la vaccination (incidence 22/100000 vs 11 avant vaccination) et celles de 20-24 une augmentation de 38%.

En Australie, d’après les statistiques officielles[8], les groupes d’âge de femmes vaccinées ont tous subi une augmentation importante et significative de l’incidence de cancer invasif (+114% pour les 20-24 ans, +36% pour les 25-29 et +33% pour les 30-34).

En Norvège, depuis la vaccination, l’incidence standardisée sur la population globale des cancers invasifs a augmenté de 25% depuis la vaccination du fait d’une augmentation de 49% chez les femmes de 25 à 49 ans.

 

 L’INCIDENCE CONTINUE DE BAISSER CHEZ LES FEMMES PLUS AGEES NON VACCINEES ET DEPISTEES TOUS LES TROIS ANS

Dans tous ces pays qui ont mené des campagnes intenses de vaccination, l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus a paradoxalement baissé uniquement chez les femmes de plus de 50 ans non vaccinées !

 

 LE CANCER ANAL SERAIT-IL UN MEILLEUR CANDIDAT POUR LE VACCIN ANTI HPV : NON

 Augmentation avérée chez les filles vaccinées versus stable chez les garçons non vaccinés

 

Le cancer du canal anal est plus rare que le cancer de l’utérus ; le plus faible nombre d’observations rend les relevés d’incidence plus instables et l’analyse des registres officiels du cancer des pays à faible population plus incertaine.

 L’augmentation paradoxale du risque de cancer après Gardasil est cependant avérée aussi pour les cancers du canal anal à la lumière des registres du cancer de la Grande Bretagne et de l’Australie où les populations sont importantes et donc les registres plus utilisables.

En Australie entre 2007 et 2015, la vaccination des filles a été suivie d’une augmentation du risque de cancer anal de 25%, alors que chez les garçons, non vaccinés avant 2013, l’incidence n’a pas augmenté.

 En Angleterre, entre 2007 et 2015, la vaccination des filles, loin de les protéger du cancer anal, a été suivie d’une augmentation du risque de ce cancer de 55%, quatre fois plus élevée que chez les garçons non vaccinés (+13%).

L’extension de la recommandation aux garçons a d’ailleurs été déconseillée en Nouvelle Zélande pour son inefficacité probable[9].

 

 MARCHANDISATION DU CORPS HUMAIN ET DESINFORMATION DES POPULATIONS

Il est stupéfiant que les associations qui militent depuis si longtemps pour protéger du cancer des groupes à risque et leurs membres, proposent de rendre obligatoire une vaccination qui en augmente le risque.

Cela montre l’efficacité redoutable de la désinformation marchande que nous subissons de la part des médias et du ministère à propos de ce vaccin.

Crédulité ou corruption ? Nous espérons qu’ils ont été trompés par la confiance qu’ils accordent à la parole des sirènes de l’industrie pharmaceutique et des responsables politiques, et que l’analyse objective des faits indiscutables publiés par les registres du cancer dont nous avons donné les adresses http// leur permettra de mieux évaluer les dangers de leurs préconisations et de les corriger.

 

[1] Pr Jacqueline Godet, présidente de la Ligue contre le cancer Pour lutter contre les cancers évitables, la Ligue contre le cancer préconise 11 mesures

[2] Delepine Effet paradoxal du Gardasil, accélérateur de l’apparition de cancers du col utérin chez les jeunes femmes Agoravox vendredi 17 août 2018 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/effet-paradoxal-du-gardasil-206898

[3] Delépine Vaccin Gardasil et cancers ORL, une indication médicale ou une recherche de nouveaux marchés ? Agoravox 23 10 2018 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/vaccin-gardasil-et-cancers-orl-une-208864

[4] Delépine Fake news » à propos du cancer anal ? Promotion Gardasil pour les garçons ? Eléments de réponse à la tribune du Monde Agoravox 26 5 2018 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/fake-news-a-propos-du-cancer-anal-204663

[5] Nicole et Gérard Delépine Hystérie vaccinale. Vaccin Gardasi et cancer un paradoxe. Fauves édition paru le 25 10 2018

[9] Pearson AL, et al. Is expanding HPV vaccination programs to include school-aged boys likely to be value-for-money ? A cost-utility analysis in a country with an existing school-girl program BMC Infectious Diseases (2014)

 

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7 réactions


  • soi même 26 novembre 2018 19:22

    Quand l’on nous fais une vie de merde, que l’on mange de la merde, il est évident que l’anus prenne un coup de vieux.


  • sls0 sls0 27 novembre 2018 03:42

    Je ne dit pas que c’est faux.

    Effectivement si ça passe de 0,007% à 0,0078%, il y a augmentation de 11% en Norvège.

    Mais avant il y avait une baisse de 242% sans explications.

    En curatif on fait des contrôles qui seront souvent positifs.

    Si on contrôle en curatif et en préventif les personnes à risque il y aura moins de contrôle positifs.

    Si on contrôle tout le monde le chiffre va encore diminuer.

    Difficile de mesurer une incidence avec un bruit de fond 20 fois plus grand que ce que l’on veut mesurer.

    Plus on pratique les stats plus on se méfie des corrélations.

    Un poucentage très bas et un bruit de fond élevé.

    Avez vous le pourcentage des femmes contrôlées par tranche d’âge ? Ca permettrait d’enlever une partie du bruit de fond. Ca risque aussi d’invalider vos hypothèses.

    Il y a déjà quelques années, une mère se posait des question au sujet du Gardasil, je lui ai répondu que c’était beaucoup basé sur de l’hypothétique, qu’il y avait peu de retour d’expérience et le dépistage avait fait baisser sérieusement le risque de cancer, bref j’avais des doutes. Donc je ne défend pas le Gardasil, c’est au sujet des corrélations et de la faiblesse ou imprécision de l’échantillonnage que je tique.

    On laisse ces exercices de style aux ministres de l’intérieur.


  • dorian 27 novembre 2018 12:12

    Vous avez choisi un sujet merdique , alors ne vous plaignez pas si les commentaires sont nauséabonds.


    • dorian 27 novembre 2018 12:14

      @dorian Et si j’étais vraiment médisant , je rajouterais , « Delepine au derche ».


  • troletbuse troletbuse 27 novembre 2018 16:40

    Espérons que Micronimbus s’est fait vacciner smiley


  • zygzornifle zygzornifle 27 novembre 2018 17:39

    ça dépend ou on vaccine ....


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