lundi 27 novembre 2017 - par Stratediplo

Ces mercenaires français rappelés du Levant

La presse française diffuse depuis quelques semaines une campagne de communication criminelle. La profusion et la simultanéité de la parution d'autant d'articles sur le même sujet et avec la même orientation ne peut être que la mise en oeuvre d'une campagne coordonnée, donc commandée dans une intention précise.
 
Il s'agit de la campagne visant à assurer les anciens mercenaires recrutés en France qu'ils y seront bienvenus à leur retour de Syrie. Car une telle campagne, incluant l'intervention directe de divers ministres, ne saurait être destinée au public français, que le commanditaire a peu de chances de convaincre du bien-fondé de cette décision politique qu'il aurait plutôt intérêt à tenter de cacher. La cible de ce message est donc extérieure et ne peut pas être touchée discrètement et individuellement même s'il ne s'agit que de quelques milliers de personnes, ce qui a obligé à recourir à un moyen de communication volumineuse indirecte en dépit des risques politiques internes. La décision a donc dû être mûrement réfléchie.
 
Dans le cadre du projet de destruction de la Syrie, la France a laissé partir pour le djihad (la guerre "sainte") des milliers de futurs mercenaires généralement convaincus, et pour le djihad al-nikah (la prostitution "pour Allah") de futures prostituées généralement bernées. On pourrait certes appeler autrement que prostitution, vu d'un pays où l'activité librement exercée est légale, l'imposition de relations sexuelles multiples, et non rémunérées, par l'intimidation essentiellement psychologique au départ puis par la violence physique plus tard. Le mot n'existe d'ailleurs pas dans certains contextes culturels où le multipartenariat de la femme respectable (sous tutelle toute sa vie) est interdit et où le viol systématique de la femme esclave ou captive est une règle incontestable.
 
Au contraire par exemple la Tunisie, qui avait elle aussi vu partir (et pour sa part déploré) plusieurs milliers de jeunes gens et jeunes filles en 2012 et 2013, a criminalisé et poursuivi leur recrutement, leur regroupement et leur acheminement. Avant d'aller jusqu'à interdire la sortie du pays à toute personne de moins de trente-cinq ans sauf autorisation paternelle, le régime à dominante Ennahdha issu de la "révolution de jasmin" menée par les Frères Musulmans égyptiens et encensée par la presse démocrate française a fermé deux cents mosquées coupables (ou suspectées, faute de jugement) d'appels à la solidarité mahométane, localisé et débandé plusieurs centres de regroupement et sélection, et démantelé et incarcéré plusieurs réseaux d'acheminement, en vertu notamment des résolutions 1325 et 1820 du Conseil de Sécurité de l'ONU et du Protocole de Palerme.
 
Mais le gouvernement français, pour sa part, a choisi d'autoriser la propagande en France pour cette forme de confrontation totale qui viole non seulement les conventions internationales du droit positif interétatique moderne matérialisé dans les traités du système ONU, mais aussi les multiséculaires droits coutumiers de la guerre et à la guerre. Déjà en 1998, toutes les chaînes de télévision publique ou subventionnée diffusaient au journal du soir des "documentaires" sur le regroupement et le départ vers la Suisse, plateforme du recrutement ouest-européen, des volontaires pour la guérilla islamiste menée par le mouvement sécessionniste de la diaspora albanaise en Serbie (province de Kossovo et Métochie), et dont l'acheminement, au départ des grandes villes françaises, était prétendument grâcieusement offert par des compagnies d'autobus qu'on aurait peu souçonnées de djihadophilie. On n'a jamais su qui avait en réalité financé les autobus et surtout la campagne de communication télévisuelle manifestement autorisée, et l'année suivante les combattants irréguliers ainsi enrôlés publiquement en France reçurent l'appui aérien de l'OTAN et de la France (alors non membre de l'OTAN), un précédent plutôt encourageant pour les campagnes de recrutement à venir. Plus récemment lorsque le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius a déclaré, le 12 décembre 2012, que le front Al Nosra (Al Qaeda en Syrie) ne pouvait être qualifié de terroriste car il faisait du "bon boulot", dont le monde entier a pu constater les résultats (malgré la propagande atlantico-islamiste) lors de la libération d'Alep, il faisait l'apologie d'une organisation dont il connaissait l'usage indiscriminé d'armes chimiques contre la population civile et l'usage ciblé du viol cultuel. Un an plus tard le ministère de l'intérieur a refusé la liste des mercenaires français identifiés par le gouvernement syrien, comme pour leur assurer l'impunité. Et au cas où des doutes seraient restés chez les candidats potentiels français ou résidents, le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve a déclaré le 5 août 2014 que prôner le djihad n'était pas un délit et n'était pas pénalement répréhensible, dépénalisant ainsi le djihad lui-même (car il est interdit de prôner une pratique interdite) et apportant la caution du gouvernement français, qui ne l'a pas désavoué, à la commission non pas de simples crimes de guerre mais d'une véritable entreprise de crimes contre l'humanité.
 
Ces mots sont pesés, l'agression de la Syrie était bien un projet de destruction d'un pays par la commission à grande échelle de crimes contre l'humanité sur la société et la population civiles, pas une entreprise de neutralisation ou soumission politique au moyen d'une guerre, licite ou pas, dûment déclarée et menée par des moyens militaires réguliers.
 
Par son arrêt du 26 février 2015 dans l'affaire C-472/13 la Cour de Justice de l'Union Européenne a clairement reconnu la responsabilité et la clause de conscience de toute personne appartenant à des forces armées qui commettent des crimes de guerre, c'est-à-dire une sorte de participation à la responsabilité collective même sans commission personnelle desdits crimes. Bien au-delà de la classique notion de l'impossibilité de se retrancher derrière le devoir d'obéissance hiérarchique, le combattant civilisé restant toujours responsable de ses actes individuels, la CJUE a reconnu le droit (et sous-entendu le devoir) pour un soldat de refuser de participer à un conflit où son armée d'appartenance commet des crimes de guerre, et même de s'en retirer le cas échéant par la désertion. Si cet arrêt reconnaît aux Etats un "droit légitime à maintenir des forces armées", il ne saurait évidemment être reconnu aux forces irrégulières non étatiques, violatrices systématiques du droit de la guerre et recourant au mercenariat.
 
Mais la France n'avait pas attendu cet arrêt pour prévoir la réclusion criminelle à perpétuité, selon l'article 212-3 du code civil, pour toute "participation à un groupement formé ou à une entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de l'un des crimes définis par les articles 211-1, 212-1 et 212-2". Ces articles définissent les crimes contre l'humanité. Plus précisément l'article 211-1 définit le crime de génocide comme tout acte criminel s'inscrivant dans un "plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux", et l'article 212-1 inclut dans les crimes contre l'humanité tout acte criminel comme meurtre, asservissement, déportation, viol, torture, séquestration au secret ou ségrégation, s'inscrivant dans un "plan concerté à l'encontre d'un groupe de population civile dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique". Compte tenu de la longue litanie des massacres, viols ou réductions en esclavage pour raison religieuse, des Kurdes de Tal Abyad aux Arméniens de Kassab en passant par les Assyriens de Maaloula, sans oublier les Yézidis du Sinjar, mais aussi Houleh, Taldo, Al Chomaryeh, Homs ou Alep, il n'y a depuis cinq ans aucun doute sur l'existence de faits matériels caractérisant la préparation et même la réalisation d'un plan concerté d'extermination ou, selon les cas, d'asservissement, à l'encontre de communautés particulières, voire de toutes les communautés non arabes sunnites du Levant. Les exactions se répartissent équitablement entre toutes les composantes prétendument rivales de la guérilla islamiste (les nébuleuses d'Al Nosra et de l'Etat Islamique), dont l'approvisionnement en armement est commun (Armée Syrienne Libre et Etats-Unis d'Amérique). Par conséquent toute personne coupable de participation à un groupement formé à cet effet est, selon l'article 212-3 du code civil, passible de la réclusion criminelle à perpétuité. Et la première preuve de la participation à ce groupement est évidemment le départ de France en direction des théâtres d'exaction, puisque les participants ne sont pas recrutés parmi les touristes français en Syrie ou en Turquie, mais parmi les sympathisants en France, et acheminés après recrutement, comme l'a démontré le démantèlement des réseaux recrutant en Tunisie. D'ailleurs la loi pénale française est aussi applicable à tout crime commis par un Français (ou assimilé) à l'étranger, selon l'article 113-6 du code pénal. Elle n'est pas optionnelle, contrairement par exemple aux dispositions purement nationales concernant la trahison au profit d'une puissance étrangère, car il s'agit là de la transcription et l'application en droit français d'instruments de droit international, donc d'obligations auxquelles la France a souscrit au titre de la lutte mondiale contre la criminalité contre l'humanité.
 
Par ailleurs le mercenariat est punissable, en France, de cinq ans de prison selon l'article 436-1 du code pénal. Il n'est même pas nécessaire que l'activité soit rémunérée pour être répréhensible, il suffit qu'elle ait visé l'obtention d'un avantage personnel important, comme le sont évidemment les récompenses promises par le Coran, voire simplement les captives promises par les recruteurs. Et il n'est pas nécessaire d'avoir concrètement combattu mais seulement d'avoir été recruté pour combattre, pour "prendre ou tenter de prendre part" à des violences. Et il n'est même pas nécessaire d'avoir été recruté en France, puisque l'article 436-3 précise que les faits (d'engagement mercenaire) commis à l'étranger par un Français ou une personne résidant habituellement en France sont également punissables selon la loi française. Quant aux crimes de guerre, certes plus délicats à établir puisqu'ils sont commis individuellement et à l'étranger, ils sont punissables de quinze ou vingt ans de réclusion criminelle, voire de la perpétuité selon leur nature.
 
Les pays musulmans, pour leur part, n'accueilleront pas leurs ressortissants à leur retour de Syrie ou d'Irak, aussi fermement qu'ils avaient refusé, une génération plus tôt, le retour des moudjahidines recrutés par les Etats-Unis et l'Arabie Séoudite pour combattre en Afghanistan, ceux qu'on appelait alors "les Afghans" et qui ne pouvaient qu'être transférés d'un théâtre d'opérations à l'autre faute de pouvoir rentrer dans leur pays d'origine. Même les pays qui, après une guerre civile, seraient prêts à accorder une amnistie aux rebelles qui acceptent d'être débandés et désarmés, comme en Algérie il y a vingt ans, ne sont pas prêts à incorporer à leur population des gens qui ne sont pas des anciens combattants même irréguliers mais des anciens violeurs, tortionnaires et massacreurs de population civile. Si une organisation internationale tentait d'imposer à un pays musulman de reprendre ses ressortissants, ceux-ci iraient directement en prison ou au billot d'exécution.
 
Pourtant peu de pays ont envoyé au Levant autant de pratiquants que la France. Si la Tunisie, peuplée de onze millions de musulmans, a vu partir plusieurs milliers de volontaires en seulement deux ans avant d'empêcher les départs, la France, peuplée de quinze millions de musulmans, a dû sur sept ans en fournir un nombre au moins supérieur, comme en attestent les nombreux témoignages sur l'importance du contingent français en Syrie, le plus important contingent européen parmi les troupes supplétives de la coalition atlantico-islamiste. Lorsque le président François Hollande a annoncé, le 14 janvier 2014, qu'il y avait de l'ordre de 700 combattants français (ou résidents) en Syrie, cela ne pouvait comprendre que les départs remarqués, mais le chiffre était vraisemblablement déjà supérieur, et doit être aujourd'hui encore plus supérieur au millier annoncé par le ministère de la justice en juin 2017.
 
Leur recrutement et leur départ avait été au moins toléré, sinon fomenté, par le gouvernement français. La seule manière pour celui-ci de prétendre que ce n'était pas le cas, et qu'il n'est pas complice ou commanditaire des crimes de guerre mais aussi des crimes contre l'humanité systématiquement perpétrés en Syrie, est d'appliquer à leur retour le code pénal, donc l'incarcération immédiate puis la passation en jugement pour mercenariat et pour participation à un groupement formé pour perpétrer des crimes contre l'humanité. Puisque le ministre des armées Florence Parly, moins de deux ans après l'opération Brochet 3 du 15 novembre 2015 où son prédécesseur avait pris soin d'avertir l'Etat Islamique de l'imminente frappe "bouc émissaire" sur certains bâtiments syriens qu'il occupait à Raqqa, a déclaré le 15 octobre qu'elle espérait qu'un bon nombre de djihadistes français périraient plutôt que rentreraient, elle devrait au moins annoncer que le gouvernement français les présentera à la justice, dès leur arrivée, pour mercenariat et participation à une organisation coupable de crimes contre l'humanité.
 
Sauf, évidemment, si le gouvernement souhaite se faire complice de ces crimes en les couvrant.


43 réactions


  • eddofr eddofr 27 novembre 2017 18:04

    Y a un truc qu’on ne m’a pas encore expliqué.


    J’ai bien compris que la France est coupable de tout, tout le temps (dixit Omar).
    J’ai bien compris que la France a organisé la destruction de la Syrie.
    Encore que parfois je vois surgir la responsabilité conjointe des U.S.A. et d’Israel, la France étant alors rétrogradée au statut de complice manipulé ...
    J’ai bien compris que la France manipule/finance/sert l’Arabie Saoudite dans son génocide au Yemen (bon, le fait que les combats houtis/aqpa/gouvernement et la famine aient commencé largement avant l’intervention Saoudienne on me l’explique pas, mais c’est sans doute un détail).
    ... etc ...

    Par contre, ce que l’on ne m’a toujours pas expliqué c’est l’intérêt objectif de la France dans cette histoire ...

    Parce que pour foutre un tel bordel, ce qui doit quand même coûter un max de pognon et qui a, objectivement, un impact sur la sécurité intérieure Française, il faut quand même une bonne raison bien objective ... en monnaie sonnante et trébuchante ... Et là, ... ben je vois pas !

    Alors, allez y, expliquez moi l’intérêt objectif de la France dans ce bordel. J’attends.

    • Doume65 27 novembre 2017 20:42

      @eddofr
      « Alors, allez y, expliquez moi l’intérêt objectif de la France dans ce bordel  »
      L’intérêt pour ceux qui gouvernent, et non pour la France, il faudra le demander à tous ces oints de Bilderberg et ces « young leaders » de la FAF. Nous, sur AV, pauvres limaces, qu’en savons-nous ?


    • Fanny 28 novembre 2017 12:23

      @eddofr

      Moi non plus, on ne m’a pas expliqué les tenants et aboutissants de la politique Sarkhollande en Syrie.

      Alors je me suis expliqué à moi-même, avec mes connaissances forcément limitées.

      La France a joué un grand rôle dans l’histoire du Liban et de la Syrie au XXème siècle. Voir arriver dans le secteur de nouveaux joueurs (Iran, Russie, voire Chine qui a fait tourner ses bateaux en méditerranée) est tout simplement insupportable. Il fallait absolument les chasser, comme on l’a fait en Libye, par tous les moyens dont l’armement de « terroristes » (cf. Afghanistan).

      C’est un peu raté, mais on a essayé.


    • Stratediplo 28 novembre 2017 22:15

      @Fanny

      Petite inexactitude, l’Iran (d’abord par le Hezbollah) et la Russie (depuis fin septembre 2015) ne sont intervenus en Syrie que plusieurs années après la France, qui a commencé dès le printemps 2011.


    • Fanny 29 novembre 2017 00:44

      @Stratediplo

      C’est tout à fait vrai. Mais la base russe en Syrie est ancienne, les liens Russie-Iran allant en se renforçant. Et empêcher que ne se forme un arc chiite Iran, Irak, Syrie, Liban était une préoccupation forte de l’alliance USA, France, Arabie Saoudite, Israël. C’est toujours d’actualité. Chasser les Russes de Syrie aurait permis de réduire ce risque chiite.


    • Stratediplo 29 novembre 2017 01:22

      @Fanny
      Il est vrai que la base navale russe en Syrie date de l’URSS mais le rapprochement de la Russie avec l’Iran n’a été que la conséquence de l’agression contre la Syrie (2011) puis contre la Russie (2014). Je comprends évidemment votre vision mais je ne la partage pas. D’abord avant l’écrasement de l’Irak par les Etats-Unis, ce pays était aussi ennemi de l’Iran que rival de la Syrie. Ensuite ce sont les Etats-Unis qui ont mis fin au régime laïc en Irak, l’ont remplacé par un gouvernement chiite qui ne pourra jamais représenter tout le pays et ont divisé ce dernier. Le Liban est en équilibre instable depuis la guerre civile mais c’est l’agression de la coalition atlantico-sunnite contre la Syrie qui l’a déstabilisé comme on va le voir maintenant. Et la syrie était gouvernée par un solide régime laïc et démocratique où le chiisme n’avait aucune chance de s’imposer, ni le Hezbollah de poser un pied. Donc cet « arc chiite » est la conséquence de l’agression de la Syrie. Par ailleurs je ne vois pas en quoi cet « arc chiite », quand bien même il serait antérieur, serait un « risque » puisque le chiisme n’est pas expansionniste (par doctrine), qu’il n’agresse ni le sunnisme ni le reste du monde et ne menace pas les Etats-Unis. Je vois donc d’une part la confirmation de la stratégie états-unienne dénoncée depuis une quinzaine d’années, consistant à soumettre tous les pays à dominante musulmane à l’islamisme politique, et d’autre part de la stratégie états-unienne consistant à provoquer une confrontation sunnisme-chiisme. Le gazoduc qatari n’a été qu’un prétexte.


    • Fanny 29 novembre 2017 02:44

      @Stratediplo

      Mes connaissances sont limitées, comme je l’avais signalé. Je m’avançais avec le souvenir de la phrase de De Gaulle : « Dans l’Orient compliqué … idées simples ». Cette histoire d’arc chiite paraît effectivement surgir comme conséquence des interventions US, dont la logique m’échappe. A quoi bon avoir tué 1 million d’Irakiens (directement et indirectement) et en avoir fait expulser plusieurs millions de chez eux pour en arriver là. Une ligne directrice pourrait être de faire éclater ces pays en jouant sur les confessions et ethnies, comme en Yougoslavie. De ce point de vue, les USA n’ont pas complètement échoué. Et si comme vous l’écrivez un autre objectif des Etats-Unis est de mettre au pouvoir l’islamisme politique (sunnite), serait-ce aussi l’objectif de son grand allié sur le dossier syrien, je veux parler de la France ??? Il est vrai qu’une forte communauté sunnite vit en France. Cela aurait-il un rapport, en contradiction avec le fait que l’islamisme politique est dénoncé chaque jour à Paris ? « Dans la France compliquée … » 


    • Stratediplo 29 novembre 2017 13:40

      @Fanny
      Non, les Etats-Unis n’ont pas échoué du tout, ils ont atteint leurs objectifs essentiels en Irak, le premier étant de punir le premier pays ayant osé fixer le prix de son pétrole en une monnaie autre que le dollar afin de dissuader d’autres pays de suivre, le deuxième étant de détruire l’un des derniers régimes laïcs dans le monde musulman, et le troisième (plus circonstanciel) étant de déstabiliser le proche-orient pour relever le prix du pétrole et donc la demande de dollars dans le monde. Quant à la France, malheureusement oui, elle suit les Etats-Unis en tout depuis 1995, et cela n’a rien à voir avec la présence d’une communauté sunnite en France.


    • agent ananas agent ananas 29 novembre 2017 15:10

      @eddofr
      Alors, allez y, expliquez moi l’intérêt objectif de la France dans ce bordel. J’attends.

      Aucun intérêt pour la France. Le problème est que la diplomatie française a été « hijackée » par des agents d’une puissance étrangère : Fabius, BHL et Cie ...
      La France n’a plus de politique étrangère indépendante et souveraine ... Elle est décidée par des lobbies étrangers.


    • Fanny 29 novembre 2017 19:09

      @Stratediplo

      La France n’a donc plus de politique étrangère, sauf peut-être en Afrique. Faudrait songer à réduire le Quai d’Orsay dans les mêmes proportions. Economies, économies … 


  • Doume65 27 novembre 2017 20:38

    « Mais le gouvernement français, pour sa part, a choisi d’autoriser la propagande en France »
    Personnellement j’ai plus vu la mise en place d’un plan de propagande de la part du gouvernement qu’un simple laissé-faire.


  • filo... 28 novembre 2017 03:14

    @l’auteur
    Une très très bonne analyse ; très approfondie.


  • njama njama 28 novembre 2017 09:48

    Je pense qu’il faut incarcérer Sarkozy, Juppé, Hollande, Fabius, Ayrault ...qui dans cette aventure hasardeuse atlanto-sioniste, ont du sang syrien sur les mains

    https://www.agoravox.fr/commentaire4674321
    @ l’auteur

    Dans le cadre du projet de destruction de la Syrie, la France a laissé partir pour le djihad (la guerre « sainte ») des milliers de futurs mercenaires généralement convaincus,

    Que les services de renseignements français auraient fermé les yeux sur la participation de mercenaires djihadistes français c’est très possible et même assez certain, puisque avec leurs coreligionnaires salafistes et wahhabites, il s constituaient d’une certaine manière la 5ème colonne de cette coalition offshore qui visait au renversement de Bachar al-Assad.
    la France a laissé partir 
    on ne voit pas commet la France aurait pu enpêcher un citoyen français de voyager où bon lui semble

    et pour le djihad al-nikah (la prostitution « pour Allah ») de futures prostituées généralement bernées.
    ici vous êtes clairement péjoratif envers ces femmes, puisque en arabe ça veut dire ’’le Jihad par le mariage’’...
    Si effectivement un certain nombre de femmes ont rejoint ces moudjahidines islamistes en Syrie, il semble qu’il y ait eu une énorme manipulation médiatique sur ce sujet si j’en crois par exemple ces 2 articles de journaux peu suspects de collusion avec le régime syrien, bien au contraire :

    https://tempsreel.nouvelobs.com/l-enquete-de-l-obs/20131107.OBS4614/tunisie-la-verite-sur-le-djihad-sexuel.html

    http://syrie.blog.lemonde.fr/2013/09/29/vous-allez-etre-decus-le-djihad-du-sexe-en-syrie-na-jamais-existe/


    • Stratediplo 28 novembre 2017 22:27

      @njama
      En effet il s’agit administrativement de « mariages temporaires » multiples, à raison de plusieurs par jour, autocélébrés dans l’intimité et suivis de répudiation immédiate, dont l’objet avoué est la satisfaction des combattants. Effectivement, comme je l’ai écrit à la phrase suivante, on peut certainement l’appeler autrement car ça ne correspond pas exactement à la définition du mot français « prostitution » vu qu’il n’y a pas d’échange pécuniaire.


    • Stratediplo 28 novembre 2017 22:31

      @njama
      En effet l’article de l’israélite Sara Daniel sur le journal anti-syrien le Nouvel Observateur et l’article du blogue d’Ignace Leverrier qui arbore un drapeau de la guérilla islamiste assurent que le djihad al-nikah en Syrie n’existe pas, et que le départ de milliers de jeunes Tunisiennes est inavéré. Ces deux articles font partie d’une campagne de déni mené par la presse islamophile française, à laquelle a d’abord réagi la presse tunisienne, puis finalement même le gouvernement tunisien (islamiste pourtant), obligé de dire que cette campagne française de déni endort la méfiance des jeunes Tunisiennes et de leur famille, que le gouvernement a le plus grand mal à retenir ou à faire revenir. Cette pratique existe, les services sociaux tunisiens (voire d’autres pays) ont le plus grand mal à réhabiliter ces femmes ensuite, et il a touché, d’après le gouvernement, des milliers de personnes. Voyez à ce sujet les déclarations du ministère tunisien des affaires de la femme, par exemple.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 28 novembre 2017 23:17

      @Agafia
      Effectivement c’est assez ardu, le niveau est placé haut, champolion à l’aiddee....
       
      Mon expertise reconnue dans la programmation et le décryptage les langues difficiles et osées m’amene à tenter ce challenge.
       
       
      La 1ere phrase j’ai foiré une ram qui à surchauffé, il à bouclé 1/2h sur le meme octet...
       
      La 2eme phrase ca va mieux...elle t’explique que :

       le Panda n’a pas exactement les memes les idées politique que l’tenacier, dit Macron croirkkkk j’baise mémé la vioque qui rnifle l’cadavre bouffi dans l’placard vereux....
      rhahhh c’est bon les antiquitées....c’est bon les vieillries....vas-y toutekamon, r’mue tes oslets ....
      ca hume l’huile les anciennes ...pas d’la 1ere main neuve pas rodée qui déchauuse au premier virlo .....
      rhah mémééeeeee......
       
      Oups...excuse moi, le Pc a basculé en mode argotique mixé marc dorcel et la nuit des morts vivants...
       
       
      Entre la syntaxe et le langage naturel qui mouline à droite
      avec la reconnaissance faciale....(et du reste) du couple présidentiel ....
      Cest dans ces petits moment que l’on se heurte aux limites des modeles probables  smiley

       
       
      Je relance en francais, prions pour qu’il ne communte pas en globish ou serbo croate...
       
      La 2eme phrase t’explique que le Panda n’a pas les idées politique de notre réprésentant élu à la majorité des mougeons alculturés d’un pays à 6 faces ... surface hexagonale qui rappelle par analogie le referentiel bondisant utilisé en séances non éducatives dans les périodes ..... creoikf$£
       
      Cette fois il a commuté en mode blazé pouis il a re-communté en mode éduc nas.....
      pourtant je ne vois pas cette option ?, un hack ?
       
      Je vais peut etre mettre un coup d’anti virus, defois que ce texte soit un backdoor qui ouvre des fonctions insoupconnées smiley


    • Agafia Agafia 29 novembre 2017 00:38

      @Ouam

      ^^ Merci pour l’effort... Mon pc aussi bugg quand j’essaie de décrypter les textes du panda avec mon super logiciel de translation. Et je ne retrouve plus mon dico « français-panda »
      Mon pc rame,rame,rame, et quand il commence à fumer, je déconnecte avant de devoir changer le joint de culasse. Pas envie de le griller à cause d’une tentative de traduc’.


    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 29 novembre 2017 01:01

      @Agafia
      J’ai fait ce que j’ai pu ^^
      amha la au vu de ses écrits, il est dans deuxs conversations (différentes) au moment de la rédaction, ou dans des copier / coller qui n’onts pas vraiment bien fonctionné ?.
       
      Je me suis bien poilé en le lisant, lui aussi lorsqu’il va tenter de se relire demain je pense va se marrer pareil.
      bye


    • njama njama 29 novembre 2017 09:15

      @Agafia @Ouam

      Le Panda a probablement mangé trop de bambou, une overdose qui l’a subitement illuminé, et entre 13 h20 et 13 h 47 il s’est mis à troller hystériquement son « flash » qu’il est seul à comprendre.
      Autre cause possible, je soupçonne éventuellement les effets secondaires de vaccins qui auraient altéré sa carte mère !
      ah, s’il avait écouté les conseils de doctorix ... 

      Eric Brunet - Son merci émouvant à François Fillon et ses accusations
      Le Panda 28 novembre 13:47

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suis tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment. [...]. C’est mon message que chacun fasse le sien. Merci à Macron pour une fois !

      Le Secret du Bonheur : Vivre à Poil !
      Le Panda 28 novembre 13:46

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suis tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment...

      Compassion ? Ras-le-bol des demandes de dons !
      Le Panda 28 novembre 13:33

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suit tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment...

      De la défense de la paix à l’éloge de la guerre
      Le Panda28 novembre 13:31

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suit tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment....

      Citoyens d’un monde qui manquera de tout
      Le Panda 28 novembre 13:29

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suit tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment...

      A nos députés : Lettre ouverte aux groupes de travail de l’assemblée nationale en vue de la prochaine révision constitutionnelle
      Le Panda 28 novembre 13:27

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suit tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment....

      Ces mercenaires français rappelés du Levant
      Le Panda 28 novembre 13:26

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suit tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment....

      TRUMP au Moyen orient, tel un éléphant dans un magasin de porcelaine. Attention aux débris !
      Le Panda 28 novembre 13:24

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suit tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment...
      Incarcéré depuis juillet en Allemagne, suite au G20, Fabio, 19 ans, ne lâche rien !
      Le Panda 28 novembre 13:23

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suit tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment....

      La nouvelle Influence de la Russie au Moyen-Orient
      Le Panda 28 novembre 13:22

      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suit tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment....

      La clope au cinéma...
      Le Panda 28 novembre 13:20
      @rosemar
      Bonjour
      La qualité des explications et je dis merci ne coupe rien à la valeur, de sortir du virtuel. Jamais moi qui suit tout ce qu’il a de plus autant anti Macron, je n’ai apprécié son discours celui qu’il fait en ce moment.


    • Shaw-Shaw Shawford 29 novembre 2017 10:35

      @Ouam


      Chalut,

      Y’a effectivement une grosse part de foutage de gueule du Panda car il sait aligner des phrases cohérentes quand il veut (quand tu viendras lire ces lignes, pointe ses posts au même moment sous l’article de C Néant, tu en auras la confirmation).

      Nous pourrions dire qu’il participe à sa façon à la mise en perspective du déficit communicationnel récurrent dans les relations internétiques sur forums citoyens ! ^^ smiley 


    • doctorix, complotiste doctorix 29 novembre 2017 15:50

      @njama
      J’aimerais que tu me contactes, mail ou tel.

      Tu es assez malin pour trouver comment, vu que snoopy m’a pratiquement balancé (ce qui est passible d’une plainte au pénal).
      C’est assez urgent. Si tu n’y arrives pas, fifi ou JBL peuvent t’aider.
      Sinon, réponds-moi ici, on trouvera bien un moyen.

    • njama njama 29 novembre 2017 16:43

      @doctorix

      plus simple peut-être, je viens de me créer une adresse e-mail jetable

      [email protected]

      alias valid until 2017-11-30 16:27:13 +0100 CET

      elle fonctionne je l’ai testée


    • njama njama 29 novembre 2017 17:36

      @doctorix
      J’attends ton mail et après nous pourrons échanger en privé par mail ou tel

      pour ceux qui seraient intéressés par ce procédé qui permet de rester anonyme sur un forum et de se mettre en relation, cette Page (une parmi bien d’autres) propose 5 sites pour créer des e-mails temporaires :

      Créer une adresse email jetable et anonyme en moins d’une minute
      http://www.funinformatique.com/creer-une-adresse-email-jetable-et-anonyme-au-moins-dune-minute/


  • Eric F Eric F 28 novembre 2017 14:18

    A l’origine, les occidentaux ont soutenu une prétendue « opposition démocratique » en Syrie contre Assad, à cette époque, ceux qui sont parti combattre au sein de la rébellion semblaient en phase avec ce positionnement. Mais rapidement, il est apparu que les islamistes radicaux ont pris le dessus au sein de la rébellion, et il y a eu alors une sorte de grand écart des occidentaux à la fois contre Assad et contre EIIL (devenu ensuite EI), avec un soutien douteux à des milices issues d’Al Quaida, présentées abusivement comme « modérées » car rivales d’EI.
    En tout cas ceux qui ont combattu contre un état sont à juger par les autorités de cet état, Irak ou Syrie, et ceux qui reviendraient sont à juger pour complicité avec les terroristes du Bataclkan et autres attentats préparés ou revendiqués par EI.


    • Stratediplo 28 novembre 2017 22:37

      @Eric F

      Petite inexactitude, dès le printemps 2011 et pendant plusieurs mois l’agitation des vendredis sortait directement des mosquées à midi, et se calmait d’ailleurs le vendredi soir ou dans la nuit pour ne reprendre que le vendredi suivant à la sortie des mosquées, comme Stratediplo le notait déjà le 29 juin 2011.


    • Eric F Eric F 29 novembre 2017 12:28

      @Stratediplo
      oui, je veux bien croire que dès l’origine les takfiristes soufflaient sur les braises, mais en occident on nous affirmait que la population était sous le joug d’un régime exterminateur. 


    • Stratediplo 29 novembre 2017 13:22

      @Eric F
      Certes, les peuples des pays membres de l’Alliance Atlantique ont été, comme d’habitude, désinformés, mais les dirigeants savent. Rappelez-vous le rappel à Paris de l’ambassadeur de France en Syrie par le ministre des affaires étrangères, au motif que les notes d’observation de terrain envoyées par l’ambassadeur (en interne) à son supérieur le ministre ne correspondaient pas au discours que le gouvernement souhaitait entendre.


    • doctorix, complotiste doctorix 29 novembre 2017 15:59

      @Stratediplo
      Il faut se souvenir de cette gigantesque manifestation de soutien à Assad, avec deux millions de syriens à Damas dans les rues.

      Pendant ce temps, Faoius criait sur tous les toits« Assad doit partir ».
      Aujourd’hui, « on » exige une transition, et une nouvelle constitution. Pourtant la constitution syrienne, plebiscitée en 2012, est bien meilleure que la nôtre, et parfaitement démocratique.
      De plus, le boucher de Damas, fort de sa victoire écrasante, et qui a toujours été soutenu par son peuple, peut compter sur sa réelection les doigts dans le nez, avec des voix pour l’opposition en nombre égal à celles qui soutenaient Hollande ces derniers temps.

    • doctorix, complotiste doctorix 29 novembre 2017 16:07

    • Stratediplo 29 novembre 2017 17:06

      @doctorix
      Nous sommes d’accord. D’ailleurs les élections présidentielles de juin 2014 dans l’ensemble du pays, puis législatives d’avril 2016 dans les parties non occupées par la guérilla de la coalition atlantico-islamiste, ont confirmé la confiance des peuples de Syrie dans le gouvernement actuel, été reconduit les mandats présidentiel et législatif.


    • Eric F Eric F 30 novembre 2017 11:27

      @Stratediplo et doctorix
      je ne suis pas aussi convaincu que vous le paraissez de l’ampleur du soutien de la population syrienne au régime Assad, car les sunnites majoritaires dans le pays ont en grande partie soutenu la rébellion, et le régime n’y a pas été de main morte dans la répression. Un rapprochement avec les sunnites modérés serait donc nécessaire s’il veut éviter un éclatement du pays (les Kurdes ont du reste déjà pris une certaine autonomie https://www.challenges.fr/monde/le-kurdistan-syrien-vote-et-envoie-un-message-a-assad_501131 )


  • Tina 29 novembre 2017 02:06

    Voici les vrais combattants de Daesh qui qui déstabilisent les pays convoités pour leurs richesses naturelles et ce sont les mêmes qui combattent auprès de nos armées

    Ce sont aussi les responsables de l’attaque de la mosquée en Égypte

    Regardez « 25 - Syrie - Des rebelles mercenaires venus de Black Water et d’autres formés au Kosovo » sur YouTube https://youtu.be/f6dK7s7ctdM

    LE PEN et Ses Mercenaires Collaborent à la FRANCAFRIQUE !! Collabo à Combattre _ mittouse et lepen, secret entraide par Darwin_Kayser - Dailymotion http://www.dailymotion.com/video/xp6nis

    Regardez « Syrie:Les mercenaires russes du regime Syrien سوريا :مرتزقة روس في خدمة بشار » sur YouTube https://youtu.be/iF7xk7rEH6I


  • Tina 29 novembre 2017 02:13

    Des aventuriers aux professionnels

    Des aventuriers aux professionnels↑

    1960-1963 : Dans l’ex-Congo belge, les rebelles de la province minière du Katanga, qui a fait sécession, sont soutenus par des mercenaires belges et français.

    17 avril 1961 : Des mercenaires recrutés par la CIA tentent d’envahir Cuba (baie des Cochons).

    1964-1967 : Plus de 800 soldats de fortune constituent le fer de lance de l’armée nationale congolaise (ANC).

    1967-1970 : Des « chiens de guerre » interviennent massivement au Biafra, province séparatiste du Nigeria.

    1960-1975 : Le plus célèbre des mercenaires français, M. Robert « Bob » Denard, est repéré au Gabon, en Rhodésie, au Congo-Kinshasa, en Iran, au Yémen et en Angola. En 1975, aux Comores, il permet l’accession au pouvoir de M. Ali Soilih.

    16 janvier 1977 : Un rapport de l’ONU met en cause le Maroc et le Gabon après un raid sur Cotonou, au Bénin. Ce fiasco – l’opération « Crevette » –, auquel aurait également participé M. Denard, est aussi appuyé par le Togo et la Côte d’Ivoire.

    13 mai 1978 : M. Denard revient aux Comores par un coup de force. Il crée la garde présidentielle (600 hommes), qui, encadrée de mercenaires européens, concurrence l’armée nationale.

    26 novembre 1989 : Au cours d’un entretien mouvementé avec M. Denard, le président comorien Ahmed Abdallah est tué. M. Denard sera évacué en Afrique du Sud (opération « Azalée ») par les parachutistes français.

    Années 1990 : En ex-Yougoslavie, des Anglais, des Français et des Polonais se battent aux côtés des Croates ; des Roumains, des Cosaques et des Russes appuient les Serbes ; des musulmans ayant (...)


  • Tina 29 novembre 2017 02:21

    MERCENAIRES

    En Afrique, une nouvelle génération de « chiens de guerre » par Philippe Leymarie aperçu En Afrique, une nouvelle génération de « chiens de guerre »↑

    Une centaine d’hommes et un Boeing 727 en provenance d’Afrique du Sud ; des armes qui devaient être chargées au Zimbabwe, où l’avion a été arraisonné en mars 2004 ; des « cerveaux » – le Britannique Simon Mann et le Sud-Africain Nick Du Toit, ex-dirigeants d’Executive outcomes, l’ex-plus importante compagnie de sécurité privée du continent africain – auxquels avait été promis une rétribution d’un million de dollars ; un probable financier, sous le coup d’une inculpation, M. Mark Thatcher, fils de l’ancien premier ministre britannique ; des connexions possibles avec un haut fonctionnaire du Pentagone ; et un opposant réfugié en Espagne, M. Severo Moto, qui attendait aux Canaries le « top » pour prendre le pouvoir en Guinée équatoriale, le « Koweït de l’Afrique », et en chasser M. Teodoro Obiang Nguema, président de ce petit Etat depuis vingt-cinq ans...

    Tels sont les ingrédients de la plus spectaculaire opération mercenaire de ces dernières années, sur fond de pétrole et d’intérêt croissant des compagnies américaines pour les réserves d’or noir du golfe de Guinée.

    On croyait presque disparus ces « affreux » qui avaient longtemps fait partie du paysage africain : ils étaient intervenus dès les années 1960 au Congo (devenu Zaïre, puis République démocratique du Congo) ; dans les années 1970 et 1980, aux Comores, aux Seychelles, au Bénin, en Guinée, en Rhodésie (devenue le Zimbabwe) et en Angola.

    Le Royaume-Uni, la France, l’Afrique du Sud et Israël ont été parmi les grands pourvoyeurs de ces « soldats perdus ». Durant ces années dominées par les luttes anticoloniales et la guerre froide, le roi Hassan II du Maroc, le président gabonais Omar Bongo, le régime blanc de M. Ian Smith en Rhodésie (Zimbabwe), ou des dirigeants français comme Jacques Foccart – secrétaire général aux affaires africaines de l’Elysée – et l’ancien premier ministre Michel Debré, député de l’île française de La Réunion, leur avaient apporté un soutien plus ou moins discret...

    Un des plus emblématiques de ces mercenaires, M. Robert « Bob » Denard, sautait (...)


  • Tina 29 novembre 2017 02:30

    Années 1990 : En ex-Yougoslavie, des Anglais, des Français et des Polonais se battent aux côtés des Croates ; des Roumains, des Cosaques et des Russes appuient les Serbes ; des musulmans ayant combattu en Afghanistan rejoignent les Bosniaques. Dans les trois cas, l’aspect financier n’est en rien déterminant.

    1990-2004 : Emergence des sociétés militaires privées (SMP). Cent milliards de dollars par an seront bientôt consacrés à la sécurité privée.

    1992 : Premier contrat d’Executive Outcomes en Angola pour le compte des compagnies pétrolières Heritage Oil & Gas, Gulf Chevron, Ranger Oil, Sonangol et Petrangol.

    Février 1992 : Le régime zaïrois sollicite un prêt de 97 millions de dollars afin de recruter 140 « techniciens » angolais pour la Division spéciale présidentielle.

    1993 : Executive Outcomes intervient en Angola pour former des soldats et assurer la sécurité des champs pétroliers de Soyo.

    1994 : Des mercenaires sont envoyés au Rwanda par la France, pendant et après le génocide, en dépit de l’embargo international du 17 mai 1994 interdisant tout envoi étranger en armes ou en hommes dans ce pays.

    - Executive Outcomes est appelé par le gouvernement de la Sierra Leone et reçoit en paiement une partie des mines de diamant de la région.

    28 septembre 1995 : Aux Comores, une expédition emmenée par M. Denard renverse le président Saïd Mohammed Djohar.

    1996 : Avec l’aval de la France, des mercenaires serbes tentent de sauver le régime Mobutu au Congo-Kinshasa.

    Mars 1996 : En Sierra Leone, Executive Outcomes conduit une opération de sauvetage au profit d’observateurs menacés des Nations unies.

    19 mars 1997 : Mort de Jacques Foccart, « M. Afrique » de l’Elysée, considéré comme le commanditaire de la plupart des actions mercenaires de la France.

    1997 : Le gouvernement zaïrois fait appel à plusieurs sociétés de mercenaires pour arrêter l’avancée des troupes rwandaises et ougandaises.

    – En Papouasie-Nouvelle-Guinée, M. Tim Spicer, de la société britannique Sandline International, est inculpé pour tentative de coup d’Etat.

    – Le département d’Etat américain charge (sans en référer au Congrès) la firme MPRI de favoriser la mise sur pied d’une force africaine de maintien de la paix dans le cadre de l’African Crisis Response Initiative (ACRI).

    26 février 1998 : L’Assemblée nationale sud-africaine interdit le mercenariat en adoptant le Regulation Foreign Military Assistance Act.

    19 mai 1999 : A Paris, M. Denard (70 ans) et ses lieutenants sont acquittés dans le procès du meurtre du président comorien Ahmed Abdallah, en 1989.

    Août 1999 : La France envoie des hommes au Congo Brazzaville pour soutenir les milices du président Sassou Nguesso.

    2001 : Présence de mercenaires français au Zaïre et en Côte d’Ivoire.

    19 juin 2002 : Les autorités françaises empêchent le débarquement à Madagascar d’une douzaine de mercenaires français ou originaires d’Europe de l’Est.

    2003 : En Irak et en Afghanistan, des contrats de sécurité sont passés avec des sociétés privées, surtout anglo-saxonnes, pour un montant de 1 milliard de dollars. Présence de mercenaires français en Côte d’Ivoire.

    3 avril 2003 : L’Assemblée nationale française adopte la loi sur le mercenariat.

    6 mai 2003 : Objet d’un mandat d’arrêt international du Tribunal spécial international de Freetown, le mercenaire Sam Bockarie est assassiné à Monrovia.

    26 juillet 2003 : En Afrique du Sud, Richard Rouget, Sud-Africain d’origine française, est condamné à une amende et à de la prison avec sursis, en vertu de la loi de 1998, pour avoir recruté des mercenaires en Côte d’Ivoire.

    2003-2004 : Des mercenaires auraient été employés au cours du conflit en Côte d’Ivoire. En Irak, la coalition a signé pour 4 milliards de dollars de contrats avec les SMP.

    2004 : En Tanzanie, 12 mercenaires employés par la société Apis sont arrêtés en se rendant à Madagascar.

    10 août 2004 : Le Pentagone demande au Congrès de lui accorder 500 millions de dollars pour construire un réseau de « milices amies » dans le monde afin d’extraire les terroristes des zones « non gouvernées ».

    25 août 2004 : M. Mark Thatcher (fils de Margaret) est arrêté en Afrique du Sud, soupçonné d’avoir en partie financé le coup d’Etat avorté en Guinée-équatoriale, en mars 2004.


  • Tina 29 novembre 2017 02:38

    Le FN dans la Françafrique ?

    Le FN a-t-il joué lui aussi sa partition dans le système françafricain ?

    Un retour historique s’impose. Le FN est avant tout le parti des anciens partisans de l’Algérie française qui ne se sont pas ralliés à De Gaulle. Un parti héritier, donc, de la tradition et de l’idéologie colonialiste et impérialiste française, qui ne reste pas à l’écart de l’histoire françafricaine qui se met en place suite aux décolonisations. En témoignent les mercenaires et barbouzes issus du FN et qui se sont mis au service des crimes françafricains. Le Département Protection Sécurité (DPS), service d’ordre du FN et sorte de garde présidentielle de Jean-Marie Le Pen, a ainsi fourni plusieurs mercenaires pour des expéditions aux Comores en 1995, au Zaïre en 1996 et 1997, au Congo-Brazzaville en 1997, 1998 et 1999 [2]. Des expéditions qui n’avaient pas pour objectif de soutenir des peuples en lutte, mais de fomenter des coups d’Etat et d’alimenter des guerres civiles. En 1999, le dirigeant du DPS, Bernard Courcelle, prend brièvement la tête de la garde présidentielle du dictateur Sassou Nguesso au Congo, après son retour au pouvoir au terme d’un long et violent coup d’Etat soutenu par la France et son entreprise Elf.

    Pour trouver des liens avec la Françafrique, il faut aussi tracer l’argent puisque ce système sponsorise les partis politiques français depuis des décennies... y compris le FN. En effet, pour financer sa campagne présidentielle de 1998, le FN aurait bénéficié du soutien financier de l’ancien dictateur gabonais Omar Bongo, au même titre que les autres partis, à en croire Robert Bourgi (un émissaire officieux de la Françafrique qui s’est vanté en 2011 d’avoir transporté des mallettes de billets) et l’ancien Premier ministre gabonais Jean Eyeghe Ndong.

    La Françafrique, ce sont également des réseaux. Autour du FN gravitent des personnages proches de certains anciens chefs d’Etat africains : l’avocat Marcel Ceccaldi, ancien conseiller de Jean-Marie Le Pen, a défendu Moussa Dadis Camara (chef de la junte militaire en Guinée en 2008), Mouammar Kadhafi, Laurent Gbagbo ; et Bernard Houdin, ancien dirigeant du GUD (Groupe Union Défense, organisation étudiante d’extrême-droite) dans les années 70, était un conseiller spécial de Laurent Gbagbo lorsqu’il était au pouvoir en Côte d’Ivoire. Marion Maréchal Le Pen a elle aussi des liens avec la Côte d’Ivoire, à travers son père Samuel Maréchal qui a épousé une petite fille de Félix Houphouët-Boigny, président de Côte d’Ivoire pendant 33 ans et au cœur des réseaux d’influence de la France. Samuel Maréchal est aujourd’hui très proche des milieux d’affaires ivoiriens, il est à la tête d’un cabinet de finance et de conseil implanté dans une douzaine de pays, dont le Burkina, le Mali, le Congo, la Côte d’Ivoire et le Tchad. Le FN a ainsi des connexions évidentes avec les anciennes colonies françaises,


    • Eric F Eric F 29 novembre 2017 12:31

      @Tina
      ceci dit, en lien avec le présent article, le FN est plutôt pro-Assad


    • Tina 30 novembre 2017 01:48

      @Eric F

      Le peuple ne pourra jamais comprendre la ruse et le machiavélisme du monde politique

      Bien sûr que le FN apporte un fervent soutien au chiite Assad .

      Je développerai demain.


  • Tina 30 novembre 2017 01:54

    Vous croyez qu’ils font quoi ces mercenaires ? Ils donné un coup de main à Assad le chiite pour tuer son peuple à majorité musulman sunnite

    Fdebranche

    Poutine forme des mercenaires pour combattre en Syrie via une société dirigé par un néo-nazi

    L’homme qui dirige la société militaire « Wagner » est un ancien soldat des forces spéciales, Nikolai Utkin, dont la seule image connue a été publiée en début d’année par le journal basé à Saint-Pétersbourg « Fontanka » Le journal le décrit comme un admirateur de l’esthétique et de l’idéologie nazie du Troisième Reich.

    Molkino est un petit village dans le sud de la Russie, qui abrite une base des forces spéciales. Une partie de la base a été alloué à « Wagner » pour le recrutement et la formation des combattants.

    Alexander et Dmitry étaient stationnés dans la principale base russe sur la côte syrienne


  • Tina 30 novembre 2017 02:15

    Ne pas oublier que l’extrême droite = Israël = sionisme = nazisme

    Ce qui explique pourquoi l’extrême droite combat auprès d’ Assad le chiite qui massacre le peuple à 80% sunnnite

    informations concernant la visite de groupes fascistes et d’extrême-droite en Syrie, pour montrer la solidarité avec le régime, ont commencé à émerger, particulièrement depuis le début des processus révolutionnaires dans la région arabe. On dirait que la question syrienne est classée avec importance dans l’agenda de l’extrême-droite européenne. Est-il donc axiomatique de dire que la majorité de l’extrême-droite européenne soutien le régime d’Assad et s’oppose à la révolution en Syrie ?

    Il y a environ deux décennies, plusieurs partis et groupes d’extrême-droite commençaient à tisser des relations avec le régime syrien. Par exemple en France, les communications entre une partie de la droite française en France et le régime syrien ont débuté dans les années 90. Ensuite, il y a eu plusieurs visites. La plus notoire fût celle de Frédéric Chatillon, le président du groupe extrémiste étudiant Groupe Union Défense, qui est maintenant très proche de Marine le Pen. Pendant sa visite en 1994, il rencontra le ministre de la défense du moment, Mustafa Tlas.

    Durant la première décennie du siècle actuel, en particulier depuis 2006, les visites ont augmenté. La plupart d’entre-elles eurent lieu au Liban, l’endroit habituel pour tenir des rencontres entre les visiteurs et le Parti Social Nationaliste Syrien, qui est un allié du régime syrien. Frédéric Chatillon, avec Alain Soral, étaient parmi les visiteurs les plus importants. Cette relation n’était pas limitée aux visites officielles et discussions politiques, elle s’étendait jusqu’au business. Par exemple, la compagnie Riwal qui appartient à Frédéric Chatillon, a fondé la compagnie Riwal Syria en 2009 pour développer les relations économiques entre les entreprises françaises et syriennes.

    Depuis le commencement de l’insurrection syrienne en mars 2011, l’extrême-droite s’est mise à soutenir le régime de différentes manières. Frédéric Chatillon fût le premier à soutenir Assad. Depuis les premiers jours de la révolution, Chatillon accuse ceux qui prennent part aux manifestations de l’opposition d’appartenir au lobby sioniste qui cherche à déstabiliser la Syrie. En octobre de la même année, Chatillon alla même jusqu’à organiser une manifestation à Paris pour soutenir Assad. Riwal, la compagnie de Chatillon, persévère dans son support au site d’information Infosyrie, qui fait campagne pour le régime d’Assad.

    Avec le temps, des manifestations d’extrême-droite pour soutenir le régime furent organisées dans beaucoup de villes européennes, de Rome à Varsovie et à Gêne. En même temps, différentes visites de soutien furent organisées, comme la ” fact finding mission ” (ndt : mission pour trouver les faits) en juin 2013. Plusieurs personnalités de l’extrême-droite européenne prirent part à cette visite, comme Nick Griffin, député à la Chambre des communes, ou Philip Dewinter, député du parlement flamand en Belgique. Cette amplification du soutien va dans certains cas jusqu’à se rendre en Syrie pour combattre au côté des forces d’Assad, comme l’a déclaré l’organisation néo-nazie grecque, Black Lilly (Mavros Krinos). Il y a aussi eut de nombreux meetings tenus par l’extrême-droite avec comme objectifs de parler de la situation syrienne et de voir comment soutenir le régime d’Assad. Le plus notoire fût le Boreal Festival qui se tint à Kanto en Italie, le 12 septembre 2013, en présence d’un grand nombre de fascistes européens. Paradoxalement, le maire de Kanto, qui accueillait l’évènement, débuta son discours avec des mots de Rosa Luxemburg

    Quant à Serge Ayoub, leader de l’organisation d’extrême-droite Troisième Voie, , il organisa le 2 février 2013 une marche pour soutenir Assad le chiite


    • Eric F Eric F 30 novembre 2017 11:18

      @Tina
      Le régime Assad, tout autocratique qu’il soit, était plutôt laïc et assurait le pluralisme religieux, or les sunnites radicaux voulaient implanter leur suprématie, agités par les monarchies pétrolières et soutenus par les occidentaux hostiles aux régimes souverainistes. D’où le soutien des mouvements nationalistes (anti-OTAN et anti islamistes) à ce régime.
      Je ne vois pas le lien avec l’antisionisme (ce que, du reste, le FN n’est plus) , le régime syrien n’était ni agressif ni dangereux pour Israël, alors que le Hamas est au contraire sunnite. Ceci étant, il est vrai que Daesh s’est abstenu de se confronter à Israël depuis le sud syrien, et ses milices dans le Sinaï s’attaquent exclusivement au régime Egyptien, dans le billard à trois bandes des relations internationales, il peut y avoir des convergences improbables.


  • eddofr eddofr 5 décembre 2017 16:23

    Bon,


    Je ne suis pas trop pro-islamique, pas du tout même, mais pas contre non plus (je m’en fout juste, de l’Islam).
    Je ne suis pas non plus du genre vindicatif, tu commets un crime, tu paie le prix juste et quand t’a payé, t’as une chance de te réhabiliter.

    Mais là, en zappant, je viens de tomber sur un ex-djihadiste qui commençait à se plaindre que « Si on les juges irrécupérables, c’est sur il vont retomber et qu’il faut leur laisser une chance de se réhabiliter, les laisser rentrer et se refaire une vie normale » ...

    Moi je veux bien que tu te réhabilite mon gars, mais dans vingt ans, quand tu auras fini ta peine de réclusion pour association en vue de commettre des crimes (meurtre, viol, prostitution, esclavage, terrorisme, trafic, et meurtre à caractère haineux, religieux ou racial, ...).

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