vendredi 28 mars - par chapoutier

Chaque année, 1100 disparitions sont considérées comme inquiétantes, témoignage d’une histoire vécue

 

Loin de la frénésie des charognards des chaînes d'informations en continu qui se nourrissent du malheur des autres, « l'actualité » récente en est la preuve, un fait est occulté par les titres tapageurs de la presse : rien qu'en France, la disparition chaque année d'environ 1100 mineurs, sur les 40 000 mineurs de tous âges signalés disparus chaque année, est considérée comme « inquiétante ».

 

Selon les chiffres officiels transmis par le ministère de l'Intérieur en 2022, les disparitions inquiétantes (hors fugues et enlèvements parentaux) s'élevaient à 1 140, soit 2,8 % du total des signalements. L’âge moyen des mineurs disparus sur le sol français est de 15 ans.

 

J'avais lu ces chiffres il y a quelques mois sans y prêter une attention particulière, mais le cerveau humain a cela de particulier : il travaille à notre insu, certainement au niveau inconscient, et quelques mois plus tard, je me suis souvenu et cela a été un choc ! J'ai réalisé que sans une énorme part de chance, j'aurais certainement fait partie des statistiques. C'était il y a cinquante ans !

 

Je vais donc sortir de ma zone de confort, j'entre dans l'inconnu, dans le personnel et le vécu, loin de Macron et de l'Ukraine. Mes détracteurs habituels se délecteront certainement, mais j'estime utile de publier ces souvenirs récents d'une mésaventure ancienne que mon cerveau avait occultée.

 

C'était en 1975, je venais tout juste d'avoir 16 ans, nous étions en été, mon année de seconde était terminée. Les cheveux qui m'arrivaient au bas du dos, mes vieilles pataugas aux pieds et ma veste verte des surplus militaires, achetée aux puces de Saint-Ouen,proclamaient naïvement mon refus de la société de consommation bourgeoise, mais en réalité me désignaient comme adolescent pas très encadré.

 

Cette année-là, j'avais embobiné mes parents en leur disant que je partais en vacances chez les parents d'un copain de classe, alors qu'en réalité je partais tout seul à l'aventure en Vendée ; et quelle aventure, avec mon sac à dos et un sac de couchage. J'avais très peu d'argent sur moi, celui que j'avais gagné en travaillant les mercredis et dimanches matin en travaillant pour un maraîcher sur le marché d'une ville de la banlieue rouge des Hauts-de-Seine.

Très vite, ces « vacances » ont tourné à l'aigre, me contraignant à remonter en stop vers la région parisienne. Et c'est là que cela aurait pu se terminer en statistiques du ministère de l'Intérieur.

 

J'ai commencé ma « remonte » vers Paris en faisant du stop sur le bord de la départementale à la sortie d'une petite ville du nom de Vix en direction de Fontenay-le-Comte, et très rapidement j'ai été pris en stop. Le conducteur de la grosse berline semblait très sympathique et, à sa demande, je lui ai dit que je rentrais en première « C » en septembre. Le hasard fait bien les choses ! Ce monsieur était justement professeur de mathématiques à Fontenay-le-Comte et, coup de chance pour moi, il allait justement à Paris ; il lui fallait juste faire un passage au lycée avant de prendre la route, et, me proposa-t-il, il pouvait m'emmener si je voulais bien faire un détour de quelques minutes jusqu'à son lycée.

 

Naïveté confondante de la jeunesse ! Trop content de l'aubaine, c'est avec enthousiasme que j'acceptai de l'accompagner.

 

Le trajet fut bref, Vix étant à une quinzaine de kilomètres de Fontenay-le-Comte, et je me retrouvai dans la cour gravillonnée de ce vénérable bâtiment en L, après que le professeur de mathématiques eut refermé à clé le grand portail en fer. Je notais le fait, mais sans plus.

Quand il proposa de me faire visiter rapidement le lycée, une certaine gêne montra le bout de son nez, mais le lecteur doit prendre en compte que l'internet n'existait pas il y a cinquante ans et que ce genre d'histoires ne faisait pas partie du vécu d'un gamin de 16 ans, et pour qui ce genre de choses n'existait tout simplement pas.

Je le suivis donc jusqu'au premier étage, d'après mes souvenirs, et il me dit que le couloir desservait les salles de classes ; et, au deuxième étage, il m'invita à prendre le couloir, et, ouvrant une porte, m'expliqua que c'étaient les dortoirs.

Enfin le signal d'alarme se déclencha dans ce qui me servait de cervelle ! Presque trop tard ! Il m'invita à entrer dans le premier dortoir, mais je lui ai dit que je voyais bien d'où j'étais. Il posa sa main sur mon épaule pour m'inviter à regarder de plus près le dortoir suivant, et, tel un animal pris au piège, je cherchais désespérément comment fuir.

Pour contextualiser la situation, j'étais un gamin d'à peine 16 ans, maigrelet à l'époque, pesant moins de 60 kilos, en face de moi, un bonhomme d'une quarantaine d'années, me dépassant d'une bonne tête et d'au moins 30 kilos. Je peux vous assurer que la différence de gabarit et de vécu compte énormément, je ne me voyais tout simplement pas victorieux d'un corps à corps, seule la fuite était possible. Mais j'étais coincé comme un rat dans le couloir, avec sa main sur mon épaule droite.

Je crois que j'ai saisi la seule chance qui s'offrait quand il ouvrit la porte du dortoir : j'ai frappé de toutes mes forces en plein son œil et je me suis littéralement jeté sous son bras pour échapper à son emprise, et j'ai couru comme un dératé jusqu'à l'escalier que j'ai dévalé quatre à quatre. L'avantage physique du poids du bonhomme s'est transformé en handicap pour lui en termes de rapidité et de vivacité !

À aucun moment je n'ai jeté un regard en arrière, et je suis arrivé jusqu'à la grille du lycée qu'il avait refermée à clef. J'ai escaladé la grille après avoir jeté mon sac à dos par-dessus, et enfin j'ai pris le temps de regarder vers le vénérable bâtiment en pierre de taille afin de m'assurer que je n'étais pas suivi.

 

Aussi incroyable que cela paraisse, je n'ai plus jamais pensé à cette histoire, et bien entendu, je ne suis pas allé expliquer quoi que ce soit à la gendarmerie. Le black-out complet, rien ne s'était passé !

Jusqu'à il y a quelques mois, comme précisé en début de texte.

 

En premier viennent les souvenirs, après vient le choc suivi d'un deuxième choc et d'un troisième choc émotionnel !

Le premier choc est de se dire que j'aurais pu être le jouet d'un malade ! Ce qui en soi est déjà terrifiant, mais vient ensuite la réflexion et les supputations : si ce type était arrivé à ses fins, que se serait-il passé ?

Et c'est le deuxième choc, puisque je suis arrivé à la conclusion qu'il n'aurait certainement pas pris le risque que j'aille le dénoncer, lui, professeur respectable dans une institution respectable. Que se serait-il passé si je n'avais pas réussi à m'échapper ? Je laisse à l'imagination de chacun le soin d'imaginer le sort qui m'était réservé, et je ne crois pas que je me fasse un film 50 ans plus tard.

Et vient enfin le troisième choc : je n'ai rien dit à personne, j'ai gardé le silence, alors a-t-il continué avec d'autres naïfs ? Ce que je ne saurai jamais !

C'était il y a 50 ans dans quatre mois.

 

 



110 réactions


  • chapoutier 28 mars 18:21

    Jupiter, chiche ! Déclarez donc la guerre à la Russie, si vous l’osez.

     

    Les raisons à une déclaration de guerre immédiate semblent être nombreuses si l’on vous écoute : Poutine serait pire que Hitler et la Russie serait pire que l’Allemagne nazie, ne cessez-vous de répéter, vous et les autres chefs de l’Union européenne et de l’OTAN, le tout relayé abondamment par tous les moyens de désinformation disponibles, avec moult généraux de plateaux télévisés nous gratifiant de leurs expertitudes.

     

    Mais pire encore, le danger est imminent : le terrifiant Poutine et la menaçante Russie sont déjà à nos portes et à nos fenêtres, sur le point de violer nos femmes et de dévorer nos bébés.

     

    Alors, dans la vie, il y a des moments où il faut cesser de tortiller du popotin, et là, c’est le moment.
    Il faut être conséquent avec ses propos et il faut séance tenante déclarer la guerre à ces horribles popovs imbibés de vodka. Maintenant ! Pas dans dix ans !

     

    Quoi, Jupiter ! Tu n’assumes pas les conséquences de tes bobards ?

     

    La Russie serait donc une menace imminente, rabâches-tu, et face à cette menace «  immédiate », on nous annonce un plan de réarmement étalé sur 10 ans.
    C’en est assez de ce pitoyable foutage de gueule ! La funeste bande de cafards, dont Jupiter, qui grouille au sommet de l’Union européenne et de l’OTAN, martèle que Poutine est pire que Hitler, que la Russie est pire que l’Allemagne nazie et que les Russes sont à nos portes, là, maintenant, tout de suite,et l’Union européenne va se réarmer tranquillement pendant ces dix prochaines années !

    Et pendant ce temps les Russes vont se manucurer tranquillou pendant cette longue attente du réarmement occidental.

     

    Non seulement ils nous prennent pour des buses et en plus cela marche ! Pourquoi se priver ?

     

    Cela avait déjà fonctionné à merveille lors du coronavirus et il suffit de recycler : le discours actuel de Jupiter rappelle quasiment mot pour mot celui où il déclarait la guerre à un virus qui envahissait nos campagnes et venait jusque chez nous égorger nos filles et nos compagnes. Comme Poutine et les Russes, quoi.

     

    Il y a eu la guerre au corona-virus, maintenant ce sera la guerre au corona-virusse.

    Il y a eu le pass vaccinal ; maintenant, nous aurons le pass patriotique anti-russe.

     

    Bien sûr, ce n’est pas propre à la France, dans toute l’Union européenne, les mêmes dirigeants corrompus, lèche-bottes de Biden et de Kalaharis et des néo-conservateurs américains, ont le même discours : les Russes sont à nos portes, mais on se prépare pour faire la guerre dans 10 ans.

     

    Vous nous dites que la Russie est une menace imminente, alors soyez crédible : mobilisez immédiatement des centaines de milliers d’hommes sur toute l’Europe, puisque vous nous dites que la menace est imminente. Alors, quoi, qu’attendez-vous ? Que nos femmes soient violées et que nos bébés soient dévorés ?

    Ah, c’est vrai, j’oubliais : les arsenaux sont vides, les obus et les canons ont été livrés à l’Ukraine et on est à poil. Et il faut 10 ans pour tout reconstituer ? Sympas les Russes, ils vont patienter dix années avant de se mettre à table et au plumard.

     

    Soyons sérieux un instant : si la Russie constituait une menace, patienterait-elle tranquillement dix années, le temps que l’Union européenne reconstitue ses arsenaux, reconstruise ses usines d’armement, qu’elle construise les centres de recrutement et les casernements, qu’elle mobilise des jeunes par centaines de milliers ?

     

    Prenez-vous les Russes pour des imbéciles ou bien sommes-nous vos imbéciles ?

     

    S’ils sont une menace, comme vous le dites, imminente, vont-ils attendre tranquillement pendant 10 ans, le temps de vous préparer ?

    Mensonges que tout cela !

    Ne serait-il pas temps que les Français en particulier et les Européens en général s’interrogent sur les véritables raisons de ce discours alarmiste et militariste ?

     

    Chiche ! Déclarez donc la guerre à la Russie, et cessez donc de faire tuer les Ukrainiens à votre place, déclarez donc la guerre à la Russie si vous l’osez, puisque les Russes sont à la ramasse, comme vous n’arrêtez de le dire, ou alors c’est également un gros bobard ?


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 04:41

      @chapoutier
      donc ce n’est pas toi qui est ostracisé, c’est selon le sujet ... problème de « ligne éditoriale » ?


    • chapoutier 29 mars 06:47

      @Gérard Luçon
      salut G
      je n’en ai jamais douté !
      par exemple il ne faut pas dire du mal de Naboléon sous certains aspects, ses chiens de garde veillent.


  • Seth 28 mars 19:10

    Ainsi vous refusâtes de recevoir une leçon privée sur les choses de la vie dispensée par un professeur consciencieux. N’avez-vous pas honte ?  smiley


    • berry 28 mars 19:44

      @Seth
      Ca lui aurait peut-être plu, il peut pas savoir, il a pas essayé.
      C’est ce que disait Coluche.


    • chapoutier 28 mars 19:57

      @berry
      l’important n’est pas dans le salace, mais, comme je le dis dans le texte, le plus important c’est la suite, aurait-il pris le risque de se faire dénoncer ? le lycée en question ( privé catholique ) aurait-il pu étouffer le truc ? n’était-il pas plus simple de m’étouffer ?
      et c’est là le cœur du problème, combien d’ados sont-ils victimes de réseaux mafieux de traite d’humains ou de réseaux pédophiles ?
      le mec en question en était-il a son coup d’essai ou bien c’était une routine en quelque sorte ?
      prédateur un jour, prédateur toujours, combien de morts ?


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 04:29

      @chapoutier
      C’est mon article qui t’a poussé à te raconter et à m’inciter à la prudence ?
      J’ai 2 exemples dans ma famille, deux nanas, une de ma génération (née début des années 50) et une de celle de mon père (née début des années 20),les deux mineures se sont fait « péter la rondelle » par leur prof. de gymnastique, pas de suite judiciaire ... 


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 04:45

      @Seth
      La loi schiappa a résolu le problème, désormais c’est au programme dès la maternelle


    • chapoutier 29 mars 06:55

      @Gérard Luçon
      C’est mon article qui t’a poussé à te raconter et à m’inciter à la prudence  ?

      il y a un peu de ça, en réalité il y a beaucoup de haine en moi quand je vois que des ordures ( en général bien en vue ) se permettent de détruire de jeunes vies en toute impunité.

      mais moi, je ne risque pas les foudres de la gestapo ici car tout est prescrit !!!
      et je ne parle que de moi et d’un prof de math certainement mort, pas d’une prof de théâtre tout a fait en vie......chut


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 29 mars 08:22

      @chapoutier
       
      ’’il y a beaucoup de haine en moi quand je vois que des ordures ( en général bien en vue ) se permettent de détruire de jeunes vies en toute impunité.’’
      >
      en toute impunité, et c’est même ire que ça, avec les encouragements implicite des médias, c’est ce que je dénonce dans ce billet au titre non explicite :
      Des policiers à l’écoute des mineurs



    • chapoutier 29 mars 08:32

      @Francis, agnotologue
      la diffusion telle quelle de cette vidéo à la télévision ou sur les réseaux constitue un encouragement aux pédocriminels potentiels ou récidivistes par le fait qu’ils savent désormais qu’ils peuvent en toute impunité commettre un tel crime au moins une fois sinon plusieurs fois, aussi longtemps qu’ils ne seront pas pris.

      c’est certainement vrai pour les « prédateurs en herbe » mais les gros prédateurs bien établis « dans la société » , les puissants, eux savent qu’ils n’ont rien à craindre, ils savent qu’ils seront toujours protégés par leurs semblables.


    • Seth 29 mars 12:50

      @chapoutier

      ... tout à fait en vie à qui ça fait envie.  smiley


    • Jules Seyes Jules Seyes 31 mars 16:54

      @chapoutier
      Reprennez une dose de Betharram, vous serez rassuré, ou pas... 


  • berry 28 mars 19:41

    J’ai un copain qui m’avait raconté une histoire un peu similaire.

    Il connaissait une nana, elle lui avait raconté qu’un jour, un type avait essayé de la forcer à monter dans une voiture. Elle n’avait pas l’avantage du gabarit mais elle était prof d’EPS et en parfaite condition physique, elle s’était débattue de toutes ses forces et avait réussi à le repousser. Il n’avait pas insisté davantage.

    Quelques années plus tard, elle l’avait reconnu dans les médias à la rubrique « faits divers », il avait toute une collection de viols et d’agressions à son palmarès.

    Les femmes sont des proies plus faciles, surtout si elles sont seules. C’était déjà vrai il y a 50 ans et ça l’est de plus en plus aujourd’hui. Une nana qui va en vacances à la Guadeloupe, par exemple, peut se retrouver dans un coupe-gorge sans s’en rendre compte. Outre une délinquance locale déjà importante, certains quartiers sont gangrénés par le trafic de drogue et l’immigration clandestine d’Haïti, la sortie sur une plage le soir ou la petite randonnée dans la nature aux alentours peut vite tourner au cauchemar.


  • xana 28 mars 21:59

    Merci Chapoutier pour votre partage.

    Quand on y réfléchit, c’est effrayant. Evidemment le type lui-même pensait seulement à se faire plaisir sur le moment, mais il aurait été pratiquement obligé de vous tuer pour échapper aux conséquences...

    Je ne suis qu’un petit vieux et n’ai jamais été dans cette situation, mais j’ai trois filles et TOUTES ont été victimes de tentatives de ce genre à un moment ou l’autre de leur vie. TOUTES, soit 100% de l’effectif, ont eu la chance de n’avoir affaire qu’à des velléitaires qui heureusement n’ont pas (trop) insisté. Et ca les a tellement marqué que les parents n’ont appris que des années plus tard ce qui leur était arrivé !

    Maintenant je me rends compte du fait que c’est aussi notre faute, car nous avons refusé de prendre le risque en compte, nous avons refusé de chercher une solution préventive (comme leur faire donner des cours de jiu-jitsu) en tablant sur notre sentiment (trompeur) que le risque était négligeable.


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 04:09

      @xana @chapoutier ... La loi ne servant quasiment à rien, les « personnes ayant autorité » ont le champ libre notamment en France (cf. Jean-Brigitte) !
      Tenez, j’ai écrit plusieurs articles sur ce sujet, notamment celui-ci , à la suite duquel Xavier Poussard est entré en contact avec moi pour en savoir plus ...
      Les intouchables : https://reseauinternational.net/__trashed-26/


    • colibri 29 mars 06:57

      @xana

      Les solutions préventives pour les filles :
      c’est déja ne jamais laisser seule des jeunes filles avec des hommes ,
      dans le cadre de l’enseignement : professeurs , nous avons tous des exemples d’abuseurs ,j’en ai plusieurs dont un professeur d’histoire de seconde dans une école publique , qui pelotait les filles , et avait même une relation avec une fille mineure de la classe . Il y autant d’abuseurs dans le public que le privé ..
      les entraineurs de filles pour les sport de haut niveau violent aussi souvent , c’est la proximité et la facilité qui fait l’abuseur .
      professeur de piano aussi 

      cadre médical : beaucoup de témoignages de médecins et infirmiers violeurs , les mères laissant seuls les enfants avec eux , 
      pas terrible non plus les aides soignants hommes qui s’occupent des femmes pour la toilette ...ni les hommes pour s’occuper des enfants en bas ages (beaucoup de scandales dans les centres aérés avec des enfants mêmes très jeune de 5 ans ) 

      revenir au bons sens d’avant avec des professeurs femmes pour les filles , et pour s’occuper des enfants ..
      jusqu’ à une époque récente il n’y avait pas de mélange des filles et des garçons pour cette raison là , mélanger les filles et garçons dans les cours de sport , n’est pas une bonne idée .

      Ce sont les hommes qui violent , ne pas les mettre en position de le faire dans les métiers éducatifs de proximité .

      Il y a beaucoup plus d’abus sur les filles que sur les garçons , bien que ce pourcentage pour les garçons augmentent ,
      pour les garçons même solutions préventives :ne jamais laisser seul un enfant avec un homme , professeur ou médecin etc 

      Et toujours prévoir qu’il y a un risque à laisser seul les enfants avec un homme .

      Cela va à l’encontre du progressisme , qui a tendance à la mixité , sorte de négation de la différence des sexes et de ce qu’elle implique , comme si hommes et femmes étaient interchangeables, et qu’il n’y avait aucun risque .


    • chapoutier 29 mars 07:00

      @Gérard Luçon
      je n’avais pas vu ton papier sur RI
      c’est... je ne sais pas ... bande d’e...rs est tout ce qui me vient.
      pourquoi il n’est pas sur ago ? il a été bloqué ? j’en ai pas souvenir.


    • chapoutier 29 mars 07:29

      @Gérard Luçon
      il y a certaines choses qui doivent être traitées avec beaucoup de circonspection sinon la foudre risque bien de te tomber sur le nez.
      par exemple, il y a un truc que je ne sais pas comment le présenter : en 1982, j’ai eu un collègue de travail qui avait la particularité d’être un prostitué travesti pendant ses heures de repos et de ne pas s’en cacher. j’avais 23 ans et lui environ 26. cette année là, 1982, il nous a raconté (à moi et d’autres collègues) une de ses péripéties avec ses « clients » comme il avait l’habitude de le faire. c’était toujours tordu et on avait du mal à croire ce qu’il nous racontait.
      en 82 donc, il nous raconte un truc bien tordu pour expliquer les marques de coup qu’il avait sur la gueule et sur le corps : d’après lui, donc, il avait participé à une soirée « fine » avec des « notables » parisiens, et parmi cette racaille, il y avait en particulier un type qui avait présenté le journal de la première chaine, et d’après le travesti, c’est ce type complétement tordu qui l’avait massacré. tu vois à qui je fais allusion ? en 82 « mon » travesti n’avait absolument aucune raison de nous raconter cela, et d’ailleurs on en a plus jamais parlé.
      cette histoire m’est revenu en mémoire ( là aussi) beaucoup plus tard, en 2003 quand certaines choses ont été déclarée publiquement, niées avec véhémence bien sur ! d’ailleurs là aussi un prostitué travesti était en cause, il s’est même « suicidé » parait-il.
      bandes d’ordures ! et ils tiennent le haut du pavé !


    • chapoutier 29 mars 07:38

      @colibri
      Et toujours prévoir qu’il y a un risque à laisser seul les enfants avec un homme .

      ce n’est pas faux !
      certains métiers et certaines activités associatives y compris « caritatives » attirent les prédateurs. on se demande bien pourquoi ? non je plaisante, on sait bien pourquoi.


    • colibri 29 mars 07:42

      @chapoutier
      Mourousi ? 


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 07:43

      @chapoutier
      Le présentateur ne serait-il pas celui qui, selon Coluche, a cassé le vase à Soissons ?


    • chapoutier 29 mars 07:54

      @Gérard Luçon@colibri

      pas du tout, je ne dirais pas de nom, cherchez qui était journaliste vedette TF1 jusqu’en 82


    • chapoutier 29 mars 08:04

      @Gérard Luçon
      ta messagerie


    • colibri 29 mars 08:09

      @chapoutier
      JC Bourret ? 


    • chapoutier 29 mars 08:12

      @colibri
      il a été defenseur des droits... c’est tout dire


    • colibri 29 mars 08:25

      @chapoutier
      D Baudis ? 
      celui la pas net , bien qu’il ai été innocenté 


    • chapoutier 29 mars 08:33

      @colibri
      suivez votre instinct


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 08:53

      @colibri
      Affaire Alègre ... mais le sud-ouest a été beaucoup touché par des viols dans des centres (lieux de vie et institutions religieuses...) mais aussi un coin précis : Pau  Lourdes 
      Tenez : "

      L’enseignante lanceuse d’alerte de Bétharram, dénonce les tentatives de la faire taire. La professeure Françoise Gullung, qui a voulu briser l’omerta de Bétharram, témoigne des pressions et des sévices, subis par des élèves de l’établissement. Elle a alerté à tous les niveaux, jusqu’à F. Bayrou, alors ministre de l’éducation nationale. Elle raconte notamment avoir été témoin de maltraitances avec Élisabeth Bayrou. Auditionnée par la commission d’enquête sur "les modalités du contrôle par l’Etat et de la prévention des violences dans les établissements scolaires", Françoise Gullung, enseignante à Notre-Dame de Bétharram dans les années 1990, a livré son témoignage aux députés. "J’ai considéré que c’était de la barbarie de faire cela à des enfants", a-t-elle déclaré, évoquant les violences au sujet desquelles elle a tenté d’alerter. Quand elle était en poste de 1994 à 1996, elle a tenté d’alerter les autorités sur les violences commises envers les élèves. Outre le silence de certains responsables, elle a raconté, avoir subi des pressions et des menaces de la faire taire, de ce qu’elle voyait lorsqu’elle y travaillait, jusqu’à son départ de l’établissement. Quand elle était Professeure de mathématiques, de 1994 à 1996, époque au cours de laquelle une 1ère plainte avait été déposée, Françoise Gullung évoque une violence physique systémique, des élèves battus, « écrasés de fatigue, ternes, passifs », « qui avaient passé une grande partie de la nuit debout sans pouvoir dormir. » Elle se souvient de cette scène, lorsqu’elle croise dans un couloir la femme de François Bayrou, alors ministre de l’Éducation, et que des cris retentissent derrière une porte fermée. « Il y avait une salle de classe dans laquelle on entendait un adulte hurler sur un enfant, on entendait les coups et on entendait l’enfant qui suppliait qu’on arrête ».Alors qu’elle demande à Élisabeth Bayrou ce qu’elles peuvent faire pour empêcher ça, celle-ci semble ne pas comprendre. « Elle m’a simplement répondu, que ces enfants, il n’y en avait rien à en tirer ». Dès la fin de l’année 1994, elle effectue des signalements en écrivant et en parlant à François Bayrou, ministre et président du conseil général des Pyrénées-Atlantiques, en vain. Elle envoie également un courrier au tribunal, se rend à la gendarmerie, s’adresse à la direction diocésaine, ainsi qu’au médecin de la protection maternelle et infantile. Mais le seul qui lui a répondu, c’est l’évêché , qui l’a convoquée pour lui dire « d’oublier tout ça si [elle] veut rester dans l’enseignement catholique ». Après une plainte déposée fin 1995 par les parents d’un élève, qui avait été puni plusieurs heures dehors en pleine nuit d’hiver, l’ancien directeur de Bétharram, le père Silviet-Carricart a voulu maintenir l’omerta.« Il a réuni tous les profs et nous a dit de ne pas parler (…) en nous disant qu’on risquait de faire fermer l’établissement et que s’ils savaient qu’on en parlait, on serait sanctionnés. » Accusé de viol en 1998, l’ancien directeur s’est suicidé en 2000.La professeure persiste à vouloir aider les élèves. « Je suis devenue immédiatement persona non grata ». On l’oblige à demander une mutation, par la voix du surveillant général, appuyé par le directeur. Elle refuse. Puis elle est victime d’une « agression » dans la cour, au printemps 1996, impliquant le surveillant général et un groupe d’élèves. Elle en ressort avec plusieurs fractures. « Ensuite, dès que je traversais la cour, [...] on a abîmé ma voiture, on me téléphonait chez moi avec des menaces », dénonçant également une « ostracisation ». Elle a finalement quitté l’établissement en juillet 1996 après un rapport qui évoque un « état d’esprit très négatif ». Françoise Gullung assure avoir eu « beaucoup de soucis » pendant la suite de sa carrière. Peu après l’inspection d’avril 1996, le recteur de l’académie de Bordeaux a correspondu avec le père-directeur de Bétharram sur les « conditions du renvoi » de la lanceuse d’alerte Françoise Gullung. Le ministre de l’éducation nationale s’appelait François Bayrou."


    • colibri 29 mars 09:10

      @chapoutier
      dans cette affaire les témoignages des enfants du juge Roche qu’on peut encore trouver sur you tube sont édifiants 


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 09:11

      @colibri
      J.C. Bourret est sur facebook, très intéressant, spécialiste des OVNI ... Objets Volants Non Identifiés et non pas Objets Violant Non Inculpés


    • colibri 29 mars 09:18

      @Gérard Luçon
      oui j’ai suivi l’affaire , tout comme celle d’Emile Louis , il y a toujours une complaisance des magistrats , policiers et instructeurs .


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 09:23

      @colibri
      Emile Louis c’est l’Yonne ... une personne victime de viols du côté de Pau m’a affirmé qu’il y amenait des jeunes filles !!!


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 09:39

      @chapoutier
      je te passe par mail l’intégrale « provisoire » ... je ne l’ai pas laissé sur A-vox car si tu regardes le « titre » du lien (sur Borello) il a méchamment dérangé au point que RI a du lui donner un titre à part (trash) et aussi que j’ai été « attaqué » (piratage sur linkedin et sur une de mes adresses mail) ...

      Je te passe aussi un truc sur Serguei Jirnov qui, lui aussi, aime la chair fraiche


    • colibri 29 mars 10:16

      @Gérard Luçon

      oui il y a tout un tas d’affaires de réseaux , avec des parties fines avec des gens connus , et les pourvoyeurs sont rarement inquiétés , parcecqu’il y a des brebis galeuses dans la police et la justice , 


    • chapoutier 29 mars 10:44

      @Gérard Luçon
      hé bé c’est du lourd
      j’ai regardé notamment sur Serguei Jirnov

      et c’est comme par hasard cette ordure que LCI met en avant pour défoncer la Russie.


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 11:03

      @chapoutier
      déjà en 1990 les russes savaient que notre pays c’était « Pédoland » !!!


    • Jules Seyes Jules Seyes 31 mars 17:01

      @chapoutier
      Oui,

      enfin, c’est comme la trésorerie. Ca attirait les gens qui voulaient faire du détournement de fonds. On a sécurisé les procédures et depuis, c’est plus calme.
      La vérité est que les institutions doivent être organisées pour que tout prédateur révélé déguste et ca purgera.


  • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 07:17

    « Le cri » de Munch ... j’ai vu ce tableau dans un musée fin des années 70, ça donne des frissons dans le dos !


    • chapoutier 29 mars 07:30

      @Gérard Luçon
      je le trouvai approprié pour illustré l’horreur que doivent vivre les victimes de ces ordures.


    • colibri 29 mars 07:44

      @Gérard Luçon
      je n’aime pas ce tableau , pour moi l’art doit exprimer le beauté et non l’effroi ni la laideur .


    • chapoutier 29 mars 07:58

      @colibri
      c’est un point de vue ... mais l’artiste créer ce qu’il veut exprimer, et là on percute sur l’horreur en une seule image, on ressent la terreur de la victime, ce qu’elle veut exprimer ! 
      sinon, effectivement je ne l’accrocherai pas à mon mur, même si j’avais les moyens de me l’offrir.  smiley


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 09:14

      @chapoutier
      Source wikipédia, ... je viens de fouiner : En 2024 il a été découvert une phrase écrite sur le tableau par son auteur : « Ne peut avoir été peint que par un fou ! » (« Kan kun være malet af en gal Mand ! »)


  • xana 29 mars 10:24

    Je reprends sur les mesures préventives. C’est bien aux parents de les prendre, puisque aucune autre autorité ne lutte sérieusement contre ce genre de crime.

    Empêcher le contact entre nos enfants et « les hommes » n’est à mon avis PAS UNE BONNE IDEE. Pourquoi pas les remettre au couvent comme autrefois ? Non, dans une sociéré libre, nos enfants doivent pouvoir se déplacer et rencontrer les gens. Par contre, nos enfants ne doivent pas rester des victimes potentielles, des oies blanches à plumer. Nos enfants doivent être éduqués à ne pas avoir peur, et donc à savoir se défendre en cas d’agression. Ils doivent avoir confiance en eux-mêmes et connaître les gestes essentiels pour assurer leur propre sécurité. Et cela dès qu’ils sont en âge de risquer une agression.

    Mon idée vient de la façon dont les femmes en Angleterre ont réussi à se faire respecter du temps des « suffragettes » : En apprenant une technique de combat, le Jiu-Jitsu. Ce n’est évidemment pas une garantie absolue, mais cela leur donne la confiance en leurs propres moyens qui suffit dans la plupart des cas.

    Je regrette très vivement de n’avoir tout simplement PENSE à cela lorsque mes filles étaient petites. Si elles avaient appris un sport de combat elles auraient su comment se défendre. Rien que leur attitude aurait dissuadé les apprentis violeurs bien mieux que les murs d’un couvent...


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 11:08

      @xana
      En France depuis qqs années existe « GESIVI » .. Gestion des Situations de Violence« , ils font du bon boulot, parmi eux il y a un gars (un pilier de ce mouvement) avec qui j’ai travaillé sur Valence et Marseille, Didier Jaffiol ... on le trouve sur Facebook sur le pseudo »Di Djaf"


    • xana 29 mars 11:31

      @Gérard Luçon
      ca ne vaudrait pas le coup d’en faire un article ?


  • colibri 29 mars 10:46

    Les enfants de 5 ans ne peuvent se défendre conte un maitre d’école de maternelle abuseur , jiu jitsu ou pas ...

    C’est donc à la société de prendre conscience et d’évoluer et au législateur de faire des règles pour que les hommes ne soient pas mis au contact des enfants .

    La majorité d’abus se font dans les écoles ,je suis frappé par les faits divers avec des jeunes surveillants de maternelles , et encadrants d’enfants jeunes qui sont accusés d’abus ...

    La seule défense par les futures victimes elles mêmes n’est pas une bonne solution , ce n’est pas moral , car c’est l’acceptation qu’une société soit violente et qu’on ne puisse rien faire contre .. les enfants se sentant insécure et en danger constant prêts à se défendre , vous imaginez ? 

    Or on peut faire évoluer les choses en :

    -intensifiant les contrôles d’aptitude (expertise psy ) avant embauche d’hommes en contact avec des enfants , les jeunes ... et dans les centres de soins ...

     ne pas donner une confiance systématique ,

    _ les enfants doivent être crus systématiquement ainsi que les lanceurs d’alertes 

     les peines alourdies avec prison et obligation de soins , 


    • xana 29 mars 11:20

      @colibri
      Vous avez raison, mais vous avez tort en même temps.
      La société ne s’intéresse que de très loin à ce genre de fait-divers, pour tout un tas de raison. Ce qui explique l’échec presque complet des mesures que vous préconisez. Pensez aux récentes affaires de pédocriminels enterrées, parce que personne n’ose s’attaquer aux riches.
      Oui, la Société devrait... mais elle ne le fait pas ! Alors si vous avez des enfants, c’est à VOUS de faire en sorte de réduire le risque, du moins tant que la Société aura d’autres priorités...
      De plus je ne suis pas d’accord. Mes trois filles ont été abusées mais jamais dans leur école. L’une, par un de mes collègues sportifs (un proche, donc) au cours d’une sortie. La seconde, par le mari de sa gardienne (encore un proche). La troisième, par un de mes voisins. Dans les trois cas, les auteurs savaient parfaitement ce qu’ils faisaient, et aussi la quasi-inexistence de risque pour eux. La Société a besoin de témoignages très sûrs pour lancer une action, et ils le savent. Si mes filles avaient su leur lancer un coup de pied dans les testicules, les choses en seraient restées là. Le type n’aurait jamais porté plainte, et cela lui aurait été une bonne leçon. Et elles n’auraient pas gâché leur jeunesse à ne rien dire et à se sentir idiotes et coupables. Elles auraient raconté l’incident à leurs copines à la récréation suivantes, et auraient vite oublié l’incident.


  • xana 29 mars 11:02

    Dans notre société, il y a des personnes naturellement agressives, c’est dû à notre histoire évolutive et cela n’a pas que des aspects négatifs. Par contre il y a aussi des personnes qui sont, à cause de l’éducation que nous NE LEUR DONNONS PAS, des victimes désignées pour les agresseurs : Ce sont les jeunes sans expérience, les femmes moins fortes physiquement, et aussi les vieillards (qui perdent leurs moyens dans un monde indifférent).

    La société devrait prendre des mesures pour les protéger, mais elle ne le fait pas. Pourquoi ? Parce qu’elle n’ose pas s’attaquer aux puissants, aux riches pédophiles, aux escrocs et autres violeurs d’enfants, et surtout parce qu’elle estime que CELA N’EN VAUT PAS LA PEINE. 

    C’est donc aux proches de s’en occuper. C’est aux parents de donner une éducation sérieuse pour apprendre à leurs enfants à se défendre seuls. Aux enfants de s’assurer que leurs vieux parents ne puissent pas confier leur pension à des escrocs. Et en général, de faire circuler l’information essentielle : Oui, des agresseurs il y en a partout, et ce sont très souvent des proches, mais on peut toujours s’en défendre.


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 11:14

      @xana
      disons qu’en France existe une indifférence impressionnante ... ce qui a le plus surpris Simona (mon épouse roumaine) c’est que dès 18h le soir plus personne n’était dans les rues du village de mes parents ... et c’était en 1998 !!!


    • SilentArrow 29 mars 11:17

      @xana

      Il n’y a pas que les enfants qui doivent s’entraîner à un sport de combat, mais aussi les parents et surtout le père qui doit être capable de massacrer un violeur d’enfant et de lui faire bouffer ses couịlles.


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 11:29

      @xana
      « les vieillards (qui perdent leurs moyens dans un monde indifférent). » .. et aussi un monde différent ! Ma tante, soeur de ma mère, née en 1922, a eu la visite à domicile (il y a une bonne quinzaine d’années) de 3 jeunes « de sa banque », un garçon et 2 filles, biens sous tous rapports, ils lui ont expliqué que sa carte de crédit avait été piratée et qu’ils devaient la lui confier avec le code pin pour vérifier ... résultat : 3.000 € de débit ! Elle ne m’a pas téléphoné, n’a pas appelé ma soeur, « ils présentaient bien » !!!! C’est ma mère qui a compensé le déficit ...


    • xana 29 mars 11:30

      @SilentArrow
      C’est une réflexion peu intelligente. Il est vrai que chacun devrait se savoir capable de résister victorieusement à une agression, mais il faut aussi comprendre que l’agression sexuelle est surtout une question d’occasion.
      .
      N’importe qui peut se sentir une envie irrépressible devant une victime potentielle sans défense, vous aussi bien que moi même à mon âge ! Mais si vous savez que vous pouvez le faire sans risque vous passerez peut-être à l’acte. Si la victime se défend, vous reconsidérerez les choses, car ca fait extrêmement mal un coup de pied dans les testicules...


    • xana 29 mars 11:35

      @Gérard Luçon
      En Roumanie l’escroquerie sur les personnes âgées est très à la mode aussi. Peu de risque, même s’il est rare de repartir avec un pactole dans la poche.
      Et, comme partout ailleurs, l’indifférence totale des pouvoirs publics.


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 11:44

      @xana
      l’indifférence est liée au statut social de la victime ...


    • xana 29 mars 12:13

      @Gérard Luçon
      Absolument. Et aussi au statut social de l’agresseur, ou des agresseurs et de leurs complices...
      S’il y a un risque d’avoir un procès en diffamation sur le dos, les médias n’oseront pas se mouiller. Surtout pour une gamine, dont personne ne peut prévoir si elle ne va pas se rétracter le lendemain.
      Or c’est plutôt facile de faire se rétracter une gamine, si on veut éviter un procès, non ? Il suffit de lui annoncer ce qu’elle risque...


    • colibri 29 mars 12:46

      @xana
      « N’importe qui peut se sentir une envie irrépressible devant une victime potentielle sans défense, »

      justement c’est pour ca qu’il faut faire comme avant ou seules les femmes s’occupaient des enfants jeunes , les parents étaient plus tranquilles ,
      les filles avaient aussi un professeur de sport femme , 

      c’était l’époque ou l’on savait que les hommes et les femmes ne pouvaient être mélangés , parce que les hommes ont des envies naturelles , et que ceux qui n’arrivent pas à se maitriser ont tendance à se servir , le nier ne sert à rien .

      et il y a avait aussi jusqu’au début 20 ième des compartiments de trains réservés pour les femmes uniquement , qui ne voulaient pas être importunées ...a relier avec cet hommes pris récemment en train de se masturber a coté d’une femme dans un train ...c’est aussi évident que des toilettes et douches séparées homme et femme ...les enfants et femmes seules doivent être protégés ... 

      c’est juste reconnaitre la réalité : la promiscuité de proies faciles favorise le passage à l’acte , d’ou le passage à l’acte de jeune de 20 ans embauchés comme surveillants d’école maternelle :ils voient des petits mignons et sans défense et ont envie de les tripoter ....il faut empêcher cette promiscuité , des jeunes hommes de 20 ans n’ont pas à s’occuper d’enfants (j’ai eu l’exemple d’une amie qui avait mis il y a quelques années mis ces enfants à la crèche d’une institution parisienne , sorte de centre aérée , , ils ont été abusés, par de jeunes animateurs de 22 ans , ils ont été tripoté , on les obligé à mimer des scènes sexuelles , ils sont traumatisés à vie ) , .


    • xana 29 mars 12:50

      @Colibri

      Je reprends un de vos arguments qui me semble ne pas correspondre du tout à la situation actuelle :

      " La seule défense par les futures victimes elles mêmes n’est pas une bonne solution , ce n’est pas moral , car c’est l’acceptation qu’une société soit violente et qu’on ne puisse rien faire contre .. les enfants se sentant insécure et en danger constant prêts à se défendre , vous imaginez ? « 

      Il me semble que c’est justement le résultat de cette confiance aveugle dans la société qui mène à ce problème d’agressions sexuelles dans NOTRE société.
      Non, notre société ne lutte pas efficacement contre ces agressions. La preuve en est que nous connaissons tous des quantités d’affaires de telles agressions, et dans combien de cas la société a-t’elle apporté ne serait-ce qu’un début de solution ? Les causes sont multiples, mais en attendant chaque jour des viols ont lieu et nous savons qu’ils resteront impunis. D’ailleurs la punition n’est qu’un pis aller, car cela veut dire que l’agression a DEJA eu lieu...
      D’autre part, pourquoi n’est-ce pas moral de CONSTATER que la société n’y peut rien ? C’est la réalité. Ce qui serait immoral ce serait de se voiler les yeux.
      Les enfants se sentent insécures (?) dites-vous ? Parce que le danger existe ? Mais vous vous croyez chez les Bisounours ! Quand j’étais jeune les enfants avaient peur du loup. Aujourd’hui notre président essaie de nous communiquer la peur du Russe... Soyons sérieux. A moins que vous ne neregrettiez l’innocence des filles juste sorties du couvent, une proie bien facile pour tous les mâles ! Moi je ne mange pas de ce pain-là. Je veux des jeunes générations confiantes, mais pas uniquement dans la Société . Confiantes dans leur corps et dans leur esprit, confiantes dans leurs parents et, d’un peu plus loin, confiantes dans les institutions lorsqu’elles font leurs preuves.
      Et je veux des jeunes, des femmes et des vieux capables de se détourner des escrocs de tous genre et de leur péter les couilles si nécessaire, que ce soient des violeurs de banlieue ou d’un »président" va t’en guerre.


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 12:56

      @colibri
      L’exemple dont j’ai parlé, une personne de ma famille née dans les années 1920, avait déjà un prof. masculin, avant 1939 ... cela me parait complètement désuet et ringard (voire irresponsable) de parler de protéger par le sexe ...comme si les pédérastes et les lesbiennes n’existaient pas ...


    • colibri 29 mars 13:07

      @xana

      « Dans notre société, il y a des personnes naturellement agressives, »

      ce n’est pas une fatalité , et ce n’est pas normal , c’est une pathologie du comportement d’être agressif , on ne peut pas mettre un policier derrière chaque citoyen ,
      pourquoi ne pas essayer de faire une société de gens normaux plutot que d’accepter la violence ? 
      La seule solution et de comprendre pourquoi il y a des personnes perverses et y remédier ..les détecter et éviter les situations ou elle peuvent nuire (comme les métiers en contact avec les enfants et les femmes , et éviter cette promiscuité ) , en tant que parent par exemple ne pas faire confiance aux amis ou voisin , et ne pas prendre de baby sitter garçon ..

       la perversion est une pathologie du comportement , du à l’enfance , on ne nait pas pervers , donc détecter en amont les familles dysfonctionnelles et les traiter ..

      sinon on accepte que des personnes soient tués ou violées dans la rue sous prétexte qu’on ne peut rien faire contre les gens violents , qu’il y en aura toujours :si on peut , c’est une question de volonté politique et c’est aux citoyens de se mobiliser auprès des politiques pour faire entendre leurs idées et faire changer les choses ..


    • SilentArrow 29 mars 13:38

      @xana

      Si l’assaillant sait qu’il va se faire broyer les os par le père ou se faire trouer par une balle de fusil de chasse, il sera moins tenté de s’en prendre à sa fille.

      Et s’il a dû bouffer ses cou¡lles, il n’est pas prêt de récidiver.

      Un enfant de 5 ans, même s’il fait du judo ou autre, n’a aucune chance devant un adulte.


    • colibri 29 mars 13:53

      @Gérard Luçon

      oui mais ce n’est pas une femme qui va tripoter les enfants , c’est 98% des hommes , donc éviter les instit et autres surveillant seuls avec de jeunes enfants de maternelle , centres de vacances , colo , déja , 
      en tout cas ne jamais laisser seuls des enfants avec un homme adulte ..

       une lesbienne elle peut faire quoi ? pas sodomiser ni violer ,  

      c’est une question de tolérance sociétale , si dans les institutions les gens autour ferment les yeux , c’est par lâcheté mais surtout par DENI DU MAL , 
      et croyance à la vertu du pardon , qu’on peut se taper dans les mains et que l’affaire est pardonnée , comme dans cette terrible affaire ou l’on voit que l’église est complètement pourrie jusqu’à la moelle :

      https://www.mediacites.fr/enquete/toulouse/2023/09/17/quand-leveche-de-cahors-protege-un-pedocriminel-et-rejette-sa-victime/

      on ne veut pas reconnaitre le mal , et on a tendance à l’excuser , au nom de la solidarité , du pardon , 
      c’est bien une déviance de l’église qui ne comprend plus la notion de justice et de vérité .
      Les victimes ont besoin de justice ..


    • xana 29 mars 14:15

      @colibri

      Vous dites :
      « Dans notre société, il y a des personnes naturellement agressives, »

      Ben oui. Nous n’y pouvons rien. C’est dû à nos ancêtres animaux.
      Tous nos cousins singes sont aussi habituellement agressifs, j’imagine que cela leur sert à se défendre contre toutes sortes d’agresseurs. Au fil des siècles, cela disparaît peu à peu. Mais peut-être croyez-vous que Dieu nous ait créés parfaits au septième jour ?

      Vous semblez confondre aggressivité et perversion. Ca n’a (heureusement) aucun rapport.
      L’agressivité est naturelle, elle permet à un individu de se défendre au lieu de se laisser dévorer par n’importe quel agresseur. Si nos ancêtres n’avaient pas été agressifs, nous ne serions pas là pour en parler.
      La perversion est uniquement humaine. C’est ainsi qu’on désigne un comportement contraires à une morale humaine. Il n’y a pas de perversion chez les animaux parce qu’ils n’ont pas de morale. Evidemment certaines sociétés permettent des comportements désapprouvés par d’autres. C’est donc une notion subjective.

      Je constate que vous semblez éprouver une confiance absolue dans la Société, et que vous préfèreriez lui laisser le soin de protéger nos enfants contre les hommes. Vous oubliez qu’en dehors des agressions sexuelles, la Société est responsable d’un nombre incalculable de maux, dûs essentiellement à l’avidité :
      La guerre, la domination, l’esclavage etc. A votre place je me méfierais un peu de cette « Société ». Elle a quelques bons côtés, c’est vrai. Mais pas que des bons côtés...


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 14:43

      @colibri
      ne limitez pas le viol à la pénétration ...


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 14:47

      @SilentArrow @xana 
      par exemple, si la gamine a dénoncé son père, ou son oncle, de lui faire comprendre que c’est à cause d’elle que son papa est en prison ... j’ai vu ça tant de fois que c’en est désarmant !!! La victime, mineure, est devenue coupable !!!!


    • xana 29 mars 15:48

      @Gérard Luçon
      Moi aussi je connais cela. C’est pourquoi je redis que la prévention est IMMENSEMENT préférable à une condamnation. Une gosse qui a balancé son pied dans les testicules d’un violeur ne sera pas violée et n’aura pas de compte à rendre devant des juges.
      Je ne comprends pas pourquoi les gens sir ce fil semblent tellement préférer la vengeance ?
      C’est idiot...


    • colibri 29 mars 16:19

      @xana

      Les pervers peuvent commettre des agressions , on parle bien d’ailleurs d’agresseurs sexuels , donc pas la peine de tourner autour du pot , c’est un comportement pathologique .
      Et la structure perverse est une définition médicale donc scientifique , ce n’est pas une question de moralité , ..renseignez vous en psycho pathologie ...il y a un état de santé mentale normale et des états pathologiques comme la psychopathie et la perversion , et aussi des pathologies du comportement ...
      Ainsi il y a des personnes a structure perverse fixes ,et d’autres qui peuvent à l’occasion avoir un comportement pervers ..

      Les agresseurs sexuels comme l’abbé Pierre par exemple ont une structure perverse , fixée toute leur vie , il était obsédé sexuel , aucun traitement n’aurait pu fonctionner , il a donc une stucture pathologique qui n’a pas à voir avec une quelconque morale .
      Vos connaissances limités vous empêche d’avoir un raisonnement juste .

      Je n’ai jamais dit que j’avais confiance en ceux qui nous gouvernent actuellement ,et qui infestent tous les niveaux , mais je manquerais d’espérance et d’espoir si je pensais que notre pauvre lot était de rester à vie sous leur joug ...à priori vous l’avez accepté vous avez capitulé , alors que je crois possible un redressement par la prise de conscience citoyenne , ce qui ne m’empêche pas de louvoyer et prendre des précautions , en espérant un retour du vrai et du bien .


    • colibri 29 mars 16:23

      @Gérard Luçon
      oui c’est pourquoi j’ai cité l’exemple de ce séminariste juste abusé , mais les abusé sont le le fait des hommes à 98 % , écoutez les faits divers ..


    • colibri 29 mars 16:27

      @xana
      Pour le moment nous sommes en plein marasme , le mal règne , mais se résigner ne feras pas avancer les choses , alors que nous sommes les plus nombreux , et la prise de conscience est donc importante , il n’y a pas de fatalité ...les choses peuvent changer ..


  • xana 29 mars 13:02

    @ colibri

    Vous semblez regretter le bon vieux temps où les filles étaient mieux protégées.

    Vous oubliez (volontairement) que cela ne concernait que les filles de la bourgeoisie, quelques pour cent de la population.

    Les autres filles passaient très tôt au montoir, quelle importance ? Ce n’étaient que des filles du peuple...

    Aujourd’hui les filles du peuple ont les mêmes droits que celles de la bourgeoisie, que cela vous plaise ou non. Et les couvents, du moins ceux qui retent, sontb hantés par des prêtres qui sont eux aussi des hommes, donc des violeurs en puissance. Donc sauf à castrer ces prêtres, votre solution est inapplicable...


    • colibri 29 mars 13:34

      @xana
      votre rancoeur montre une obsession pour la lutte des classes , 

       jusqu’à une époque récente , on tenait compte dans les rapports homme femmes et dans tous les milieux , du risque de dérapage ,et on évitait les métiers ou les hommes étaient en contact seuls avec les femmes et les enfants ,
      ce principe a été oublié , à cause de l’indifférenciation et de l’égalité des sexes :comme si avoir le même diplôme conférait les même capacités , cela au mépris de la différence des sexes ...

      Il y a eu et il y a encore des prêtres abuseurs , mais pas plus que dans les autres cultes , le bouddhisme est aussi bien servi , de même que chez les anglicans , etc il y a des scandales partout , 
      la solution serait de procéder avant d’accepter des aspirants prêtres de leur faire passer une expertise psy , et quand ils sont pris à abuser les virer illico et sans solde ..mais le principe de solidarité (qui n’est pas bon dans toutes les situations) i fait que tout comme à l’éducation nationale et autres institutions , la brebis galeuse est écartée mais conserve ses droits , et peut être recasée ailleurs ...


    • chapoutier 29 mars 13:57

      mais il ne s’agit pas que d’agression sexuelle ! cela va plus loin, il s’agit de perversité du type affaire alegre avec comme conséquence torture et mort.
      c’est ce pour quoi j’ai tenu à « témoigner » avec ce texte car je suis persuadé que j’aurais été zigouillé si je ne m’étais pas échappé.
      et en corollaire, il est concevable de penser que beaucoup des disparus aient subi un tel sort.


    • xana 29 mars 14:32

      @colibri
      Arrêtons-nous là, chère amie. Gardez vos illusions si vous y tenez, la vie n’est plus ce qu’elle était du tenps de Mme de Ségur. Aristocratiquement vôtre...


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 14:42

      @xana
      le droit de cuissage ...


    • colibri 29 mars 16:33

      @chapoutier
      je vous rassure , franchement dans les années 75 je ne pense pas que vous auriez été tué , car il y avait une certaine complaisance de la justice et il savait qu’il ne risquait rien , c’était parole contre parole , il ne devait pas en être à son coup d’essai et comptait sur votre honte et votre silence ...comme les autres à l’époque ...et même si, cela aurait sans suite car il aurait nié ...

      Et même si ca se trouve vous vous seriez défendu ou lui auriez jeté une chaise à la tête , il aurait loupé son coup , 


    • chapoutier 29 mars 17:07

      @colibri
      j’ai beaucoup repensé à cette histoire, je me souviens presque du visage du type et je n’en suis pas aussi certain que vous.
      je crois qu’il faut faire des distinctions :
      il y a le « violeur simple » qui en général s’en prend aux femmes, sans pour autant les tuer
      le curé qui s’en prend aux enfants du catéchisme sans les tuer non plus (je dis curé mais cela peu être l’oncle ou l’instit, la liste est compléter)
      et ensuite il y a les vrais pervers sadique du genre affaire alègre et autres affaires
      dont le vrai but est de jouir de la souffrance des autres.
      alors bien sur je ne peux avoir aucune certitude sur rien mais mes souvenirs sont très clairs : je n’avais pas peur de me faire « péter la rondelle », j’étais terrorisé par ce que j’avais vu dans son regard, c’est pas pareil.
      d’où mon évocation des centaines de jeunes qui disparaissent chaque année sans signe de vie.


    • chapoutier 29 mars 17:13

      @colibri
      je reposte ici ce que je disais plus à Gérard Lucon

      @Gérard Luçon
      il y a certaines choses qui doivent être traitées avec beaucoup de circonspection sinon la foudre risque bien de te tomber sur le nez.
      par exemple, il y a un truc que je ne sais pas comment le présenter : en 1982, j’ai eu un collègue de travail qui avait la particularité d’être un prostitué travesti pendant ses heures de repos et de ne pas s’en cacher. j’avais 23 ans et lui environ 26. cette année là, 1982, il nous a raconté (à moi et d’autres collègues) une de ses péripéties avec ses « clients » comme il avait l’habitude de le faire. c’était toujours tordu et on avait du mal à croire ce qu’il nous racontait.
      en 82 donc, il nous raconte un truc bien tordu pour expliquer les marques de coup qu’il avait sur la gueule et sur le corps : d’après lui, donc, il avait participé à une soirée « fine » avec des « notables » parisiens, et parmi cette racaille, il y avait en particulier un type qui avait présenté le journal de la première chaine, et d’après le travesti, c’est ce type complétement tordu qui l’avait massacré. tu vois à qui je fais allusion ? en 82 « mon » travesti n’avait absolument aucune raison de nous raconter cela, et d’ailleurs on en a plus jamais parlé.
      cette histoire m’est revenu en mémoire ( là aussi) beaucoup plus tard, en 2003 quand certaines choses ont été déclarée publiquement, niées avec véhémence bien sur ! d’ailleurs là aussi un prostitué travesti était en cause, il s’est même « suicidé » parait-il.
      bandes d’ordures ! et ils tiennent le haut du pavé !


    • chapoutier 29 mars 17:17

      @colibri
      j’ai posté pour rien puisque vous l’aviez déjà vu !
      c’est comme pour zheimer, je ne me souviens jamais que son prénom est al.


    • colibri 29 mars 19:51

      @chapoutier
      rien à voir avec l’affaire Alègre qui est un truand , et votre prédateur un homme cultivé et inséré , si il avait voulu vous tuer il vous aurais emmené dans la nature ou chez lui , pas dans son école ou il est connu et aurait pu laisser des traces avec enquête à la clé , 


  • Seth 29 mars 13:19

    Le problème dans tout ça c’est que ce ne sont pas ceux qui le mériteraient qui disparaissent.  smiley

    Ainsi le casserolé Alex la Colère divorce d’avec manulito et vient d’être promu à la Soc Gén.


  • SilentArrow 29 mars 13:53

    Dans une société un peu fruste, mais saine, les agressions sur des enfants se termineraient par un lynchage.

    Dans un état de droit, c’est l’état qui doit prendre les mesures préventives et punitives.

    Quand il ne le fait pas, il faut revenir au lynchage.

    J’ai connu un cas où un homme avait procédé à des attouchements sur une fillette de 4 ans. Son frère est allé frapper chez lui et l’a roué de coups. La famille du coupable n’a pas porté plainte, sa femme s’est même excusée et la famille de la victime n’a pas non plus porté plainte. Après coup, le coupable marchait la tête basse car tout les gens du village le montraient du doigt.


    • chapoutier 29 mars 14:00

      @SilentArrow
      pas toujours d’accord, mais là, ok !


    • xana 29 mars 14:20

      @SilentArrow
      Je crois que c’était encore mieux du temps de Cro-Magnon.
      Mais on ne peut pas remonter en arrière. Je comprends que ca vous tente de sentir les os se briser sous vos coups, et la cervelle jaillir du crâne de l’agresseur. Mais ici on recherche une solution viable à un problème, pas à vous faire bander !


    • xana 29 mars 14:24

      @SilentArrow
      Et que se passait-il si le coupable était le chef de tribu ? Rien
      Que se passerait-il si ma fille était violée demain ? Je suis un petit vieux, le type rigolerait.
      Vous êtes assez primitif. je sais, il en faut aussi, mais ce n’est pas avec des bas du front qu’on peut trouver une solution. Bonjour dans votre caverne !


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 14:40

      @xana
      je sais que l’âge est un handicap certain, mais si qqn touche un cheveu d’un de mes petits enfants, j’oublierai mon âge ... et je n’ai que 73 ans ...certes j’ai raccourci, de 1,78 à 1,72, je me suis allégé, de 78 à 72 kg, mais je n’ai pas perdu de ce que j’ai appris « avec mon surin » !
      Je sais, c’est probablement très prétentieux notamment du fait que je ne monte plus à mon échelle triple, mais ... avec la double ça va encore !


    • SilentArrow 29 mars 14:45

      @xana
       

      Vous êtes assez primitif. je sais, il en faut aussi, mais ce n’est pas avec des bas du front qu’on peut trouver une solution.

      Je réagissais simplement à votre idée qu’il faut enseigner les arts martiaux aux enfants.
      Je n’ai rien contre. Mes enfants ont tous fait du karate comme moi. Mais quand ils sont trop petits, ils ne peuvent rien contre l’agresseur et c’est le père qui doit agir.
      C’est comme l’arme nucléaire, pas faite pour s’en servir mais pour dissuader.

    • SilentArrow 29 mars 14:48

      @xana
       

      Que se passerait-il si ma fille était violée demain ? Je suis un petit vieux, le type rigolerait.

      Procurez-vous un flingue et faites-lui sa fête. N’hésitez pas à le prendre par surprise.

    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 15:11

      @SilentArrow
      c’est complètement con de traiter Jean Xana de « bas du front » ... Nous avons un double problème, à minima en France, le devoir de protéger nos proches et l’interdiction de faire justice ! En plus il est devenu dangereux de porter assistance à personne en danger ... surréaliste ! Aussi je vais vous raconter ceci, et c’est réel ;..
      1991 : J’étais Directeur PJJ, et mon minot rentre un soir avec le nez en sang ... il était devant un ciné avec son correspondant espagnol et sa correspondante russe, à Romans, et 4 gars l’ont tabassé ...Je lui ai demandé des détails et il m’a décrit la voiture des gars ... donc j’ai emmené mon minot avec moi et nous avons retrouvé la bagnole, un coup de marche arrière avec l’attelage de la Peugeot et le gars n’avait plus ni phares ni longues portées (commentaire de Stef « bravo papa »)... c’était près d’un bar, ils ont couru vers nous mais n’ayant pas allumé les phares, véhicule noir, ils n’ont rien pu faire ...ensuite je suis retourné seul en ville avec le Land Rover et la 22 Long Rifle ... ces tarés tournaient en ville à chercher ... quoi ???
      Je précise encore un peu/ c’étaient des gars de Romans, quartier de La Monnaie ... Crépol, ça vous dit qqch ?


    • xana 29 mars 15:18

      @SilentArrow
      Sérieusement. L’âge ou les enfants sont les plus vulnérables aux agressions sexuelles est aussi celui où ils peuvent commencer à se défendre. Qui prétend ici à une « protection totale » ? Il s’agit de leur enseigner la confiance en soi, les quelques trucs qui leur permettront de décourager la plupart des agresseurs potentiels sans que cela les oblige à passer leur vie en prison.
      De plus, ce qui vous fait rêver, SilentArrow, ce n’est pas de protéger vos enfants mais de massacrer leur violeur. C’est votre choix, mais il est assez primitif. Et vous aurez assez de temps pour le regretter derrière les barreaux.
      Ce n’est pas une dissuasion d’ailleurs. Le violeur potentiel est guidé par ses hormones, pas pas la raison. Il passe à l’acte si ce n’est pas immédiatement dangereux pour lui. Ce n’est qu’ensuite qu’il se souciera de votre vengeance, mais il espère toujours que vous mettrez beaucoup de temps à le retrouver dans le pire des cas. Si votre gosse lui balance un coup de pied dans les couilles avant le viol la situation sera très différente. Vous n’aurez pas votre heure de gloire (en attendant la prison) mais votre gosse l’aura échappé belle.
      Ca me paraît bien plus important. Pas pour vous ?


    • xana 29 mars 15:20

      @xana
      Et si seule la vengeance vous intéresse, ce n’est pas moi qui vous empêcherai de lui tendre un piège bien atroce des années plus tard. Mais si vous vous faites prendre et si je fais partie des jurés, ne comptez pas sur ma clémence...


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 15:26

      @xana
      informé, pas informé, ... l’état dit « de sidération » existe concernant la victime !


    • xana 29 mars 15:36

      @xana
      Désolé, ce n’est pas SilentArrow qui m’a traité de « bas du front », mais moi.
      Peut-être excessif, mais j’avoue que je ne comprends pas comment un homme adulte peut encore rêver d’une vengeance au lieu de chercher à éviter le traumatisme d’un viol pour un de ses enfants.
      La vengeance n’apporte rien à votre enfant, c’est juste une satisfaction pour vous-même. Et comme le le disait au début ce cette discussion, l’important n’est pas de venger mais de prévenir le viol, sachant que la plupart des violeurs dont des gens comme nous, et que dans bien des cas la meilleure dissuasion vient de l’attitude décidée de VOTRE enfant, parce qu’il est sûr de lui.
      Là aussi j’ai de l’expérience : Si mes trois filles ont subi des agressions sexuelles, les’agresseurs n’ont jamais pu passer à l’acte à cause de leur résistance. Des gamines ! Et moi qui regrette de ne pas leur avoir fait prendre des leçons de sport de combat ! Donc oui, je l’affirme : Une précaution utile quand on a des enfants est de leur assurer une formation contre d’éventuels agresseurs. Judo, jiu-jitsu, karaté, ce que vous voudrez. Que vos enfants sachent que c’est à eux de se défendre en cas d’agression. Les profs de sport leur expliqueront ce qu’ils devront savoir pour s’en servir.


    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 15:48

      @xana
      sujet extrêmement sensible ... je ne veux pas « enculer les mouches » mais apprendre à se défendre, est-ce autorisé par la loi ?


    • SilentArrow 29 mars 15:49

      @Gérard Luçon
       

      c’est complètement con de traiter Jean Xana de « bas du front

      Relisez la suite de nos échanges ; c’est lui qui me traite de bas du front. Je ne lui ai lancé aucune insulte et je suis d’ailleurs souvent d’accord avec lui sur d’autres sujets.
       

      Nous avons un double problème, à minima en France, le devoir de protéger nos proches et l’interdiction de faire justice !

      Je comprends bien le problème. C’est uniquement quand l’état ne fait pas face à ses responsabilités que les citoyens doivent se faire justice eux-mêmes.
       

      Crépol, ça vous dit qqch ?

      Absolument rien. J’habite sur le fuseau horaire de Yakutsk.

    • xana 29 mars 15:55

      @Silent Arrow

      Vous écrivez :
      " Je n’ai rien contre. Mes enfants ont tous fait du karate comme moi. Mais quand ils sont trop petits, ils ne peuvent rien contre l’agresseur et c’est le père qui doit agir. "

      Allons donc... Vous en avez déjà vu, des violeurs qui violent un gosse devant son père ?

      Soyons sérieux... Si cela devait arriver, vous attendrez sans doute trente ans avant que votre fille vous raconte ce qui lui est arrivé. Et pour votre vengeance, le type sera mort depuis longtemps avant que vous le retrouviez...


    • SilentArrow 29 mars 15:57

      @xana
       

      Donc oui, je l’affirme : Une précaution utile quand on a des enfants est de leur assurer une formation contre d’éventuels agresseurs. Judo, jiu-jitsu, karaté, ce que vous voudrez.

      D’accord avec cela, je vous l’ai dit, et c’est ce que j’ai fait. Mais si le père reçoit la même formation et que cela se sait, cela peut constituer une mesure de dissuasion supplémentaire.
      De plus, si un agresseur sexuel se fait démolir après son crime, la nouvelle se propage et peut servir d’avertissement aux candidats violeurs.

    • Gérard Luçon Gérard Luçon 29 mars 15:58

      @SilentArrow
      -ok concernant « bas du front », Jean Xana a rectifié si j’ai bien compris
      -en FR l’Etat est totalement défaillant 
      Crépol, cherchez sur yahoo, vous verrez... un ratonnade « inversée » ...


    • xana 29 mars 16:02

      @SilentArrow
      Ca fera beaucoup de bien à mes filles de venir m’apporter des oranges en prison.
      Je trouve que vous avez des propos plutôt irresponsables. C’est dans les romans qu’on tue quelqu’un pour venger un viol. Il faut vivre dans la réalité, ce n’est pas toujours facile.
      Et puis, si quelqu’un veut venger la mort du violeur ? Ca se passe comme en Corse ?


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