lundi 24 octobre 2016 - par CHALOT

Combattre ensemble la pauvreté : de l’intention aux actes !

Des bénévoles d'horizons différents reçoivent des familles qui connaissent des difficultés passagères ou durables.

Certaines de ces familles sont surendettées, d'autres risquent une expulsion locative.

Depuis plusieurs années déjà, des associations implantées sur l'agglomération melunaise agissent ensemble ou en concertation.

Les associations ne sont pas concurrentes, elles sont complémentaires.

Un réseau local de solidarité s'est constitué sur Melun, il « opère » à deux niveaux :

le premier consiste à accompagner une famille, à l'aider en fonction de son champ de compétence propre puis à l'adresser à une autre association qui possède une spécificité.

Le deuxième constitue un saut qualificatif puisqu'il s'agit de la tenue d'une permanence commune.

C'est ainsi que l'association familiale laïque de Melun et le DAL 77 reçoivent ensemble, tous les mardis après midi des « demandeurs ».

Aujourd'hui, des associations melunaises souhaitent aller encore plus loin, notamment occuper un local commun...

Un espace existe déjà au 6 square Blaise Pascal dans le quartier de Montaigu, il est encore sous-occupé.

Le colloque du 18 novembre qui se tient à Vaux le Pénil et qui porte sur le thème de la pauvreté a l'ambition d'élargir encore le réseau de solidarité.

Les associations qui agissent au quotidien souhaitent oeuvrer en relation avec les professionnels dans un rapport d'échanges au profit des familles les plus en difficultés.

Lorsqu'elles reçoivent des familles, en grande souffrance ; les bénévoles aimeraient pouvoir les adresser directement, parfois sans délai à un professionnel compétent.

Prenons un cas parmi d'autres

Quand une personne, sans revenu n'arrive pas à obtenir son RSA alors qu'elle ne possède aucun revenu, l'échange téléphonique avec la CAF ne suffit pas, il lui faut une rencontre des droits avec un interlocuteur physique.

Souvent le bénévole, interpellé doit faire des pieds et des mains pour obtenir ce rendez-vous, parfois urgent alors qu'il suffirait que les partenaires se connaissent pour que tout se fasse assez vite.

Ce début de partenariat commence à exister, il faut simplement le formaliser.

 

Si vous êtes disponibles ce vendredi 18 novembre 2016, participez à ce temps d'échanges et de co-construction.

Jean-François Chalot

 



3 réactions


  • ouam2 (---.---.41.186) 24 octobre 2016 11:05

    C’est des conneries cet article, de la pure intoxication médiatique.

    La preuve on est tellement riches que nous pouvons nous permettre d’acceuillir la terre entière !

    - Soigner gratuitement le monde entier (contrairement aux povs cons de locaux)

    - Loger «  » «  » «  » + Frais (edf etc) gratos ( «  » «  » «  » )

    - Et meme leur donner un petit pécule pour « argent de poche » (Environ 300 € / mois)

    etc...

     

    Alors nous écrire dans un article que nos locaux ont les poches vides, ce n’est pas possible...

    ou..

    Il y à un bug quelque part ? ... mais ou ?... et cela profite a qui ? et pourquoi cette situation ?


    • mmbbb 24 octobre 2016 20:00

      @ouam2 je l’ai déja dit maintes et maintes fois Tant que ces con tribuables paieront .


  • karibo karibo 25 octobre 2016 10:50

    bonjour .

    Il y en a qui ont vraiment du temps à perdre !
    On ne lutte pas contre le soleil, on se met à l’ ombre !
    La pauvreté, les migrants vous en montrent la meilleure lutte : on la fui & on va chez le voisin qui ne l’ est pas encore !
    Vous attendez quoi pour aller leur prodiguer les judicieux conseils qui hantent vos nuits ?
    Accueillez la c/o vous : la pauvreté, tous comme les migrants d’ ailleurs, ce sera toujours ça de moins à supporter, & faciliter le kon-bas .
    Il est bô l’ humanisme de gôche et surtout on ne lache rien, le kombat kontinue ...
    Pôvre france !

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