samedi 22 juin 2013 - par PRCF

Conférence (Anti)Sociale

Mais non Hollande ne s’occupe pas que du « sociétal » ! Penché sur les menus problèmes des petites gens qui l’ont élu, notre bon sire « normal » s’occupe AUSSI du social… A preuve la « conférence sociale », où le gouvernement, le MEDEF et les organisations syndicales vont « tous ensemble et en même temps » discuter « de manière responsable » de l’ « avenir des retraites ».

Certes, cette conférence « sociale » se tient sous la pression, pour ne pas dire sur les sommations grossières, de Barroso et d’A. Merkel, lesquels diKtent désormais dans le détail la feuille de route de MM. Hollandréou et Jean-MarK Euro.

Certes, cette nouvelle (CONTRE-)réforme des retraites, dont on ne nous jure même plus qu’elle sera la dernière, permettra aux « partenaires sociaux » de « choisir librement » entre l’augmentation des annuités (avec renforcement des décotes !), la désindexation totale des pensions, la fin des retraites de réversion et le recul de l’âge légal de la retraite (qui est déjà porté à 69 ans au pays du « Modell Deutschland »).

Certes, une contre-réforme de plus (après Balladur 94, Fillon 2003, Fillon 2007, Fillon 2010…) signifiera la mise en extinction de fait du système par répartition institué par le communiste A. Croizat en 1946 : pourquoi en effet les jeunes accepteraient-ils de cotiser toute leur vie pour obtenir une pension de misère à 70 ans et plus ? Les jeunes générations d’actifs ne vont-elles pas finir, sous la pression de l’idéologie néolibérale, par exiger elles-mêmes la suppression du « salaire différé » qui forme le socle de la protection sociale à la française…

Certes, le B.A.-BA du syndicalisme de lutte tel que l’ont longtemps pratiqué la CGT et la FSU (avant qu’elles ne se laissent satelliser par la CES, cette courroie de transmission « syndicale » du patronat européen) est qu’ON NE NEGOCIE PAS LES REGRESSIONS, qu’on ne se compromet pas avec les « syndicats » jaunes qui viennent d’avaliser l’ « A.N.I. », qu’on appelle dès maintenant les syndicats de lutte à agir ensemble, sans s’encombre des professionnels de la social-trahison, pour bloquer l’offensive euro-thatchérienne en cours.

Certes il n’est que trop évident que Hollande cherche à présenter le plan de casse exigé par Berlin comme le résultat « démocratique » de la « concertation » entre patrons et salariés sous l’égide de la gentille social-démocratie. Et qu’en conséquence, des syndicalistes soucieux d’EFFICACITE, devraient BOYCOTTER cette mascarade « sociale » qui vise à spolier les salariés AVEC LE CONSENTEMENT de ceux qui sont censés les défendre.

Le premier acte de lutte d’un syndicat est de refuser son consentement aux régressions patronales, surtout quand elles se doublent d’une soumission humiliante aux diktats d’une puissance supranationale : accepter de débattre sereinement d’une régression majeure, c’est déjà y consentir sur le principe, c’est par avance démobiliser les travailleurs.

Aux syndicalistes de lutte, aux communistes véritables, aux patriotes républicains de rappeler dès maintenant que l’acte fondateur de tout combat victorieux, en ce 70ème anniversaire du CNR, est de savoir dire NON (voire « M…. » !) à la collaboration de l’exploité et de l’exploiteur et de délégitimer les cénacles où le patronat s’emploie à duper les travailleurs.

Boycottez la « conférence ANTIsociale et ANTInationale de MM. Hollandréou et Jean-Mark Euro !

Non, le sauvetage de leur maudit euro ne vaut pas la mort de nos acquis sociaux ! 

Par Floreal
Pôle de Renaissance Communiste en France - PRCF - www.initiative-communiste.fr



14 réactions


  • Rensk Rensk 22 juin 2013 12:59

    Nous en Suisse nous avons un mélange concernant la retraite, le 1er pilier est fondé sur la répartition et le 2ème pilier est basé sur la finance...

    Pour preuve que vous avez raison c’est les USA où tout est basé sur la finance et que bien des retraités n’ont plus droit a quoi que ce soit une fois l’assureur en faillite... En Suisse les politique soutenant la finance diminuent le taux de conversion tous les deux ans (mais oublient de le relever en cas de bénéfice)... le peuple avait refusé de descendre en 2010 a 6.4% alors que le taux avait déjà chuté auparavant... le socialiste nous propose cette année de descendre a 6% et de ponctionner la différence avec la TVA qui est un impôt injuste et non solidaire...

    Nos jeunes aussi font le travail des nuiseurs de la cohésion social sans même réfléchir plus loin que leurs nez d’égoïstes... Mai 68 est totalement oublié et vilipendé par notre « jeunesse » qui ne sais ce qu’elle fait !


    • Rensk Rensk 22 juin 2013 13:09

      PS : Dommage qu’on ne puisse répondre a vos articles sur votre site... Trop de travail ? Trop d’employés a payer pour contrôler ce qui se dit pour rester dans la légalité (censure) ? Pas envie de savoir ce que pensent les gens... d’autres pays aussi ?


    • taktak 22 juin 2013 17:22

      @ Rensk
      Il faut le temps de laisser la modération (bénévole comme pour l’ensemble des militants du PRCF) des commentaires de se faire


    • spartacus spartacus 22 juin 2013 20:26

      @Rensk

      Désolé de vous décevoir, la retraite aux USA est par répartitionBien meilleure que les niaiserie clientélistes communistes :

      Les cocos et les bobos ignorant brocardent les USA mais feraient mieux de prendre des leçons :

      Aux USA la retraite est universelle et concerne 96% des américains de Obama aux fonctionnaires et aux salariés du privé. Elle s’appelle OASHI.
      Les régimes spéciaux et hors droit commun n’existent pas !
      Rien a voir avec la répartition clientéliste communiste de 45 !

      On peut passer de salarié du privé a fonctionnaire ou indépendant, la retraite est toujours identique et vous suit partout. 

      Le taux de cotisation OASI est universel, à 12,4%. A cela s’ajoute une cotisation sur le salaire complet de 1,45% pour « Médicaire » pour payer aux retraités leurs soins médicaux. Les retraités n’ont pas de CSG à payer sur leurs pensions....

      Médicaire assure aussi les soins pour les sans emploi, les handicapés, les précaires et ceux qui en font la demande. La CMU Française s’en est inspirée.L’assurance santé est privée pour les actifs, souvent négociée en contrats collectifs au niveau de l’entreprise...

      Vous êtes libre a partir de 62 ans. Pas en fonction de vos années de cotisations. Pas de décoteLa retraite c’est 68% des 420 meilleurs mois travaillés pour tous. La même règle pour tous . Mieux que les 55% Français du régime général (hors privilégiés des régimes spéciaux). Si le travailleur américain reste plus et attend 68 ans il part avec 90% de son salaire en pension de retraite.

      Les tables de projection sont calculées à l’avance pour une anticipation sur 75 ans. La dernière augmentation de taux de cotisation date de l’ère Reagan.

      Le système est bénéficiaire et produit des intérêts. Pas de dettes.

      Lisez la suite sur cet article .....
      Ou cette source détaillée en pdf :

      Les fond de pension américains sont des assurances retraite complémentaires.

    • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 24 juin 2013 10:25

      sauf que medicare ne rembourse plus depuis des lustres les actes au point que si vous n’avez pas une carte de complémentaire, et encore, pas toutes, c’est votre carte bancaire qu’on vous demande à l’entrée à l’hosto.

      Quant à la retraite lol... attention aux contre-vérités !

      "... Aux Etats-Unis, les pensions de retraite (Retirement Benefits) sont gérées par un organisme de l’Etat fédéral, le Social Security.

      Ces pensions étant infimes, elles ne constituent pas une retraite suffisante pour vivre ; aussi les Américains en activité (dans leur grande majorité) doivent cotiser à des fonds de pension privés pour leur permettre un meilleur revenu mensuel.

      A la grande différence avec d’autres pays comme la France où c’est un système par répartition, la retraite aux USA est un système par capitalisation, autrement-dit basé sur le principe d’un investissement périodique d’une somme d’argent...« 

      (Ce n’est que le copié-collé d’un guide de  »comment se démmerder aux US")



  • lcm1789 22 juin 2013 13:49

    Je ne peux que soutenir cet article.


    @Rensk il y a bien une rubrique « commentaires » sur le site d’Initiatives-communistes, il faut surement attendre que le travail bénévole de modération se fasse.

  • louphi 22 juin 2013 16:34

    Floreal-PRCF

    « Le premier acte de lutte d’un syndicat est de refuser son consentement aux régressions patronales… »

    Sauf si c’est un syndicat patronal, ou infesté par des ouvriers embourgeoisés, ou enkysté et dirigé par des apparatchiks de l’anarcho-trotskisme, comme c’est le cas de l’ensemble des syndicats de la place.

    Sans l’émergence d’un parti communiste de type bolchevique, léniniste-staliniste, ayant suffisamment établi son influence sur les syndicats des travailleurs, il n’y a rien de très sérieux à attendre des syndicats en faveur des travailleurs.



    • vesjem vesjem 22 juin 2013 18:36

      le pouvoir organise des pseudos concertations impliquant les forces sociales ; ainsi les « pics » de rébellion sont dilués lentement et sournoisement ;
      le pouvoir neutralise donc l’explosion sociale ;
      comme l’auteur le suggère , le boycott est un moyen très efficace pour laisser l’adversaire (patronal et gouvernemental dans cette affaire) dans le doute quant au niveau de mécontentement du corps social ;
      la révolte violente des salariés opprimés peut alors être possible et ainsi rendre le régime instable (crainte suprême de la classe politique) ;


  • spartacus spartacus 23 juin 2013 10:10

    La répartition de 46 n’est qu’une vulgaire pyramide de Ponzi :

    Les premiers entrés ont assuré la publicité et la promotion du système, comme dans toutes les pyramides de Ponzi.

    La pyramide de Ponzi est une création de Charles Ponzi. Cet entreprenant immigré italien commença, à partir de 1916, à convaincre des gens de le laisser investir leur capital dans des investissements à fort rendement. Toutefois, Ponzi n’effectua jamais aucun investissement. Il prit simplement l’argent donné par les derniers investisseurs et le donna aux premiers, en y ajoutant un profit incroyable pour ces derniers. Le profit réalisé par les premiers était tellement intéressant, que Charles Ponzi utilisa les premiers investisseurs très satisfaits comme publicité pour attirer encore plus d’investisseurs. Malheureusement, pour continuer à payer les premiers investisseurs Ponzi devait en trouver toujours plus. Finalement, il ne put élargir encore le nombre d’investisseurs assez rapidement et la combine s’effondra. Ponzi fût condamné pour fraude, et envoyé en prison. Un autre personnage plus récent a réussit à maintenir une pyramide sur le même principe 54 ans, Richard Madoff.

    La Sécurité Sociale, d’un autre côté, force les gens à y investir à travers une taxe obligatoire. Au début une petite partie de cet argent était utilisée pour acheter des placements d’état que l’état a du finir par racheter, mais la vaste majorité de cet argent que vous payez à la Sécurité Sociale n’est pas investi dans quoi que ce soit. Au lieu de ça, l’argent que vous donnez au système a été utilisé pour payer les bénéfices à ces « premiers investisseurs  » qui sont aujourd’hui retraités. Quand vous prendrez votre retraite, vous devrez compter sur la génération suivante de travailleurs pour payer les taxes qui financeront vos bénéfices.


    Tout comme dans le schéma de Ponzi, c’est un très bon calcul pour ceux entrés tôt. Les tous premiers bénéficiaire de la Sécurité Sociale, en 1946 sortaient de la guerre, ils ne cotisaient que faiblement, leurs cotisations versées n’avaient aucun rapport avec la valeur de leur retraite, fortement intéressante. De tels retours sur investissement étaient possibles parce qu’il y avait beaucoup de travailleurs qui mettaient de l’argent dans le système, et seul peu de retraités en bénéficiaient. L’espérance de vie est basée sur les conditions de mortalité que rencontre chaque individu tout au long de sa vie. Les premiers entrés dans le système avaient connus une guerre mondiale, la moyenne d’espérance de vie était donc faible en 46.


    En 1950, par exemple, chaque retraité était pris en charge par 8 travailleurs. Aujourd’hui, il n’y en a qu’un peu plus de trois. Autour de 2020, on descendra à moins de deux.

    Tout comme dans le schéma de Ponzi, quand la source de nouveaux contributeurs s’assèche, payer les versements promis devient impossible. Les vieux versements aux montants élevés sont de l’histoire ancienne depuis longtemps. Quand les jeunes travailleurs d’aujourd’hui prendront leur retraite, ils recevront des sommes bien en deçà de ce que les investissements privés auraient pu leur rapporter. Nombre d’entre eux devront s’estimer heureux s’ils rentrent dans leurs frais.

    Au final, la pyramide s’écroule.

    Nous voyons tous que les solutions étatiques pour faire perdurer le système ne sont que des appels à d’autres financements. Le socle de la pyramide ne pouvant plus s’agrandir, les cotisations basées sur les salaires sont arrivées à saturations et entraînent un coût des travailleurs trop élevés par rapport à nos partenaires occidentaux et un chômage de masse induit.


    Bien entendu, la Sécurité Sociale et la pyramide de Ponzi ou de Madoff ne sont pas parfaitement analogues. Ponzi, après tout, devait compter sur la volonté des gens à consentir à investir avec lui. Lorsqu’il n’a plus réussi à convaincre assez de nouveaux investisseurs de rejoindre son système, il s’écroula. En revanche, la Sécurité Sociale peut se reposer sur le pouvoir du gouvernement à lever des taxes. Au fur et à mesure que le nombre toujours plus petit de travailleurs qui mettent de l’argent dans le système rend le maintien des sommes versées toujours plus difficile, le gouvernement peut simplement forcer la population jeune à payer encore plus.


    En fait, les cotisations de la Sécurité Sociale ont été augmentées plusieurs fois depuis le début du programme. La première cotisation était insignifiante (divisée entre l’employeur et l’employé), et limitée. Aujourd’hui, elle est élevée, étendue à d’autre prélèvements comme la CSG, oi la CRDS. La réalité, les prélèvements sur l’économie ont augmenté de 400% sur l’économie en général.

    De plus, au moins jusqu’à l’effondrement de sa pyramide, Ponzi était plus ou moins forcé à payer ce qui avait été promis aux premiers investisseurs. Avec la Sécurité Sociale, en revanche, l’état peut toujours modifier à la baisse les versements dans le but de maintenir le système à flots.

    La Sécurité Sociale doit faire face à plusieurs milliards d’€uros de futurs versements non-provisionnés.

    Augmenter les cotisations, créer des taxes nouvelles et réduire les versements suffisamment pour maintenir la Sécurité Sociale signifie évidemment une dégradation sans fin des conditions pour les plus jeunes travailleurs. Ils seront forcés de payer plus, et toucheront moins.


    Le PRCF et tous les zozos communistes ne sont plus aujourd’hui que des groupements corporatistes d’obligés de l’état qui décrivent le « bonheur » de la répartition sont "curieusement des bénéficiaires de régimes spéciaux, donc régimes par taxation....

    On se demande pourquoi ces gens ne réclament pas pour tous une répartition universelle pour tous ?

    Simplement parce que ce sont des hypocrites, et leur idéologie communiste, même devant les preuves ne peut être remise en cause



  • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 24 juin 2013 11:05

    Pénible et long copié-collé, à côté de la plaque, à mon avis.
    Tout-le monde sait ce qu’est une Pyramide de Ponzi, merci ; un lien aurait suffit.

    C’est d’ailleurs le contraire de la retraite par « répartition » (mot mal choisi d’ailleurs à mon avis). La pyramide de Ponzi implique les faux en écriture d’un côté et la cupidité de l’autre. Elle ne repose qu’éphémèrement sur une croissance exponentielle qui se casse la gueule quand la courbe se verticalise. Quelques suicides sont l’effet collatéral des faillites qui s’en suivent : pas grave, faut vraiment être con.

    La « répartition », que j’appellerais plutôt « mutualisation » repose sur le système inverse est un circuit fermé fonctionnant en boucle, système dont la finalité n’est pas à priori l’achat de Rolex ou autres babioles...

    Non ce système est un vase clos dont il faut (désolé les intégristes !) bien admettre que :
    Pour que les cotisations des actifs du présent financent la vie des actifs du passé et ainsi de suite, et étant-donné que le nombre des uns et des autres varie en fonction de l’air du temps, un nivellement indexé sur le rapport actifs/retraités est nécessaire : théoriquement, le montant de la pension et/ou celui des cotisations devraient évoluer tous les jours, selon chiffres de l’emploi d’un côté et mortalité de l’autre, de façon à garder la proportion nécessaire à un équilibre sur le long terme.
    Moralité, on peut assez facilement se fixer une ligne « mutualiste » à peu près logique, encore faut-il d’une part accepter la fluctuation des pensions et prélèvements, c’est essentiel, en arrêtant de se battre pour des seuils & objectifs obsolètes avant d’être atteints, mais aussi d’autre part à inventer le gestionnaire idoine pour le mastodonte financier que cela suppose.
    Je propose la naissance d’une nouvelle science économique : « L’ isodémographie sociale »...

    (penser à en parler au directeur de l’ENA).


  • soi même 24 juin 2013 12:38

    C’est hôpital qui se fou de la charité votre article, en ce qui concerne l’antisocial vous en connaissez un rayon !


  • Loatse Loatse 24 juin 2013 13:20

    Je n’y connais pas grand chose en économie mais il me parait évident que sans croissance et donc avec des moins en moins d’actifs pour assurer la pérennité de ce régime de retraite par répartition, si aucune mesure n’est prise pour relancer l’économie, ce régime ne pourra pas perdurer...

    Celui ci devrait d’ailleurs reposer sur un principe qui est celui d’un maximum..et d’un minimum vital..Ce système me semble jusqu’à présent ne pas répondre à sa vocation première soit payer les retraites de nos ainés puisque les cotisants s’attendent à percevoir une retraite qui correspond au montant des cotisations qu’ils ont versé.. j’ai l’impression que la plupart pensent qu’ils cotisent donc pour eux mêmes..

    Pour relancer cette fichue croissance, j’ai une idée qui résoudrait bien des problèmes dont celui du logement... Il suffirait d’inciter tout jeune salarié à acheter son appartement (ou sa maison) en octroyant des prêts à très longue durée (je crois que cela se fait en suisse) 35 ou 40 ans.. à très bas taux d’intérêts.. (avec relai APL en cas de difficultés)

    Le marché de l’immobilier fait vivre beaucoup d’entreprises (électricité, isolation, peinture, plomberie, jardineries, magasins de meubles et de bricolage, chauffagistes etc...)

    Puis établir un système de retraite avec un taux maximum.. exemple : 2000 euros. Si le cotisant désire plus celui ci devra cotiser à des fonds de pensions privés ou investir son argent autrement...

    En ce qui concerne les pensions de reversion, même système.. celles ci seront conditionnées en fonction du barème ci dessus... si le conjoint survivant percoit une retraite de 2000 euros il ne touchera rien, s’il percoit 1500, il percevra 500.... mais pas l’intégralité de la retraite de son conjoint...

    voilà.


  • Loatse Loatse 24 juin 2013 23:56

    @Gauche normale

    Merci pour la vidéo. Excellent !

    avec toutefois un bémol. Cette démonstration est basée sur une petite croissance qui, si les choses continuent ainsi, ne sera pas au rendez vous..Notamment si le pouvoir d’achat du consommateur baisse encore avec la mise en application de la tva sociale censée booster la compétitivité des entreprises... (proposition récente du medef)

    Je crois que nous sommes entrés dans une sorte de cercle vicieux..


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