covid : que dissimule cette défaillance thérapeutique ?
L’oligarchie occidentale aux prises avec une profonde crise de surproduction et d’augmentation de la dette publique prépare un nouvel ordre mondial incluant le grand reset financier, au détriment des salariés, retraités et épargnants dévolus au paiement de la dette.
Ne pouvant obtenir le consentement que d’une minorité non concernée par la baisse prévisible du pouvoir d’achat des masses, elle a mis en place une gouvernance avec une propagande fondée sur la peur, orchestrée par la plupart des medias, propriétés d’une poignée de multimilliardaires.
Venant s’ajouter à la menace terroriste, le traitement par le confinement d’une pandémie qu’on aurait pu endiguer, par la fermeture des frontières, le dépistage ( comme ont fait les Vietnamiens 35 morts pour 100 millions d’habitants peu confinés)et par le traitement à la Chloroquine, (antipaludéen prescrit en toute innocuité depuis 70 ans) ou autres.
En France le gouvernement a choisi le confinement et interdit ( !) sur la foi d’un article bidon, l’utilisation du médicament.
Mise en place de mesures politiques, -faussement sanitaires- comme le confinement, à la place d’un traitement par ailleurs bon marché, envoyant délibérément les malades en réanimation, et jetant les autres vers une vaccination riche en profits boursiers, qui alimenteront la fortune des investisseurs.
Des mesures obtenues par le consentement d’un peuple, qu’une menace -artificiellement fabriquée par les medias- terrorise, et dont la police garantit l’application.
A qui profite le crime ?
Au gouvernement qui musèle l’opposition et à l’oligarchie financière qui s’enrichit de la production des vaccins (dont la montée en bourse explose), et que les contribuables paieront en définitive.
Des Français soupçonneux comprennent de plus en plus qu’en haut lieu l’objectif n’était pas de soigner prioritairement les citoyens, mais d’abord de profiter de cette aubaine (la pandémie), pour assigner à résidence la population et couper d’emblée opportunément la poursuite des manifestations honnies des gilets jaunes, dont la répression policière fut proportionnelle à la frousse qu’elles ont suscitée chez les bénéficiaires de la mondialisation.
A la dramatisation quotidienne grossièrement mise en scène par des chiffres choisis pour faire peur, succède heureusement pour l expression de la vérité , une statistique de l INED (Numéro 587 ) qui corrige Santé Publique France.
« La France métropolitaine a enregistré 654 000 décès en 2020 [1, 2]. Soit 55 000 décès de plus que les 599 000 de 2019. C’est une hausse de 9,2 %. Mais une partie de cette hausse – de l’ordre de 13 000 décès – est due au vieillissement de la population . Restent donc 42 000 décès supplémentaires en 2020, liés à la pandémie de Covid-19. C’est 23 000 décès de moins que les 65 000 de Santé publique France [3]. »
Rappelons que la grippe de