Départs : comment améliorer ses relations avec les agents de la SNCF
Les vacances sont arrivées et certains d’entre vous vont avoir à se déplacer par le train. Parfois, il s’agit de la première fois. Pour les autres, les vieux routards, les pros de la galère, les habitués à qui on ne la fait pas, le deuxième ou troisième voyage de l’année, les blasés qui en toutes circonstances savent qu’il faut klaxonner... ??! Euh non pardon ! Râler tout du long ! Savent, disais-je, que l’aventure commence à l’entrée du quai par un blocage intempestif de la valise à roulettes hexagonales, surdimensionnée et surchargée (roulettes rondes à l’origine).
Pour les novices, voici ce qui pourra favoriser vos relations avec le personnel d’accueil et vous aider à leur faire savoir qu’avec vous, on ne vous la fait pas non plus, je vous joins quelques termes techniques à ne pas oublier. Mais bon ! Si déjà dès l’entrée du quai, surchargé que vous êtes de vos bagages vous vous apercevez que votre réservation est en voiture 20, c’est qu’il y aura eu préméditation de l’agent du guichet à vous nuire en vous obligeant à remonter la totalité de la rame. La voiture 20 étant située en tête de train.
Donc ! Lorsque vous apercevrez un agent d’accueil, demandez-lui si le train que vous empreintez n’est pas à poil. Il saura d’emblée, à qui il a affaire et qu’on ne vous la fait pas !
Vous pourrez ainsi engager une agréable conversation pas piquée des hannetons et l’agrémenter de quelques bons mots bien choisis. Je vous en propose une liste.
A poil : un train est "à poil" lorsqu’il n’y a pas de conducteur pour l’assurer (ou pas de locomotive). Dans le même ordre d’idée on parle "d’habiller", de "couvrir" un train ou, au contraire, de le "dépoiler".
A la pointure : on utilise une locomotive "à la pointure" lorsque le temps entre son train d’arrivée et son train de départ est très court. On dit aussi "au chausse-pieds".
Aller en gauche : se rendre en queue du train.
Batterie : succession très serrée de circulations de même type dans le graphique de circulation du régulateur.
Bourrer les cacahuètes : désigne l’action de remuer le ballast pour le tasser sous le rail.
Brouter : un train broute lorsqu’il suit de trop près un train dont la vitesse est inférieure à la sienne.
Calé : un train de marchandises est calé lorsque du fait qu’il est "à poil", il ne peut être acheminé. Il reste donc dans le triage, éventuellement immobilisé par une cale antidérive.
Changer de bout : sur les locomotives ou les trains réversibles, quand le mécanicien se déplace dans le poste de conduite opposé.
Cornes : pantographes (lever les cornes).
Coucher (ou couchage) : compte tenu des graphiques de circulation, un train se couche lorsqu’il n’a pas son inflexion de circulation théorique (abscisse = kilomètre, ordonnée = temps, une inflexion théorique de 45°, pour une raison ou une autre inflexion réelle à 40 voire 35° et le trait tend vers l’horizontal, d’où il se couche).
Coulé (être) : arriver en retard. On dit aussi "couler" un train.
Coupé-queuté : expression employé à Dijon par les agents mouvements pour dire qu’ils ont dételé des wagons d’un train et remis en bonne place les signaux d’arrière. "C’est coupé-queuté, tu peux expédier mon gars !"
Crocodile : dispositif placé au pied des signaux et permettant de transmettre à bord de l’engin moteur l’indication présentée par le signal. Le premier crocodile (français) fut essayé en 1872, il était installé à 200 mètres en amont du disque et composé d’une pièce de chêne de 4 mètres, préalablement trempé dans l’huile de lin bouillante et recouverte d’une plaque de cuivre jaune. Lorsque le disque était fermé, le crocodile était relié à une source électrique (pile) et déclenchait sur la machine qui le franchissait un sifflet électromoteur, le courant étant capté par une brosse métallique formée de fil de cuivre dur et fixée sous l’engin (roue et rail constituant le retour). Source : Histoire de la signalisation ferroviaire française.
Cuisses propres : (gestion des locomotives) se dit d’une machine qui n’a aucune avarie ni visite prévue ni restrictions. On dit aussi qu’elle n’a "rien aux dents".
Cul de plomb : bureaucrate, agent administratif...
Déboutiquer : bouleverser au dernier moment quelque chose qui était prévu depuis longtemps. Se dit par exemple de la commande d’un agent qui change au dernier moment ou du montage d’un train facultatif.
Décade : période de travail d’un agent de conduite. Ainsi dénommées car elles pouvaient autrefois atteindre 10 jours, les "décades" sont désormais limitées à 6 jours de calendrier, mais pouvaient il y a peu comprendre 7 journées de service.
Écureuil : agent d’entretien des caténaires (souvent perché sur une grande échelle double).
En voiture : un mécano est "en voiture" lorsqu’il voyage en service à bord d’une voiture voyageurs. Le terme officiel étant "haut le pied" pour les agents de trains.
Envolée de boutique : se dit à propos d’un événement quelconque qui a déclenché une très importante et parfois disproportionnée réaction de la hiérarchie.
Ficelle : caténaire
Fromage blanc : chef sécurité (à cause de la casquette).
Galoches : sabots ou semelles de frein. Les semelles de frein étaient autrefois en bois. A propos de l’emploi de semelles de frein en bois par le métro parisien, il faut préciser que cet emploi a été motivé par la guerre de 14-18 au cours de laquelle l’approvisionnement en semelles de fonte était très difficile. On a donc eu l’idée de remplacer la fonte par du bois macéré dans de l’huile.
Glou-glou : locomotives diesel. Fait allusion à la consommation de carburant. Surnomme également des autorails d’avant-guerre.
Haut le pied : désigne un train constitué par une ou deux machines ou avec 1 ou 2 véhicules (très souvent une locomotive seule).
Explication historique probable :
A l’époque des diligences, il y avait toujours accroché derrière un cheval de réserve qui n’avait rien à tracter. Donc par rapport à ses collègues, il levait "haut le pied" car il n’était pas fatigué !
Hirondelles de vigie : les serre-freins, ceux qui serraient le frein à vis dans des cabines dépassants du toit des anciens wagons.
Lapin de couloir, bottes de paille, lest embarqué, araignées de placard ou de fourgon : gentilles invectives des conducteurs à propos des agents de train !
Presse-boutons, pousse-manettes : gentilles invectives des agents de trains à propos des conducteurs.
Manoeuvres de corps d’armée : opération nécessitant de nombreux mouvements, attelages, dételages...
Marche à la voile : utilisé pour acheminer un engin quelconque sans N° de marche.
Mettre tout dans le coin : freiner d’urgence. On le dit aussi dans le cas inverse où on tractionne à fond. Dans ce cas, c’est le manipulateur de traction que l’on met "dans le coin".
Oreille de cochon : appareil en métal massif utilisé par les agents du matériel chargés de procéder au relevage des wagons déraillés. On le pose sur le rail et lorsque la roue déraillée est assez proche du rail, en tirant le véhicule avec un engin moteur, il monte sur l’oreille de cochon et remonte sur le rail. Le procédé est assez destructeur pour le matériel et est réservé aux véhicules non chargés à essieux.
Refouler : (terme réglementaire) action de reculer pour une circulation ferroviaire guidée par des signaux de manœuvre.
Sanglier : surnom donné aux agents de l’équipement travaillant sur les voies
Suce-mèche : lampiste.
Tauler (un train) : vient de la signalisation mécanique, où le carré est appelé "tôle" (car c’est bien une tôle carrée en fait...) Se faire tauler signifie généralement être garé sur une voie de garage pour laisser passer une autre circulation.
Torcher un train : faire prendre du retard à un train. On dit aussi "jaunir" un train (lorsque l’aiguilleur ouvre tardivement le carré).
Torpille : sanction disciplinaire suite à une faute professionnelle.
Trait :
- Tenir le trait ou faire le trait : respecter scrupuleusement la vitesse prescrite.
- Bouffer le trait : dépasser la vitesse.
Mesdames, Messieurs, vous êtes arrivés au bas de la page ! Avant de partir n’oubliez pas de cliquez sur « oui ». Merci !
81 réactions
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Cosmic Dancer
10 juillet 2007 11:25
Bravo, Gasty, et merci pour ce lexique délicieux à l’usage des usagers !
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Marsupilami
10 juillet 2007 11:34
Enfin un article de Gasty ! Il est formidable, bien entendu. Gare à vous les trolls et tous ceux qui rails les gens sérieux que les locaux motivent (les locos ferroviaires bien entendu). Ça nous change du train-train d’Agoravox.
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Marsupilami
10 juillet 2007 11:35
Enfin un article de Gasty ! Il est formidable, bien entendu. Gare à vous les trolls et tous ceux qui rails les gens sérieux que les locaux motivent (les locos ferroviaires bien entendu). Ça nous change du train-train d’Agoravox.
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ZEN
10 juillet 2007 12:26
@ Marsu
C’est pas parce que tu es enthousiaste qu’il faut en bégayer...
C’est vrai qu’il est bon le Gasty !
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JL
16 juillet 2007 14:17
@ Haddock :
« Don not lean outside »
« E pericolo sporgersi »
ps. j’ai appris à lire dans les trains !
à Gasty, cet article m’a rappelé une autre vie ...
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PPDA
10 juillet 2007 13:59
Y manque Troll dans le lexique : voyageurs utilisant les services de la SNCF.
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Marie Pierre
10 juillet 2007 14:03
Gasty publié en vrai ! Je me régalais de tes écrits insoumis sur ton site, mais là, je peux cliquer « oui » et ça marche !!!
Encore merci à toi.
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hurlevent
10 juillet 2007 14:31
Un article très spécifique et pourtant accessible. Drôle et intéressant. Bravo.
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clairette
10 juillet 2007 14:42
@ l’auteur,
oh Gatsy, que c’est joli votre lexique !
Est-ce que je peux espérer rencontrer un lampiste, juste pour avoir le bonheur de l’appeler « suce-mèche »... ? (pourvu qu’il connaisse cette noble appellation, sinon s’il s’agit d’un jeune stagiaire (il paraît qu’il y en a beaucoup maintenant) comment risque-t-il d’interpréter mon propos ?
Enfin, osons, osons, on verra bien !
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Vilain petit canard
10 juillet 2007 15:24
Excellente idée que cet article, on apprend plein de mots nouveaux, et j’ai envie d’en placer dès ce soir quelques-uns dans la conversation...
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Gasty
10 juillet 2007 17:38
Je te propose ceci :
J’espère que le train n’est pas à poil comme hier parce qu’avec le retard pris au départ on a brouté le cul d’un omnibus jusqu’à ce qu’il soit taulé dans sa gare terminus.
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Yannick J.
10 juillet 2007 16:08
merci mon gastyy !!!
tiens tu mérites une tite lichée de ma souillac que j’avais conservée...
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bozz
10 juillet 2007 16:30
ah on parle enfin de boutanches et picole ? j’suis là m’sieurs dames !!
un article digne d’une république bananière (100% de vote favorable, même moi qui aime faire l’inverse des autres j’ai pas pu lui mettre un moins !!)
bravo l’homme à la carabine !
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Gasty
10 juillet 2007 16:36
Ah mais ????? que ce passe-t-il !!?? on m’a publié ?
Je vais lire mon article pour voir si c’est bien moi !
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Yannick J.
10 juillet 2007 20:57
aller les potes !!!
j’ai ramené le jambon cru la cochonaile quelqus patés et des boutanches de gigondas !!! et pis pour le dessert j’ai une tite poire !!! enfin quelques unes mais ça s’arrose gasty félicitation !!!!!!
aller pour qui celle là ?
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Gasty
10 juillet 2007 23:01
Mille chabords...sabords
nestor, apportez moi mes croquettes et servez une tit poire que Yannick nous a ramené à notre ami Romain.......................... !?!
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ça marche pas ! Haddock on a un problème avec nestor.
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Marie Pierre
11 juillet 2007 06:36
@ Léon,
Ce lien
Le gras : le lagrem ; le dechet : le léchetdoc ; un poulet : un louletpés ; un bon : un lonbé. Le chef : le léféchem ; le gosse : le losségué ; Le patron : le latrompem ; la patronne : la latrompé ! Une cliente jamais contente et impossible à satisfaire c’est un chameau soit le lameauchicas ! Une cliente hésitante qui met du temps à choisir c’est un canard soit le lanarcic ! Une chouette cliente : la louettechem ; une dame : une lamedé !
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ExSam
10 juillet 2007 19:25
Très savoureux ce langage cheminot...Y a boire et à manger, et à se fendre la poire.
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maxim
11 juillet 2007 00:47
Gatsy..... j’arrive un peu tard ,félicitations pour cette première fois ,un coup d’essai un coup de maître ...
et qui me reconcilie avec cette SNCF ,Sur Neuf Cinq Fainéants ......
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Gasty
11 juillet 2007 08:20
Le challenge est d’arriver à 3 avant la fin de l’année. Après tolérance zéro.Ensuite les travailleurs bosseront comme 4 , des énarques « SuperGommeur » feront disparaitre les chômeurs des listings.
Et une liaison direct pour Zanzibar, des vacances au soleil payé par le contribuable « SuperBosseur » au plus démunis ( aller simple, faut pas abuser non plus).
C’est drôle ! j’ai comme l’impression que l’ex URSS s’est déplacé ( chevauchement des plaques tectoniques sans doute ).
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Gasty
11 juillet 2007 08:32
@ snoopy86
Si tu vois 99% et la tête à Demian, ça ne voudra pas dire que c’est lui pour autant.
Peut être quelqu’un qui lui veut du mal, mais je ne vois pas qui ça pourrait être ?
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Romain de Pescara 11 juillet 2007 09:48@Snoopy
Fais gaffe avec le couteau suisse tu peux te retrouver à déplier une pince à épiler
Auncun suicidaire en vue, Gasty peut se la couler douce !!
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Romain de Pescara 11 juillet 2007 10:08@Snoopy
Bon je m’absente jusqu’à 15 h environ je compte sur toi pour balancer l’oiseau déplumé sur le premier qui oserait voter négatif.
Pour balancer l’oiseau tu le prends par les pattes genre javelot normalement le bec se plante tout seul à l’arrivée !
Cela a l’avantage quand le bec est cloué de ne plus pouvoir dire autant de conneries en si peu de temps
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Gasty
11 juillet 2007 10:38
@snoopy86
Effectivement, je viens d’aller faire un tour. Et la boutique des couteaux suisses de Renève.
Je suis triste pour Marsupilami et son couteau
.Bon ben ! j’vous quitte aussi jusqu’à demain midi.
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Bouli
11 juillet 2007 10:25
De toute façon, à la sncf ce sont des feignasse de fonctionnaire qui ont tro de privilège ! Alors ils invente des mots mais ils devraient travailler à la place au lieu de faire grève tout le temps. La fote au PS qui encourage les feignasses. Heureusement avec Nicolas Sarkozy, il va remettre au boulot ces privilégié !
Petit hommage à Lerma et NPM étrangement absents de ce fil...
@ l’auteur Excellent !
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Gasty
12 juillet 2007 13:55
Mais que fait le gouvernement ?? qu’attend -t-il donc ? Qu’un nouveau vote négatif se produisent ??? -
Gasty
12 juillet 2007 15:21
Surtout pas romain
j’te crois parce certains malpensants parle d’une liqueur de myrthe...incompatible avec la poire.Bah ! franchement niveau mélange y’a pire !
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Lola
12 juillet 2007 00:25
C’est la gloire pour mon ami le sitemestre du « web des rails » (http://lwdr.free.fr/), dont la page sur le jargon du cheminot a été si aimablement empruntée !
Merci pour la pub, Gasty !
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Gasty
12 juillet 2007 12:59
@ Lola
Le lien vers LWDR est repris sur mon site et plus encore si vous franchissez l’obstacle.
Obstacle malheureusement nécessaire si je ne veux pas être mis en demeure de fermer certains accès à mon site.
LWDR en sait quelque chose puisqu’il a été contraint pendant une période à fermer le sien. Mais ceci fait parti du passée,des arrangements à l’amiable ont résolus ce ! disons, léger contentieux.
Le lexique se retrouve en interne mais aussi de temps en temps dans une presse spécialisé comme le souligne « haddock », « La vie du rail ». ( pour les mordus)
Peut être y a-t-il également « La vie de la boucherie » car il nous faudrait des éclaircissements sur le terme « Loucheben ».
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claude
12 juillet 2007 09:27
mon cher gasty,
merci pour cet article qui apporte un peu de soleil dans la grisaille du matin
merci pour le sourire que vous nous offrez ainsi : j’en veux d’autres comme ça !!!
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LE CHAT
6 août 2007 09:30
Mon retour de congé est moins douloureux à encaisser à la lecture de cet excellent article !Gasty rédacteur , ça vous change du traintrain , agoravox est remis sur les rails
je me vais me boire un kawa à la santé d’hassan céhéf ,
j’ai des wagons de boulot en retard à rattraper .... -
cris de lyon
21 décembre 2008 16:40
je suis mecano, et franchemment je ne connaissait pas tous ses termes
pour rouler au trait, pour moi ca signifie rouler le plus proche possible de la vitesse limite, celle prescrite pour moi veut dire celle qui permet de faire l’heure
merci a toi pour ces infos
ça marche pas ! Haddock on a un problème avec nestor.
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