Dérèglement climatique, au nom de quelles règles ?
« CO2 », Urgence climatique », « gaz à effet de serre », « submersion des terres due à l’élévation du niveau de la mer et des océans », « malédiction du CO2 « ... Le discours catastrophiste est bien installé désormais et s’abreuve à son unique source, le GIEC, incontournable pourvoyeur de la doxologie climatique, où nous voyons que depuis leur
jubé médiatique, les nouveaux prêcheurs haranguent les foules, jeunes et vieux, devant cette nouvelle religion.
Foules béates, c’est bien le terme qui convient de ce que j’ai puconstater de visu, lors d’une récente conférence consacrée au glaciologue Claude Lorius,[2] décédé il y a un mois environ, et qui fut un membre éminent du GIEC. La conférence fut complétée d’un film réalisé de son vivant, sur ses débuts de chercheur dans l’Antarctique dans les années 50. C. Lorius adepte de la théorie du réchauffement climatique d’origine anthropocène, du CO2, des effets de serre, reprenant point par point, tous les poncifs des carbocentristes et des réchauffistes. J’avais l’impression d’assister à une célébration ordinale sans contestation possible de tout ce qu’avançait le GIEC. Or, des allégations du GIEC, au fur et à mesure que les années ont passé, tout s’est avéré faux, improbable, invérifiable dans les faits, comme l’élévation du niveau des océans, de la mer, de 1 m 40, et d’autres fadaises de ce genre.
Si nous ne pouvons nier qu’il existe bien une pollution industrielle, une déforestation massive industrielle, le saccage des terres par des multinationales, un empoisonnement continu de l’eau par des substances toxiques déversées par l’Industrie des multinationales, une raréfaction des espèces animales rampantes, volantes, à cause d’une toute petite
minorité aux commandes de ces grandes entités surpuissantes, il est hors de question d’accepter qu’une minorité agissante se dédouane au travers de concepts pseudo-scientifiques, pour ajuster leurs tirs meurtriers sur les citoyens ordinaires, tout en échappant à la justice. En effet, des armées d’avocats engagées par toutes les victimes de ces prédations, de leurs conséquences et souhaitant faire condamner ces empoisonneurs publics, ont beaucoup de mal à les neutraliser aux termes de procès longs, fastidieux, coûteux et épuisants pour les parties civiles. Exemple, les procès intentés contre Monsanto.
Le but des manœuvres des réchauffistes ? Tout en détournant l’attention de l’opinion publique vers le soi-disant « réchauffement climatique » et le CO2, ils font d’une balle deux coups.
1/ Minimiser l’importance de la pollution industrielle des multinationales puissantes, qu’il ne faudrait surtout pas trop asticoter,
2/ Faire "cracher au bassinet" par tous les citoyens, un nouvel impôt : la taxe carbone en leur faisant payer même l’air qu’ils respirent, pour le plus grand bonheur des « carbo-dollars », en inventant avec la complicité de quelques scientifiques aussi bornés que ceux qui les commanditent sont corrompus, la conception erronée d’un réchauffement climatique d’origine anthropocène.
La tactique est grossière, car derrière la taxe carbone, le Passe carbone se profile pour bientôt, initié par des gens A QUI NOUS NE DEVONS RIEN, ils ne sont ni élus, ni recommandables, et misent sur leurs prophéties auto réalisatrices pour annihiler tout esprit de résistance chez le peuple. Car à qui s’adresse le terme « anthropocène » choisi par ces scientos, ces bidouilleurs de théories carnavalesques ? Eh bien, à l’être humain issu du peuple en particulier qui pour vivre ou survivre se trouve contraint de se déplacer, d’utiliser son véhicule personnel, de se chauffer, de se nourrir, donc de consommer. Leur théorie ? S’il consomme, il pollue.
Vous croyez donc que la petite mafia obèse de dividendes aux commandes qui se nourrit à la corne d’abondance des contribuables, et se permettent de voyager en jet privé et de polluer largement les couloirs aériens qu’ils empruntent, va reconnaître une fois pour toutes, sa terrible responsabilité dans l’empoisonnement de la nature et des populations, de par le monde ? Que nenni ! Il faudrait être idiot pour le croire.
Ces gens-là ne doutent jamais d’eux-mêmes et c’est ce qui jusqu’à présent leur a permis une prédation continue contre l’espèce humaine et la nature. Mais j’ai envie de leur dire que nous ne nous laisserons pas faire. Le Passe carbone projet de soumission totale des populations représente avec tout ce qui a été mis en place jusqu’à présent depuis la crise du Covid et le passe sanitaire, une des plus grandes ignominie qui soit. Il est en devenir, ce sera une prison numérique où le citoyen sera pieds et poings liés, entièrement dépendant malgré lui de sa « consommation de CO2 », où l’on mesurera son « empreinte carbone », soit un contrôle total sur les populations. Une main mise sur ses revenus et la fin des libertés individuelles déjà mises à mal avec la crise du Covid, où nous avons eu à déplorer une véritable marée de mesures totalitaires et de maltraitance institutionnelle envers le peuple.
La légende construite autour du réchauffement climatique, avec la virtualité du CO2 est nécessaire pour soutirer des sommes absolument astronomiques aux gens ordinaires, il s’agit d’une véritable entreprise d’escroquerie, lorsque les multinationales, elles, échappent aux impots sur les fortunes et cachent leurs dividendes dans les paradis fiscaux. Il y a longtemps qu’ils y songent. Et les voilà à voter à l’UE, centre de toutes les malversations, concussions, corruption, la taxe carbone et bientôt le passe carbone, ce qui deviendra dans les mois qui viennent, synonyme d’Enfer. Le mot Enfer contenant le mot enfermement.
Prisonniers au nom d’une construction « intellectuelle » basée sur du vent, allons-nous accepter d’être le jouet du délire de gens auto-proclamées Elites et qui se sont accaparés de la presque totalité des richesses planétaires ? GAFAM en tête, flanqués de leurs sacs à saucisses de DAVOS.
Bill Gates est en train de racheter des dizaines de milliers d’hectares de terres agricoles arables, cultivables partout sur la planète. Projet qui ne nous dit rien qui vaille.
Recentrons-nous autour de leurs mensonges parfaitement démontables, malgré l’entêtement médiatique à les relayer sans aucun débat contradictoire organisé pour contrer les réchauffistes du GIEC.
La théorie du CO2 et du réchauffement climatique qualifiée d’origine anthropocène est un syndrome « carbocondriaque » [3], selon François Gervais, physicien, spécialiste des Hautes Températures, (vous trouverez en fin d’article en note, le détail de ses compétences). Dans ses ouvrages, il s’élève contre un discours écologique entièrement fabriqué, reposant sur des absurdités.
Le polytechnicien Christian Gerondeau avec « Les douze mensonges du GIEC », dénonce quant à lui, la nouvelle « religion écologiste ».
Je vais donc m’appuyer sur ces deux auteurs, scientifiques de renom parus en 2020 et 2021, (voir références en bas d’article) pour apporter la contradiction nécessaire au discours de peur et de panique diffusé auprès de l’opinion publique, par le GIEC.
Les mensonges et les approximations sont grossièrement étalés par les media largement subventionnés pour soutenir la supercherie, l’escroquerie morale et bientôt financière puisque par la taxe carbone, en attendant le Passe carbone, ils viendront directement piocher dans nos poches. L’Union Européenne vient de voter la taxe carbone, à raison de 450 Euros par an, et par contribuable, ou comment un mensonge éhonté sert à ramasser l’argent des contribuables et à enrichir un peu plus le CAC 40, les multinationales, les milliardaires, avec cette nouvelle forme de capitalisme vert : le green deal. Un dogme désormais sacralisé par les media dont le pourrissement intellectuel n’est plus à démontrer, ils le démontrent très bien eux-mêmes par leur rhétorique grossière, agressive et assassine de la vérité, en mentant, en entretenant la peur, comme ce le fut pour diffuser le glacial effroi avec la crise du Covid, en terrorisant les foules avec des images extraordinaires. Et tous les partis qui soutiendront ce funeste projet s’en rendront complices.
Tirées de films naturalistes, les réchauffistes nous montrent des images choc, des forêts calcinées, incendiées, des terres qui se craquellent, des cours d’eau asséchés, des éruptions volcaniques phénoménales, des glaciers qui fondent, des névés qui se déplacent, des crevasses qui gouttellent, des neiges éternelles qui diminuent, des ours qui flottent sur des banquises fondantes comme des ice-cream, des inondations violentes et dévastatrices, des
tempêtes, des tsunamis, comme si tous ces phénomènes qui ont toujours existé et se répètent régulièrement partout sur la planète étaient subitement anormaux. Les carbocentristes nous annoncent avec la plus grande forfanterie, effronterie, cynisme et sans un soupçon d’honnêteté intellectuelle que c’est la fin du monde, qu’on va tous mourir !
Covid ou réchauffement climatique : mêmes termes utilisés. Par la peur et la manipulation, gouvernons les masses !
Mais avant, il convient de préciser que tous ces discours « alarmistes » n’auraient pu être fabriqués sans la participation des scientifiques, qui, naïfs ou pas, ont entretenu pendant des années, des décennies, « au nom de la science », une vision anthropocène du climat. Car disons le tout court, ce n’est pas la pollution industrielle qui les intéresse, non, c’est le climat. Le clima, un phénomène sur lequel l’humain n’a aucun impact, sinon de le subir dans toutes ses variations possibles en s’y adaptant, tout comme la nature s’y adapte, vu que la terre comporte deux hémisphères, des multitudes de climats, de micro-climats, etc.
Au XIXe siècle Edmond Rostand écrivait ces vers que nous ferions bien de méditer, dans Chanteclerc : Ô Soleil ! toi, sans qui les choses ne seraient que ce qu’elles sont !
Pour les réchauffistes, c’est l’homme qui souffle son CO2 dans l’air y compris certaines espèces animales. Le soleil et son réchauffement naturel plus ou moins ardu, plus ou moins faible, ça n’existe pas. Le CO2 produit par l’homme influencerait Le CLIMAT. Alors qu’ilest établi depuis que l’homme est apparu sur terre que c’est le climat qui influence
l’activité humaine et la répartition démographique de la planète et non le contraire. Plus le climat est chaud et plus les populations sont nombreuses, plus nous nous éloignons des températures élevées pour aller vers le froid, et plus les populations se raréfient. Le froid tue plus sûrement que la chaleur. Une telle Lapalissade pourtant, ne semble pas effleurer les certitudes des crânes d’œuf qui sévissent. Mais nous y reviendrons avec des exemples concrets.
Tel une génération spontanée, le climat obligatoirement global, puisque les Globalistes ne sont plus capables de raisonner autrement qu’en terme de globalité, toutes nuances, toutes différences, toutes variations climatiques doivent être arasées, gommées, aplanies, pour nous mener tous, vers leur but ultime et sacré : Le totalitarisme, la terreur climatique par l’écologie punitive ! Car le climat lui aussi doit impérativement obéir à des règles pré-édictées par ces gens-là, comme si depuis la nuit des temps, un climat devait être invariable et ne jamais dépasser leurs « normes » !
Exemple qui a été récemment évoqué : les media pour instiller la peur, montrent des cartes météorologiques, l’été, de températures élevées, oscillant entre 30 et 34, 35 °, en rouge phosphorescent, incendiant littéralement l’écran télé, alors que seulement quelques années en arrière, ils se contentaient d’indiquer les hausses avec des couleurs relativement atténuées. Tout cela pour frapper les esprits ! Certains y seront sensibles, d’autres bienheureusement dénoncent cette sordide mise en scène coloriste.
Cette petite précision étant faite, voyons comment ces scientifiques sous la coupe de politiciens comme l’inénarrable Al Gore et son film au succès planétaire, se refont la cerise avec le discours carbocentriste. Al Gore membre de Davos jouait sur du velours, puisque les media entretiennent avec les politiciens des rapports quasi incestueux, et sont étroitement associés au story-telling pour la circonstance.
Le story-telling qui aura désormais cours : l’empreinte carbone de chaque individu ! Au nom de quoi, vous aurez un Passe carbone qui mesurera ce que vous consommez par vos achats, votre façon de vous nourrir, de voyager, etc., de Vivre ! Eh bien, vous serez sanctionné si votre empreinte dépasse un taux imposé par les escrocs et poissons pilotes du NOM ! Tels des rémora ventousés au ventre du Nouvel Ordre Mondial, ils nous emmèneront doucement mais sûrement dans le trou bien avant que nous ayons réalisé – comme pour le Covid – que le but ultime est la dépopulation, car l’Humanité telle qu’elle se trouve aujourd’hui, nombreuse, prolifique – dérange énormément ces malthusiens dangereusement arrimés à leur haine rédhibitoire de l’humanité. Humanité dont ils nient l’appartenance à la chaîne des écosystèmes, en tant qu’espèce mammifère. Pour eux, l’être humain tel qu’il se présente depuis son apparition sur la terre, doit être éradiqué, pour sauver la planète ! Nous sommes trop sur terre, c’est leur viatique, et il faut éliminer une partie de la population, bien sûr, sinon la transformer littéralement comme un produit fini transformable. L’IA les y aideront.
Ce n’est guère un secret que Bill Gates dans son délirant projet pour les années à venir, s’octroyait le droit de clamer, sans que personne ne lui claque le beignet, qu’il était nécessaire de supprimer 15 % de la population mondiale, pour sauver la planète. J’aurais envie de dire à ces pourvoyeurs de mort, sauvez votre âme d’abord, s’il vous en reste une
seule rapièce, car elle est bien noire.
A suivre .../...