Du Covid à l’Ukraine, la démence nihiliste comme objet politique
De la démence nihiliste du Covid à l’Ukraine et la guerre totale contre la Russie, un désagréable sentiment de “déjà vu”. le Great Reset en marche ?
Al’heure de lire les comptes-rendus de la visite de Joe Biden à Kiev où il aurait promis des missiles à longue portée et même des avions de combat au millionnaire mafieux Zelensky, le tout sous les applaudissements de millions d’euro-atlantistes hébétés et des médias de connivence (1), j’ai la même sensation que lors du début de l’opération covido-fasciste montée en 2020 par les mêmes, et encore et toujours sous l’égide des éminences grises de McKinsey au service du Grand Capital Corrupteur (2).
Certes, les psychopathes en blouses blanches qui vantaient tant l’approche agricole incarcérationniste, puis ségrégationniste et vétérinaire à coups de thérapies géniques expérimentales, sont ici remplacés par des uniformes militaires vantant la guerre entre puissances nucléaires, mais ils sont tout aussi fous et, surtout, tout aussi cornaqués par les mêmes costumes-cravates-cocaïne qu’auparavant. Ils et elles servent les mêmes intérêts, que ce soit Big Pharma ou le complexe militaro-industriel ne change que la destination des fonds, pas le modus operandi de la chose elle-même.
J’ai cru, un moment, que l’expérience Covid, dont on commence à entendre quelques échos même dans la presse mainstream (à moins de n’écouter que Radio France ou de vivre dans une grotte), aurait un effet de sensibilisation des esprits : l’immensité de l’arnaque menée par les covidistes, au prix pour la seule France de 400 milliards d’euros gaspillés (mais pas perdus pour tout le monde bien sûr), avec des conséquences désastreuses en termes de santé publique (des dizaines de milliers d’effets secondaires graves, un rapport bénéfice-risque catastrophique pour la vaste majorité de la population, une corruption massive des institutions de santé, la mise à pied de milliers de soignants, etc..), pousserait la population, même massivement désinformée par la propagande otanophile, à faire preuve d’esprit critique et à se méfier des gens qui réécrivent l’Histoire et poussent les peuples à la haine et au sacrifice au profit des industriels et des banquiers.
Pour illustrer le propos, un court documentaire autour de journalistes allemands et américains sur une analyse “alternative” de la situation en Ukraine.
Il semble malheureusement que le même processus de formation psychotique des masses, bien analysé dans le cadre covidien (3), se rejoue à nouveau ici et ce, sans doute parce que le climat social est resté le même : l’anxiété et la frustration se diffusent toujours plus, tout comme la polarisation des opinions (en bonne partie du fait de l’effet de bulle de résonnance des réseaux sociaux, mais l’intolérance nourrie par les postures extrêmes genre wokisme et “cancel culture” renforcent clairement cette dynamique).
Il suffit alors de désigner un ennemi générique, un “camp du mal” qui s’opposerait à nous, le “camp du bien” ontologique, pour recréer cet “esprit de corps social” focalisé sur la haine de l’ennemi ainsi fabriqué, et auquel on incorpore toute opinion dissidente désormais étiquetée “collabo”, “poutiniste” et autres éléments de langage ayant remplacé “antivax”, “complotiste” ou “gilet jaune”.
Marie-Estelle Dupont et la pensée binaire.
Les situations, pourtant, sont très différentes. Pendant le Covid, les psychotiques pouvaient agir : ils et elles pouvaient tancer les mauvais porteurs de masques, aller se faire tester et piquer de multiples fois, culpabiliser et maltraiter les enfants, et se disculper symboliquement de tout pêché en se lavant les mains à la nouvelle eau bénite dite “gel hydroalcoolique”.
Dans le cadre de l’Ukraine, c’est différent car on ne peut que subir : les conséquences sur le prix de l’énergie, l’inflation, le risque d’une attaque nucléaire, les conséquences du surendettement de la France (après les centaines de milliards Covid, la même chose pour l’Ukraine) ne sont pas aussi prégnants que les absurdités covidiennes.
Logiquement, les psychotiques persuadés que “nous défendons la démocratie et l’existence même du modèle occidental en combattant les Russes en Ukraine”, devraient se précipiter dans les bras de l’AFU avec armes et bagages, et défendre leurs “valeurs” en vrai sur le terrain plutôt qu’en théorie, là où tout se passe généralement bien.
Mais bon, les moralistes sont en général des couards et ils se contentent parfaitement de laisser le sous-homme ukrainien, celui qui fait office de chair à canon, dont on ne connait ni le visage ni le nom, faire le sale boulot à sa place. Nous sommes le camp du bien à défendre au prix du sang, mais pas du nôtre si possible. Déjà qu’on est sympas : on vous fournit un tas de canons pour que tout ceci dure le plus longtemps possible. Canons que vous nous rembourserez plus tard, cela va de soi.
Nous vivons une période de démence nihiliste aux mains de psychopathes et de pervers camés qui servent les intérêts d’un Grand Capital Corrupteur qui veut, semble t’il, la disparition d’une partie conséquente de la population européenne et russe. Sans même parler du reste. C’est sans doute l’application du fameux Grand Reset davosien, une conclusion logique du constat qu’il n’y aurait aucune transition écologique possible à l’échelle et à la vitesse requise pour changer le cours des choses (4), et qu’il ne reste dès lors que l’option nihiliste d’une dépopulation massive via la gestion vétérinaire, la paupérisation, la démence organisée, et la guerre.
Je ne suis pas certain de vouloir y croire, mais si on procède par une logique d’élimination des options, c’est à cela que l’on arrive.
Liens et sources :
(1) https://zerhubarbeblog.net/2023/02/20/lukraine-munich-et-la-crise-du-journalisme-de-connivence/
(2) https://www.politico.eu/article/mckinsey-steers-munich-security-conference-german-government-mcleyen-berlin-von-der-leyen-suder-wolfgang-ischinger-joe-biden-nato/
(3) https://zerhubarbeblog.net/2022/01/06/du-covid-a-la-formation-psychotique-des-masses/
(4) https://zerhubarbeblog.net/2023/02/08/delusions-de-la-transition-energetique/