lundi 7 septembre 2020 - par Jacques-Robert SIMON

Écologie, baise & Néo-libéralisme

 Suffit-il d’être contre le nucléaire et pour les partouzes pour être écologiste et libéral ?

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 On peut faire débuter l’ère de l’écologie avec René Dumont, agronome diplômé et renommé. En 1974, il se réclame de la défense de l’environnement et il accepte d’être le porte-drapeau des futurs verts aux élections présidentielles. Son programme ? Les questions de pollution, le recyclage des déchets, la remise en cause du nucléaire, les économies d’énergie, la mise en place d’une agriculture propre. Des changements aussi drastiques de société ne pouvaient pas se faire sans efforts, sans douleurs. Les femmes n’étaient pas absentes de son programme puisqu’il préconisait leur émancipation dans le cadre d’un contrôle de la démographie.

 Dans le même temps, le leader des émeutes de mai 1968 se livrait à des jeux érotico-maniaques. Il est interdit d'interdire ! Jouir sans entraves ! Ces slogans devinrent les points cardinaux de la ‘révolution’. Le désir sans entraves s’allia avec les nécessités environnementales pour fournir un premier lot d’écologistes, au moins dans l’imaginaire de ceux qui n’y avaient aucune part. Le ‘deal’ fut ainsi présenté : bien entendu vous ne ferez plus 7 500 km pour passer un week-end à Hawaii, vous devrez vous contenter d’une voiture électrique, vous devrez utiliser un presse-purée mécanique, vous aurez froid l’hiver, chaud l’été… mais vous pourrez baiser !

 Cette libération sexuelle eut-elle lieu réellement ?

 L’âge de la première relation sexuelle s’est abaissé plus brutalement pour les femmes que pour les hommes, elle passa de 20 ans en 1960 à 18 ans en 1970 pour les femmes, de 18 à 17 ans pour les hommes. Les âges des premières aventures ont ensuite continué à diminuer légèrement. Si l'on considère le nombre de partenaires sexuels tout au long de la vie, les rencontres fructueuses des hommes n’augmentent pas entre 1970 et 2006, ce qui n’est pas le cas des femmes qui voient le nombre moyen de leurs partenaires sexuels multiplié par 2,5 dans le même temps. Vers 20 ans, les filles des années 2000 ont eu en moyenne plus de 5 partenaires sexuels, soit trois fois plus que leurs aînées des années 60, ce qui démontre une claire émancipation. Ceci démontre également que parmi elles une fraction se comporte en gaillardes luronnes afin de permettre aux hommes de rencontrer le nombre moyen requis de partenaires (12 en 2006). À partir des années 1970, le nombre de mariages diminue concomitamment. 15 % des enfants, c'est-à-dire presque 3 millions au total, vivent maintenant au sein d'une famille monoparentale. Après un pic en 1976 de 19,6 avortements pour 1 000 femmes, le taux oscille ensuite autour d’une valeur sensiblement plus faible. On estime que près de 40 % des femmes auront recours à l’avortement dans leur vie.

 L’essor de l’écologie s’est donc accompagné d’une révolution parallèle des mœurs, à laquelle les femmes participèrent en tout premier lieu. Le ‘faire l’amour’ devint une version attrayante du fitness.

 La baise n’est évidemment pas le seul dérivatif proposé pour tenter d’éteindre le sentiment d’absurde qui étreint toute personne avide de comprendre. Les jeux vidéos, la drogue, les raves-parties, les doses massives d’alcool, le football, faire la queue à Pôle Emploi… constituent quelques uns des autres divertissements (qui détournent de l'essentiel) possibles. Tous furent proposés par le néo-libéralisme.

 La reproduction sexuée naturelle permet d’allier le hasard de rencontres chromosomiques avec la nécessité d’aller vers une stabilité pour transmettre savoirs et codes sociaux. Les technologies modernes d’aide à la procréation (IVG, PMA, GPA, tri d’embryons, modifications de l’ADN, gestation extra-utérine…) conduisent à terme à la gestion entièrement rationnelle des facteurs permettant la perpétuation de l’espèce humaine. On choisira ses embryons, son ventre, ses gamètes, ses ADN et les divers greffons qu’on leur fera en fonction de ses moyens financiers. Les triturations technologiques artificielles deviendront la base de la vie oubliant la fortune des hasards.

 La libération des mœurs devait s’accompagner de la libération de toute espèce de contrainte. Il fallait donc être libéral, le néo-libéralisme était prêt. Se débarrasser du Père, c’était, selon les dires, lutter contre toute forme d’autorité jugée nécessairement arbitraire. La recherche du seul plaisir semble pourtant peu compatible avec l’objectif écologique qui ne peut être fait que d’efforts pour remplacer les 300 esclaves énergétiques qu’offrent les combustibles fossiles. L’autorité immédiate fut cependant remplacée par la soumission à une autorité diffuse et insaisissable que l’on a nommé les ‘marchés’ qui avaient l’intérêt d’être hors de portée des quidams et donc apparemment moins prégnants, mais qui n’ont que faire du bien commun et de l’écologie.

 Les individus ont donc choisi la liberté, celle des marchés, ils peuvent choisir entre Durex et Manix, entre Carrefour et Lidl… mais pas entre l’Amour et l’argent, pas entre services publics et entreprises privées.

 Le début de la révolution sexuelle et les premiers balbutiements de l’écologie correspondent donc, ce qui n’est pas un hasard, avec l’essor du néo-libéralisme, qui n’est ni nouveau, ni libéral. Les points saillants des quelques dizaines d’années qui nous séparent du commencement des politiques néo-libérales montrent que le taux de pauvreté des ménages jeunes augmente dans le même temps que le nombre de familles monoparentales, le patrimoine augmente pour toute la population sauf pour les 20% les plus démunis, la part de l'emploi public par rapport à l'emploi salarié est passé de 10,5 % à 3,4 % entre 1985 et 2011, sur la même période le nombre d'entreprises publiques a diminué de moitié.

 La sobriété heureuse se concrétise par un appauvrissement des classes laborieuses et démunies en préservant, pour l’instant, les autres, mais qui doivent cependant s’y préparer. Depuis les années 1980, les 50% les plus pauvres en patrimoine voient leur part en richesse diminuer tandis que les 10% les mieux dotés s’enrichissent continûment. La ‘décroissance’ se met bien en place mais en commençant par les plus démunis, les moins puissants. En absence de justice immanente, seules les lois pourraient endiguer les désirs frénétiques d’accumulation et de paupérisation, elles ne le font pas et ne peuvent pas le faire car elles sont rédigées par ceux qui ne risquent pas de se noyer.

 Le Futur peut se schématiser simplement. Soit un monde dual où une petite minorité jouit de ce qui reste du naturel, tandis que l’immense majorité des autres se partagent le reste principalement sous forme virtuelle. Soit une sobriété (plus ou moins heureuse) se met en place pour tous. Veut-on un monde régi par les algorithmes et les zombies 2.0 ou souhaite-t-on faire confiance au hasard et à la nécessité, clés du vivant jusque maintenant ?

 



40 réactions


  • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 7 septembre 2020 14:22

    La philosophie écolo est bien souvent contre l’autorité de Dieu :

    • Elle met les animaux au niveau de l’homme alors que Dieu a dit à l’homme de dominer sur eux. Il faut maintenant s’abaisser devant un passage de grenouilles.

    • Elle fausse le raisonnement en ne reconnaissant pas à l’homme le droit de chasser de son pays les carnassiers qui déciment de troupeaux. David tuait les ours et les lions qui prenaient ses brebis.

    • Elle interdit la chasse, faisant d’Esaü un coupable d’avoir été chassé pour son père.

    • Elle insinue qu’un réchauffement de la terre serait mauvais pour les hommes alors que rien ne nous le dit. Bien au contraire, il est bien des pays froids qui voudraient avoir plus chaud. De plus au temps d’Adam, l’homme pouvait vivre nu ce qui démontre que la terre était plus chaude à cette époque.

    • Elle insinue que l’industrie est coupable de réchauffer la planète sans se poser la question si ce n’est pas Dieu qui veut la réchauffer par l’action d’un soleil plus vigoureux.

    • Elle ne veut pas changer les paysages, alors que Dieu dit que c’est lui qui change les déserts en vergers et les fleuves en désert.

    • Elle insinue la couche protectrice de la couche d’ozone alors que ces affirmations ne sont pas du tout établies et que l’instruction de ce point de vue n’est pas fait à charge et à décharge.

    • Elle (Le GIEC) se base sur une fausse science pour établir ses vérités, confère la courbe des températures en cross de Hockey qui remonterait depuis 1900. (Je tiens les preuves à la disposition de qui cela intéresse) Quand il fait froid, c’est une preuve du réchauffement et quand il fait chaud, c’est aussi une preuve du réchauffement. Elle ne veut pas que la voiture pollue moins, mais surtout qu’il n’y ait plus de voiture comme vivent les Amishs.

    • Elle veut culpabiliser les gens qui tirent paisiblement leurs emails sur du papier, rendant ainsi tout le monde coupable à la manière des PV pour excès de vitesse. Elle veut culpabiliser les gens qui tirent paisiblement de l’eau de leur robinet, rendant ainsi tout le monde coupable. Selon eux, l’homme ne doit plus dominer sur la création mais il doit se plier à elle.

    • Les lois de vie sociale qui sont dans l’écriture ne sont pas reconnues par eux, mais honnies. L’avortement est devant eux une chose très bien, alors que prendre des petits d’aigle dans un nid est monstrueux.


    • Gollum Gollum 7 septembre 2020 14:57

      @Daniel PIGNARD

      Ce qui est sûr c’est que tous vos posts sont la preuve absolue de votre bêtise abyssale.

      PS : plus que deux mois avant que le déluge arrive... smiley


    • Sozenz 7 septembre 2020 15:04

      @Daniel PIGNARD
      assez hallucinant cette montée en neige de trucs pour faire dire une chose sans dire l ensemble .
      allez ; je m y mets :
      • Elle met les animaux au niveau de l’homme alors que Dieu a dit à l’homme de dominer sur eux. Il faut maintenant s’abaisser devant un passage de grenouilles.

      les dominer ne veut aps dire les ecraser ; bien au contraire , nous avons une responsabilité envers la nature et les animaux . nous devons respecter , proteger ce qui nous a ete confié .
      sinon ce serait comme avec les femmes ; voilà les femmes sont des bouts de viande pour les hommes puisqu’ ils ont « autorité » .
      mais c est vrai que l apprentissage de la finesse du bien et du mal on nous le fait apprendre sur le tas ; sur terre alrs c est noraml que vous n ayez pas encore bien integré certains points. en plus le voile ne s est pas encore bien levé .
      ( comment ça , je me moque ? )
      Il faut maintenant s’abaisser devant un passage de grenouilles.

      non mais à l heure actuelle on sait que l homme a les « armes » pour une destruction massive de presque tout ce qu il pourrait toucher .
      vehicules , pesticides , ondes etc ... donc faidrait oui commencer à vraiment faire gaffe a ce que l on fait .

      Elle fausse le raisonnement en ne reconnaissant pas à l’homme le droit de chasser de son pays les carnassiers qui déciment de troupeaux. David tuait les ours et les lions qui prenaient ses brebis.

      les animaux comme les personnes sont territoralistes ; donc c est normal de proteger ce que l on a . celui qui ne se protege pas ou ne protege pas son « territoire » a perdu une parti de sa nature : son instinct . et l instinct n est pas incopatible avec les choses de l esprit , mais se complètent.

       Elle insinue que l’industrie est coupable de réchauffer la planète sans se poser la question si ce n’est pas Dieu qui veut la réchauffer par l’action d’un soleil plus vigoureux.


      avec des si ....
      mais bon , puisque vous voulez vous appyer sur Dieu dites plutot que dieu laisse faire certaines choses . par ce que l homme tétu qu’ il est doit faire l experience du bien et du mal pour comprendre dans sa chair pour le choix de la voie de Dieu est meilleure pour lui ..

      Elle ne veut pas changer les paysages, alors que Dieu dit que c’est lui qui change les déserts en vergers et les fleuves en désert.

      je comprends la premiere phrase . mais la seconde ... tu l’as choper où ?. donne nous la ref stp

      l’homme ne doit plus dominer sur la création mais il doit se plier à elle.

      ah encore une phrase de l extreme ...

      Les lois de vie sociale qui sont dans l’écriture ne sont pas reconnues par eux, mais honnies. L’avortement est devant eux une chose très bien, alors que prendre des petits d’aigle dans un nid est monstrueux

      il y a combien d humains sur terre , mais ils reste combien d aigles ? de plus l avortement est le choix de la personne avec sa conscience , son libre arbitre comme dieu nous l a donné .
       par contre l aigle n as pas demandé a ce que l on detruise gratis son nid et ses oeufs .


    • ASTERIX 7 septembre 2020 18:03

      @Daniel PIGNAR

      vous en arrivez a « parler comme les djihadistes » ou a écrire plutot

      toute religion est« néfaste » meme et surtout la« votre » !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 7 septembre 2020 19:11

      @Sozenz

      Esaïe 32:15

      Jusqu’à ce que l’esprit soit répandu d’en haut sur nous, Et que le désert se change en verger, Et que le verger soit considéré comme une forêt.

      Psaumes 107:33

      Il change les fleuves en désert, Et les sources d’eaux en terre desséchée,

      Esaïe 50:2

      Par ma menace, je dessèche la mer, Je réduis les fleuves en désert ; Leurs poissons se corrompent, faute d’eau, Et ils périssent de soif.

      Esaïe 41:18

      Je ferai jaillir des fleuves sur les collines, Et des sources au milieu des vallées ; Je changerai le désert en étang, Et la terre aride en courants d’eau ;


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 7 septembre 2020 20:00

      @Daniel PIGNARD
      Vous soulevez beaucoup de points. Chacun d’entre eux nécessiteraient une discussion. Un point cependant, je n’ai pas besoin de recueillir l’avis du divin pour m’exprimer.


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 7 septembre 2020 20:04

      @Jacques-Robert SIMON
      Que valent les « Je pense que » à coté des « Dieu pense que » ?


    • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 7 septembre 2020 22:46

      @Daniel PIGNARD
      Lorsque quelqu’un dit « Dieu pense que... », il utilise Dieu pour qu’il pense à sa place, il se sert d’un élément d’autorité pour affirmer ce qui en fait constitue son opinion propre. C’est un abus de pouvoir spirituel.
      Je trouve donc plus honnête la personne qui dit « je pense que... », car on sait exactement qui pense quoi, plutôt que de dire « Dieu pense que... », car la personne se sert d’un paravent pour cacher sa propre pensée.
      Pour ma part, je pense que Dieu ne pense pas.


    • Francis, agnotologue Francis29 7 septembre 2020 23:19

      @Jean-Paul Foscarvel
       
       « A dit rin. Quoi qu’a fait ? - A fait rin. A quoi qu’a pense ? - A pense à rin. Pourquoi qu’a dit rin ? Pourquoi qu’a fait rin ? Pourquoi qu’a pense à rin ? - A’ xiste pas. »

       La Môme néant Jean Tardieu


    • Old Dan 7 septembre 2020 23:52

      @Daniel PIGNARD
      (Rire)
      Vot’ programme et bien connu : C’est quasi celui des islamistes, héhé !


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 8 septembre 2020 07:31

      @Daniel PIGNARD
      La différence est grande. « Je pense » n’implique que moi et je peux me tromper. « Dieu pense » se veut universel.


    • Sozenz 8 septembre 2020 08:44

      @Daniel Pignard

      merci pour les references !


    • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 8 septembre 2020 09:15

      @Sozenz

      Dieu pense ainsi :

      « Ouvrirais-je le sein maternel, pour ne pas laisser enfanter ? dit l’Eternel ; Moi qui fait naître, Empêcherais-je d’enfanter ? dit ton Dieu. » (Esaïe 66 :9)


    • Ruut Ruut 9 septembre 2020 07:54

      @Daniel PIGNARD
      C’est de la physique liée a un changement climatique, rien de magique.


  • zygzornifle zygzornifle 7 septembre 2020 16:28

    Quand je vois Jado a la télé j’ai l’impression qu’il ne s’adresse qu’ a lui même ...

    Ecolos d’opérette pompom girl ....


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 septembre 2020 17:56

    Lire un immonde sans limite. Personnellement je ne crois pas un seul instant que cette dite civilisation ne va pas droit dans le mur. 


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 7 septembre 2020 18:01

    Un immonde sans limite de JEAN-PIERRE. Je constate jusqu’à présent que les diagnostics des psychologues (les bons) sur les avancées sociétales se sont révélées exactes. Les psys sont les clairaudiants mais personne ne les écoutent,....Depuis le DSM, je savais que cela tournerait mal.


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 7 septembre 2020 20:04

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      Je maîtrise très mal le para-normal.


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 8 septembre 2020 15:47

      @Jacques-Robert SIMON Le DSM c’est le dernier manuel de psychiatrie qui a éliminé l’OEDIPE. En gros, un psy ne peut plus poser le diagnostic de « structure perverse » concernant un homo.


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 8 septembre 2020 16:50

      Différence entre personnalité génitale et perverse. Le névrosé voit l’autre comme différent de lui et en totalité, il n’est pas fusionné. Le pervers voit voit l’autre comme une partie de lui-même (objet partiel), celui-ci servant d’objet de complétude narcissique (dit autrement, il instrumentalise l’autre). Comme seulement 5 % de la population a atteint le stade génital nous pouvons aisément penser que l’humain est ramené au stade de déchet fécal : homo oeconomicus. Et un déchet ne pense pas et se laisse facilement mettre en conserve....


    • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 8 septembre 2020 16:58

      Le mouvement écologiste s’explique par le refus de voir la réalité en face. Le monde pue...Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Avant de s’occuper de la nature (contraire de l’humain) on ferait mieux de se soucier de la santé mentale. Et là, C’est catastrophique. 


    • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 8 septembre 2020 21:19

      @Mélusine ou la Robe de Saphir.
      Merci de l’information.


  • zygzornifle zygzornifle 8 septembre 2020 10:15

    Dans les année 75 j’étais un écolo et puis je me suis distancé , marre des conflits internes , bagarre pour une virgule .

    Maintenant je fais simplement gaffe a ce que je fait au quotidien et cela me convient parfaitement a mon niveau , je laisse le théâtre aux marionnettistes professionnels .... 


  • In Bruges In Bruges 8 septembre 2020 10:28

    @ l’auteur

    Exact. Perso, je suis pour le triolisme au courant tri-phasé dans les sex-toys.


  • In Bruges In Bruges 8 septembre 2020 10:29

    Et le beurre de cacao est plus écolo que les lubrifiants de chez Lukoil ou Total.


  • Francis, agnotologue Francis29 8 septembre 2020 16:07

    ’Le Futur peut se schématiser simplement. Soit un monde dual où une petite minorité jouit de ce qui reste du naturel, tandis que l’immense majorité des autres se partagent le reste principalement sous forme virtuelle. Soit une sobriété (plus ou moins heureuse) se met en place pour tous. Veut-on un monde régi par les algorithmes et les zombies 2.0 ou souhaite-t-on faire confiance au hasard et à la nécessité, clés du vivant jusque maintenant ?’

     

    Est-ce que ce monde dual n’est pas déjà le nôtre ? A la différence que si le virtuel est le lot de la masse, je doute que les privilégiés jouissent de ce qui reste de naturel. L’aspiration à l’immortalité, le transhumanisme, l’immunité de synthèse n’ont rien de naturel.


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 8 septembre 2020 17:02

    Si le mouvement écolo est né en Allemagne, c’est parce l’histoire et le passé puait trop. La fumée qui s’échappait des camps de concentration était intolérable. Verdissons ce passé puant,... Lire : les deux arbres du jardin. J. C. S. 


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