jeudi 16 mai 2013 - par Michel Koutouzis

Economie flibustière

Les deux dernières années en Europe, la banque centrale a injecté, d’une manière ou d’une autre, des centaines de milliards au nom de la relance. Où sont-ils ? A-t-on observé une quelconque baisse du chômage, une relance de l’activité industrielle, du bâtiment, des services ? Non. Les infrastructures de l’Etat et des collectivités locales ont connu un boom ? Non plus. Par ailleurs, l’épargne populaire, le marché de l’immobilier connaissent une période d’hibernation. Rien ne bouge, ou plutôt, rien ne se développe, on sauve les meubles dans un attentisme frileux, la pendule n’indique ni secondes, ni minutes, seules les heures passent. Les canaux classiques de retransmission financière semblent bouchés sauf peut-être pour l’économie numérique et les entreprises du CAC, les seules qui ont un accès facile au crédit, les seules aussi qui n’en ont pas vraiment besoin. La si chère confiance des ménages est devenue une arlésienne, s’est transformée en défiance vis-à-vis du futur, puis du politique et enfin des dirigeants. Bref, la fameuse « crise permanente » empêche le regard vers le futur, sape le moral et rend in fine le pays instable et ingouvernable, si gouverner c’est prévoir. L’orthodoxie dominante continue à considérer que le problème réside dans le manque de réformes audacieuses, un euphémisme suranné qui sous entend une baisse généreuse du prix du travail, une « libération » de l’économie du carcan des règles et des lois que communément l’on appelle « dérégulation », celle-la même qui est à l’origine de la crise. Pourtant, en réalité, les économistes savent pertinemment que ce qui manque à l’économie c’est les 60% de la masse monétaire qui se « fixe » (ou dort) au sein du marché en espérant des dividendes rapides et faramineuses liées, d’une manière ou d’une autre, à la spéculation sur la dette.

A l’honorer ou pas réside la clé du problème : soustrayons, non pas la dette perpétuelle, mais les intérêts cumulés de celle-ci et rajoutons un intérêt fixe, celui pratiqué dans un premier par les banques centrales et ensuite par la BCE vis-à-vis des banques : Pratiquement aucun pays européen ne serait déficitaire. Bien entendu, avec ce calcul, la majorité des banques reviendraient à la situation ingérable de 2007-2008. Y a-t-il meilleure preuve d’un déplacement massif des pertes financières aux dettes souveraines ? D’aucuns vous diront que la dette est génératrice de monnaie et ils n’ont pas tort. Mais alors, acceptons que la masse monétaire mondiale, et tout ce qui s’ensuit, n’est qu’un mirage, une machinerie artificielle sur la quelle on s ‘appuie pour extorquer les fameux « efforts » au grand nombre d’une part et, d’autre part augmenter la bulle mondiale au profit des happy few.

Cependant, au sein des gouvernants, rares sont ceux (mais il y en a de plus en plus) qui osent s’attaquer à la doxa libérale, qui aveuglement, préfère accompagner les peuples vers leur déclin plutôt que d’affronter un système financier qui reste la seule (mais aléatoire) bouée de sauvetage à leur réélection. Le monstre qu’ils ont créé de toutes pièces désormais les asservit, puisqu’ils doivent - encore et toujours - emprunter, ne serait-ce que pour payer leurs propres employés. Il s’agit donc d’exhiber son allégeance, son « sérieux », pour avoir toujours accès au crédit. En d’autres termes on préfère la stagnation et/ou la récession, plutôt que l’augmentation du coût du remboursement des dividendes de la dette, qui est devenu, et de loin, la première dépense de quasi tous les Etats européens. Cette « uniformisation draconienne » du modèle économique imposée par le marché jette aux poubelles de l’histoire la notion même du politique. Il n’y a plus de choix, plus d’alternatives, plus de solutions, représentés habituellement par des blocs politiques rivaux. Et ceux qui contestent ce monologue autoritaire, même dans des détails ou des variantes anodines, sont immédiatement marginalisés, Au sein de ce cercle vicieux (et vicié), il existe une contradiction que les économistes se refusent d’aborder. D’une part, le marché exige des Etats leur paupérisation. Mais parallèlement, ces derniers sont devenus leurs meilleurs (et parfois uniques) clients, qui absorbent, au nom de la dette, les liquidités du marché, empêchant une relance de l’économie réelle. Celle justement qui se meurt en Espagne, en Italie ou en Grèce et qui génère les cohortes, de plus en plus massives de chômeurs. Là, les Etats (et leurs banques) en faillite (réelle) augmentant ici la dette des Etats dits sérieux sans pour autant que la relance pointe à leur horizon, bien au contraire. Elle s’étend, à Chypre, à Malte et bientôt au Luxembourg ou ailleurs, concentrant au nom de cette uniformisation financière l’ensemble de la finance au sein de deux ou trois pays européens, ou plutôt à leurs banques. Lesquelles, hier moribondes, contrôlent désormais tout processus décisionnel de la classe politique de ces Etats, toute perspective alternative. Et pourtant, on n’est pas à un paradoxe près, plusieurs de ces banques (dont des plus prestigieuses en Allemagne ou au Pays Bas) sont, techniquement parlant toujours en faillite, si l’on considère qu’une banque qui ne peut ni prêter ni emprunter est morte. Pourquoi donc ne le sont-elles pas ? Parce que, contrairement à Chypre, l’Etat peut éventuellement intervenir à leur faveur. Cet Etat « sérieux » qui peut toujours faire appel au marché au moindre coût pour les financer et leur permette, par magie, de continuer à être opérationnelles au sein…du marché. Mais nos économistes et autres commentateurs continuent, inlassablement, à répéter « cachez-moi ce sein que je ne saurais voir ».

 

Les infiltrés

Ainsi (et sic), si on est préoccupé par les cohortes de chômeurs espagnols, il faut, en France, persévérer dans la rigueur et accélérer les réformes. Les âneries et autres enfumages pleuvent… Cahuzac n’est qu’un cas isolé. On veut bien (et on comprend qu’il faut bien amuser la gallérie). Mais à quoi bon, alors, lancer une vaste campagne pour trouver le nombre de biens mobiliers et immobiliers, de chacun des ministres ? Calculer les mètres carrés, les voitures et les vespas en leur possession ? L’opinion se divise. Les pour et les contre. Moraliser la vie politique, disent les uns, reste une nécessité. C’est du flicage, de l’exhibition malsaine, disent les autres. Et le sage chinois dit  : quand on montre la lune à un crétin il regarde le doigt.

Méfions nous des croisades viriles. Prendre Jérusalem, les Falkland ou Tombouctou, pénétrer l’Irak ou l’Afghanistan, posséder  le Congo, le Vietnam ou le Liban, n’est en fin de compte qu’un signe d’impuissance pour affronter chez soi les effets d’une politique de coupe réglée, de prédation inique. Faire la guerre à la drogue, mener campagne pour loger les mal logés, déclarer la guerre à l’abstraction financière, s’attaquer à des moulins à vents multiples et variés (nègres, arabes, grecs, italiens et tutti quanti) c’est tout simplement cacher maladroitement une volonté coupable de ne rien vouloir changer, de faire porter le chapeau à l’autre, et surtout à ne pas montrer la lune, au cas où l’on aurait à faire avec quelqu’un qui n’est pas forcément stupide.

Il n’y a pas d’amour, dit-on, il n’y a que des preuves d’amour. Où sont-elles, chez les adorateurs du peuple qui nous gouvernent ? Que reste-t-il de la réforme financière ? De l’éradication du chômage et des comptes offshore, ici ou ailleurs ? De l’Etat exemplaire, de la lutte contre la corruption ? Un an c’est pas grand chose, mais existe-t-il l’ombre du soupçon d’un espoir qu’il existe, ne serait-ce qu’une volonté timorée, d’en découdre ?

Parlons donc de la lune et donnons lui un nom. Le banquier transnational, allemand de préférence mais aussi français, britannique ou américain. Trop puissant pour faire faillite il y a cinq ans, il est désormais trop puissant pour être juste poursuivi en justice. Il a ses sbires, ses agents, ses représentants, ses lobbys, ses réseaux, agissant aussi bien au sein des Etats et leurs administrations, qu’au sein de l’Europe. Il met le holà à toute volonté de vraiment changer quoi que ce soit. Il est présent au cabinet du président, a dans sa poche plusieurs députés, il dirige le FMI et la BCE, La soi-disant redoutable chancelière Merkel et son ministre des finances ne sont que ses fondés de pouvoir. Au lieu de partir en guerre contre la finance mondialiste (du déjà vu passablement old faschion), faisons juste l’inventaire de ces réseaux, de ces hommes et de ces femmes présents partout où une décision pourrait (éventuellement) être prise. Et on comprendra alors pourquoi la réforme du système financier ne se fera pas et que ce Président, ce parlement, cette Commission, ce Parlement Européen, cette BCE, continueront à brasser du vent pour que rien ne change. Et si tout cela n’est pas suffisant, les propagateurs médiatiques des peurs du siècle (sortie de l’Euro, Inflation, grands méchants loups-garous chinois ou indiens, récession et autres trouvailles à la carte) sont là pour garantir la pérennité d’un système qui n’a plus rien à offrir sinon ces peurs. N’ayez pas peur, disait jadis un pape anticommuniste, et c’était sans doute son homélie la plus courte mais aussi la plus juste, si on veut s’attaquer au marché. La politique de la France ne se fait pas à la corbeille disait un président, auquel ont tourné le dos ses épigones (dont son premier ministre, puis successeur) en déclarant allégeance à la toute puissance du marché qu’ils ont, eux-mêmes, fait roi. Un autre président, américain, déclarait naïvement : on peut mentir une fois à tout le monde, plusieurs fois à quelqu’un mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde. Je préfère Marx qui écrivait, dans l’Idéologie allemande : Prendre le pouvoir est nécessaire pour faire croire que son propre intérêt est l’intérêt général.

 

Le Bengale en Grèce

Il y a belle lurette que le pouvoir se conjugue en réseaux. En flux financiers, maritimes et d’internet, en connections commerciales ou institutionnelles. Loin du droit de la Cité (là ou il existe toujours). En un clin d’œil, les discours des grands argentiers et autres dirigeants s’uniformisent, puisque désormais « gouverner » se résume à « communiquer ». Il y a belle lurette aussi que, avec l’excuse de la conformité et de la standardisation, la production industrielle délocalisée impose ses « règles de qualité » tout en profitant du vide juridique et social concernant le travail. Combien de fois faudra-t-il répéter que les redoutables chinois, les pernicieux indiens, les esclavagistes bengalis ne sont que des masques derrière les quelles se cachent nos entreprises les plus prestigieuses, celle qui font de leur image l’atout majeur de vente, garantissant qualité, fiabilité, esthétique ou luxe. Leurs patrons, bien connus et présents au sein de la presse populaire mais surtout économique, s’époumonent à nous expliquer que, pour concurrencer le prix du travail en Chine au Bengladesh ou en Inde il faut faire baisser le nôtre. Et pour contrecarrer le laisser-faire l’arbitraire autoritariste au sein de ces pays, il faut « alléger » nos propres lois. C’est ce qui se passe, avec une dureté incroyable, là où le pouvoir politico-économique impose la crise. Celle-ci a donc une utilité, elle ne tombe pas du ciel, elle permet la tiers mondialisation du travail en occident, tout en imposant la fin de l’exception financière et fiscale, c’est-à-dire la fin de toute autonomie, de toute souveraineté, et la mise en place d’une « monnaie unique » à plusieurs vitesses à l’exemple de la Chine. Pour garantir cette pression qui permet un retour en arrière magistral en Grèce, à Chypre, en Espagne au Portugal etc., les flibustiers de l’industrie pharmaceutique, du luxe, de l’alimentation, de l’automobile, des grandes enseignes et des grandes surfaces n’hésitent pas une seconde à délocaliser encore et toujours chez les moins offrants en thermes du coût du travail, ou d’y importer de la main d’œuvre, dès lors qu’une pays, renforce sa juridiction. Ainsi, à l’Ile Maurice, dans les bagnes de l’industrie offshore on trouve de moins en moins de mauriciens et de plus en plus de chinois, de mozambicains, etc. Parallèlement, l’ile Maurice, Doubaï, Qatar etc., délocalisent leurs offshore et leurs champs de canne ou de céréales en Afrique de l’est. Il se trouvera toujours un espace moins règlementé que les autres… Ces mêmes entreprises, dont l’enseigne est l’argument de vente principal s’offusquent de la contrefaçon, dont ils sont, généralement à l’origine. Ce qui vaut pour les produits manufacturés, vaut aussi pour l’agro-alimentaire : des millions d’hectares sont confisqués à des paysans au profit des multinationales de l’alimentation et « cédées » pour 99ans.

Le consommateur, lui, ne voit que du vent : des produits conformes, bien standardisés et empaquetés souvent labélises made in Europe puisque celle-ci a décidé que l’identité d’un produit est celle de la dernière action, c’est-à-dire… l’empaquetage. Ne soyez pas donc surpris d’apprendre que le premier exportateur de médicaments en Allemagne est un « conditionneur ».

Cette économie entropique a certes besoin de feed back  : l’opinion - avec raison -, s’insurgera des comptes offshore d’un ministre du budget prônant la rigueur, de l’exil fiscal d’un acteur, s’émouvra quand une usine au Bengladesh s’écroule sur des centaines d’ouvriers, se lamentera en apprenant que des travailleurs immigrés ramasseurs de fraises en Grèce sont tirés comme des lapins le jour où, enfin, ils décident de demander leur salaire, ou qu’un conseiller de la chancelière et héros du foot bavarois joue à la bourse en cachette depuis ses comptes suisses.

Cette ville-monde qui se construit aux dépens du citoyen, qui s’organise en réseaux en dehors de toute procédure décisionnelle démocratique, cette citadelle autocrate ne peut être contestée par des demi-mesures. Celui qui se propose le changement radical comme programme se doit de proposer du sang et es larmes, offrir l’impossible et exhiber le coût d’une telle « révolution démocratique ». Si le connais-toi toi-même a encore un sens, si il peut se décliner pour comprendre cette ville - monde, il faut commencer par faire tomber les masques. Et surtout se préparer en un combat qui ne sera pas une partie de plaisir. Pas un seul député chypriote n’avait accepté d’entériner les mesures de la Troïka. Et pourtant, quatre jours plus tard, elles étaient imposées, encore plus dures en guise de punition. 

A bon entendeur… 



56 réactions


  • Robert GIL ROBERT GIL 16 mai 2013 09:51

    Comment voulez-vous qu’une Europe dont l’économie est basée sur le système économique de l’école de Chicago de Milton Friedman, et dont les brillants effets ont été testés grandeur nature au Chili durant les années Pinochet, avec les résultats dévastateurs que l’on sait, puisse apporter une solution à l’avenir de l’humanité ? C’est impossible. Le système est vicié à la base. Dépecer l’Etat pour tout confier « au marché » ne marche que dans les esprits lobotomisés des fervents défenseurs du système capitaliste !

    Il est grand temps de remettre l’homme au centre du projet et de batir autour et non l’inverse.

    Voir :LEURS OBJECTIFS ET NOTRE REALITE


    • Lieutenant X 16 mai 2013 10:22

      En ce moment, ce n’est pas l’Etat qui est dépecé, ce sont les peuples ! L’Etat s’en porte bien : l’austérité, c’est pour les peuples. L’augmentation des taxes et des impôts permet à l’Etat de maintenir son train de vie et l’administration pléthorique lui permet de se rendre indispensable et menaçant envers le peuple qu’il est supposé défendre. Il y aura de l’austérité en France quand l’Etat aura commencé à réduire son train de vie et simplifié ses législations absurdes. 

      Il y a des pistes intéressantes du coté des économistes autrichiens

    • Yvance77 16 mai 2013 13:10

      « Dépecer l’Etat pour tout confier « au marché » ne marche que dans les esprits lobotomisés des fervents défenseurs du système capitaliste ! »

      Sur Avox on appelle cela un « spartacus » ... et dans mon intimité cela tient en trois lettres !


  • moussars 16 mai 2013 10:50

    Les économistes autrichiens qui pressent le gouvernement de ne même pas faire semblant d’approuver les réformes financières bidons que prônent, le plus souvent hypocritement, d’autres États européens pour amuser la galerie ?


  • Montagnais .. FRIDA Montagnais 16 mai 2013 11:01

    Excellent comme de coutume. 


    L’essentiel de l’article, c’est la fin consommée du politique .. c’est l’accroissement sans fin de « la bulle mondiale au profit des happy few. »

    .. le dernier Pollock s’est bradé à 60 millions d’Euros, 60 millions ..

    Gagné à la sueur de leur front ?

    « Mais c’est de l’Art !.. » dira l’esprit simple, indigné qu’on puisse douter ..

    « Mais c’est des dollars ! du PIB ! .. dira le niais économiste savamment formaté

    De l’Art .. de la spéculation .. de l’ingéniérie financière, de l’ »économie" casino, de la démocratie Disney ..

    Qui confluent tous dans l’Océan immense des millions, du pognon. 

    Vous êtes bien obligé de faire un constat d’impuissance . ;

    Mimile et proprole sont coincés comme des rats, les carottes sont cuites .. nous faudrait Bigeard, Giap ou Guevara ..

    Et encore ..

    • volt volt 16 mai 2013 17:06

      92, fukuyama publie fin de l’histoire, triomphe éditorial, connerie.

      parallèlement, derrida, devenu trademark us, donne un cours intitulé :
      « Spectres de Marx »
      l’antithèse exacte du fuku... en substance, 
      relisez bien, dit-il, la toute première phrase du Manifeste :
      « Un spectre hante l’Europe, le spectre du communisme » ..
      or, en cette époque de chute fraîche du mur, on s’imagine que Marx ? Fantôme !
      un chat.
      derrida répond attention : 
      c’est pile quand on s’imagine qu’il est fantôme qu’il est le plus actualisable.
      va savoir.


    • Montagnais .. FRIDA Montagnais 16 mai 2013 21:42

      AVE Volt,


      Je cite Brasillach, à l’appui de votre hypo-thèse : Le communisme, tout comme le Christianisme, devra se perdre pendant environ deux siècles avant de l’emporter définitivement ..

      Bof .. les idées de Brasillach n’ont plus cours, n’ont jamais eu cours, juste entretenue pour justifier les rafales et les cyclones, les pluies de feu .. de plus, les conditions historiques ont monstrueusement changé .. le temps imparti avant la fin définitive de la partie n’est pas de deux siècles présentement ..

    • volt volt 16 mai 2013 22:10

      ils pouvaient pas prévoir l’accélération, la science supplantée par la technique, l’économie par la finance, la bulle finance hier, etc.

      on y est... le soleil se lève, et vous feuilletez un catalogue de phares.. 
      pfff, je l’achète vot’ chat, et en courrier rapide.

    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 mai 2013 22:38

      L’est maso Montagnais à citer Robert.....Aussi ....« Il n’y a pas d’erreur romantique plus forte que celle de l’utilité de la douleur .Rien ne sert à rien ».


    • volt volt 16 mai 2013 23:04

      (y’a pire Aïta : « entre le pénis et les mathématiques, il n’y a rien... c’est le vide ! » louis-ferdinand)


    • Montagnais .. FRIDA Montagnais 16 mai 2013 23:22

      A Aïta & Volt


      D’habitude, je cite plutôt Bebert que Robert .. Bebert, il avait tout compris de l’économie flibustière et des vachardes engeances .. sortait de la gibecière avec moult précautions félines et haute vigilance.

      D’ailleurs, il est mort de sa belle mort, dans les bras de son Papa qui, lui non plus, manquait pas d’intelligence .. Robert ? ..

      .. il a payé l’addition pour toute la France.

  • escoe 16 mai 2013 11:01

    Il y a des pistes intéressantes du coté des économistes autrichiens


    Lesquels ? Ceux des années trente ?

  • julius 1ER 16 mai 2013 11:18

    l. Combien de fois faudra-t-il répéter que les redoutables chinois, les pernicieux indiens, les esclavagistes bengalis ne sont que des masques derrière les quelles se cachent nos entreprises les plus prestigieuses, celle qui font de leur image l’atout majeur de vente, garantissant qualité, fiabilité, esthétique ou luxe. Leurs patrons, bien connus et présents au sein de la presse populaire mais surtout économique, ??????????????????

    @l’auteur 
    merci pour cet excellent article,et d’accord avec vous pour changer ce système économique il faut casser les multinationales et rétablir les lois anti-trusts, mais là il faut en découdre avec les forces impérialistes, à dominante américaine, tout passe par les USA mais la guerre contre ces forces impérialistes est inévitable car le chômage de masse et la privatisation du profit font que l’ensemble de la valeur ajoutée,ne profitent qu’à une minorité qui concentre de plus en plus pouvoir et richesses, on apprenait hier que 0,5 % de la population mondiale, possède 36 % des richesses mondiales, je crois que par extension, on devrait dire 10% des plus riches possèdent certainement 70% des richesses mondiales mais cela ne sera jamais dit car cela condamne inévitablement ce système capitaliste monopoliste prédateur qui ne fait que concentrer les richesses produites, dans quelques mains ce qui invalide l’idée même de système de répartition des richesses, tout cela ne relève que de l’escroquerie et pour paraphraser Marx 
    « le capitalisme, c’est du vol » !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Ronny Ronny 16 mai 2013 12:16

    A l’auteur

     

    Merci de votre article est d’avoir appelé ses quelques vérités que l’on entend pas très souvent, malheureusement, dans les grands médias.

    Membre du comité Roosevelt 2012, il me semble important de dire que le montant de notre dette actuelle correspond, à peu près, à la totalité des intérêts que nous avons remboursés aux banques depuis 30 ou 40 ans. Or ces banques prêtent aux états à des taux variable selon l’heure «  solvabilité » alors qu’elles empruntent à taux zéro, ou presque, auprès des banques centrales. Il s’agit d’une décision qui date du milieu des années 70 et qui avait été promue, par si ma mémoire est bonne, par Giscard d’Estaing. Effectivement, cela signifie que si les états avaient emprunté aux mêmes conditions que les banques, nous n’aurions aucune dette ou presque.

    Rappelons que les intérêts de la dette nous coûtent approximativement de l’ordre de 60 milliards par an. Avec cette somme, nous réglons sans difficulté le problème des retraites, celui de la sécurité sociale, et nous pouvons proposer aux PME – et surtout pas aux multinationales – des mesures d’incitation à l’investissement, ou à la recherche et développement.

    Il y a quelques deux autres mesures importantes à prendre, et pour cela je renvoie les lecteurs intéressés sur le site du collectif Roosevelt 2012. L’une des plus urgentes et de séparer totalement banque de dépôt et banques d’investissement. La loi récemment adoptée à ce sujet n’est, en effet, absolument pas significative dans la mesure où elle ne concernera que quelques pour cent des sommes déposées par les épargnants.

    Il est aussi indispensable à mon sens de renégocier le traité européen tant ceux-ci nous verrouillent dans une approche libérale suicidaire pour les états et les citoyens de l’économie, étant le fonctionnement de l’union européenne est orthogonal un fonctionnement démocratique et à l’intérêt général.


    • Captain Marlo Pilou Camomille 16 mai 2013 18:38

      Ronny,

      Article 443-3 du TFUE : « Un seul état peut s’opposer à toute modifications des Traités. »

      Il faut donc l’unanimité des 27, bientôt 28 Etats, pour changer une virgule dans les Traités.

      Certains pays tirent bénéfice de l’euro, d’autres ont leurs dirigeants qui sont mandatés par Washington pour sauver l’euro, afin de sauver les banques. Les dettes sont libellées en euros.

      La probabilité d’un accord unanime des 27 pour renégocier les Traités est infime.


  • soi même 16 mai 2013 12:52

    L’Europe est juste un prétexte, d’ailleurs avec ce qui à été mis en place, c’est bien le Monde qui est visé cette fois si !
    Et avec la technologie bancaire on peut s’attendre à broyer du noir !

    http://www.lestoutespremieresfois.com/5-les-temps-modernes/la-premiere-crise-planetaire-provoquee-par-des-robots


  • demosoluce 16 mai 2013 13:02

    Bien résumé.

    la pharse suivante : « Leurs patrons, bien connus et présents au sein de la presse populaire mais surtout économique, s’époumonent à nous expliquer que, pour concurrencer le prix du travail en Chine au Bengladesh ou en Inde il faut faire baisser le nôtre » résumé parfaitement le cynisme des Elites qui nous gouvernent. En promouvant la mondialisation, elles ont permis la mise en concurrence déloyale des salaires et maintenant, elles expliquent qu’il nous faut nous aligner. Mais ce sont elles qui font tout pour maintenir des conditions de travail déplorables dans ces pays. Une information intéressante à ce sujet est le fait que de nombreux laboratoires aient utilisés des cobayes Est Allemands avant la chute du mur. C’est symbolique autant que brutal.

    L’idée de « nationaliser » les règles de la dette d’ Etat est aussi très intéressante. Imposer un taux d’intérêt fixe légèrement supérieur au taux de la BCE pour les dettes existantes. Cela permettrait d’assainir les comptes et comme les possédants rechercheraient d’autres débouchés pour l’argent qu’ils ont pillé, cela obligerait l’Europe à reconsidérer naturellement la possibilité des Etats d’emprunter directement auprès de la BCE ou des banques centrales nationales. Les opposants vont dire que cela entrainerait de fait une baisse de la valeur de l’investissement puisque l’inflation serait supérieure aux taux d’intérêts fixes et que donc c’est injuste etc... Parce que les mesures d’austérité ne font pas baisser notre pouvoir d’achat peut être ? Pourquoi les possédants devraient être protégés de la baisse du pouvoir d’achat et pas les populations ?


  • lionel 16 mai 2013 14:11

    Bonjour monsieur Koutouzis, 


    Voici un nouvel excellent article. Rien à redire. Merci

  • BA 16 mai 2013 14:13

    A propos de l’effondrement des pays européens :

     

    10- Allemagne : dette publique de 2166,278 milliards d’euros, soit 81,9 % du PIB.

     

    9- Espagne : dette publique de 883,873 milliards d’euros, soit 84,2 % du PIB.

     

    8- Chypre : dette publique de 15,350 milliards d’euros, soit 85,8 % du PIB.

     

    7- Royaume-Uni : dette publique de 1387,436 milliards de livres sterling, soit 90 % du PIB.

     

    6- France : dette publique de 1833,810 milliards d’euros, soit 90,2 % du PIB.

     

    5- Belgique : dette publique de 375,389 milliards d’euros, soit 99,6 % du PIB.

     

    4- Irlande : dette publique de 192,461 milliards d’euros, soit 117,6 % du PIB.

     

    3- Médaille de bronze : le Portugal. Dette publique de 204,485 milliards d’euros, soit 123,6 % du PIB.

     

    2- Médaille d’argent : l’Italie. Mario Monti laisse derrière lui une dette publique de 1988,658 milliards d’euros, soit 127 % du PIB.

     

    1- Médaille d’or : la Grèce. Dette publique de 303,918 milliards d’euros, soit 156,9 % du PIB.

     

    A propos du premier trimestre 2013 en Europe :
    Pourcentage de variation du PIB par rapport au même trimestre de l’année précédente :

     

    10- Allemagne : – 0,3%.
    9- France : – 0,4%.
    8- Belgique : – 0,5%.
    7- Pays-Bas : – 1,3%.
    6- République tchèque : – 1,9%.
    5- Finlande : – 2%.
    5- Espagne : – 2%.
    4- Italie : – 2,3%.
    3- Médaille de bronze : le Portugal : – 3,9%.
    2- Médaille d’argent : Chypre : – 4,1%.
    1- Médaille d’or : la Grèce : – 5,3%.

     

    http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-15052013-AP/FR/2-15052013-AP-FR.PDF



  • hunter hunter 16 mai 2013 15:19

    Salut à tous,

    Juste quelques mots pour remercier Michel, pour ses articles précis, démontrés, argumentés, et tout cela dans un français de très grande qualité, bref un régal !

    Sans aucun doute Michel est à mon humble avis, le meilleur rédacteur d’Avox, et il surpasse de très loin, la racaille journalistique aux ordres, que l’on peut « apprécier » à longueur de temps, dans les Merdias Mainstream !

    Encore Bravo et Merci Monsieur.

    Respectueusement.

    H /


  • BOBW BOBW 16 mai 2013 15:37

    Trés bon article réaliste, impartial et fort bien ciblé smiley !


  • Jason Jason 16 mai 2013 17:13

    M. Koutouzis,

    Autant j’apprécie vos articles, autant je dois vous dire que vous vous égarez dans celui-ci.

    Vos premières phrases m’étonnent : vous semblez surpris du fait que la BCE ayant injecté XXX centaines de milliards d’Euros, le chômage ne baisse pas instantanément (ou presque). Ce sont là des remarques de financier qui n’est pas en contact avec la réalité des entreprises ou la micro-économie, ou qui sous-estime l’absence de pouvoir désastreuse et chronique des systèmes politiques existants.

    1. Pour faire repartir une économie il faut du temps, de la confiance de la part des investisseurs et des entrepreneurs, et une prise de risque des banques. Du moins, c’est ce qui prévaut dans notre système économique. On laissera de côté la question de la relance par l’offre ou par la demande. Ajoutons à cela des marchés favorables (encore la confiance).

    2. Les grandes banques, qui ont au passage une capitalisation équivalent au PIB français (certaines avoisinent autour de 1.200 milliards d’€), ne se foutent pas mal des entreprises hors CAC 40 et autres bourses, et continuent à parier au Grand Casino Mondial. Car ces mêmes banques ne sont toujours pas obligées de séparer banque de spéculation et banque de dépôts. Elles se font garantir les dépôts par les Etats, cela leur permettant d’emprunter sur les marchés à des taux très bas. La spéculation non productive repart de plus belle, et les profits inutiles également.

    3. Pour que le chômage baisse, il faut de l’embauche, disait M. de La Palisse. Or, pour embaucher, il faut des carnets de commande et des compte d’exploitation prévisionnels à la hauteur. Et ceux-ci ne se remplissent que grâce à la consommation intérieure ou à l’export. Et on ne voit d’embellie ni pour l’une ni pour l’autre. Et une entreprise détruite par l’incurie nationale ou européenne ne repart pas qu’avec de l’argent !

    Que faire ? La solution au niveau national est impossible, le pouvoir de régulation n’étant pas aux mains des politiques, ni même, je crois (et on le voit) au pouvoir de l’Europe qui ne veut pas, ou ne peut pas changer quoi que ce soit. Les 15.000 lobbyistes de Bruxelles y veillent. De plus, les pays européens ne s’entendant sur pas grand-chose, repliés sur eux-mêmes et jaloux du voisin, rien à faire de ce côté-là.

    Je ne vois pas de solution à l’horizon, ni même les soi-disant experts qui, depuis 30 ans n’ont rien vu venir ou n’ont pas été écoutés. Encore le pouvoir, perverti, cette fois ! L’Europe est tout bonnement blessée à mort. La résurrection se fera-t-elle par le fer ? A voir... Suite au feuilleton télévisé...


    • daniel paul 16 mai 2013 18:05

      salut

      vous dites : Et une entreprise détruite par l’incurie nationale ou européenne ne repart pas qu’avec de l’argent !

      pas du tout...100% faux ...ce sont des gens qui travaillent ensemble qui font tout.L’argent n’a jamais strictement rien fabriqué du tout de tous les temps...c’est d’ailleurs pour ça que les animaux qui sont beaucoup moins cons que nous s’en passe... allez je vous donne un truc..laissez donc votre argent dans un meuble chez vous...revenez 10 ans après et regardez ce qu’il a fait : RIEN sera le résultat.

      ou alors reste 10 rescapés de la bonne grosse guerre pour le profit ,car une guerre c’est toujours pour ça ,LE PROFIT DE PEU ..que font ils car il n’y a plus rien ? ils vont à la banque prendre de l’argent ou ils travaillent et partagent ensemble..laquelle des deux solutions va survivre ? ceux qui ont de l’argent et vont essayer de s’exploiter les uns les autres ou ceux qui travaillent ENSEMBLE....et vont partager...

      conclusion : seul un groupe collectif fabrique ,dans une société capitaliste ,seul le collectif fabrique aussi car autrement rien ne se fait et c’est après pour le partage que le voleur du collectif arrive...ôtons le collectif ,tout disparait de votre champs de vision,sauf la nature qui redevient belle et luxuriante
      C’est pourtant simple , non ? Le collectif est au dessus du personnel...sans collectif le personnel a disparu car on ne survit pas....le partage doit être équitable entre tous et celui qui veut plus pas de probleme, il pourra en toute liberté s’exploiter tout seul, de toutes facons il est si génial surement que ça le fera pour lui, d’ailleurs finalement il est si brillant et génial qu’il se débrouille donc tout seul

      elle est pas belle la vie smiley


    • daniel paul 16 mai 2013 18:08

      oups,il manquait cette partie au début : 1. Pour faire repartir une économie il faut du temps, de la confiance de la part des investisseurs et des entrepreneurs, et une prise de risque des banques.

      et c’est là que je dis :pas du tout...etc


    • daniel paul 16 mai 2013 18:46

      et pour que l’ensemble marche il faut faire croire que vivre c’est être en compétition,la preuve les animaux se mangent entre eux....c’est le sens ultime de la vie...
      cette société parasite du collectif en est au stade final qui est de supprimer tous les concurrents...la compétition va s’éliminer elle même, non pas par la grâce du saint esprit mais par la mafia mondiale qui elle, contrairement au peuple est organisée,violente a souhait et meurtrière quand il le faut...dans de belles guerres qui propulsent un pays comme numéro 1 mondial...

      donc au départ on dit : travail pour tous....
      le système des voleurs lui dit :battez vous c’est génial vous allez être tous riches.....(en mode caché (nous on récupère la monnaie) de votre travail, tout su on peut comme au bon vieux temps des esclaves, ah la belle époque...

      le premier amène paix ,besoins vitaux pour tous...etc
      le deuxième amène colonisation,destruction de sociétés millénaires pour voler leurs ressources ,création de pauvreté,création de chômage pour contrôler,création de haine entre les gens et les peuples , incitation a la haine..guerres etc etc..
      y’ a pas photos....
      LE choix est simple..on fait ensemble pour tout, ou on continue à se massacrer et aimer l’esclavage qui semble vouloir bien revenir...

      j’exagère un peu, quoique ça me semble aussi simpliste que ça mais je me mets au niveau de la propagande permanente partout (PPP)de l’ennemi...je pense qu’on est là...
      Unis ou pas va decider du sort de ce qui se rapproche....et pour faire quoi ?

      voila des thèmes à développer...URGENT !!


  • daniel paul 16 mai 2013 17:35

    Et surtout se préparer en un combat qui ne sera pas une partie de plaisir..

    Salut Michel

    nous, la masse prise comme groupe pas comme mépris , sommes leur puissance, leur argent..leur armées,

    la division est ce qui marche depuis 10 000 ans , la peur aussi..
    la haut eux aussi sont divisés et ont peur....mais ils coopèrent ils ont trouvé un point commun pas nous, voler le collectif pour le pognon et ce qu’il procure..car le pognon vous le savez n’existe pas,c’est juste une convention acceptée ou subie, comme un mot est une convention..le mot chaise ne me permets pas de m’assoir dessus..le mot pain ne me permets pas de le manger.

    Alors qu’avons nous en commun ????


  • cilce92 16 mai 2013 18:19

    Bravo et merci pour cet article ! C’est toujours un plaisir de vous lire ! Et je suis tellement d’accord avec vous !

    Cécile


  • Captain Marlo Pilou Camomille 16 mai 2013 19:01

    Merci à l’auteur de réactualiser « la Stratégie du choc » .Il manque pourtant un chapitre, celui des créateurs de cette belle Europe de la prospérité...

    Ce chapitre est expliqué dans un petit livre : « Les Evangélistes du marché » de Keith Dixon.
    Où comment les économistes de l’ école de Chicago s’y sont pris pour ne pas renouveler en Europe leurs coups d’ Etats militaires d’ Amérique du Sud... qui désignaient les USA comme le nez au milieu de la figure...

    L’Europe a eu droit à un autre traitement. Les réseaux, les Think Tank, les invitations dans de grands hôtels de tous les leaders d’opinion, journalistes, intellectuels, enseignants, universitaires, économistes, politiques, directeurs de journaux et de médias...

    Il s’agissait de pourrir le fruit de la démocratie de l’intérieur. TINA a été leur crédo, et le reste encore pour ceux qui accèdent seuls aux médias propriétés de multinationales ou de fonds de pension....

    Les européens n’ont jamais demandé une telle usine à gaz européenne... On ne leur a d’ailleurs jamais demandé s’ils étaient d’accord pour que les Nations disparaissent au profit du Nouvel Ordre Mondial.

    Monnet et Schuman étaient employés par la CIA.
    L’UE et l’euro ont été imposés lentement mais sûrement par les USA.
    Pour nous soumettre à l’ Empire et nous ruiner.

    Mais il est possible d’en sortir, tous les Traités ont une clause de sortie.

    Vidéos de François Asselineau : « Pourquoi l’Europe est comme elle est ? »
    et « Les 10 raisons de sortir de l’ Europe. » Site de l’ UPR.


  • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 16 mai 2013 19:53

    « ÉCONOMIE PIRATE » SERAIT PLUS INDIQUÉE !

    Il vous suffit de relire tout ce que j’avais écrit depuis 2007 pour vous convaincre que j’avais totalement raison ! Le « compromis franco-allemand », qui nous vient directement de l’ambition des premiers Empires chrétiens qui voulaient dominer le Monde en passant par toutes les grandes guerres européennes appelée abusivement « guerres mondiales », est arrivé à ses limites. Le « projet européen » sent plus que jamais le ridicule ! Non seulement la France ne récoltera rien, ne préservera même pas ses acquis sociaux ni son « modèle social », non seulement elle descendra vers les profondeurs de la décadence, mais elle entrainera inévitablement l’Europe des 27 somnambules vers la précarité et vers la médiocrité !

    Combien de fois j’avais écrit «  » : On ne peut pas créer un Empire en additionnant simplement des territoires sur une carte de géographie«  ! Combien de fois j’avais rappelé que : l’idée d’une »Union européenne« dans une Europe qui existe déjà comme un ensemble de peuples et de nations indépendantes est une pure idiotie ! Combien de fois avais-je dit que : le »fragment Ouest« de l’Europe occidentale est responsable à 90 pour cent du délabrement planétaire, il est totalement responsable de la pollution chimique et de l’apocalypse nucléaire  ! Combien de fois avais-je averti que  : le rêve d’une »Nouvelle Europe« a déjà été concrétisé sur le cadavre des Nations indiennes massacrées par les Européens aux siècles passés et qu’il ne puisse y avoir une autre tentative ni au sein de l’Europe ni sur un autre Continent !

    Le National-Socialisme, principale idéologie française puis allemande, puis (nécessairement) aujourd’hui franco-allemande, ne réussira pas à endormir pour longtemps les peuples européens qui ne comprennent plus pour quels États ou pour quels objectifs sont-ils en train de travailler plus pour se sacrifier plus ! L’occident est pris dans son propre piège, il a initié une mondialisation bâtarde de l’argent sans au préalable mesurer le risque d’être dépassé par des peuples et par des nations plus engagés et plus dynamiques ! D’un monde bipolaire qui se disputait le sommet inaccessible, nous passons dans un amalgame planétaire qui draine les efforts et les richesses du monde vers le Triangle des Bermudes ! L’humanité travaille pour rien et le monde tourne à vide ! On dirait que des extraterrestres décident des affaires nationales et internationales ....à voir tous ces États et tous ces gouvernements qui gesticulent sans qu’ils puissent arriver à quelque chose d’utile ! Y a t-il une administration parallèle mondiale qui mène le monde vers une quelconque destination sans que personne ne le soupçonne ? Où vont les richesses puisque plus on produit et la misère prospère !

    Un autre »renaissance«  n’est pas possible combien même l’Occident arrivera à détruire et à déstabiliser l’ensemble des Continents, combien même il gagnera à sa cause de faux responsables afro-asiatiques qui sabordent eux-mêmes leurs propres pays !

    Intelligent, l’occident l’était, mais orgueilleux à la limite de l’idiotie il l’est devenu certainement  ! Que fera t-il de sa minable »dissuasion nucléaire" qui engloutit chaque années des milliards, que fera t-il lorsque les milliers d’installations nucléaires menaceraient de s’écrouler, lorsque les millions de tonnes d’armes nucléaires arrivées à péremption seraient devenues encombrantes, lorsque le fonctionnement des services publics nécessiteraient plus de moyens qu’il n’en existent  ? Ira t-il vers la guéguerre ?

    Il y a plus simple et plus raisonnable, l’Europe doit abandonner son utopie et retrouver ses nations indépendantes ; les pays historiquement nazis et sorciers comme la France doivent cesser de tromper les fausses républiques africaines en leur imposant une fausse histoire et une fausse culture !

    Et le monde d’aujourd’hui doit accepter de réformer fondamentalement l’organisation sociale et humaine afin de la mettre en conformité avec l’esprit du XXI siècle ! Les idées gréco-latines sont périmées ! IL FAUT DÉMYSTIFIER LE POUVOIR POLITIQUE !


    • volt volt 16 mai 2013 21:26

      « Imaginez des tigres qui auraient un peu de raison, voilà ce qu’étaient les flibustiers. » 

      Voltaire, Moeurs - 152.
      « Mais quel peuple en Europe ne fut pas flibustier ? » 
      Voltaire, Dictionnaire Philosphique - Flibustier.

    • Captain Marlo Pilou Camomille 17 mai 2013 06:32

      Mohammed Madjour,

      Rassurez-vous, il n’y a plus de pouvoir politique..., il n’y a que des gens non élus qui dirigent des gouvernements marionettes et qui décident ce qui est bon pour les banques, la finance et les multinationales, sans se soucier de l’avis des peuples.

      Pour revenir aux Etats Nations, la seule solution, c’est d’utiliser la clause de sortie de l’ UE. C’est l’article 50 du Traité de l’ Union européenne :
      « Tout Etat membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’ Union. »

      Malheureusement, il existe encore des Partis politiques qui font croire qu’il est possible d’avoir une « Autre Europe » que celle-ci.

      Pour cela, il faudrait que les 27 pays soient d’accord EN MÊME TEMPS, au même moment, avec un autre programme européen. Rien qu’en France, il n’y a pas 2 Partis qui soient d’accord sur un autre programme européen, alors vous imaginez au niveau des 27... !
      La probabilité =0 !

      Je vous invite à regarder les conférences de François Asselineau sur le site de l’ UPR :
      « Qui gouverne la France et l’ Europe ? »
      « Les 10 raisons qui imposent de sortir de l’ Europe. »
      « Pourquoi l’ Europe est comme elle est »


  • monstre monstre 16 mai 2013 21:49

    J’ai eu l’honneur de manger (ici on dit diner, au minimum….) à la table de M. Hollande (pas encore président)

    Ma femme étant la belle sœur d’un membre de sa famille.

     

    Hé bien lors de ce festin il expliqua (à l’autre bout de la table) son

    « Dégout viscéral pour cette Europe de la finance qui détruit un siècle d’acquis et qui vampirise chaque richesse péniblement créée.

    Et pour cela, moi président je devrais laisser sombrer encore plus loin et pour de bon cette mascarade afin que le peuple se réveille enfin !

    Car oui il faudra descendre aux enfers pour que conscience naisse »

    Avait-il déclaré ….

     

    A la réaction de Thomas (le beau frère de ma grand-mère elle-même cousine de la sienne)

    Thomas donc : « mais si ce n’est pas toi en Mai ? (à ce bout de table on se tutoie…)

    Le futur président avait alors répondu

     « Hé bien je ne peux évidemment pas vous révéler que j’ai soupé il y a peu avec un très proche conseillé du président (le nain donc) et il m’a confirmé avoir la même vision et choisi le même remède sur ce sujet.

    C’était pour moi une confirmation, puisque nous avions déjà eu cette discutions à maintes reprises avec mon interlocuteur sur les bancs de l’ENA et depuis. »

     

    Voila donc 2 présidents servis (avant même mon dessert) comme étant homme d’état puisque allant au bout du bout d’un projet

    même si ici c’est pour révéler toute son insanité et en sacrifiant tous deux par là même leur potentiel électoral et ce afin d’éclairer le monde sur la déliquescence de cette Europe moribonde.

     

    Bref nous mettre « Le nez dans le caca » aurait dit notre arrière grand mère commune (épouse de jean sylvain Bailly)

     

    Alors arrêtons les critiques ! Et patientons puisque là est la (seule) solution d’après Tina (sa nourrice : Tina Margaret)

    A l’odeur, il n’y a plus longtemps à attendre.


  • tf1Goupie 16 mai 2013 23:08

    Les pays occidentaux vieillissent, c’est une évidence que Koutouzis n’évoque jamais.

    Car les « penseurs » européens eux aussi vieillissent et radotent ... Koutouzis en est un bel exemple


    • julius 1ER 19 mai 2013 18:13

      @tf1

      je pense qu’il y a longtemps que tu as dépassé le stade de la sénilité, si tant est que tu saches ce que c’est associé à l’ESB, on compatit à la douleur de tes proches !!!!!!!!!!!!!!!!!

  • Montagnais .. FRIDA Montagnais 16 mai 2013 23:46

    L’économie flibustière .. flibustière !..


    On discute supra de l’adéquation du titre à la situation, on ratiocine, on encagagule les mouches .. on coupe les poux ..

    Il s’agit d’un euphémisme .. Voilà tout

    Si l’Auteur - qui est un homme avisé et mesuré - avait disposé de plus d’espace, et s’il avait voulu épouser la réalité, il aurait écrit :

    Une économie de :

    bandit ,fripouille,truand,vaurien,voleur,malfaiteur ,canaille,brigand,,coquin,méchant ,fripon ,gredin,perfide,misérable,mauvais ,filou,criminel ,malandrin,meurtrier,vermine,larron
    ,injuste,félon,déloyal,de,sac,et,de,corde,monstre,machiavélique,infâme,infidèle,homicide,
    garnement,partial

    .. malfaiteur, salopard, scélérat, blatte .. crapules, canailles, racaille, suceurs de sang, trafiquant d’excréments .. faiseur d’anges

    On en passe et des meilleurs


    • volt volt 17 mai 2013 00:03

      et au lieu de « Les deux dernières années en Europe », la première phrase aurait été :

      « Foutre les neuf garces du Pinde !... »

  • Mugiwara 17 mai 2013 00:02

    j’adore quand un plan se déroule sans accroc. j’aime bien le titre de cet article, et effectivement, il est tout indiqué. personne n’y comprend, même les marchés financiers ont préféré être prévisibles plutôt que de jouer à plus Français que moi tu meurs... effectivement la crise financière, donc bancaire est quasi terminée puisque des dispositions ont été prises afin que les banques puissent servir l’économie. 


    d’autres crises ne sont pas encore terminées, comme la crise économique, notamment créer davantage de financements pour les entreprises pour que ça serve à la baise ou la baisse (c’est selon) du chômage. rien n’est gagné, cette première année très aventureuse a été très utile, d’autres aventures nous attendent, on va encore souffrir cette année. 

    A l’abordaaaaaaaaaaaaage, souquez jusqu’à pas possible, l’allure est incontrôlable, mettons le rafiot de tonnerre en aulofée, larguez les ballasts, sortez les ballons, bosco est mort, sortez les poltrons des bouteilles parbleu, attention aux bulges moussaillons, on va caréner plus tard, capeyezzzzzzzzz !!!!!!!

  • daniel paul 17 mai 2013 07:58

    Âpres la nuit du juste qui porte conseil mais pas les miens ,juste des conseils, de mon « double ou triple ailleurs »dont je ne sais pas vraiment ce qu’il ou ce qu’elle« est »...j’ai encore revu la parabole du monopoly ; le jeu bien sur.
    Or mes rêves récurrents ont tous eux un sens très profond,réel, comme sans doute pour tout le monde, le sens devant être là sans aucune interprétation bien sur
    Comme tous j’y ai joué , gagné et perdu...là ou les enfants jouaient paisiblement, ou non mais avec ce « bon » esprit de l’enfant donc sans de futur sarre quo zee(pour de jouer le moteur de recherche sur les mots) ou Pol mon pot avec eux , il a toujours apporté la discordance, la tricherie, le mépris ,la bagarre..et les pleurs...
    Etonnamment il montre ce qui se passe, y compris à la fin du jeu , ou il reste un gagnant,et les autres se cassent de suite en faisant la geule ,alors le gagnant soit lui aussi fait la gueule car il n’a pas le temps d’apprecier la vctoire car le groupe est en colère et fait la gueule ,ou alors le gagnant dit :euh les gars si on continuait, je vous redonne de l’argent.....

    Pour le bien des humains ,le capitalisme doit disparaitre.....ainsi que l’état d’esprit dominant qui est derrière...et pour cela il faut avoir un peu de cette ORIGINE , en nous..j’en ferais un article sous peu......

    ps : nous avons eu le plaisir d’avoir un des trolls de l’UE....sur ce sujet ?!...même son nom sonne ....à l’ouest de Bourne..mais ce n’est pas Mel Bourne..


    • gaijin gaijin 17 mai 2013 14:30

      oui
      le monopoly résume la situation
      contrairement a ce qu’on veut nous faire croire il n’y a aucune différence de complexité quand on change la taille du problème
      mais a la différence du monopoly dans la vraie vie on finit toujours par renverser la table avant la fin de la partie


  • Le421... Refuznik !! Le421 17 mai 2013 08:19

    C’est du Front de Gauche pur jus votre article.
    Pour moi, c’est on ne peut plus exact.
    Avant de critiquer sur les soi-disantes « braillades » de Mélenchon, il serait peut-être intéressant de lire ses explications en profondeur sur le même thème.
    C’est impossible à la télé. Evidemment, si on lui mets un Pujadas en face, comment voulez-vous que le type comprenne...
    D’ailleurs, dans un face à face, même le pauvre Attali avait du partir la queue entre les jambes en jetant un « vous nous préparez la Corée du Nord !! » lamentable...
    Attali voyait bien que son interlocuteur avait raison.
    Quand à Langlet, il a lui-même écrit - on ne le taxera pas de communiste ce bon François - que la dette ne serait JAMAIS remboursée, c’est dire la conscience du phénomène, voire la complicité.
    Merci pour votre explication incontestable et assez didactique.


  • fredleborgne fredleborgne 17 mai 2013 09:14

    Excellent article.
    Un seul regret : pas d’appel aux fourches à la fin. Car les bons entendeurs sont rares.


  • BA 17 mai 2013 14:29

    Bernard Maris est un économiste. Il est actuellement professeur des universités à l’Institut d’études européennes de l’université Paris-VIII.

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Maris

     

    En septembre 1992, Bernard Maris avait voté « oui » au référendum sur le traité de Maastricht, « oui » à la création de l’euro.

     

    Mercredi 15 mai 2013, en conclusion de son article dans "Charlie Hebdo", page 6, Bernard Maris parle de la zone euro.

     

    La conclusion de Bernard Maris est ultra-pessimiste concernant la zone euro :

     

    "Le redressement passe par :

    1) une annulation pure et simple d’une partie de la dette, collective [souligné trois fois : si un seul pays annule, il est cuit] ;

     

    2) une fiscalité commune à la zone euro ;

     

    3) un pouvoir bancaire soumis à un pouvoir politique supranational.

     

    C’est possible ? Non. Ni 1, ni 2, ni 3 ne sont possibles. Donc ? Donc mégacrise en perspective. A demain, Marine Le Pen."


  • Mugiwara 17 mai 2013 21:44

    le pire, c’est que la crise économique a surtout failli tuer les USA, un mauvais cow boy se tirant sur ses pieds, ça me fend un peu la gueule... 


    • Mugiwara 20 mai 2013 13:41

      c’est une chance que les USA aient un parti démocrate et un président de grande qualité, puisqu’ils font des prouesses pour relancer l’économie, malheureusement, avec les turpitudes de la droite républicaine, il faudra essayer de tenir au parti démocrate et de garder le pouvoir encore un bon moment, disons une bonne quinzaine d’années, comme l’a fait Roosevelt entre 32 et 45.


      le candidat républicain à la dernière élection aurait été en tout point de vue un meilleur président que Bush, mais il y avait un genre de Michael Jordan de la politique en face ...

      Je reconnais donc que les conservateurs sont aussi vitaux que les progressistes. 

       Barnier dit qu’il faut oublier l’ultralibéralisme, pour l’instant, je dis oui avec un nombre croissant de sociaux démocrates à la tête de quelques pays, notamment US ou Européens.

      Des personnes très compétentes sont à leurs bonnes places et de ce fait, l’Europe recouvre peu à peu la santé, même si la rechute peut survenir à n’importe quel moment. 

       je n’ai pas lu le marxisme dans son entier, mais les choses dont on en parle sont intéressantes. je préfère l’Anglais Keynes pour l’instant, peut être qu’à notre époque, il aurait été un social démocrate... on disait de lui qu’il était un vrai centriste, ça ne serait pas étonnant... 

      L’ultralibéralisme, je reconnais qu’elle peut être intéressante mais surtout dangereuse, il faut une réelle opposition.

    • Mugiwara 20 mai 2013 13:48

      l’ultralibéralisme a un genre, et donc peut être intéressant et dangereux. 


  • bert bert 18 mai 2013 01:16

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Bourse_de_Paris

    ***********************************************************************************************************
    bank of pennsylvania philadelphia ..... le concept de sacralisation de la finance avant qu’elle ne devienne immatérielle


  • colza 18 mai 2013 11:22

    Excellent article, merci...

     Un petit exemple de l’objectif à atteindre pour les crânes d’oeufs de Bruxelles et leurs servants que sont nos (ir)responsables politiques :
    J’avais besoin de deux couettes, je suis allé hier chez Ikéa et j’ai trouvé ce que je voulais dans mes moyens de retraité.
    Deux couettes donc, en coton en extérieur et polyester à l’intérieur, 220 x 240 pour 29.95 l’une.
    Rentré chez moi, je regarde de quel Bengladesh peuvent bien venir ces couettes pas chères.
    Bengladesh, vraiment ? Ben non, Espagne.
    La potion Troïkesque est en train de faire son effet, l’Espagne bientôt réduite à un pays du tiers-monde...

    • monstre monstre 18 mai 2013 16:31

      bonjour colza

      donner du travail à des population qui en ont besoin
      les conditions sont discutables certes, mais mon grands père ayant commencé dans les mines à 12 ans.....
      ce n’est pas si vieux et il faut bien commencer par un bout .... ?
      ou alors il faut être adepte d’une scolarisation et d’un plein emploi avec couverture sociale immédiates au Bangladesh ??
      à l’école déjà je ne comprenais pas les profs qui critiquaient le Maroc et ses Jeans fabriqué par des gamins de mon age ?
      Ces profs versaient peut être l’intégralité de leur salaire (mais qui ne suffisait pas !) pour qu’ils rejoignent là bas nos conditions de travail ?? (ou ils étaient bobo avant l’heure ?)
       
      mais vous avez raison l’économie (en fait l’exportation) de la Grèce et de l’Espagne sont en plein boom. et ca indique que non seulement à Dacca ils n’ont pas pu atteindre nos minimas mais en plus qu’ ici on diminue les notre pour rivaliser.
      là était donc la finalité de toute cette mascarade !
      souvent évoquée depuis quelques temps mais prouvé par a+b ici.

      pour Ikéa autre débat mais il serait bien que les clients s’y rendent seulement après avoir lu quelques articles très aisés à trouver sur son créateur (et les conditions ) !!!!!!!

      bref, je préfère donner un début d’espoir au Vietnam en « profitant du travail de leur ados » que d’acheter quoi que ce soit à cette raclure ! même « bien fabriqué » par des gens qui veulent sauver leurs avantages (égémonie)


  • Le421... Refuznik !! Le421 18 mai 2013 13:17

    Hors sujet, mais peut-être pas tant que ça.
    Suppression de la publicité dans le service public à la télé.
    Chic ! Mes émissions commencent à 20H30.
    TF1 content au début de nouvelles recettes s’aperçoit qu’en fait, les gens migrent sur le service « public ».
    Donc, on décale petit à petit, par tous les moyens, le début du film sur France Télévisions, ce qui s’est produit.
    Conclusion : L’argent fournit par les publicitaires est passé du public au privé.
    La perte financière a été compensée par le système de recouvrement de la taxe audiovisuelle.
    Au final, les chaînes publiques inondent de pub aux heures autorisées pour compenser, les horaires sont devenus les mêmes et ça nous coûte plus cher.
    Que des avantages.
    Et ne me dites pas que ce n’était pas voulu. C’est qui le patron chez TF1 ??


  • ddacoudre ddacoudre 18 mai 2013 22:21

    bonjour michel
     en toute chose il faut trouver la solution adapté, aujourd’hui devant ce capitalisme financier ce n’est pas la gréve ou les manifestations qui auront raison de lui, mais ce disait Cantonat. Retirer les dépôts des banques.
    cordialement ddacoudre.over-blog.com.


  • escudo escudo 19 mai 2013 10:33

    Excellent article ! Il est temps de prendre les armes...


  • Jean-Louis CHARPAL 19 mai 2013 10:44

    Très bon article !

    Evident que les gouvernements doivent pouvoir emprunter à taux nul ou très faible aux banques centrales.

    Et pour ce qui concerne la France, évident aussi qu’il faut , comme en 44, nationaliser les principales banques : BNP, Société Générale, Crédit agricole etc...

    Quant aux dirigeants, non élus, de l’OMC et du FMI dont les crimes ont été si bien mis en valeur par Stiglitz, ils doivent ête jugés par un Tribunal Pénal International. 


  • oj 19 mai 2013 16:12

    1000 personnes par département

    soit 100 000 en France qui marchent sur Paris et declarent les institutions hors la loi et toutes les infrastructures appartenant a la nation.

    ... ou bien destruction des bases de données bancaires et financieres et réseaux de transmissions.

    il faut remettre les pendules a l’heure.

    ce qui fait vivre chaque riche , dans le monde, ce sont les gens ordinaires qui se levent le main pour extraire, transformer , livrer.

    vous ne trouverez pas de solution dans la complexité, car l’homme n’a jamais su gérer la complexité dans le chaos.


Réagir