ET une guerre de diversion, UNE ! Trump en Napoléon 3 ?
Une guerre contre l’Iran : une diversion risquée pour masquer le protectionnisme de Trump ?
Face aux tensions économiques suscitées par ses mesures protectionnistes, Donald Trump pourrait-il envisager une guerre extérieure, comme des bombardements sur l’Iran, pour détourner l’attention ? Cette hypothèse, qui rappelle les expéditions de Napoléon III au Mexique au XIXe siècle, soulève des questions sur ses implications économiques et politiques. Si l’idée d’une diversion peut séduire, les conséquences pourraient s’avérer bien plus lourdes que prévu.
Une stratégie de diversion à la Napoléon III
En 1862, Napoléon III lança une intervention au Mexique pour détourner l’attention des Français de ses difficultés internes et asseoir son prestige. L’opération, coûteuse et finalement désastreuse, affaiblit son régime. De même, Trump, confronté aux critiques sur ses droits de douane – 60 % promis sur les produits chinois, 10 à 20 % sur les importations européennes – pourrait voir dans un conflit avec l’Iran un moyen de rallier les Américains autour d’un ennemi commun. Le slogan "America First" trouverait alors un écho dans une mobilisation patriotique, reléguant les hausses de prix ou les pertes d’emplois au second plan.
Les effets économiques : un remède à double tranchant
À court terme, une guerre pourrait stimuler certains secteurs. L’industrie militaire américaine, pilier de l’économie, bénéficierait d’une hausse des commandes, créant des emplois dans la défense. Le dollar, valeur refuge en temps de crise, se renforcerait, avantageant les finances américaines. Cependant, les coûts seraient immédiats et massifs. L’Iran, producteur de pétrole, verrait son approvisionnement perturbé, faisant bondir les prix mondiaux au-delà de 100 dollars le baril. Aux États-Unis, où l’inflation est déjà alimentée par le protectionnisme, les ménages subiraient une nouvelle pression sur leur pouvoir d’achat.
À l’échelle globale, les répercussions seraient encore plus graves. Une escalade au Moyen-Orient, avec des représailles iraniennes via le détroit d’Ormuz (20 % du pétrole mondial), désorganiserait les chaînes d’approvisionnement. Les marchés boursiers, sensibles à l’instabilité, pourraient plonger, sapant la confiance des investisseurs.
Une diversion politique fragile
Historiquement, les guerres externes ont souvent dopé la popularité des présidents américains, comme George W. Bush après l’invasion de l’Irak en 2003. Trump pourrait miser sur cet effet pour faire passer ses mesures protectionnistes comme secondaires face à une "menace iranienne". Mais en 2025, le contexte a changé. L’opinion publique, profondément polarisée, pourrait rejeter un conflit perçu comme injustifié ou trop coûteux. Loin d’unifier, une guerre risquerait d’amplifier les divisions internes.
Un pari risqué sur la scène internationale
Contrairement au Mexique du XIXe siècle, l’Iran dispose de moyens de riposte – drones, missiles, milices alliées comme le Hezbollah – capables d’embraser la région. Les alliés des États-Unis, déjà irrités par le protectionnisme, pourraient refuser de suivre, isolant Washington. Le coût budgétaire, estimé à des centaines de milliards de dollars, creuserait un déficit déjà colossal (35 trillions en 2025), limitant les marges de manœuvre pour d’autres priorités.
Une diversion éphémère aux conséquences durables
Si un conflit avec l’Iran pourrait temporairement masquer les effets des restrictions commerciales, il ne les effacerait pas. Les hausses de prix et les tensions avec les partenaires commerciaux persisteraient, amplifiées par l’instabilité mondiale. À l’image de l’échec de Napoléon III, cette stratégie pourrait transformer une diversion tactique en fiasco stratégique, avec des retombées économiques et politiques bien plus graves que les problèmes initiaux.
En somme, bombarder l’Iran pour détourner l’attention des mesures protectionnistes de Trump est une idée séduisante sur le papier, mais périlleuse dans les faits. Entre inflation galopante, isolement international et risques d’escalade, le prix à payer pourrait dépasser de loin les bénéfices escomptés. Une leçon que l’histoire, de Napoléon III à aujourd’hui, ne cesse de rappeler.
The Real Anthony Fauci (https://t.me/kompromatmedia_2/2397)–« La CIA a mené des simulations pandémiques pour imposer un système totalitaire »—Robert F. Kennedy
Mais la « réponse n’a pas été en termes de santé publique », ce qui a été étudié, c’est comment imposer un système totalitaire, comment abolir la liberté d’expression ».
Là-bas, Fauci, qui ne voulait pas prendre le risque de violer la Convention de Genève- développait (https://t.me/kompromatmedia/3880) tranquillement des armes biologiques.
Revue de presse, une vidéo capturée sur les réseaux sociaux ukrainiens, nous sommes quelque part en Ukraine, mais probablement sur un front de mer, et dans la région d’Odessa, Ismaïl ou Nikolaïev. Des adolescents qui s’expriment en russe sont autour d’un feu de camp. L’un d’eux brûle son passeport ukrainien en lançant des noms fleuris. La jeunesse en Ukraine a été largement lobotomisée depuis 2014, et même bien avant, mais dans la grande minorité de Russes ethniques, un esprit de résistance reste vivace. Rappelons qu’à Odessa, l’été dernier, la police politique ukrainienne avait arrêté des adolescents qui brûlaient les voitures des recruteurs de mort du TCC. Près de 400 enfants ont aussi été mis sur la liste kill Mirotvorets depuis 2014. Ce jeune rien qu’en filmant la destruction de son passeport, s’il était reconnu, a pris un grand risque. Il pourrait finir dans l’une des caves à tortures du SBU, dont beaucoup ne sont sortis que les pieds devants. https://t.me/laurentbrayarddonbass