lundi 3 décembre 2018 - par Piere CHALORY

Gilets Jaunes, Politocs Pyromanes & Maudits Oui-Ouis

Les Gilets Jaunes on sait qui c'est, les pyromanes-godillots voteurs de lois nocturnes on sait aussi, et Oui Oui c'est un gentil petit lutin :

Les maudits oui-ouis, c'est les béni-oui-ouis survivalistes, au sens premier. Les journalopes démasquées c'est tendance, les correspondants honteux. C'est comme ça en macronie, les journalistes dits de terrain, particulièrement miné ces jours-ci, seraient en danger de mort. Bien qu'aucun n'ait -encore- été lynché. Tout au plus quelques œufs frais sur la tête, des insultes justes, et une paraît-il course poursuite endiablée, chasse à courre orchestrée par les malfrats fluorescents.

 

En ce mois de décembre, pour les maudits-oui-ouis ; jacteurs à bajoues invisibles, excepté pour le top-ten des chiens.es de garde dont les joues remplies de fiel pendent comme celle des bassets, c'est un peu comme si on avançait vers l'Hiver Nucléaire, après une explosion-sociale en chaîne ;

 

BOUM !

 

Devant l'inconscience, l'incurie, l'arrogance inouïe d'un prétendu gouvernement qui use de méthodes oscillant entre une dictature soft -façon de parler- ou de celles des républiques dites bananières, le Peuple se Rebelle en Jaune et ignore la prudence, autant que les relayeurs de propagande assermentés. Ouvriers du verbe qui tant bien que mal continuent à défendre leur système en perdition.

 

Qui casse paie ; code du travail ou mobilier urbain, c'est pareil. Justifier l'injustifiable ainsi que font les tv-chiens de garde a-moralisateurs les engagent, les incriminent au même titre que les acteurs violents de cet opéra post punk, dont on ignore encore le nombre d'actes à venir.

 

Et c'est nouveau, face à la haine insurrectionnelle du Peuple de France dépossédé de sa culture qui n'existe pas, des quelques euros à loisirs en fin de mois qui servent maintenant à payer les pâtes ; ces détestables débatteurs d'insanité déblattent comme des cafards décérébrés. Des vendus qui n'ont d'autre choix que dissimuler leurs armoiries grotesques à la foule ingérable, de masquer leur appartenance officielle aux médias collabos-systémiques, devenus insupportables à l'homme intègre.

 

 

Plus personne ne croit leur baratin et c'est très bien.

 

De la morgue publicitique revendiquée Bfm-Cnews-France-Info-&-Co hissée-haut, santiano ; arborant fièrement leur Logos Lobotomisateur à la face de leurs victimes, les voilà qui se terrent et se déguisent.

 

Certains racontent qu'ils utilisent des symboles trompeurs, comme des pin's che-guevara décoratifs. Macron porte bien une légion d'honneur, alors...

 

Hier encore, les yellow-quidams confiants s'épanchaient volontiers devant un micro étiqueté mainstream-compatissant, sans savoir qu'une fois le maudit-oui-oui rentré au studio ; censurant, découpant et bidonnant à loisir leur parole ; elle sera automatiquement détournée de son sens premier au profit de la propagande état-tique grossière.

 

Scénario à tv-gogos visant essentiellement à les faire passer pour des demeurés, aux yeux de l'opinion censément publique. Story-telling.

 

C'est loin tout ça ; le mougeon se réveille et c'est pas bon pour le macron, bien tôt de la farce le dindon. Après 1 an & demi d'exercice, on dirait un canard décapité, un zombie en marche récitant le requiem de Mozart façon fête de la musique à l'élysée enlaidie, c’est-à-dire effaçant élégance et beauté.

 

C'est drôle, tôt ce matin sur les boulevards non-périphériques dévastés, aux ors et Porsche & Mercedes SL carbonisées, une fois les dangereux GJs partis, les mêmes qui s'exprimaient hier derrière une armada de crs con-venus face aux perturbateurs, avec un micro à bonnet-anonyme, de peur qu'on distingue le dessein du dessin Bfm/CNews&Cos, ré-engoncent leur bonneteau rouge vermillon à lettres fluo sur leur instrument à parole magique.

 

Le ton atterro-terrifié de la veille : l'attitude effrayée et l'oeil éteint font place à la gloriole débridée de la pute libérée, la follingue en goguette.

 

Facile dans les artères vides. Ce qui s'est passé ce samedi 1 Décembre 2018, non seulement à Paris mais aussi dans le reste de l'Hexagone est grave & symptomatique d'une crise inédite profonde ; qui pourrait bien conduire à un bouleversement politique du même ordre que mai 68. Mais quelque part à l'envers idéologiquement.

 

Clairement, ce gouvernement à bout de souffle est prêt à tout pour conserver son pouvoir démesuré et ses privilèges scandaleux. Les images que nous montrent le macronisme actuel, drivé entre autre par Kéké Gaztamère et ses chiens de guerre, sbires féroces qui n'ont pas hésité à frapper des mémés et les assommer au karcher automobile, tandis que le président précieux est à l’abri en Argentine, sont d’une violence rare.

 

Gazage massif de gens venus manifester leur détresse. Matraquage, jet d’eau haute pression à bout portant occasionnant blessés graves. Et le pire ; tir de grenades lacrymo et assourdissantes à jet tendu sur la foule. 30 euros le presse-purée, macron ne regarde pas à la dépense. Une seule compagnie de crs aurait crashé plus de 1000 de ces joujous explosifs… 2 jours après l'odeur des gaz est encore imprégnée dans l'air.

 

On voit sur une vidéo un crs facétieux qui vise les gens comme à la fête foraine. C’est particulièrement inquiétant et jamais vu. Un journaliste de RT-news, chaîne info qui reste assez objective et peut conserver de fait son identité au vu et su des GJs, a été blessé gravement au visage.

 

Pour la Ville Lumière, illuminée rouge sang par Anne Hidalgore, ça sent le roussi ; chicos commerces & paris-go-tourisme sont d’ores et déjà condamnés, à courts moyens & sans doute long terme. Réservation d'hôtels annulées par milliers, restaurants et magasins désertés. C'est comme ça ; l’exaspération est extrême dans la majorité de la population, y compris chez ceux qui hier encore écoutaient béats leur jité quotidien, devenu un film d’horreur permanent.

 

En attendant Mammon est cruel, et impitoyable avec ses esclaves.

 

Et les marchands du Temple Avide, avides & capricieux boutiquiers qui n’obtiendront pas l'immédiat assouvissement de leur désir Capital ; émarger à 1000% en vendant des saloperies bien éclairées derrière les vitrines de Noël, régulièrement embrumées de gaz lacrymo sur Champs Élysées millésime 2018, ne vont pas tarder à déboulonner le régisseur incapable.

 

Quoi qu'il se passe dans les jours et semaines qui viennent, plus rien ne sera comme avant...

 

 



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