lundi 28 janvier 2013 - par DAUDON

Gouvernants, élus, Associations à l’ego démesuré

Une analyse personnelle, à chacun d'y réfléchir. Chacun pouvant apporter des critiques constructives afin d'éviter tout conflit.

JPEG - 33.5 ko
Silvio Gesell, Maurice Allais, Alain Sandler et Jacques Daudon

Utopistes ? De simples artisans d'une Renaissance s'éloignant par le bon sens de la fatalité.

Pas d'instinct grégaire, pas de concession, pas d'effets d'annonces.

 

"Acta est fibula" – La pièce est jouée

La subordination de beaucoup d'élus à l'avantage d'une oligarchie — aux ordres d'un monstre responsable de dizaines de millions de morts chaque année — leur écoeurante soumission, leur flagrante omerta vis à vis de leurs électeurs, leurs multiples incivilités, l'abandon de leurs charges premières [défense des citoyens, et contrôle de l'usage des deniers publics] leurs pantomimes, ballets et mises en scène vont prendre incessamment fin si les citoyens les contrôlent et les jugent à leur tour. Si toutefois ces derniers obtiennent leur souveraineté. Une autre extravagance crève le plafond du supportable.

 

Comment est-il possible, dans un Monde où l'information loyale tout azimut devrait s'emparer des consciences et du bon sens de chacun, que la majorité des gouvernementaux, élus et associations en général soit aussi ignorante des facteurs essentiels de notre vie et survie de chaque jour ?

Tout ce remue-ménage alors que le pays crève des incapacités notoires de ce beau monde privilégié. Jouer dans l'intrigue, s'abonner au sophisme, cultiver le psittacisme, utiliser le rond de jambe, s'imposer les courbettes, conquérir par la flatterie et la perversité : un comble ! Tout dans l'insignifiant, le futile, le secondaire délaissant par ignorance ou volontairement l'essentiel, le fondamental, l'incontournable.

L'économie, la crise, les dettes non dues, ils s'en tapent assurément. La Justice maintes fois violée, ils acceptent et courtisent les frères en robe. Les violences dans la rue ils ne veulent en connaître les causes profondes, quant aux méthodes de soins, sclérosées, inefficaces, avilissantes, dangereuses, ils ont la naïveté de penser qu'ils ne seront jamais touchés par la maladie alors qu'ils bafouent par repas plantureux les règles élémentaires de la diététique. Ainsi pactisent-ils avec beaucoup de professionnels de santé vêtus de peaux de bêtes, ceux-ci arrogants, orgueilleux, désinformés incapables de guérir quiconque !

Lequel d'entre-eux, je parle de nos responsables politiques ou associatifs ont tenté de connaître les causes majeures de nos maux ? Tuberculose, poliomyélite, diphtérie, tétanos, plus près de nous Cancers, maladies émergentes dont la terrible maladie d'Alzheimer et l'autisme en constants progrès. Pourquoi cette ère comparable au contexte moyenâgeux ? A cette époque l'illettrisme condamnait le peuple à se réfugier dans la religion, aujourd'hui, le mensonge, la désinformation nous poussent à embrasser un réflexe indigne de nous : le fatalisme.

Cette réaction funeste ne nous permettant plus de refuser ce qui aurait dû nous paraître comme invraisemblable : cette fameuse crise dont tout le monde parle, qui n'existerait pas en réalité si chaque citoyen avait de solides notions d'Economie. Si la majorité des associations jouaient vraiment le jeu du respect de l'individu. Gueuler la vérité ? Certes mais sûrement pas pour que ces réactions restent lettre morte car on ne tire pas à plusieurs et dans toutes les directions sans que le drap ne se déchire.

Ces nouveaux nobles aux salaires mirobolants n'ont rien à voir avec notre vieille aristocratie, aux culottes reprisées, qui souvent gérait avec talent et humanisme leurs fiefs dans une France ou sévissait la rareté et souvent la disette. L'étalement honteux de la profusion dans les grands magasins, alors qu'un fort pourcentage de miséreux fréquentent la soupe populaire ou fouillent méthodiquement les poubelles. Le bât blesse singulièrement et pourtant qui s'en soucie ? Qui cherche une solution globale. Nous croyons, grâce à nos investigations, être parvenu au règlement des problèmes, pour quoi nos représentants n'en sont-ils pas au même point ?

 

VIENDRA le jour des élections où peu d'électeurs départageront deux êtres bardés de diplômes, mais tout aussi sourds l'un que l'autre aux désirs légitimes des citoyens. A quoi peut dont servir le vote blanc si son triomphe face à une minorité de bulletins nominés n'a point son corollaire : l'annulation des élections et une possible convocation d'Etats-Généraux ?

Nous ne devrions pas être loin alors d'un règlement de comptes car la pauvreté, essaimant, catalyse les énergies. Proches de la naissance d'une Assemblée Constituante qui par son bon sens et sa volonté souveraine redonnera force et vie à une nation de citoyens méritants, désireux de vivre sereinement constamment tracassés et appauvris par des administrations tatillonnes, inefficaces puisqu'elles n'osent s'attaquer aux puissants et à des règles désuètes et injustes.

 

Je n'hésite pas à vous dire, sans colère et sans haine, mais avec conviction que nous vivrons, vraisemblablement dans peu de temps une autre ère, même si quelques crédules compères traitent par le mépris ce document visionnaire ... si peu d'ailleurs car je ne suis ni Calchas ni Cassandre. Un simple citoyen de bon sens ressemblant à s'y méprendre à ces cohortes d'indignés s'écriant en cœur sans avoir fait de latin : << Acta est fabula !>> ou plus vulgairement, ont-ils droit au plagia : << Cassez-vous pauvres c... ! >>.

 




Réagir