vendredi 30 août 2013 - par 23101925

Immobilier, le dernier Eldorado, la dernière frontière

Français ! Françaises ! Vous êtes immensément riches ! Et comme disait Guizot : "continuez à vous enrichir ! Que d'or ! Que d'or disait un autre Maréchal d'Empire, resté célèbre dans notre histoire pour la finesse de ses observations. A l’instant même, la Russie avertit que les suites d’une attaque de l’ « Occident » sur la Syrie seront catastrophiques. Quel rapport ? Justement ! Ce qui se passe en ce moment corrobore en partie et bien malheureusement mes analyses sur l’immobilier. L’immobilier en Syrie, comme au Liban, comme tout autour, n’en finit pas de s’écrouler, au sens propre comme au sens figuré.

Lorsque je parle de l’immobilier Eldorado, ce n’est plus celui des banquiers-bourgeois bien pépère ni celui des gros propriétaires des beaux quartiers, bientôt râpés usés jusqu’à la corde, et dont le devenir est sans appel.

Le sujet de ce texte, c’est bien un nouvel Eldorado, dans lequel, pour l’instant peu se sont engagés mais vers lequel la ruée tôt ou tard ne saurait tarder.

Avant de vous livrer le secret, quelques rappels en chiffres

"Entre 1978 et 2007, la valeur du patri­moine national a été multipliée par huit, pour atteindre 12 513 milliards d'euros, selon une étude publiée hier par l'Insee." raconte un vieux Figaro de mars 2009. Aujourd'hui, en 2013, on doit être en toute logique autour de 15 000 milliards. 15 000 000 000 000 si vous préférez mieux visualiser. 20 000 000 000 000 de dollars. Ici seulement.

A raison d'environ 20 000 000 de ménages en France, cela nous fait 750 000 Euro chacun. Mais le calcul est grossier j’en conviens. De plus, pour tout dire, il n'a pas de sens car ce "patrimoine" appartient en grande partie aux banquiers. En 2025, par extrapolation, si vous calculez bien, ce sera 3 millions d'Euro chacun. Enfin, je veux dire, 30 000 milliards de dollars pour les banques, rien qu'en France.

Vous n’êtes pas noyé au moins ? Dans l’inondation de chiffres. Que d’or ! Que d’or ! 

Petite précision, les 30 000 milliards en question portés à l’actif des établissements financiers peuvent être légèrement surévalués comme disent les experts puisque pour la zone Euro, c'est autour de 40 000 milliards. Enfin, l'ordre de grandeur est acceptable vu que tout cela peut doubler du jour au lendemain, s’enfler ou se réduire comme peau de chagrin, au hasard des événements ou des prophéties d’experts.

L'OCDE n'a t-il pas dit il y a peu que tout l'immobilier belge était surévalué de 50 % ? Et même que Backchiche - Satire juste - titre justement il y a un mois : Les banques françaises au bord de la défaillance.

Mais je ne le crois pas n’est ce pas. Comme je ne crois pas à la guerre. Pas du tout. Ni à la faillite du système financier, ni à la chute de l’immobilier, ni à … Vous non plus d’ailleurs n’y croyez pas. D’ailleurs, c’est tabou. Marre du pessimisme, ressaisissez-vous !

De menus risques existent néanmoins, d’innocents bouleversements en perspective

Comme nous l’avons vu dans mes trois précédents textes ainsi que dans la quasi totalité des commentaires venus les enrichir, il convient malgré tout de prendre acte de l’existence de quelques menaces pesant sur ces extraordinaires richesses faites pour moitié de pierre, pour moitié de papiers, pour moitié de rêve, pour moitié de publicité, pour moitié de spéculation, pour moitié de nécessité, pour moitié d’électrons, pour moitié de prestidigitation, pour moitié de falsification.

Ceux pour qui la principale préoccupation est de se loger reliront avec profit les avis tels que celui de Razzara :

« Franchement, il faut vraiment être cintré pour s’endetter sur 25 ans ou plus pour une bouse pareille »

"Pour parler du marché immobilier de La Rochelle et de ses environs que je connais très bien, les biens immobiliers sont surévalués à trois fois leur valeur réelle, voire plus." dit Reveil.

"Pour avoir voulu contenter des rentiers spéculateurs nos chères élites pleine de frics ont plombé notre compétitivité en faisant grimper le coût du logement.

Le mal est fait, ceux qui achètent aujourd’hui ne peuvent ignorer que la valeur de leur bien ne peut que baisser ......". C'est Viva qui dit cela.

"Et tout ça s’écroulera le jour ou le gouvernement ne pourra plus payer des HLM aux nouveaux migrants." Là, c'est nenecologue, iconoclaste et pourfendeur de bien-penser qui s'exprime.

Je ne peux tous les mentionner. N'y revenons pas, la piste d’analyse est ouverte, la cause est entendue. Chaque lecteur pourra suivre en temps réel le débat à travers Google actualités : tag Immobilier, agrémenté d'attributs suivant l'humeur, pour savoir comment se porte son immobilier, celui côté cœur, celui côté porte-monnaie, ou celui côté « radeau de la Méduse ». Ou revenir aux commentaires.

Ce qu’il faut retenir, c’est que l’ Eldorado traditionnel des banquiers est bel et bien épuisé. Maintenant, chacun pensera comme il voudra, nous ne serons pas tous d’accord, sur Agora plus encore que sur les autres Media.

Bakerstreet ironise : J’avais bien dit à mère de partir avant, mais elle n’a pas voulu céder son 200 mètres carrés pour 20000 euros pendant qu’il était encore temps.

Je ne sais si sa mère est propriétaire et loge dans son appartement ou si elle le loue à un ménage aisé, mais je présume qu'elle n'est pas banquière, enfin, je veux dire, pas au guichet, mais plutôt patronne ou puissante actionnaire. Dans ce cas, elle ne risque rien effectivement, le papier et les comptes électroniques ont remplacé la pierre, ses risques et ses fatigues.

L’Eldorado, le nouveau ? Où serait-elle alors, cette dernière frontière ?

Bakerstreet en connait le chemin. Je le cite de mémoire :

Si vous voulez pas être poire, l’avenir est dans la Loire (au fond, précisons)

Pas finir dans la dèche, alors viser l’Ardèche (le plus loin possible de Valence)

Le bon investissement, c’est dans le Morbihan (un menhir suffira contre le vent)

Echapper au bordel, c’est la Meurthe-et-Moselle (côté Vosges, là où vit la bête)

Plus vivre comme un rat, alors ce sera le Jura ( le fromage à portée de dent)

Respirer de l’air pur, c’est à …

Eh bien oui, ce nouvel Eldorado il est constitué par le vaste ensemble à l’écart, loin des villes, qu’on pourrait appeler « l'immobilier de réserve », immobilier dormant, immobilier délaissé, voir ignoré, méprisé par deux siècles de science économique bourrique qui n’a rien vu venir, qui se trouve actuellement totalement dépassées par l’apparition de conditions historiques radicalement nouvelles, radicalement différentes. Immobilier "refuge", comme les valeurs du même nom ?

Immobilier dormant, immobilier de réserve. Je suis certaine que les termes vous deviendront familiers. 

Il n’est pas aisé de poser des définitions pour expliciter un concept totalement nouveau.

Principales caractéristiques de cet immobilier dormant

Tout d’abord, il est bien gardé, par des étendues inhospitalières de forêts parfois, des espaces et des distances rebutantes, des ronciers, des orties, d’impénétrables buissons, une exubérante végétation. Il s’enveloppe de silence, d’obscurité la nuit, de froidure, de brumes, de hululements, de glapissements, de hurlement du vent, de pluie, de tous les ennemis enfin du citadin fabriqué par la pseudo modernité, de tout ce dont notre contemporain non encore affranchi à horreur, à peur, fuit bien souvent.

Vous l’avez compris, cet immobilier dormant, ces biens de réserve, ils se nichent au fin fond du monde rural le moins traversé par les hordes motorisés. Vous gens-des-villes-et-des-cités, ne les avez peut-être même jamais entre aperçus ces choses venues du fond des âges, conservées authentiques, intactes, splendides en leur isolement et leur immuabilité, terrains recouverts de végétation dense et drue, augustes maisons ou fermes chenues d’ancêtres encore pleines des images de la vie d’homme libre, bois épais et profonds, manoirs, moulins, étangs, jachères, bruyères, masures, nids d’aigle… C’est décidément loin des villes que vous le trouverez.

Initialement, ils ne sont pas en vente ces biens dormants, ou rarement, il faudra aller les débusquer vous même sans se décourager. Les obstacles ne vous manqueront pas, vous aurez à affronter des gardiens ombrageux, pas très sympathiques à priori , vieillards solitaires atrabilaires très butés, bien décidés à ne jamais céder ces fragments d’héritage passés de générations en générations au fil des siècles. 

Pourtant, avec un peu d’habileté, d’efforts de compréhension, vous pourrez conclure le pacte directement, et pour pas cher. Méfiez-vous seulement de la SAFER ! Cette horrible vieille mégère d’administration issue d’un régime infâme d’exception, et qui s’est attribuée sans partage le rôle de chienne de garde jalouse du jardin des Hespérides. Mais il y a des solutions.

Au hasard d’on ne sait trop quel engouement, le génération 68, celle de mes grands-parents, avait envoyé des pleins contingents revivre à la terre. Qu’en est-il resté ? A vrai dire, il n’y avait pas nécessité ! Aujourd’hui, c’est une toute autre affaire ! Les raisons de s’intéresser à cet immobilier de réserve, cette nouvelle frontière, cet immobilier dormant n’en finissent pas de s’accumuler. Vous n’en avez pas l’intuition ?

Comme pour la conquête de l’Ouest, comme pour la recherche de l’Eldorado, le premier, le vrai, la migration sera d’abord le fait de pionniers visionnaires et courageux, une poignée. Puis suivront des caravanes de plus en plus nombreuses et mieux équipées et prédatrices, puis viendront, à nouveau, les voyous, les putains et les banquiers. Vous rappelez-vous ce film, de la génération 68 justement, il était une fois dans l’Ouest ?

Mais nous avons encore du temps devant nous

Pour vous, pour moi, pour les pionniers, un conseil : partez cependant sans tarder, avant que la belle au bois dormant ne soit réveillée par la horde des cupides et concupiscents Caliban aux doigts crochus et aux dents qui rayent la terre.

Pour les banquiers et l’establishment immobilier, actuellement aux prises avec les tumultes qui agitent leur terrain de jeu du moment et qui songent à se ruer à la conquête du dernier Eldorado que constitue l’immobilier dormant, un conseil également :

Banquiers ! Lorsque vous aurez identifié la merveilleuse opportunité, si jamais vous l’identifiez, ce que nous souhaitons voir arriver le plus tard possible, dans cent ans et plus, faites comme vos illustres prédécesseurs du Canal de Panama, ou de Suez : ne prenez pas la pelle et le pic du travailleur vous même ! Accumulez les milliards, magouillez au niveau le plus élevé de l’Etat et entrez dans l’Histoire. Comme Bienfaiteur et sauveur de l’Humanité.

Nous vous faisons confiance, banquiers, si vous existez encore - la question est posée - vous saurez faire.

L’immobilier, quel qu’il soit, in fine, c’est votre affaire.

 

NB : à méditer, citation Atlantico, 4 août

La France, parce qu’elle est un pays qui dispose de magnifiques ressources agricoles et qui dispose aussi de réserves en eau très enviées, ne pouvait manquer d’intéresser la Chine. Celle-ci a réalisé une première percée stratégique en réussissant ces dernières années à acheter, selon le journal le Parisien, plus de cinquante châteaux viticoles dans le Bordelais (ce qu’auparavant, ni les Britanniques ni les Américains ne s’étaient autorisés à cette échelle). On ne peut que déplorer une telle aliénation à la Chine d’actifs agricoles aussi performants, aliénation qu’apparemment, la France a laissé faire sans même que la Chine ne consente de contreparties particulières à la France…

 

Citations graphiques 

http://im.ft-static.com/

http://media.treehugger.com/

Golden_Girl__WIP_2_by_Luc_Esprit

http://www.wallpapersdesign.net/

http://i1.dailypost.co.uk/



16 réactions


  • Robert GIL ROBERT GIL 30 août 2013 10:21

    Il faut que le secteur locatif soit accessible à tous et ne pas pousser inconsidérément les gens à l’accession à la propriété. Car souvent, les nouveaux propriétaires s’endettent et lorsque leur situation financière se dégrade, ce sont les banques qui confisquent les appartements. Le rêve se transforme alors en cauchemar. Créer une classe de propriétaires, c’est un moyen pour le pouvoir de contrôler les individus. Cette pseudo classe de « propriétaires-salariés-endettés », qui doit rembourser des emprunts importants à la banque aura moins tendance à faire grève ou à manifester.........

    voir : LE LOGEMENT, UNE PRIORITE !


    • foufouille foufouille 30 août 2013 12:29

      « propriétaires-salariés-endettés » = locataire-« salariés-endettés » ou sdf, c’est pas mieux
      ou encore HLM qui fait boum


  • jef88 jef88 30 août 2013 11:41

    Français ! Françaises ! Vous êtes immensément riches !

    et la photo d’illustration nous montre une pov’ fille qui n’a même pas de quoi s’habiller !
    LOL ! ! !


    • Montagnais .. FRIDA Montagnais 30 août 2013 12:12

      .. Comme moi d’ailleurs, bien pauvre, au même point, quasiment dans le même appareil à l’heure où je vous parle. Un scandale ..


      Ah ! je dois dire merci à l’éminente « Modé » qui a laissé s’exprimer la jeune stagiaire inexpérimentée que je suis, et aux commentateurs qui ont enrichis mes humbles écrits.

      Je dois dire que je ne pourrai plus publier sur AV, ni répondre : plus le temps, trop de travail, overbookée ..

      Mon Patron vient de m’atteler à un Business Plan !

      «  Pour vendre la France aux Chinois, aux Russes, aux étrangers »

      Dit-il

      Je dois le quitter ?

      Soyez assurés de mon intérêt et de ma gratitude envers AV

    • Patrick Samba Patrick Samba 30 août 2013 13:11

      Quoi ?? Une fan d’Adbusters passant son temps sur AV à appeler à la révolte contre la bêtise, l’aliénation de masse et le consumérisme, et qui vendrait son âme au premier patron venu ?
      Et cela pour quelques fifrelins ?
      Allons bon...

      Mais quelques fifrelins qui doivent faire tout de même un confortable salaire manifestement, malgré donc l’état de grand dénuement avoué.

      Quelle démission Montagnais !

      Voici donc une nouvelle victime de ce Dieu séducteur de la surconsommation hédonique ?....


    • Patrick Samba Patrick Samba 30 août 2013 14:30

      En même temps quand, dans un article sur Céline, on se contente de cette phrase pour faire le tour de son antisémitisme : "Céline connait parfaitement le monde juif. Parfaitement. Il l’a tant admiré ! En se laissant aller à prétendre l’injurier si spécialement il s’est assuré - pour un coût exorbitant admettez - l’immortalité.", on peut comprendre...


  • foufouille foufouille 30 août 2013 11:51

    ton immobilier « dormant » est en ruine. a part si tu fait tout toi même, cela te coutera plus cher qu’un pavillon
    la SAFER, c’est pour les terres agricoles


  • foufouille foufouille 30 août 2013 11:56

    tu as aussi des ruines mitoyennes. la totale car le proprio d’a coté ne restaura pas ton mur


  • Bubble Bubble 30 août 2013 13:05

    Je pensais avoir mis un filtre anti-pub et arnaques sur mon navigateur.


  • imprécateur 30 août 2013 13:43

    A l’auteur de ce billet qui se prend pour Alphonse ALLAIS sans en posséder ni l’humour ni la culture quand se dernier disait :
    -« il faudrait construire les villes à la campagne, l’air y est plus pur ! »

    Je préciserai que la citation de Guizot est mal venue puisque celle ci était :
    -«  Enrichissez vous, par le travail, par l’épargne, par la probité »
    alors que ceux qui nous gouvernent aujourd’hui nous disent :
    ENRICHISSEZ NOUS !

    Par ailleurs, l’exclamation de l’ineffable MacMahon (massacreur allègre de 30 000 parisiens pendant la Commune) devant les crues de la Garonne fut non pas que d’or !, mais :
    « Que d’eau, que d’eau ! »
    Ce à quoi le préfet à ses côtés répondit bien qu’il ne fut pas diplomé de l’ENA :
    "et encore, vous ne voyez que le dessus !


  • wawa wawa 30 août 2013 15:38

    Je suis arrivé au même conclusions :
    immobilier pourquoi pas , mais résidence principale, forêt, ferme, terre agricole(avec reserve)

    tout le reste est a jeter aux ortie, complètement surevalué.


  • lephénix lephénix 30 août 2013 17:09

    rock around the bunker... vous toujours joliment swinger cette pierre folle qui nous pèse sur le ventre - davantage par l’image cette fois-ci : vous resterait-elle sur l’estomac, au 4e article ?
    dans le précédent, vous évoquiez sarajevo : la Bosnie-H est le pays où sévit la plus grave crise du logement de tout le continent : 92% des habitants sont « propriétaires » (cf le rapport de la Fondation Abbé-Pierre)...
    le saviez-vous ? le mètre carré funéraire est au même prix que le mètre carré « résidentiel »...
    le retour à la terre, une chimère ? les villages se font cambrioler plusieurs fois dans l’année, les paysans se font voler jusqu’aux fils de leur enclos - et massacrer leurs bêtes, percer le reservoir de leur tracteur...
    là-bas, occupation et possession valent titre de propriété - des populations sans titre squattent...
    les gendarmeries ferment, qui va faire respecter un illusoire « droit de propriété » ?
    avec quel savoir-faire agroécologique les citadins candidats à un exode rural arracheront-ils leur subsistance à un sol vitrifié ? l’eau des puits et des sources est-elle de même qualité que jadis ?
    l’âge de la pierre qui tombe ou de la pierre lancée est la cinquième « rupture » de la société postindustrielle...
    habiter, comme rire, est « le propre de l’homme » : pourquoi alors consentir à l’inhabitable et aux chimères d’un « démonde » qui a perdu son assise et son axe, où l’être ne peut plus trouver sa demeure ?
    le retour à la campagne, c’est vraiment ce que disait Lisette l’année de la création des HBM ?
    pierre après pierre, vous nous creusez une galerie... Galerie après galerie, vous construisez une cathédrale...Vous avez la foi des bâtisseurs  : votre prochain « papier » sera-t-il sur le droit de cité, l’hospitalité, le prendre soin du cohabiter, la « stabilité résidentielle » ou le sens de la hutte en Alsace bossue ?


  • armand 30 août 2013 17:41

    tu peux essayer sous toutes tes id abgeschiedenheillll cela ne passera pas !


  • paco 31 août 2013 04:40

     J’men fous. Ai trois maisons et un bunker. qui dit mieux ?


  • homesweethome 30 septembre 2013 18:00

    C’est clairement pas le moment d’investir. Bien que les taux soient encore bas, les prix du mètre carré sont trop cher. Il est préférable d’acheter moins cher à un taux élevé que faire l’achat d’un bien au prix fort avec un taux de prêt plus bas. Dans le deuxième cas, vous y perdrez.

    Donc attendons 204 avant d’investir.

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