L’Estocade ou L’escroquerie dévastatrice de l’agent états-unien Macron. Carnets covidiens (17 mars 2020 - 6 mai 2022)
Vient de paraître aux Editions du Plaqueminier, L’Estocade ou L’escroquerie dévastatrice de l’agent états-unien Macron. Corruption, haute trahison et crime contre l’humanité - Carnets covidiens (17 mars 2020 - 6 mai 2022). Ce recueil se compose de dix-sept articles qui furent publiés en leur temps sur AgoraVox, Profession Gendarme ou FranceSoir, à partir du premier jour du confinement général, le 17 mars 2020. Pour mettre l’eau à la bouche des lecteurs, en voici l’introduction. Bonne (re)lecture à tous ! Et bien sûr, bon vote aux élections législatives dimanche…
Mai 2022. Il fait beau. Le temps des élections, une parenthèse enchantée. La plupart des contraintes, celles de la vie courante, ont fini par être levées. Le soleil brille sur nos libertés retrouvées.
Beaucoup s'interrogent : « Le Covid, ça va recommencer ? » Naïve question. Tout indique (1) qu'à la rentrée, cet hiver, peut-être même dès l'été, au moindre virus, au moindre variant, à la moindre maladie nouvelle (2), la comédie sanitaire, covidienne ou pas, reprendra. Elle reprendra avec sa propagande gouvernementale, sa dramaturgie médiatique, son matraquage permanent, ses appels à « la responsabilité de chacune et de chacun », et surtout, pour finir, ses injections en série et ses QRCodes. Suivant une conception de la vie où la Liberté, en principe valeur suprême, est reléguée loin, très loin derrière la santé. Suivant une définition de plus en plus « knockienne » de cette dernière, consistant à faire de chaque Français, quel que soit son âge, un malade en puissance, un malade imaginaire.
Dans les faits, ce théâtre lugubre, cette gigantesque manipulation tissée de mensonges, sert le sacrilège et la transgression politiques suprêmes : une attaque frontale, quoique de biais, contre les libertés publiques. Cette comédie ténébreuse est mise en scène par un homme ou un groupe d’hommes qui usent des moyens les plus cyniques, les plus retors, les plus criminels, les plus atroces, à la poursuite de finalités qui le sont davantage encore.
Mais le plus stupéfiant de cette dantesque affaire, c'est, même après deux ans de flagrante escroquerie, le grand nombre de ses dupes. En général, le recul du temps est fatal au mystificateur, toujours confondu à la fin. La seule question, pour lui, étant de savoir si le secret de son imposture tiendra jusqu'à sa mort (il y a de fameux précédents...). Mort dont le caractère naturel pourrait d'ailleurs aussi dépendre, en partie, de la réponse à cette brûlante question. Qu'il échappe aux poursuites pénales ou qu'il parvienne à se soustraire à la vindicte populaire, n'est-ce pas là l'essentiel pour l'escroc, traître et assassin ? Après lui, le déluge...
On peut résumer en une seule question l'opération Covid-19 (2020-2022) : comment une maladie provoquant une mortalité équivalente à celle d'une grosse grippe – réalité déjà clairement établie lorsque l'épidémie s'est déclarée en France, en février et mars 2020 (3) –, a-t-elle pu déclencher une panique générale et, surtout, autant de mesures scandaleuses, inappropriées, disproportionnées, absurdes, ruineuses, et surtout, pendant si longtemps : deux ans ?
Ces articles s'étalent du premier jour du confinement général, le 17 mars 2020, jusqu'au lendemain de la présidentielle, en mai 2022. Ils montrent que l'escroquerie était patente dès le premier jour, et que tous les éléments nécessaires pour s'en apercevoir étaient disponibles sur la Toile.
Or confinés, les Français ne manquaient pas de temps pour aller butiner sur les réseaux et se renseigner sur la cause de leur liberté confisquée. Pourtant, la plupart se contentèrent d'écouter sagement et de prendre pour argent comptant tout ce que racontaient le gouvernement et les gros médias subventionnés. (4)
Dès le début de cette affligeante affaire, l'absurdité du choix du confinement général, son coût financier et humain exorbitant, l'absence de motif objectivement valable pour le déclencher, la crédulité générale en dépit de l'énormité de la manipulation : tout laissait envisager le pire pour l'avenir.
Alors que l'opération reste manifestement d'actualité, puisse cette publication ouvrir les yeux de certains lecteurs ; de ces lecteurs qui, en toute bonne foi, ont cru au début que cette maladie était extraordinairement dangereuse pour tous et à tout âge, se sont peu à peu rendu compte que ce n'était pas le cas, mais n'ont pas encore compris que, plus globalement, le Covid-19 était une opération qui n'a, pour ainsi dire, aucun rapport avec le sanitaire. En réalité, nous avons affaire à un coup d'Etat gigantesque, d'envergure internationale habilement coordonné, contre les peuples. Notamment contre les peuples de l'Union européenne et en particulier contre le peuple français. Et contre la France elle-même.
Si Macron obtient la majorité à l'Assemblée nationale, il aura tous les pouvoirs. Il pourra alors pousser à son terme son entreprise de destruction, du démantèlement de la France à l'asservissement de son peuple.
Ce recueil, avec ses articles publiés en leur temps et aujourd’hui mis bout à bout, s'ajoute aux livres et aux articles d'auteurs célèbres ou anonymes, aux innombrables vidéos, aux films sur la Toile, produits inlassablement depuis deux ans par des petites mains et de grands noms. Tous méprisés et neutralisés sous le vocable bien pratique de « complotistes ». On connaît la blague : « Un complotiste, c’est un gars qui raconte des absurdités qui se produisent un an plus tard. »
Si dans quelques années une France paupérisée, gravement déclassée, tiers-mondisée, clochardisée, n’est plus qu’un champ de misère, de ruines ou de chaos où l'on s'entre-tue, ou, peut-être pire encore, une société de contrôle entre 1984, Le Meilleur des Monde et Ubu roi, les Français ne pourront pas dire qu'ils n'avaient pas été prévenus... et surtout qu'ils n'auraient pas pu savoir... depuis le premier jour…
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Notes :
(1) A commencer par Macron lui-même, qui a déclaré le 31 mai 2022 : « Vacciner tout ce qui peut être vacciné, parce qu'on évite les virus. C'est ça la meilleure réponse pour alléger la charge du système de santé et avoir une population en bonne santé. Donc, aussi, on va continuer d'agir sur ce volet. » On appréciera, au passage, la réification typiquement macronienne : « Vacciner tout ce qui peut être vacciné ».
(2) Voici qu’on nous bassine, alors que j’écris ces lignes, avec la « variole du singe », et que la nouvelle ministre de la Santé Brigitte Bourguignon nous explique que les « cas contacts » devront être « vaccinés ».
(3) Dans une vidéo mise en ligne le 25 février 2020 sur le site du Journal International de Médecine (JIM), le Pr Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l'Hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris, pouvait ainsi déclarer : « Le taux de létalité [du Covid-19] a tendance à baisser depuis le début de l'épidémie. Il a d'abord été estimé à 15%, puis à 2%, puis à 1%. Dans les études, actuellement, on dit 0,5 à 1%. Mais le problème c'est qu'on ne connaît pas le dénominateur, et plus notre connaissance progresse sur le nombre de patients infectés (...), plus on se rend compte qu'il y a énormément de gens qui sont infectés avec peu de symptômes voire pas de symptôme du tout. Et donc on estime que le taux de létalité est probablement moindre que celui qu'on a calculé jusqu'à maintenant. Et je pense qu'il va terminer autour de 0,1%, (...) donc on va se retrouver avec un taux de létalité globalement proche de celui de la grippe. (...) Le virus lui-même (...) n'est pas la peste du Moyen-Âge, clairement. [C'est un] virus émergent, pas très grave. »
Dans une vidéo mise en ligne le 17 mars 2020, le Pr Didier Raoult, directeur de l'IHU Méditerranée Infection, ne disait pas autre chose : « (...) Bien sûr, les maladies infectieuses sont des maladies d'écosystème, mais on ne trouve pas [avec le Covid-19] une catastrophe qui justifie des mesures dignes d'une catastrophe atomique. Par ailleurs, si on regarde ce qu'est la mortalité de cette maladie, c'est assez difficile à évaluer, mais il y a, au moins, un endroit dans lequel c'est facile d'évaluer une part de la transmission, et la part de la mortalité. C'est cette grande folie qu'ont fait les Japonais en coinçant tout le monde sur un bateau de croisière, avec des gens dont la moyenne d'âge était extrêmement élevée, comme les croisiéristes en général. Il y avait à peu près 3000 personnes [sur le bateau]. Là-dessus, il y en a 700 qui sont tombées malades et 7 qui sont mortes. Dans la population la plus à risque, la mortalité est de 1% ! Donc il faut arrêter de raconter des choses qui terrifient les gens. Bien entendu, si vous ne testez que les gens en réanimation (...) vous aurez une vision de la gravité de la maladie qui n'aura rien à voir avec la gravité de la maladie, [car] la gravité de la maladie des gens qui sont en réanimation généralement est très grave. (...) Moi je ne vois pas de signaux de mortalité qui soient spécifiquement redoutables [par rapport à une grosse grippe] (...) »