mardi 27 mai - par Hamed

L’homme est-il prédestiné ? Quel sens de l’Univers sans l’homme ?

 Dans son livre « Le Hasard et la nécessité », Jacques Monod a exposé un point très important concernant l’évolution de l’homme depuis les temps primitifs, il concerne le problème linguistique. Selon Jacques Monod, le langage humain a joué un rôle essentiel dans le développement de l’homme à travers les âges. « En tant qu’événement unique dans la biosphère », c’est lui qui lui a ouvert la voie à son évolution et lui a permis de s’affirmer sur le monde extérieur. Cette faculté parlée ou par signes est unique dans le monde vivant. Seul l’homme qui en est doté peut les transmettre à ses congénères, et précisément cette performance linguistique qui est associée intimement à la fonction cognitive qui a permis sa survie et ses avancées au cours des âges dans un monde éminemment hostile.

 Aussi écrit-il : « Ainsi le Zinjanthrope doit-il être considéré comme un homo faber très primitif. Or il paraît très vraisemblable qu’entre le développement du langage et celui d’une industrie témoignant d’une activité projective et disciplinée, il dut y avoir une corrélation très étroite. Il semble donc raisonnable de supposer que les Australanthropes possédaient un instrument de communication symbolique à la mesure de leur industrie rudimentaire. En outre, s’il est vrai, comme le pense Dart, que les Australanthropes chassaient avec succès, entre autres animaux, des bêtes puissantes et dangereuses telles que le Rhinocéros, l’hippopotame et la panthère, il fallait que ce fût une performance convenue à l’avance par un groupe de chasseurs. Projet dont la formulation aurait exigé l’emploi d’un langage. […]

Mais il est évident qu’une fois ce pas franchi, l’usage d’un langage, si primitif fût-il, ne pouvait manquer d’accroître dans des proportions considérables la valeur de survie de l’intelligence, et donc de créer en faveur du développement du cerveau une pression de sélection puissante et orientée, telle qu’aucune espèce aphasique ne pouvait jamais en connaître.  »

S’il en est ainsi, et on doit comprendre selon Monod, que seul le genre humain pourvu de langage humain fait de mots et de signes qui lui permet d’avoir une suprématie sur les autres espèces vivantes de l’écosystème. Ce qui est vrai puisque seul l’homme détient cette faculté linguistique de communiquer. Mais si les animaux n’ont pas de langage pour communiquer, mais ils ont cependant une « faculté » de reconnaître et de se reconnaître qui leur sont transmises par leurs organes des sens tels la vue, l’ouïe, le toucher… et certaines facultés olfactives pour les insectes, il n’explique pas certaines situations réellement « intelligentes » que des animaux mènent en groupe sans pourtant ce langage de mots et de signes que ne détient que l’homme.

Nous avons vu par exemple des animaux dans la recherche de proies opérer pratiquement de manière « humaine ». Dans un documentaire dans une chaîne Tv, on montrait une douzaine de lionnes chasser en groupe. Après un laps de temps, une grande girafe s’est retrouvée entourée de ces lionnes. Et après un temps d’observation, ces lionnes se rapprochaient très prudemment. Evidemment, chaque coup de sabot de la girafe expédiait les lionnes qui s’approchaient à quelques mètres avec parfois de graves blessures pouvant même leur être fatales. Pourtant, l’encerclement continuait et les lionnes ne lâchaient pas prise. Evidemment, il y avait aussi pour eux un problème de survie pour s’attaquer à une si grande proie.

 Après un combat acharné, les lionnes eurent à la fin le dessus. Les lionnes s’attaquant conjointement à ses pied et jambes, les morsures qui lui infligèrent finirent par faire tomber la girafe, ce qui entraîna la fin de toute résistance. La girafe vivante s’est fait déchiqueter par les lionnes affamées.

Le même processus joue pour l’espèce marine, les « orques » par exemple. Surnommés « les dents de la mer », réputés grand carnassier, les orques opèrent en groupes. Ils chassent, selon des données, en groupes de cinq à trente individus, et, en coopérant dans leurs attaques, ils finissent par leurs morsures répétées par briser toute résistance de leur proie. Un documentaire montrait un baleineau attaqué par des orques. Malgré les coups de nageoire arrière, la baleine-mère n’est pas arrivée à sauver son baleineau, livré à la voracité des orques. Il est évident que cette sauvagerie animale est le tribut de survie pour toutes espèces, y compris pour l’homme qui lui aussi est un prédateur et bien plus intelligent.
 

  1. Hasard, nécessité ou prédestination de l’homme ?

Comme expliquer que, malgré l’absence de langage, les lionnes ou les orques qui ne sont pas dotés de langage ont coopéré dans leur chasse et attaque en groupe ? Il est évident que, comme pour l’homme, il y a un système de transmission qui est inné dans la constitution de tous les êtres vivants. Un système qui est inhérent à la lutte pour la survie. Sauf que le langage humain est plus sophistiqué, et s’il est parlé et dotée d’une intelligence humaine, c’est qu’il différentie non seulement l’homme de l’animal mais lui donne des facultés qu’aucun vivant n’a sur l’écosystème. Ce qui fait de l’homme, l’être vivant par excellence, i.e. le seul être qui a conscience et compréhension du monde vivant. Et cela aussi est « inné », et ne peut relever du hasard, mais d’une « intelligence universelle ». Bien qu’on peut le penser, ni le hasard ni la nécessité ne peuvent prédire de l’origine de la vie de l’homme. L’homme est en quelque sorte le reflet de l’univers, et l’univers est le reflet de l’homme. Peut-on penser l’univers sans l’homme ? Ou l’homme sans l’univers ?

 Il est clair que l’on peut philosopher, dire tout ce que l’on veut, une vérité cependant s’impose. Sans l’homme, il n’y a pas d’animaux, pas de végétaux, pas de lune, pas de soleil, pas de galaxie. Combien même l’homme n’ETAIT pas, on voit mal ce que serait le sens des animaux, des végétaux, des planètes… dans l’écosystème. Sans le témoin qu’est l’humain, le monde ne serait pas monde, un monde sans sens, un « existant inexistant ». Est-ce seulement possible que le monde et l’intelligence qui le constituent seraient sans sens ? L’entendement, la raison humaine l’accepteraient-il ? Ils ne peuvent que le refuser, c’est l’homme qui donne sens au monde, et non l’inverse.

L’être humain qu’il est et l’INTELLIGENCE qui l’a créé ne peuvent que reporter que tout est sur lui. Et c’est cela qui est complexe et qui met l’existence de l’homme au milieu du néant et du tout. L’homme ne se sait pas sans savoir qu’il est au centre de l’existence du monde, de l’ « essence » même du monde. Il ne se sait pas qu’il a une destinée dans le sens du monde. Cela peut paraître présomptueux voire absurde, mais on ne peut disconvenir que l’ « essence humaine » est la seule essence sur terre pour intelliger le monde, pour apposer son empreinte sur le monde, pour organiser le monde. Et cela sans aucune prétention anthropomorphique.

 Les religions divines ne se sont-elles pas très tôt si on remontait le temps adressées à l’homme ? N’ont-elles pas transmis leur message au seul être vivant doté d’une compréhension qui n’a aucun égal sur l’écosystème ? Dès lors peut-on se poser la question, l’homme est-il prédestiné ? Existe-t-il un hasard ou une nécessité de cette prédestination de l’homme ?

 Pour parler plus concrètement, Jacques Monod, dans le chapitre 8, « Les frontières », écrit : « La troisième étape c’est par hypothèse, l’émergence graduelle des systèmes téléonomiques qui, autour de la structure réplicative, devaient construire un organisme, une cellule primitive. C’est ici qu’on atteint le véritable « mur du son », car nous n’avons aucune idée de ce que pouvait être la structure d’une cellule primitive. Le système vivant le plus simple que nous connaissons, la cellule bactérienne, petite machinerie d’une complexité comme d’une efficacité extrêmes, avait peut-être atteint son présent état de perfection il y a plus d’un milliards d’années. Le plan d’ensemble de la chimie de cette cellule est le même que celui de tous les autres êtres vivants. Elle emploie le même code génétique et la même mécanique de traduction que les cellules humaines, par exemple. […] Il nous faut toujours être en garde contre ce sentiment si puissant du destin. La science moderne ignore toute immanence. Le destin s’écrit à mesure qu’il s’accomplit, pas avant. Le nôtre ne l’était pas avant que n’émerge l’espèce humaine, seule dans la biosphère à utiliser un système logique de communication symbolique. Autre événement unique qui devrait, par cela même, nous prévenir contre tout anthropocentrisme. S’il fut unique, comme peut-être le fut l’apparition de la vie elle-même, c’est qu’avant de paraître, ses chances étaient quasi nulles. L’univers n’était pas gros de vie, ni la biosphère de l’homme. Notre numéro est sorti de Monte Carlo. Qui d’étonnant à ce que, tel celui qui vient d’y gagner un milliard, nous éprouvons l’étrangeté de notre condition ? »

 Ce qu’écrit ici jacques Monod ne confirme absolument pas que l’espèce humaine a émergé dans la biosphère toute seule. D’ailleurs, il le dit : « Nous n’avons, à l’heure actuelle, pas le droit d’affirmer, ni celui de nier que la vie soit établie une seule fois sur la Terre, et que, par conséquent, avant qu’elle ne fût, ses chances d’être étaient quasi nulles. » Pourquoi « les chances d’apparition de la vie quasi nulles ». Et si c’était le contraire, que les chances d’apparition de la vie étaient aussi égales que celles de l’apparition de l’univers.
 

  1. Une reconnaissance métaphysique mutuelle de l’homme et l’univers, qui va « au-delà de l’essence d’exister »

 En effet, à quoi servirait un univers sans vie ? Car c’est là la question fondamentale pour l’Auteur de la Création ? Et si ce « créé » est créé, c’est certainement en vue d’une finalité qui satisfasse son Auteur. C’est comme l’homme quand il cherche à construire un édifice, ou cherche un remède, et cette recherche s’opère toujours en vue d’un but. Aucune création n’est créée à perte, n’est créée sans raison. Et si l’homme, sans réponse, avance le hasard, simplement par simplification des choses qu’il n’a pas comprises, il transforme une non-réponse par un concept « hasard » qui agit comme substitut d’explication commode pour son entendement. Comme si le « hasard » est par lui-même une explication rationnelle. Alors qu’elle ne l’est pas. Le hasard personnifie notre incapacité de répondre.

 Comme on avait dit, il était impossible que l’univers ait existé sans plan préétabli par l’Essence même qui l’a fait émerger. De la même façon, il est impossible que la vie ait émergé sans plan établi par l’ « Essence » même qui l’a fait émergée. On ne peut croire que l’univers est un et que l’homme est autre, tous deux sont de la même constitution et de la même essence, et tous deux ont besoin l’un de l’autre. On ne peut dissocier l’univers de l’homme et l’homme de l’univers. L’essence même de l’existence de l’homme à commencer par son corps dépend de la constitution même de son univers immédiat, en l’occurrence de ce qui a trait au maintien en vie de son corps, et cela passe par les composants naturels dont il se nourrit. En second, et cela est primordial parce que cela le différentie du règne animal et végétal, l’« essence par lequel il est », i.e. la « pensée », vient compléter sa relation avec l’univers. Il est à la fois l’univers parce que sans le savoir, il est seul dans l’univers à penser l’univers, évidemment sans oublier l’« Essence » même qui a donné son essence. Et qu’en pensant l’univers, il restitue le sens de l’univers. Comme l’univers restitue sa pensée.

 Comme le dit Jacques Monod, « l’homme n’a pas le droit d’affirmer, ni celui de nier que la vie soit établie une seule fois sur la Terre. » Donc l’homme ne sait pas si la vie a existé une seule ou plusieurs fois, doit-on comprendre. Et la question qui revient : « Pourquoi « les chances d’apparition de la vie quasi nulles ». Pour éclairer ce point, ne parle-t-on pas aujourd’hui de fin du monde ? N’y a-t-il pas aujourd’hui des signes annonciateurs de fin du monde ? Evidemment, on peut ne pas prendre au sérieux des prédictions qui cherchent à faire des scoops médiatiques, ou à faire peurs aux gens. D’ailleurs beaucoup de films jouent la fin du monde. Pourquoi ? Il est évident que cette annonce de fin du monde est une réalité, et elle n’est pas citée seulement dans les récits bibliques. La découverte de l’arme nucléaire l’a été beaucoup dans cet effet d’annonce d’apocalypse nucléaire. Par conséquent, il y a comme une vraie vision de fin du monde qui se profile dans l’horizon humain. Doit-on y croire ? Ce n’est pas l’objet de cette analyse. Cette croyance reste à l’appréciation de chaque humain qui y pense.

 Quant à l’objet de cette fin du monde, elle est précisément bien relation « avec les chances d’apparition quasi nulles ». En effet, une fin du monde supposée par exemple d’une apocalypse nucléaire, et qui n’est pas le seul danger qu’encourt la Terre, la collusion d’un stéroïde imposant avec la Terre peut causer une fin du monde. Si elle touche de plein fouet la Terre, la plupart des villes et villages risqueraient d’être détruits. Les mers et océans changeraient de lit, ou occuperont d’autres surfaces terrestres. Et il est possible même que la trajectoire de la terre autour d’elle-même et du soleil aurait changé. Donc une situation de cataclysme extrême aurait gagné la Terre. Il est évident que sur le plus de sept milliards d’êtres humains que compte aujourd’hui la Terre, peu aurait échappé à cette « fin du monde ». Est-ce pour autant que l’espèce humaine serait anéantie ? N’y aurait-il pas une mutation des métabolismes du règne végétal, animal et humain ? Tout est possible puisque la structure de base, i.e. la Terre aurait été fortement affectée par cette fin du monde cataclysmique. La mémoire de l’homme-survivant serait-elle intacte ? Parce qu’il faut parler d’une infime partie d’humanité qui survivrait.

 Evidemment, on décrit ce scénario pour montrer simplement que les constantes humaine, végétale et animale, et quelles que soient les mutations qui les auraient affectées, seraient conservées, car il y va du sens même de l’univers. Comme on l’a dit sans l’homme, il n’y a pas d’univers, et sans l’univers, il n’y a pas d’homme.

 Par conséquent que l’histoire humaine se termine par une fin du monde, n’arrêtera pas l’existence d’une essence humaine. Et ce postulat vient infirmer que « L’univers n’était pas gros de vie, ni la biosphère de l’homme. » Et, «  comme peut-être le fut l’apparition de la vie elle-même, c’est qu’avant de paraître, ses chances étaient quasi nulles.  » Les chances de l’apparition de la vie, au contraire, étaient potentielles. C’est l’homme qui donnait sens à l’existence de l’univers comme l’univers donnait sens à l’existence de l’homme. Une reconnaissance métaphysique mutuelle qui va « au-delà de l’essence d’exister ».

 On comprend dès lors, l’importance de la « pensée » de l’homme dans la conduite de son existence. Puisque dans cette pensée, se sont jointes toutes les facultés cognitives de l’homme, depuis son intelligence, son intuition, sa raison et bien d’autres encore jusqu’à son libre-arbitre. Et toute sa pensée qui est pensée par l’homme est aussi pensée par l’Auteur qui a fait émerger l’univers et l’homme à la vie, à l’existence. Vie et existence riment ensemble, l’une ne va pas sans l’autre. Et cela ne doit pas être oublié qui plus est est souvent oublié malheureusement par l’homme.

 « Et si l’Essence en a voulu ainsi pour pallier les erreurs des hommes ? » D’autant plus que l’homme est mortel, donc l’humanité est mortelle. Et il peut survenir autant d’humanités que l’Auteur en ait voulues sur Terre. N’en déplaise les savants biologistes, savants physiciens… tout leur savoir scientifique vient de leurs pensées intelligentes elles-mêmes intelligées et pensantes de l’« Essence-intelligence-monde ». Et le paradoxe flagrant que « si la science moderne ignore toute immanence », elle tire cependant toute son essence de l’immanence. Sinon peut-on lui opposer « d’où tire-t-elle sa pensée scientifique ? » dont elle ne connaît rien, sinon « qu’elle la pense, et pense de sa pensée ». En d’autres termes, l’intelligence humaine s’intellige elle-même – l’immanence.
 

  1. Un dernier point, l’anthropomorphisme est-il une réalité ?

 D’autre part, y a-t-il de l’anthropocentrisme dans ce raisonnement ? L’homme se pose-t-il en centre de l’univers ? Cela certes paraît être, mais quel est l’intérêt de l’homme de se poser centre d’un univers qu’il connaît à peine. Et peut-on assimiler le bien de l’humanité comme la cause finale de toutes choses, selon la définition de l’anthropocentrisme ? En quoi le bien de l’humanité peut-il justifier la cause finale de toutes choses ? N’est-ce pas là des définitions présomptueuses, cherchant à mettre l’homme de centre du monde alors qu’il n’est qu’attaché à l’univers en tant qu’une infime partie mais pensante et pendante de cet univers. A chercher à mettre l’homme hors du monde, et le monde hors de l’homme. Et leur imbrication ne pouvant être que anthropomorphique.

 Il est évident que si l’homme ait un sens, que l’univers à son tour ait un sens, tous deux forment le sens de l’«  existant ». Le développement de l’univers doit continuer à se développer, mais il doit se développer selon le sens même de son existant et sur lequel l’homme, en tant que greffe sur cet existant, ne pourrait qu’influer selon le pouvoir qui lui est donné par cet existant. Et l’homme doit avant tout développer son être par les forces que lui permet cet univers.

Quand bien même cet univers est une immensité par cette formidable masse parce que l’homme ne se sait pas, il donne une expression logique à l’homme et une expression logique à lui-même. Et c’est la raison pour laquelle l’homme dans cette immensité infinie n’est pas négligeable, il est ce par quoi le monde est et l’univers ce par quoi lui est. Il n’y a absolument pas d’anthropocentrisme mais une simple harmonie de deux existences, une « pensante », une autre « pensée ». Et c’est ce qui fait le lien des deux, et donne sens de l’univers entier dont l’homme est une infime partie mais combien précieuse pour les deux. Et l’homme sait sans savoir, ce qui se justifie compte tenu de l’immensité de la question.
 

Medjdoub Hamed
Chercheur

 



47 réactions


  • Étirév 27 mai 10:15

    « Il est difficile de ne pas reconnaître qu’il y a dans la Nature une volonté qui tend à élever une portion de la matière à un état plus subtil et peut-être meilleur, à pénétrer peu à peu sa surface d’un fluide plein de mystère que nous appelons d’abord la Vie, ensuite l’Instinct, et peu après l’Intelligence ; à assurer, à organiser, à faciliter l’existence de tout ce qui s’anime pour un but inconnu. » (M. Maeterlinck)
    NB : Chez tous les peuples on trouve une tradition orale passant de Mère en Fille et perpétuant les idées primitives.
    On a trouvé une tradition de ce genre dans les îles de la Mer du sud, sous forme d’anecdotes rimées servant à conserver le souvenir des événements et leur date. L’humanité jeune parla et chanta avant d’écrire. (Voir Ellis, Polynesian Researches, Londres, 1831).
    Blog


    • Seth 27 mai 14:29

      @Étirév

      C’est quoi cette « mer du sud » exactement ? Ne s’agirait-il pas plutôt des mers du sud puisque vous nous parlez de Polynésie ?


    • Hamed 27 mai 20:49

      @Étirév

      Ce qu’a écrit Docteur Seth et commenté :

      « Merci pour cette idée géniale ; la seconde : la première étant usuelle.

      La première : »il existe plusieurs univers simultanés dans des espaces/temps différent.« Exact ; nous sommes existants dans l’espace-temps. L’espace, nous y sommes dedans mais plus juste faudrait-il dire l’espace est en nous, c’est par nous que l’espace existe ; il ne pourrait exister sans nous.

      Que serait l’espace sans nous ? Il n’aurait pas existé quand bien même il aurait existé ; et le plus sûr est la logique en nous qui nous dira qu’il n’existerait pas parce qu’il n’a pas à exister s’il existe sans but

      Quant au temps, il n’existe pas par lui-même ; il n’existe que par nous parce que l’espace a besoin du temps pour se savoir ; par exemple, la nuit suit le jour et le jour suit la nuit ; de même, le printemps suit l’hiver, etc.

      Qui en donne ce qui existe dans l’espace-temps ; ce n’est pas l’espace-temps, mais notre esprit qui définit »TOUT« .

      La seconde idée la plus géniale et bravo Seth : »l’autre c’est qu’il n’existe rien hors de moi et que tout ce qui est autour, absolument tout et chacun n’existe pas vraiment, cet univers entier n’est que ce que mon esprit crée sans pouvoir le contrôler vraiment, autrement dit je suis une sorte de forme divine.« 

      Bravo Docteur ; vous m’avez guéri. »


  • robert 27 mai 10:41

    L’Univer sans l’humain ? n’est ce pas ce que l’on nomme le paradis ?


    • Hamed 27 mai 20:52

      @robert

      « L’Univers sans l’humain ? n’est ce pas ce que l’on nomme le paradis ? »

      Oui, un paradis sans le paradis. Lisez plutôt ce qu’a écrit le Docteur Seth « commenté :

       »Merci pour cette idée géniale ; la seconde : la première étant usuelle.

      La première : « il existe plusieurs univers simultanés dans des espaces/temps différent. » Exact ; nous sommes existants dans l’espace-temps. L’espace, nous y sommes dedans mais plus juste faudrait-il dire l’espace est en nous, c’est par nous que l’espace existe ; il ne pourrait exister sans nous.

      Que serait l’espace sans nous ? Il n’aurait pas existé quand bien même il aurait existé ; et le plus sûr est la logique en nous qui nous dira qu’il n’existerait pas parce qu’il n’a pas à exister s’il existe sans but

      Quant au temps, il n’existe pas par lui-même ; il n’existe que par nous parce que l’espace a besoin du temps pour se savoir ; par exemple, la nuit suit le jour et le jour suit la nuit ; de même, le printemps suit l’hiver, etc.

      Qui en donne ce qui existe dans l’espace-temps ; ce n’est pas l’espace-temps, mais notre esprit qui définit « TOUT ».

      La seconde idée la plus géniale et bravo Seth : "l’autre c’est qu’il n’existe rien hors de moi et que tout ce qui est autour, absolument tout et chacun n’existe pas vraiment, cet univers entier n’est que ce que mon esprit crée sans pouvoir le contrôler vraiment, autrement dit je suis une sorte de forme divine.« 

      Bravo Docteur ; vous m’avez guéri. »


    • L'apostilleur L’apostilleur 27 mai 22:08

      @Hamed
      "..« il existe plusieurs univers simultanés dans des espaces/temps différent. »
      C’est à dire le multivers qui reste à démontrer.


    • Hamed 27 mai 22:53

      @L’apostilleur

      Point besoin de le démontrer ; il est déjà démontré et vous ne le saviez pas. Et pourtant, en vous interrogeant sur votre affirmation, vous avez déjà la réponse en vous.


  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 27 mai 10:42

    Pourquoi faites vous de l’homme l’Alpha et l’Oméga de la création ? La Terre n’est pas le centre du monde, et s’il est vrai que l’univers est infini, le nombre de planètes propices à la vie est lui-même infini.

    Et donc, il peut exister, i a existé, il existera dans l’univers des formes de vie et d’intelligences probablement supérieurs à l’humanité. J’en veux pour preuve la citation de Maeterlinck donnée ci-dessus, merci Étirév.


    • Seth 27 mai 14:32

      @Francis, agnotologue

      Il y a des constantes chez l’homme actuel : être forcément le centre du Monde, tenter d’être éternel et essayer de devenir Dieu (c’est à cela que sert la science).


    • Hamed 27 mai 20:59

      @Francis, agnotologue

      "Et donc, il peut exister, i a existé, il existera dans l’univers des formes de vie et d’intelligences probablement supérieurs à l’humanité. J’en veux pour preuve la citation de Maeterlinck donnée ci-dessus, merci Étirév.« 

      Ce n’est pas sûr du tout puisque les humains eux-mêmes dans l’absolu n’existent pas en réalité ; ils ne sont pas eux humains, je veux dire par eux-mêmes ; ils sont »existés" comme l’a expliqué le philosophe allemand Heidegger

      Lisez plutôt ce qu’a écrit le Docteur Seth ; il donne une définition magistrale du sens de l’humain.


  • xana 27 mai 10:52

    On peut toujours rêver, bien sûr...

    L’humanité est caractérisée par son arrogance, même si elle a quelques motifs de fierté : Nous sommes probablement la seule espèce historiquement à avoir causé directement un grand nombre d’extinctions irréfutables...

    L’arrogance ne signifie ni la puissance, ni surtout la légitimité. Evidemment, se prétendre « fils de Dieu » ne prouve pas que Dieu existe, et encore moins que nous ayons le moindre droit à un quelconque héritage. Même en supposant que Dieu existe et que nous soyons ses fils. Nous pourrions tout autant être les fils du Diable, d’ailleurs...

    Supposons, une fois de plus, qu’il existe une « prédestination » (quoique cela puisse vouloir dire). Pourquoi l’Humanité en jouirait-elle, et pas l’Escargot de Bourgogne, par exemple ? Les deux espèces sont « fils de Dieu » (si Dieu existe) car toutes deux créées par lui.

    .

    Et puis... Pourquoi ne parler que d’espèces existantes actuellement ? Comme si l’existence de l’univers allait s’arrêter après nous ?

    Notre univers a quelques milliards d’années d’existence (prouvée) et quelques autres milliards d’années à exister dans le futur, sauf accident. Ne nous faisons pas trop d’illusions : Même sans guerre atomique, notre espèce n’a que très peu de chances d’exister dans un futur au-delà de quelques siècles. Après elle viendront d’autres espèces, d’autres formes de vie. Et la Terre oubliera cette forme de singe. Alors que devient cette « prédestination » ? La fossilisation ?

    .

    Non, toute cette philosophie de bazar reste une tentative désespérée de continuer à croire en un destin exceptionnel pour notre espèce, comme si le fait de porter un slip nous avait transformés en Dieux immortels.

    Hélas, nous ne sommes que des primates bavards...


  • Gollum Gollum 27 mai 11:02

    L’homme ne se sait pas sans savoir qu’il est au centre de l’existence du monde, de l’ « essence » même du monde. 


    On reconnait là la vieille marotte des monothéismes, placer l’homme au centre de l’Univers..


    Or le développement des sciences nous a montré l’inverse exact.


    Décentrage dû à l’héliocentrisme, puis nouveau décentrage avec le soleil vu comme une étoile parmi d’autres, puis notre galaxie vue comme une parmi des milliards...


    Idem sur le plan du langage. Seul l’homme aurait le langage, puis on a réussi à enseigner le langage des sourds muets à des chimpanzés, récemment on s’est aperçu que les baleines formaient des phrases structurées comme le langage humain, transmis aux jeunes par apprentissage..


    Et il est bien évident que sur d’autres planètes, dans d’autres galaxies, d’autres entités vivantes, avec un cerveau bien plus volumineux que le nôtre avec des concepts de vie complètement différents des nôtres, des valeurs complètement différentes, pullulent..


    En bref, l’homme n’est pas au centre et en fait il n’y a même pas de centre, comme en cosmologie, et c’est bien plus jouissif comme ça, la vie est explosion et invention permanente.


    • xana 27 mai 12:32

      @Gollum
      Je suis bien d’accord avec vous.
      A l’époque où l’humanité a commencé à colporter des légendes sur ses origines (disons environ 5000 ans) évidemment on ne savait pas grand-chose sur l’univers. On a compensé le manque de connaissances par de magnifiques légendes, voire des poèmes comme la Genèse. Et cela a donné l’idée à certains de vivre (confortablement) de la croyance des populations, grâce aux dons et à l’autorité que fournissait la religion.
      Malheureusement pour ces gens-là, les techniques se sont améliorées. Que ce soit en astronomie, en mathématiques, et en matière de transmission de savoir. Et la croyance a commencé à être remise en question.
      Et on a découvert que...
      1 L’univers ne tourne pas autour de la Terre. Au contraire, la Terre n’est qu’une petite planète tournant autour d’une petite étoile comme des milliards d’autres, à propos desquels personne ne sait rien encore.
      2 L’existence de l’univers n’est pas infinie, mais dure depuis quelques milliards d’années et pourrait se prolonger un certain nombre d’autres milliards d’années. La vie sur Terre et son éventuel avenir ne sont qu’un bref instant à cette échelle. Sauf erreur, nous faisons partie des premiers habitants de notre planète, mais personne ne sait s’il y aura d’autres habitants après notre bref passage.
      3 Et la place de Dieu dans tout cela ? Quel Dieu ? pourquoi un Dieu ?
      .
      On constate qu’il y a un univers entre nos croyances, héritées des bergers de la préhistoire, et la réalité des choses telles qu’on commence à les connaître.
      Alors pourquoi veut-on à tout prix conserver ces croyances ?
      Parce que ce n’est pas facile de renoncer à un testament qui fait de nous les héritiers de Dieu. Même si ce testament est une falsification.


    • Gollum Gollum 27 mai 13:00

      @xana

      renoncer à un testament qui fait de nous les héritiers de Dieu.

      Oui le fin mot du truc c’est la convoitise de l’héritage.. 

      Pas de convoitise, pas de besoin de croire être au centre des choses, et on accepte les choses telles qu’elles sont comme c’était du reste la façon d’être stoïcienne dans l’Antiquité.


    • Seth 27 mai 14:41

      @Gollum

      Tu sais quoi ? Depuis que je suis tout petit je me donne des vertiges en suivant 2 idées : il existe plusieurs univers simultanés dans des espaces/temps différents et l’autre c’est qu’il n’existe rien hors de moi et que tout ce qui est autour, absolument tout et chacun n’existe pas vraiment, cet univers entier n’est que ce que mon esprit crée sans pouvoir le contrôler vraiment, autrement dit je suis une sorte de forme divine.  smiley

      Est-ce que ça se soigne docteur ?  smiley


    • xana 27 mai 14:55

      @Seth
      On a tous eu ce genre d’idée. C’est probablement dû à la façon dont nos cerveaux ont été formatté.
      Mais cela n’a pas réellement d’importance.
      .
      Pour moi le vrai problème est : Pourquoi donc nos contemporains refusent-ils la réalité pour se cramponner à des contes pour enfants ?
      Ici j’ai abordé la seule réponse qui me paraît vraisemblable : Pour ne pas renoncer à l’héritage. Pour ne pas se sentir obligé de partager ce monde avec nos cousins. Et surtout pour rester dans la course malgré l’évidence que ce monde ne nous appartient pas.


    • Gollum Gollum 27 mai 15:01

      @Seth

      Les Univers multiples font partie maintenant des hypothèses cosmologiques..

      Au fond c’est l’interrogation sur l’infinité du cosmos. Les religions monothéistes n’aiment pas du tout cette idée d’Univers infini (c’est ce qui a valu le bûcher à Bruno) car seul Dieu doit être infini.. 

      On sait que Spinoza, en fusionnant l’idée de Dieu avec celle d’Univers, a rendu ce dernier infini..

      Quant à ton solipsisme évoqué on trouve cela chez nombre de new-âgers avec cette idée d’être Dieu lui-même.. C’est pas une idée nouvelle d’ailleurs..

      Bien évidemment avec un Univers infini l’idée même de progrès s’effondre, il n’y a pas de début réel et donc pas de fin.. 

      Dans le même registre que ton idée folle, moi je me suis souvent dit que si j’étais vivant maintenant c’est que je l’ai toujours été et le serais donc toujours..

      ça se ressemble non ? smiley


    • Seth 27 mai 15:34

      @Gollum

      Ainsi je serais new age.... je savais pas  smiley

      Ce ne sont pas idées liées au monothéisme, pour les zoroastriens Dieu n’est pas de cet univers dont il a confié la « gérance » et la responsabilité à l’homme.

      Qu’il n’a en plus même pas créé à son image, ce méchant ! Mais cette idée de ressemblance à Dieu est une trouvaille abrahamique. Leur fallait bien inventer quelque chose !  smiley


    • Hamed 27 mai 20:29

      @Gollum

      « Or le développement des sciences nous a montré l’inverse exact. »

      Et qui a donné à l’humain le développement des sciences ? Son intelligence ? Son esprit ?

      Oui, seul son esprit est capable ; et les sciences ont été soufflées à l’esprit humain selon une séquence que l’humain ne peut connaître ; et les séquences, il ne les connaîtra qu’au fur et à mesure qu’il les connaîtrait. 


    • Hamed 27 mai 20:46

      @Seth

      Merci pour cette idée géniale ; la seconde : la première étant usuelle.

      La première : « il existe plusieurs univers simultanés dans des espaces/temps différent. » Exact ; nous sommes existants dans l’espace-temps. L’espace, nous y sommes dedans mais plus juste faudrait-il dire l’espace est en nous, c’est par nous que l’espace existe ; il ne pourrait exister sans nous.

      Que serait l’espace sans nous ? Il n’aurait pas existé quand bien même il aurait existé ; et le plus sûr est la logique en nous qui nous dira qu’il n’existerait pas parce qu’il n’a pas à exister s’il existe sans but

      Quant au temps, il n’existe pas par lui-même ; il n’existe que par nous parce que l’espace a besoin du temps pour se savoir ; par exemple, la nuit suit le jour et le jour suit la nuit ; de même, le printemps suit l’hiver, etc.

      Qui en donne ce qui existe dans l’espace-temps ; ce n’est pas l’espace-temps, mais notre esprit qui définit « TOUT ».

      La seconde idée la plus géniale et bravo Seth : "l’autre c’est qu’il n’existe rien hors de moi et que tout ce qui est autour, absolument tout et chacun n’existe pas vraiment, cet univers entier n’est que ce que mon esprit crée sans pouvoir le contrôler vraiment, autrement dit je suis une sorte de forme divine."

      Bravo Docteur ; vous m’avez guéri.


    • Hamed 27 mai 21:12

      @xana

      "1 — L’univers ne tourne pas autour de la Terre. Au contraire, la Terre n’est qu’une petite planète tournant autour d’une petite étoile comme des milliards d’autres, à propos desquels personne ne sait rien encore.
      2 — L’existence de l’univers n’est pas infinie, mais dure depuis quelques milliards d’années et pourrait se prolonger un certain nombre d’autres milliards d’années. La vie sur Terre et son éventuel avenir ne sont qu’un bref instant à cette échelle. Sauf erreur, nous faisons partie des premiers habitants de notre planète, mais personne ne sait s’il y aura d’autres habitants après notre bref passage.
      3 — Et la place de Dieu dans tout cela ? Quel Dieu ? pourquoi un Dieu ?

      C’est quoi une étoile ? C’est quoi l’univers ? c’est quoi des milliards d’autres étoiles ? Et qui vous dit que "L’existence de l’univers n’est pas infinie, mais dure depuis quelques milliards d’années et pourrait se prolonger un certain nombre d’autres milliards d’années."

      Et est-ce vous xana qui écrivez ces idées ? Et d’où vous viennent-elles ? De votre pensée ? Et votre pensée d’où vous viennent-elles, xana ? Soyez humble, xana ? Vous croyez réfléchir alors que ce n’est pas vous mais vos pensées qui se jouent de vous ; vous croyez savoir, vous croyez avoir la réponse, mais votre esprit vous souffle que ce qu’il vous souffle.

      Lisez ou essayez de comprendre ce qu’a écrit le Docteur Seth.


    • SilentArrow 28 mai 14:47

      @Gollum

      En l’état des connaissances actuelles, l’univers est fini, mais n’a pas de limites.

      Un exemple d’univers fini qui n’a pas de limites : la surface d’une sphère en tant qu’espace à deux dimensions, décrite avec ceux paramètres, latitude et longitude. 

      Sa superficie est finie, mais on peut y voyager dans n’importe quelle direction et sur n’importe quelle distance sans rencontrer de limite.

      L’univers tel qu’il est conçu actuellement, c’est un peu comme cette sphère, à ceci près que c’est un espace à quatre dimensions au lieu de deux.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 28 mai 15:49

      @SilentArrow
       
       ’’ L’univers tel qu’il est conçu actuellement, c’est un peu comme cette sphère, à ceci près que c’est un espace à quatre dimensions au lieu de deux. ’’
      >
      sans préjuger de ce que notre expérience d’humain ne nous permet pas de constater, la quatrième dimension, le temps donc, n’est pas une dimension comme les autres : on ne revient pas en arrière.
      Corollaire : dans cet espace fini mais sans limite, en allant tout droit ce qui est d’ailleurs impossible l’espace n’étant pas galiléien on ne reviendrait jamais au point de départ, étant donné que ledit point n’existerait plus. La dimension dimension temps ne le permettrait pas.


    • SilentArrow 30 mai 01:33

      @Francis, agnotologue
       

      Corollaire : dans cet espace fini mais sans limite, en allant tout droit — ce qui est d’ailleurs impossible l’espace n’étant pas galiléien — on ne reviendrait jamais au point de départ, étant donné que ledit point n’existerait plus.

      On ne revient pas en arrière dans le temps, mais cela n’implique pas que l’univers ne puisse être fini sans avoir de limites spatiales.

      Prenons un exemple simplifié à l’extrême : un univers à une dimension spatiale plus le temps. La dimension spatiale est un cercle sur lequel la position est paramétrée par l’angle au centre φ. Le rayon du cercle, c’est le temps t, multiplié par v, la vitesse d’expansion de cet univers.

      Si on fait un tour du cercle, on revient au même point (même angle au centre φ), mais pas au même temps bien sûr. C’est en ce sens qu’on peut dire que cet univers n’a pas de limite.

      Du coup, on comprend facilement pourquoi la vitesse d’éloignement des galaxies par rapport à nous augmente proportionnellement à leur éloignement.

      Prenez un objet placé à un angle φ par rapport à nous. Sa distance par rapport à nous vaut donc v t φà l’instant t.

      À l’instant t + Δt, cette distance vaudra v (t + Δt)φ. Il se sera donc éloigné d’une distance de v Δt φ pendant l’intervalle de temps Δt, ce qui correspond à une vitesse d’éloignement égale à v φ, et donc proportionnelle à la distance qui nous sépare de cet objet.


    • Jason Jason 1er juin 19:20

      @Seth

      « absolument tout et chacun n’existe pas vraiment, » Le solipsisme, vous connaissez ? Avant de partir, n’oubliez pas de fermer la porte ; Elle existe...


  • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 27 mai 20:53

    Il n’y a absolument pas d’anthropocentrisme mais une simple harmonie de deux existences, une « pensante », une autre « pensée ».  

    Vous nous rejouez Narcisse smiley


    • Hamed 27 mai 21:24

      @Sylfaën.H.

      Dans un sens vous avez raison ; tout être humain est un peu Narcisse sans qu’il en prend conscience.

      Narcisse signifie « une personne qui se contemple, s’admire. » Et tout être humain a un égo ; un égo qu’il veut fort, digne, libre, transcendant, et autres valeurs.

      Mais Narcisse ou l’égo, ce n’est pas l’humain lui-même, mais « son esprit qui est créé ainsi ». Et si vous avez mentionné Narcisse, c’est que vous en êtes un peu dans le vrai. Cependant, cela ne signifie pas que tous les humains sont tout à fait comme Narcisse ; certains beaucoup, d’autres moins ; mais globalement, l’humanité est régie par ce qui est en elle ; et Narcisse a une place dans ce qu’elle est.


  • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 27 mai 22:01

    Narcisse : une personne qui se contemple,  

    reste à faire causer l’image avec son réel : document de travail en pdf, si intérêt
     smiley


    • Hamed 27 mai 22:51

      @Sylfaën.H.

      « reste à faire causer l’image avec son réel : document de travail en pdf, si intérêt »

      Difficile à faire causer l’image avec son réel, voire impossible L’être humain est « réellement » une image avec son réel ; mais bien qu’il soit une image de son réel, ce n’est pas lui qui fait causer le réel mais bien la jonction « image-réel » qui font causer le TOUT.

      Et le TOUT est l’Esprit du monde, l’Esprit absolu dont parle Hegel ; en fait Dieu ; et Dieu est « Cause, But et Essence du TOUT »

      Dans le document de travail en pdf, c’est l’Esprit qui a causé ce sens dans l’humain que vous êtes Sylfaën. H. Dîtes merci à votre esprit.


    • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 28 mai 11:04

      @Hamed

      Pour Esprit, chatGPT poursuit :

      "Topologie symbolique :

      • La syntaxe est réseau ;

      • Les capitales sont nœuds actifs ;

      • Le texte est champ, non ligne ;

      • Et l’ESPRIT est la forme de l’intensité à travers ce champ."

      où en gros un nombre est associé à une Relations, les objets étant facilement commensurables.


    • Hamed 28 mai 11:21

      @Sylfaën.H.

      "Pour Esprit, chatGPT poursuit :

      "Topologie symbolique :

      • La syntaxe est réseau ;

      • Les capitales sont nœuds actifs ;

      • Le texte est champ, non ligne ;

      • Et l’ESPRIT est la forme de l’intensité à travers ce champ."

      où en gros un nombre est associé à une Relations, les objets étant facilement commensurables.« 

      Réponse :

      Peut-être qu’à travers votre esprit, vous êtes en train de faire l’esquisse du monde de demain.. C’est une possibilité sinon »pourquoi ce « hubris humain par chatGPT » ?


  • ddacoudre ddacoudre 28 mai 00:36

    Bonjour Hamed.

    Jacques Monod, une bonne référence, il aimait se ressourcer dans le désert.ton article soulève la problématique pourquoi l’Humain s’intéresse à son origine et à l’origine de la vie ; il est indéniable qu’avoir nommé les choses les ont faite exister, mais que pour nous, un arbre n’est arbre que pour nous, et il en va ainsi de toute chose. Certes nous avons une conscience et une pensée associative plus développée que la plupart des animaux , mais nous pouvons considérer que les animaux sont finis et ont tout ce qui leur est nécessaire pour survivre dans leur biotope. L’existence de tribus indigènes démontre l’importance de l’environnement nourricier. Tant qu’ils n’ont qu’à lever le bras pour se nourrir, ils restent en place et développent des organisations sociales appropriées que nous rapportent les anthropologues autour d’un langage minimal, comme des mathématiques aussi minimales. Et pour se déplacer, ils n’ont pas besoin de voiture, car leur environnement ne la leur suggère pas.

    Il n’a donc pas suffi d’un langage pour entrainer notre évolution. La rareté nourricière a joué et joue toujours un rôle important. La rareté c’est devoir produire ce que la nature ne nous donne pas en abondance parce que notre population croit depuis que l’Humain à pu mieux se nourrir.

    Justifier des angoisses existentielles pour créer des réponses apaisantes fut également un élément d’évolution de la pensée depuis les dévotions animistes au conte de la Baryogenèse d’aujourd’hui et les univers multiples. Nous pouvons à juste titre nous interroger sur la finitude de notre cerveau que nous n’entrevoyons pas et que nous trouvons extraordinaire dans ses capacités associatives de la pensée pour créer, innover et comprendre en réponse à ce que j’appelle notre existence géohistorique, où en modelant l’environnement géographique nous constituons l’histoire de notre existence en réagissant par rétroaction aux événements que nous avons élaborés pour transformer notre espace terrestre en cultivant, en construisant et en extrayant du sol nos besoins ;

    il est admis que les hommes ont toujours levé les yeux au ciel, quand ils n’avaient pas peur qu’il leur tombe sur la tête pour trouver leur route ou naviguer. C’est toujours le cas aujourd’hui, mais pour aller vers d’autres planètes. Cela nous parait à ce jour extraordinaire, mais nous devons rester humble face au questionnement comment des particules issues de l’explosion d’un baryon se sont associé pour donner de la matière organique tel le procaryote ; là se trouve peut-être la réponse au voyage extraplanétaire pour affronter la vitesse de la lumière. Que nous puissions penser que cela démontre l’incroyable capacité cérébrale de l’Humain qui a élaboré tout cela avec des mots et des chiffres, pour satisfaire ses interrogations et ses besoins, que doit être alors la réalité objective du monde ou de l’univers que nous ne connaissons pas.

    Cordialement. ddacoudre over blog


    • Hamed 28 mai 11:03

      @ddacoudre

      "il est admis que les hommes ont toujours levé les yeux au ciel, quand ils n’avaient pas peur qu’il leur tombe sur la tête pour trouver leur route ou naviguer. C’est toujours le cas aujourd’hui, mais pour aller vers d’autres planètes.« 

      Dans l’absolu, ce ne sont pas les hommes qui ont levé les yeux au ciel, c’est l’esprit qui les y a poussé, parce que c’était inscrit dans leur destinée.

       »Cela nous parait à ce jour extraordinaire, mais nous devons rester humble face au questionnement comment des particules issues de l’explosion d’un baryon se sont associé pour donner de la matière organique tel le procaryote ; là se trouve peut-être la réponse au voyage interplanétaire pour affronter la vitesse de la lumière."

      Rien n’est extraordinaire à l’Esprit qui meut l’esprit humain. Le monde est fait pour être toujours décortiqué ; un peu comme s’il se décortique lui-même ; et si ça l’était ; et nous en sommes ceux par lequel il a un sens. Et que les voyages interplanétaires d’humains seraient une nouvelle étape à la marche de l’histoire.

      Pour que cela soit réalisable, il faudrait d’abord au moins une tranquillité « relative » sur terre.

       


    • ddacoudre ddacoudre 31 mai 19:46

      @Hamed
      bonjour 
      hamed. nous ne connaitrons jamais la création de l’univers,c’est à dire ce que toi tu appelles ce qui meut l’esprit Humain et au de là de tout le vivant et la matière physique, les particules ne s’associent pas au hasard, quand nous ne savons pas ou ne comprenons pas nous léguons à des mots qui nous fournissent une explication et qui ont un sens pour nous car ils justifient la perception d’une information qui nous interroge et pour laquelle formuler une réponse calme les angoisses de notre ignorance.Quand nous imaginons un esprit comme tu le soulignes ou d’autres un dieu, ou la nature nous la souhaitons bonne. or l’esprit, dieu, la nature n’est ni bonne ni mauvaise elle est ce que nous ignorons mais que nous préférons ressentir et nommer comme bonne car nous tenons à ce que nos existences se déroulent ici et ailleurs dans un espace heureux, et ce qui sont « mauvais » pour chacune de nos cultures doivent s’amender pour bénéficier d’une vie éternelle. cette vision apporte une solution à nos existences qui pour survivre doivent travailler , ce qui est source de conflits de toutes natures. et il est heureux que des formes de croyances ou de fois portent l’apaisement ici, malheureusement notre ignorance est grande et l’œuvre créatrice dont nous ignorons Tout, inclus cette espérance en la bonté de l’humain par une foi ou un esprit, et c’est bien que nous ayons formulé ce désir de vie en paix et d’avoir la clairvoyance de ne vouloirs apporter nos conflits terrestre dans espérance d’une autre existence, soit comme tu la formule soit comme je la soupçonne redevenir une particule lorsque notre astre solaire s’éteindra.
      cordialement.ddacoudre overblog


    • Hamed 1er juin 14:26

      @ddacoudre

      "nous ne connaitrons jamais la création de l’univers,c’est à dire ce que toi tu appelles ce qui meut l’esprit Humain et au de là de tout le vivant et la matière physique, les particules ne s’associent pas au hasard, quand nous ne savons pas ou ne comprenons pas nous léguons à des mots qui nous fournissent une explication et qui ont un sens pour nous car ils justifient la perception d’une information qui nous interroge et pour laquelle formuler une réponse calme les angoisses de notre ignorance.« 

      Ce n’est pas nous qui léguons à des mots ce que nous percevons ; c’est à la fois notre corps par les organes sens et notre convertisseur cerveau-pensée qui le fait pour nous. Et c’est ce convertisseur qui, à la fois, nous fait survivre, nous fait avancer et nous calme dans cette existence sur laquelle on y est pour rien.

       »Nous sommes seulement.«  

       »Quand nous imaginons un esprit comme tu le soulignes ou d’autres un dieu, ou la nature nous la souhaitons bonne. or l’esprit, dieu, la nature n’est ni bonne ni mauvaise elle est ce que nous ignorons mais que nous préférons ressentir et nommer comme bonne car nous tenons à ce que nos existences se déroulent ici et ailleurs dans un espace heureux, et ce qui sont « mauvais » pour chacune de nos cultures doivent s’amender pour bénéficier d’une vie éternelle.« 

      Exacte, ce que vous dîtes, ddacoudre ; cependant, »ce n’est pas que nous préférons ressentir (...) pour bénéficier d’une vie éternelle. Ddacoudre, nous sommes déjà dans l’éternité sauf que nous ne le ressentons pas ou plus simplement nous ne le savons pas.

      "Cette vision apporte une solution à nos existences qui pour survivre doivent travailler , ce qui est source de conflits de toutes natures. et il est heureux que des formes de croyances ou de fois portent l’apaisement ici, malheureusement notre ignorance est grande et l’œuvre créatrice dont nous ignorons .

      C’est parce que c’est ainsi que nous existons, sans les conflits, l’existence ne pourrait être ; de même sans l’ignorance, on ne peut être ; on est que parce que en nous il y a ce qui comble un tant soit peu notre ignorance. « L’ignorance est en quelle que sorte le moteur de la connaissance ; sans l’ignorance, il n’y a pas la connaissance. »

      "Tout, inclus cette espérance en la bonté de l’humain par une foi ou un esprit, et c’est bien que nous ayons formulé ce désir de vie en paix et d’avoir la clairvoyance de ne vouloirs apporter nos conflits terrestre dans espérance d’une autre existence, soit comme tu la formule soit comme je la soupçonne redevenir une particule lorsque notre astre solaire s’éteindra.« 

       »Comment soit comme tu la formules ? " 

      Quant à l’astre solaire, il existe dans l’éternité ; ce sont les humains qui veulent l’éteindre par leurs pensées qui cherchent à les apaiser comme eux-mêmes s’éteignent à la fi de l’existence alors qu’ils sont et relèvent de l’éternité.


    • Jason Jason 1er juin 19:30

      @Hamed

      « il est admis que les hommes ont toujours levé les yeux au ciel » Sans doute, mais aujourd’hui ils feraient bien de regarder au fond des mers, dans l’état où est la planète. Ca leur changerait un peu...


      Quant à la destinée, ce n’est qu’une suite d’hypothèses dans lesquelles s’engouffrent toutes les supputations, utiles à ceux qui les proposent.


      Certains se complaisent dans les illusions, les explications ésotériques, ou les discussions métaphysiques oiseuses. Tout ça est tellement rassurant ...


    • Hamed 2 juin 01:57

      @Jason

      « il est admis que les hommes ont toujours levé les yeux au ciel » Sans doute, mais aujourd’hui ils feraient bien de regarder au fond des mers, dans l’état où est la planète. Ca leur changerait un peu...«  

      Très juste, mais que faire ? Avez-vous une réponse ?
       
       »Quant à la destinée, ce n’est qu’une suite d’hypothèses dans lesquelles s’engouffrent toutes les supputations, utiles à ceux qui les proposent.

      Certains se complaisent dans les illusions, les explications ésotériques, ou les discussions métaphysiques oiseuses. Tout ça est tellement rassurant ..."

      L’essentiel est que cela rassure. Et peu importe qu’elles sont oiseuses.

      En fait, ce qui est oiseux quand on le dit, c’est qu’il est déjà en nous avant même que nous le projetions ; pourquoi ? Parce que nous ne nous savions pas et restons ainsi durant tout notre vie ; nous sommes conçus ainsi. Et donc point besoin de s’enrichir pour une âme qui ne veut pas penser son être ; elle est ce qu’elle est. Pourtant, elle ose comme aujourd’hui, je veux dire hier ??????

      Et peu importe, l’essentiel est d’être même si on n’est pas être dans l’être, celui qui se doit d’être, ce qui n’est pas donné.


    • Jason Jason 2 juin 09:59

      @Hamed

      « En fait, ce qui est oiseux quand on le dit, c’est qu’il est déjà en nous avant même que nous le projetions ». Cela rejoint ce que dit Pascal : « Tu ne me chercherais pas si tu ne m’avais déjà trouvé ». Mais, ai-je besoin de chercher dans cette direction ? Instiller le doute métaphysique, destinée, être, le monde, le surnaturel, etc. littéralement, ce qui vient après le monde physique : le méta.


      Tout cela n’est qu’un passe-temps qui ne m’apporte pas grand chose. Je préfère Montaigne : « Je ne peins pas l’être, mais le passage ». L’outil puissant du scepticisme appliqué à nos savoirs, souvent convenus.


    • Gollum Gollum 2 juin 10:05

      @Jason

      Cela rejoint ce que dit Pascal : « Tu ne me chercherais pas si tu ne m’avais déjà trouvé ».

      C’est pas spécialement de Pascal, ça se trouve dans le NT.. 


    • Hamed 2 juin 10:35

      @Jason

      "Tout cela n’est qu’un passe-temps qui ne m’apporte pas grand chose. Je préfère Montaigne : « Je ne peins pas l’être, mais le passage ». L’outil puissant du scepticisme appliqué à nos savoirs, souvent convenus« 

      En pensée profonde sur soi, il n’y a pas de place pour le passe-temps ; ou que cela ne vous apporte pas grand-chose ; en pensée sur soi, on sort de soi et on devient une pensée pure ; ce qui est totalement différent d’être et seulement être.

      Et c’est plus que ce que l’on dit du non-être qui, au fond, n’est pas.

      Plus simplement dit on n’est plus soi ; on se transcende où même méta ne signifie pas grand-chose ; nous approchons à ce qu’est l’éternité, à ce qu’est être, et puis ce n’est pas nous en fait dans cette état oiseux qui arrive en nous et ce n’est pas nous

      Je ne sais si vous pouvez comprendre ; soyez-vous, c’est l’essentiel.

      Merci pour le post et vous avez via ce post voulu savoir, et c’est déjà très bien.

       »On ne peut pas ne pas savoir ce que l’on doit savoir même si on ne sait pas." 


    • Jason Jason 2 juin 12:56

      @Gollum

      Merci pour la précision.


  • SilentArrow 28 mai 10:00

    @Hamed

     

    la collusion d’un stéroïde imposant avec la Terre peut causer une fin du monde

    Merci pour ce délicieux lapsus.


    • Hamed 28 mai 11:15

      @SilentArrow

      "la collusion d’un stéroïde imposant avec la Terre peut causer une fin du monde

      Merci pour ce délicieux lapsus.« 

      Quelques mots qui ont un pesant d’or ; votre lapsus puisqu’il est dit peut être une réalité demain si une »apocalypse frappait la Terre.« 

      Mais la Terre resterait toujours grosse de vie ; si les humains disparaîtraient de la Terre ; ce sont là des humains-là qui ont existé qui disparaîtraient mais ne disparaîtraient que physiquement, leurs pensées rejoignant un temps la Pensée du monde qui, très certainement après un temps de mutation, les retournerait à la Terre.

      La Terre et l’univers ne peuvent exister sans vie ; sinon ils n’existeraient pas et c’est là le sens divinisé de la présence de l’humain dans l’univers, via la Terre.

      Et vous verrez plus tard, ceci dit entre parenthèse,que »l’on se rencontrerait dans un autre monde" ; normalement c’est plus que vrai sinon pourquoi nous existons et nous dialoguons. 


    • SilentArrow 28 mai 13:01

      @Hamed
       

      la collusion d’un stéroïde imposant avec la Terre peut causer une fin du monde

      Oui, mais il s’agirait d’une collision avec un astéroïde, pas avec un stéroïde.

    • Hamed 28 mai 13:50

      @SilentArrow

      Que vous dire ? Vous êtes très fort, et cela fait plaisir un esprit comme vous. Et là aussi, il s’agit de votre esprit et non de vous qui dans l’absolu vous n’êtes qu’apparent croyant penser.


  • xana 28 mai 20:20

    A l’auteur

    Je constate que vous avez perdu votre bel humour... Par contre vous avez retrouvé ce ton spécifique aux prêcheurs. Dommage que vois viviez au XXIème siècle, j’aurais aimé vous voir prêtre du Boeuf Apis ou de « Notre Seigneur l’Ecorché », une si attachante divinité aztèque...

    Tout ca pour dire que je veux bien parfois discuter un peu philosophie avec des gens comme vous mais point trop n’en faut. La moutarde me monte vite au nez et je pense qu’après tout Staline avait bien raison de détruire les adorateurs de tout poil.


  • Krokodilo Krokodilo 29 mai 18:21

    Philosophie ou métaphysique ? J’aime bien la première, mais je trouve l’autre un peu vaine.


Réagir