mercredi 9 novembre 2022 - par georges jean

« La perversion de la cité commence par la fraude des mots » ( Platon)

Depuis 30 ans le sens du vocabulaire se rapportant à la sexualité, au genre, aux relations homme-femme, a été transformé.

Le terme « couple » par exemple servait, pour ce qui touche aux relations humaines, à désigner exclusivement l'alliance d'un homme et d'une femme. On utilise désormais aussi ce terme pour désigner l'union d'un homme avec un homme, d'une femme avec une femme.
Par souci de précision on ne devrait pas donner un même nom, en l'occurrence "couple", à l'union homosexuelle et à l'union hétérosexuelle. En effet l'union d'un homme et d'une femme est différente de l'union entre deux hommes ou entre deux femmes. L'homosexualité est une sorte d'intolérance à l'altérité sexuelle alors que l'hétérosexualité fait vivre la complémentarité sexuelle. De plus l'homosexualité, contrairement à l'hétérosexualité, est stérile.
L'utilisation d'un même terme, "couple" pour désigner deux réalités différentes, et même antagonistes, parasite la vision que l'on avait du "couple", elle rend invisible la différenciation sexuelle.

Le terme « famille » avait un sens précis : un homme, une femme et leurs enfants. Ce terme est désormais employé à d'autres situations. On emploie l'expression "famille monoparentale" au lieu de dire "femme seule avec enfants", on parle de famille homoparentale alors que l'une des caractéristique des homosexuels ou des lesbiennes, est de ne pouvoir faire un enfant, donc de "faire famille".
La famille, la vraie, perd de ce fait de la visibilité.

De même l'habitude a été prise d’utiliser systématiquement les termes d’homosexualité ou d’hétérosexualité, au point que personne ne parle plus d'orientation sexuelle normale ou d'orientation sexuelle déviante. On n'oserait plus dire de nos jours, concernant son orientation sexuelle : "je suis normal". On nous force à dire : "je suis hétérosexuel". On a ainsi perdu le droit de se définir.

Ces manipulations du vocabulaire entraînent une confusion dans la perception de la réalité. Cette indifférenciation est complétée par la lutte contre les stéréotypes de genre. On ne veut plus de bleu pour les garçons, plus de rose pour les filles. Sous couvert de lutte contre les stéréotypes de genre on veut empêcher la différence entre hommes et femmes de s'exprimer dans la vie sociale. C'est cette expression de la différence que certains veulent effacer en voulant abattre les "stéréotypes de genre".

Cette volonté d'indifférenciation n'existe pas pour les animaux.

Si l'on veut se lancer dans l'élevage de pigeons, et que l'on va acheter un couple de ces adorables volatiles chez le marchand, grande sera notre protestation s'il nous vend deux mâles ou deux femelles. Nous voulons un couple, soit un mâle et une femelle. Deux mâles ou deux femelles, pour notre projet, c'est une chimère, ça ne peut permettre la mise en place d'un élevage. A ce moment on se souvient de l'importance de la différenciation sexuelle, du sens du mot couple. Dommage qu'on l'oublie cela lorsqu'il s'agit des humains.



Toute ces nouvelles habitudes sont imposées par des minorités sexuelles. Si vous contestez cette nouvelle manière de voir les choses on vous qualifie d'homophobe, on vous balance l'anathème : vous êtes intolérant.

 

Ces manières de penser, imposées par l'évolution du vocabulaire, sont entérinées par le droit.
Le législateur a créé un délit de blasphème à l'avantage des homosexuels. C'est la loi sanctionnant les propos homophobes. Le dénigrement moral qui consiste à dire « vous êtes homophobe » est renforcé par le droit.

Le législateur profitant de cet effacement de la notion de normalité concernant l'orientation sexuelle, de cette négation de l'existence de l'altérité, a décidé d'appauvrir le mariage tel que nous le connaissons pour lui substituer le "mariage pour tous".
Cette réforme a été précédé du PACS qui donnait un cadre juridique à l'union homosexuelle. Durant la discussion parlementaire il a été affirmé à maintes reprises que ce PACS était dédié à ceux qui "ne peuvent ni ne veulent se marier", qu'il n'annonce donc en aucune manière le mariage pour les homosexuels. C'était là un mensonge. Le mariage gay est arrivé, sous l'appellation de mariage pour tous.
Tout comme la notion de couple est devenue peu claire, le contrat de mariage a été altéré, plusieurs types d 'unions, hétérosexuelle ou homosexuelle, pouvant y être soumis. Ceci s'est décidé dans le mépris du principe d'égalité puisque homosexualité et hétérosexualités sont différentes, voire contraires et que de ce fait des législations spécifiques devraient encadrer chacune de ces situations. On ne peut en effet traiter d'une manière égale que des situations identiques.

En créant le mariage pour les gays le législateur a ouvert la voie à de nouveaux types de filiation. En effet qui dit mariage dit enfants.
La suite logique du mariage pour tous a été la PMA pour toutes et en particulier les couples de lesbiennes. En effet, ce mariage valide un mariage femme-femme, donc sans homme. Ce mariage nous mène à penser qu'il est légitime de légaliser une PMA avec des enfants sans père, ce qui a été fait récemment.

De même, ce mariage pour tous rend possible un mariage homme-homme donc sans femme et il légitime de ce fait la GPA avec des enfants sans mère. Si cette GPA est encore interdite en France, elle est possible à l'étranger. Gageons que le lobby homosexuel saura faire pression pour obtenir sa légalisation en France avec les slogans habituels : vive l'égalité, non à l'homophobie, il « faut » être tolérant.

Tout cela entraîne la mise en place d'un système de fabrique d'orphelins. Avec la PMA une femme peut avoir un enfant sans homme ; avec la GPA un homme peut avoir un enfant en louant l'utérus d'une femme, mais il est sans femme, et le bébé sans maman.
 

Le dernier avatar de cette politique d'indifférenciation sexuelle c'est le transgenrisme.
Il peut se définir ainsi : adoption des signes caractéristiques de l'autre sexe suite à des manipulations lourdes : prises d'hormones, opérations. Mais on ne peut changer le genre des chromosomes, on ne change que l'apparence, c'est une sorte de travestissement mais sans retour en arrière possible.
Un homme qui rejette la masculinité (l’ensemble des stéréotypes qu’elle recouvre) demeure un homme, même s’il choisit d’embrasser ce qui constitue la féminité. Une femme qui rejette la féminité (l’ensemble des stéréotypes qu’elle recouvre) demeure une femme, même si elle décide d’embrasser ce qui constitue la masculinité.

La mode du phénomène « trans » n 'est pas sans conséquences.

Les enfants entrent à peine dans la puberté qu'on les perturbe avec des cas très particuliers. Lors de la période floue de l’adolescence, il peut y avoir un certain flottement avec des fragilités psychologiques qui peuvent amener une confusion, voire un passage à l’acte. Un adolescent qui se sent mal dans sa peau, c'est-à-dire la grande majorité, peut se dire, influencé par la propagande ambiante : tiens, et si je changeais de sexe ? Dans neuf cas sur dix, ce sera une très mauvaise idée.

Les jeunes qui jouent à ce jeu dangereux peuvent changer d'avis et vouloir revenir à l'état initial. Ce n'est pas possible. Quand ils auront 50 ou 60 ans et qu'à ce moment là la mode transgenre aura disparu on ne verra qu'une chose : derrière leur apparence d'homme, la femme apparaîtra, derrière leur apparence de femme, l'homme apparaîtra.

 

La source de tout ce désordre : on a mal nommé les choses. On a donné au terme couple des sens qu'il n'aurait jamais dû avoir. Cela a donné le mariage gay, puis la PMA pour toutes, bientôt la GPA. En fin de course le transgenrisme a été propagé.

Et ça continuera : les minorités, sources de ces manipulations langagières, sont insatiables.

 



35 réactions


  • armand 9 novembre 2022 16:33

    et donc ?


  • Lynwec 9 novembre 2022 16:40

    Et donc, faites un effort...

    Mentir sur le sens des mots est le moyen le plus couramment utilisé pour manipuler les gens . Par exemple, on vous ment en permanence en vous assénant que vous avez bien de la chance car vous êtes en démocratie, et beaucoup acquiescent sans chercher à analyser vraiment le sens du mot « démocratie » ...croyant effectivement s’y trouver...


    • Clark Kent Clark Kent 9 novembre 2022 16:51

      @Lynwec

      Ah non !

      Là vous exagérez !

      Notre Résident a donné un jour la bonne définition en l’opposant à la dictature : "La démocratie, c’est quand on change de dirigeants".

      Il n’a pas dit qui les changeait.


  • Clark Kent Clark Kent 9 novembre 2022 16:44

    Cette imposture est une « wedge issue » monumentale : pendant que ces zigotos se tétanisent sur leurs zézettes, zigounettes et transzobinettes, et pendant que tous ceux que ça énerve se crêpent le chignon, ils ne font pas chier ceux qui s’occupent de leurs pépettes.


  • pacifico 9 novembre 2022 16:45

    Un jour Excédé par une pécore qui débitait des platitudes sur un ton qu’elle voulait péremptoire , j’ai dit : 

    • Je ne parle pas aux légumes

    Face à ce genre là on est bien plus démuni et sans défense.


  • Clocel Clocel 9 novembre 2022 16:49

    Au commencement était le logos...


  • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 9 novembre 2022 17:20

    Salutations, pour moi, non, elle commence avec les intentions qui sont dans la psyché, et donc dans le cheminement de celles-ci , depuis la source jusqu’à la mer..

    sans aller à la source du mal, en nous, en chacun...hum...


    • Géronimo howakhan Géronimo howakhan 9 novembre 2022 17:22

      @Géronimo howakhan

      la raclée auto créée va aller en augmentant, jusqu’à une limite que je ne vois pas..dans le sens je ne sais pas...mais il y a une limite, normal dans le monde relatif.


  • Paul Retali 9 novembre 2022 18:20

    Depuis quand y a-t-il une sexualité plus déviante qu’une autre, en quoi l’hétérosexualité est-elle la sexualité « normale » ? Je veux bien employer les bons mots, mais parler de normalité n’est pas la bonne chose à faire.

    Pourquoi toujours juger  ?


    • Clocel Clocel 9 novembre 2022 18:44

      @Paul Retali

      Si on n’associe pas la sexualité et la reproduction... Forcément...


    • georges jean 10 novembre 2022 09:33

      @Paul Retali

      Ne soyons pas normalophobe.
      J’ai récemment vu mon député pour qu’il propose une loi contre la normalophobie.


    • Louis 10 novembre 2022 09:33

      Paul Retali

      Il ne faut pas juger vous avez parfaitement raison ,d’autant plus qu’il est très difficile de différencier un vagin d’un côlon (il s’agit de la partie terminale du gros intestin à ne pas confondre avec le colon)


    • eau-mission eau-mission 10 novembre 2022 09:55

      @Louis

      Connaissez -vous l’écart entre « Ahhhh » et « Aïeee » ? C’est la même que dans un pack de bière


  • PascalDemoriane 9 novembre 2022 19:15

    @l’auteur

    Pas mal mais... Vous avez une appréhension de la linguistique, osons dire socio-linguistique, bien étroite, pour ne pas dire un tantinet réactionnaire.

    « Le terme « famille » avait un sens précis : un homme, une femme et leurs enfants. »
    Non, non, et non ! Vous confondez avec la notion de foyer fiscal prolétaire ! Non, une famille c’était, jusqu’au milieu du siècle dernier chez nous une sorte de tribu, plus ou moins communautaire, plus ou moins large, avec ses cousinages, avec des parentés plus ou moins re-composées, inclusives voire fictives, finalement plastique.
    Quel appauvrissement ! Voyez, il y a là différence entre le conservatisme éclairé, cultivé, et le réactionnaire étroit.

    Plus embêtant vous problématisez à juste titre le vocabulaire progressiste sociétaliste contaminant, viral, oui ! mais en usant vous même de ses catégories :

    « De même l’habitude a été prise d’utiliser systématiquement les termes d’homosexualité ou d’hétérosexualité, au point que personne ne parle plus d’orientation sexuelle normale ou d’orientation sexuelle déviante. »

    Ben « orientation sexuelle » est un concept normatif du genrisme, repris à tord par le législateur alors que c’est une donnée subjectiviste très relative sans assise stable concrète, non mesurable, ni cernable au plan psychologique, encore moins juridique. C’est une pure revendication déclarative, voire au mieux un constat coutumier. Le juge ne devrait pas avoir à en connaitre ! Sauf à instaurer une police de la sexualité. Il est là le problème.

    Normalité
    Heureusement qu’on ne parle plus d’affectivité « normale » ou « déviante », quelle soit amoureuse, amicale, fraternelle, sororale ou filiale, laisser nous un peu d’air et de fantaisie ! Mince !
    Nul n’a à en juger, seul les actes, les modalités pratiques de la relation consentie sont encadrable par des limites, des normes. On ne juge pas les affects, c’est fondamental... et très français !

    Vous taper dans le mille sur la confiscation du vocabulaire
    « On n’oserait plus dire de nos jours, concernant son orientation sexuelle : "je suis normal« . On nous force à dire : »je suis hétérosexuel". On a ainsi perdu le droit de se définir. »

    Oui, mais en fait personne ne nous oblige user de ces vocables ineptes, ni à nous définir subjectivement, sexuellement : Moi, même, Pascal Demoriane je suis un homme, mais ne suis ni ne peut être ni homo ni hétéro par moi-même tout seul devant la glace ! Absurde !
    Seule la relation interpersonnelle peut-être ou non entre même sexe. Pas la personne ! çà dépend du partenaire !

    Par contre j’ai des « relations de même sexe » avec mon boulanger qui me donne du pain, oui j’avoue, et parfois même indirectement avec la vendeuse du magasin devant tout le monde. Oh là là ! En plus à titre payant ! Quelle horreur !
    Vous me direz, oui mais c’est pas une relation sexuelle ! Qu’en savez-vous ? Çà ne veut rien dire, toute relation est sexo-genrée de près ou de loin. (ne le dite pas à ma femme, elle le sait !)

    Donc individu homo/hétérosexuel çà ne veut rien dire tant qu’il ne s’agit pas d’assumer une maternité et/ou une paternité dans le cadre d’une normalité organique et psychique, là oui. C’est plus affaire de mœurs mais d’anthropologie fondamentale.

    Or c’est bien cela, vous avez raison, qui est attaqué à la racine structurale, par la négation de la notion de parenté, remplacée par celle, contractuelle et mercantile de « parentalité ».
    Nier la parenté c’est nier l’articulation sexe / genre :
    Mme Buzyn disait en 2020 « un père çà peut-être une grand-mère », autant dire « père, grand-mère » c’est un costume, çà n’existe pas il n’y a que des « individus » à orientation subjective plastique.
    Bon ben çà c’est le crédo du pédo-criminel, tout simplement !

    À suivre... y a tant à en dire.


    • Louis 10 novembre 2022 10:06

      @PascalDemoriane

      Si vous aviez consulté les définitions du mot famille et les synonymes sur les dictionnaires du CNRTL vous nous auriez dispensé de vos hurlements de vieille folle.

       Réactionnaire : Terme péjoratif pour designer l’attitude d’une personne qui s’oppose au changement (du sens des mots parce que cela provoque une confusion dans les esprits)


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 10 novembre 2022 06:09

    L’article que j’attendais depuis longtemps. Papa 1 et papa 2 cela n’existe pas. L’inconscient fonctionnne par la loi des contraires et si on le bidouille cela débouche sur le chaos et la psychose. Imaginez un plan de route qui vous dit : si vous allez à droite, c’est comme si vous alliez à gauche... DE quoi perdre les pédales. C’est le cas de la dire. On s’imagine l’inconscient comme un grand fourre-tout chaotique. Pas du tout. Il a ses repères de base. Le noir n’est pas du blanc, le jour n’est pas la nuit, ...


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 10 novembre 2022 06:16

    Robert Dany Dufour a déjà tout compris : La Cité perverse... Si on veut remettre la civilisation en selle, c’est simple : on revient sur les Lois sociétales... Oui mais ce serait une regression.... Au contraire, ce serait remonter la pente perverse dans laquelle nous foncions. David contre Goliath. Quel bonheur de voir Facebook se casser la gueule... L’axe du mal n’est pas celui que l’on s’imagine. D’où vient la perversion : théorie du genre, marige homo, GPA, perversion narcissique, transgenre.... De l’Indes ??? Que nenni...


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 10 novembre 2022 06:25

    La loi des contraires, c’est la névrose. Depuis l’ant-Oedipe. Des psychotiques comme Foucault ; Hocquengem, Guattari, Deleuze,...envieux, ont tenté de tout bousiller. Mais attentions : les oedipiens sont aux embuscades. Et n’ont pas dit leur dernier mots. Que penseriez-vous si on essaie de vous faire croire que 1 égale 0. Ben c’est bien ce que l’on tente de nous faire croire..... Mais l’inconscient est bien structuré. Il fonctionne par paire d’opposés. Thèse, anti-thèse et synthèse. La synthèse est qu’il est possible pour un homme de penser en femme. Et l’inverse. L’inconscient est labile. Mais les bases elles restent stable. On ne peut penser comme un homme qu’à partir du moment ou ou on est bien identifié en tant que femme.


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 10 novembre 2022 06:32

    Si on a parlé d’ANT-OEDIPE, ou d’anti-Oedipe. Cela sous entend que l’Oedipe existe bel est bien... D’ailleurs, il revient en grande force. Certains le saliront en le traîtant d’extrême-droooite.  On connaît la technique. Exemple, un article voulant détruire la famille, s’est servi de l’exemple caricatural de Bolsonaro. Bolsonaro défend la famille, il est d’extrême-droite (là, c’est assez vrai), en conclusion, la famille c’est mauvais. Cela s’appelle un sophisme. Le journal la Décroissance défend aussi le modèle classique de la famille. Sont-ils d’extrême-droite ? 

    nom masculin
    1. Argument, raisonnement faux malgré une apparence de vérité.

  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 10 novembre 2022 07:07

    Le signe du scorpion dans lequel nous nous trouvons actuellement (représenté par Pluton : cf mythe de Perséphone et Hadès-mystère de Eleusis) est le signe de l’Oedipe. Soit su côté de la perversion (déni de la différence sexuelle : le ROC) soit celui de la névrose et de la sublimation...... Lire douze clés pour l’inconscient. Tchou : l’avenir sans peine... Pluton , c’est la vérité par l’inconscient. Raison pour laquelle il est dit le Riche. Car il détient la CLE.... de compréhension.... C’est l’aIGLE, car il voit de loin et personne ne peut lui mentir ou sa vengeance peut être terrible. Pluton vivait aux Champs Élysées dans les Enfers, le monde des morts souterrain. Il y jugeait les âmes : les bons et les justes étaient envoyés dans les Champs Élysées, lieu de délices et de paix, les mauvais dans les abîmes du Tartare où ils subissaient les supplices mérités. Pluton, c’est le tri des déchêts version psychique... C’est la lappe suce : d’ailleurs Pluton vient de pluto : le chien...


  • Confucius Confucius 10 novembre 2022 07:51

    La langue évolue. Le cancer aussi.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 10 novembre 2022 10:55

      « Les langues évoluent dans le sens de la paresse. » Daniel Pennac

       Autrement dit, de la bêtise.

      « La bêtise c’est de la paresse  » Jacques Brel


  • Étirév 10 novembre 2022 08:18

    « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » ( Platon)
    N’en a-t-il pas abusé d’ailleurs ?
    Rappelons que Platon qui rejetait la Divinité féminine, se déclarait dieu lui-même et se faisait appeler le « divin Platon ». Il se disait fils d’Apollon, et nourri par les abeilles du mont Hymette.
    Donc, il a une naissance miraculeuse, comme tous, les orgueilleux prétendus divins. Pour compléter sa divinité, il déclare qu’il vécut vierge.
    Si la Femme n’est plus divine pour Platon, elle va bientôt devenir démon et prendre la place de l’homme dans l’enfer surnaturel qu’il va imaginer, mais cela viendra progressivement, par étapes.
    D’abord Platon, dans le Banquet, nous représente les Daïmones comme des existences intermédiaires entre la nature divine et l’homme, et non seulement intermédiaires, mais médiatrices, apportant aux hommes les ordres et les bienfaits divins.
    Ces Daïmones comblent l’intervalle qui existe entre le Ciel et la Terre. Chaque homme a son Daïmon particulier, que Platon appelle son ange gardien. C’est, au début, Un bon esprit, juste et bienveillant. Inutile de faire remarquer que c’est la Femme qui est représentée ainsi, inconsciemment.
    C’est dans cette démonologie de Platon que le Catholicisme prend l’idée d’un démon, c’est-à-dire d’un mauvais esprit agissant contre l’homme, et ce mauvais esprit, ce sera la femme, pour lui, parce que, c’est elle qui réagira contre une religion qui sera faite pour anéantir son autorité et supprimer à jamais son antique Divinité.
    Mais les femmes ne se laisseront pas attaquer sans se défendre et sans rendre à l’esprit du mal le sexe masculin, et c’est sous cette forme que nous le verrons régner dans tout le moyen âge.
    LA PHILOSOPHIE EN GRÈCE


  • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 10 novembre 2022 09:09

    C’est clair : une paire n’est pas un couple, un couple n’est pas une paire. Une paire est formée de deux pareils.

    Question : deux pareils du point de vue du sexe peuvent-ils former un couple du point de vue du genre ?


  • georges jean 10 novembre 2022 09:26

    Pour compléter la fin de mon texte, traitant du transgenrisme :

    https://www.lesalonbeige.fr/on-ne-choisit-pas-son-sexe-et-il-ny-en-a-que-deux/


  • I.A. 10 novembre 2022 09:39

    Nous avons là un bon gros tissu d’âneries...

    Les LGBTQ, je m’en fous, et les Wokes me courent sur le haricot...

    Mais vous, vous êtes clairement là pour diviser. Vous, je vous méprise.


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 10 novembre 2022 09:46

    Idem pour union. DIFFERENTES CHOSES. Etymologie : du latin unio, union, unité, état d’unification, dérivé de unus, un. L’union est la liaison établie entre différentes choses ou personnes de telle sorte qu’elles ne forment plus qu’un seul tout.


  • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 10 novembre 2022 09:50

    Oedipe est-il d’extrême droite ????


  • Lynwec 10 novembre 2022 10:36

    Si cette observation n’a pas déjà été faite, je me permets d’évoquer la convergence d’intérêts qui existe (et n’est pas forcément perçue au premier abord) entre d’une part les groupements qui organisent la promotion de l’homosexualité pour tous (presque de force, vu la propagande omniprésente) et d’autre part les groupes adeptes de l’eugénisme et de la réduction de la population mondiale .

    Moins il y aura de couples hétéros, moins il y aura d’enfants à naître.

    « Bon sang, mais c’est bien sur », aurait dit le célèbre commissaire Bourrel (ça ne nous rajeunit pas...)


  • the clone the clone 11 novembre 2022 08:29
    La perversion de la cité commence par la fraude des mots » ( Platon)

    Votez pour moi s’écriât le Macron ....


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