mardi 18 février - par PHIMOR

La religion musulmane, le djihad, la viande halal, le port du voile, la binationalité

1) La religion musulmane

La religion musulmane, l'islam, fait partie des trois religions monothéistes : dans la religion musulmane, il n'y a qu'un Dieu et il est le même dans toutes les religions, même s'il a un nom différent suivant la religion pratiquée. Ces trois religions monothéistes : le catholicisme, le judaïsme et l'islam, sont appelées par les musulmans les « Religions du Livre ». Malgré les points de convergence qui apparaissent entre la religion chrétienne et l'islam, la conception de Dieu et du rapport à Dieu connaît d'importantes différences. C'est tout d'abord le statut de l'Écriture Sainte. Le Coran est la parole de Dieu pour le musulman, parole transmise par l'ange Djibril (Gabriel), Allah a dicté (c'est le sens même du mot « Coran ») sa parole à Mohammed qui, réputé analphabète, ne fait que transmettre littéralement et fidèlement la révélation coranique. Au même titre que Mohamed, les musulmans donnent une légitimité à Jésus, en qualité de Prophète, mais ils ne partagent pas, comme les chrétiens, leur foi en Jésus, en qualité de Fils de Dieu fait homme. Dans le Coran, la Sourate 4 indique « En vérité, le Messie, Jésus Fils de Marie est un Messager de Dieu, Son Verbe projeté en Marie et un esprit émanant de Lui ». De plus, dans la même sourate, la Sainte Trinité n'est pas reconnue par l'islam « Croyez donc en Dieu et Ses Messagers et ne dites point « Il est trois ». Cela entraîne donc une autre différence fondamentale avec la foi musulmane : la reconnaissance en un Dieu Unique et non en trois Personnes. Même si les chrétiens ne croient pas en trois Dieux, mais en un Dieu Unique en trois personnes (le Père, le Fils et le Saint Esprit) et que chacune des trois personnes est Dieu tout entier. Dans la prière (chahada), les musulmans attestent que Dieu (Allah) est unique, qu'il n'a pas enfanté, et qu'il n'a pas été enfanté. Dans les deux religions, pour ne citer que l'islam et le catholicisme, les prophètes sont les mêmes (Aïssa pour Jésus, Youssef pour Joseph, son père Yacoub pour Jacob, Ibrahim pour Abraham, Moussa pour Moïse).

2) Le terme « djihadiste ou djihad »

Les journalistes ou homme de radio devraient arrêter de dire le Djihad et les Djihadistes, plutôt que de qualifier ces terroristes qui commettent des crimes par l’appellation d'assassins et de lâches ! Je tiens à souligner que l'on ne doit pas qualifier leurs actes comme étant le Djihad ! Les médias n'ont toujours pas compris que le fait de baptiser ces personnes qui ont un problème psychiques ou qui sont des personnes fortement influençables qui sont manipulés de Djihadiste a pour effet de glorifier des monstres. Il faut aussi que les journalistes évitent de dire Islamistes (même si on sait que la fin du mot en "iste" correspond aux extrêmes) lorsqu'ils traitent de ces horribles méfaits, parce qu'il y a malheureusement le mot islam qui est prononcé, et les personnes incultes font vite l'amalgame !

Avec tous les événements que nous vivons aujourd’hui, déclarer la guerre au terrorisme doit commencer par clarifier le concept de Djihad dans la religion musulmane. Il faut que les musulmans (une piqûre de rappel ne fait pas de mal) les adeptes d'une autre religion et les non croyants sachent ce que veut véritablement dire le mot Djihad en Islam. Tout d'abord, précision très importante : Le Djihad n'a aucun rapport avec le terrorisme. Le Djihad est le mot qui est le plus mal interprété … même pour un grand nombre de gens qui se disent musulmans, le véritable sens leur échappe. Par la déformation volontaire de la définition de ce mot, de nombreuse personnes sont endoctrinés par d'autres personnes qui en usent pour acquérir un pouvoir ou des avantages. Cette mauvaise interprétation du terme Djihad a pour effet de discréditer les véritables adeptes de la religion musulmane.

En réalité, le Djihad ne veut pas dire « guerre sainte », il veut dire force, effort, lutte. Si on veut parler de guerre en arabe littéraire, on dira « Qitâl » ou « Harb ». La véritable signification du Djihad, c'est la lutte sérieuse et sincère aussi bien au niveau individuel qu’au niveau social. C’est la lutte pour accomplir le bien et éradiquer l’injustice, l’oppression et le mal dans toute la société. Cette lutte doit être aussi bien spirituelle que sociale, économique et politique. Pour exemple, on peut faire le Djihad contre le chômage ou pour éradiquer la pauvreté. Bref, le Djihad consiste à tout mettre en œuvre pour accomplir le bien autour de soi.

Dans le Coran, ce mot est souvent associé à d’autres concepts coraniques tels que la foi, le repentir, les actions droites et l’émigration. Le Djihad consiste à protéger la foi de l’individu et ses droits. Tout comme la religion catholique, l’Islam est la religion de la paix mais cela ne signifie pas qu’il faut accepter l’oppression. L’Islam enseigne que l’on doive faire tout notre possible afin d’éliminer les tensions et les conflits. L’Islam promeut les moyens pacifiques pour mener au changement et à la réforme. En réalité, l’Islam insiste sur le fait que l’on doit s’efforcer d’éliminer le mal par des moyens pacifiques sans avoir recours à la force. L’Islam enseigne également une éthique convenable en cas de guerre. La guerre est permise en Islam, mais uniquement lorsque les autres moyens pacifiques comme le dialogue, les négociations et les traités échouent. La guerre est le dernier recours et doit être évitée. Le but de la religion musulmane n’est pas de convertir les gens par la force, ni de coloniser les peuples, ni d’acquérir des terres, des richesses ou une gloire quelconque. Son but fondamental est la défense des personnes, des biens, de la terre, de l’honneur et de la liberté, aussi bien pour soi-même que pour les autres peuples qui souffrent de l’injustice et de l’oppression. Il est nécessaire d’attirer l’attention sur le fait que le terrorisme contre des civils innocents, que ce soit par une agression classique ou par des moyens suicidaires, n’est en aucun cas permis par l’Islam. L’Islam encourage les peuples opprimés à lutter pour leur liberté, et il ordonne aux autres musulmans d’aider ceux qui sont opprimés et qui souffrent. Cependant, l’Islam n’autorise, pour quelque raison que ce soit, le terrorisme qui engendre des tueries contre les non-combattants et les gens innocents

3) La viande Hallal

On assiste fréquemment à des polémiques sur l'abattage des animaux par les musulmans, mais uniquement sur l'abattage pratiqué par les musulmans, et non par les juifs. Alors que dans les deux religions, les bêtes sont égorgées. Il faut rappeler que chez les juifs, la bête ou la volaille est bénie, puis abattue par un Cho'het (professionnel juif de l'abattage rituel) avec son couteau spécial, le halaf, dont la lame ne doit présenter aucune ébréchure. La bête ne doit souffrir à aucun moment. Chez les musulmans, le mot halal désigne ce qui est « permis », « licite ». Pour que la viande soit déclarée halal, il faut que le sacrificateur soit musulman, que la bête vivante soit égorgée de manière à ce qu'elle soit rapidement vidé de son sang, que par le nom de Dieu la bête sacrifiée soit consacrée, et que le sacrificateur et l'animal soient orientés en direction de la Mecque. Le terme halal ne concerne pas seulement l'alimentation, cela touche également les règles de vie en général. Le contraire de halal, c'est haram, c'est-à-dire illicite. Jusque dans les années 80, la viande consommée par de nombreux musulmans n'étaient pas toujours de la viande halal. Depuis quelques décennies, on constate que le marché du halal est devenu une véritable industrie, d'autant que ce concept a tendance à s'étendre à d'autres produits. Cette appellation est donc bien souvent utilisée à des fins commerciales car, bien évidemment, elle a pour effet d'augmenter les ventes (le cabinet de sondages Solis a estimé le marché de la viande halal à environ 5,5 milliards d'euros en 2010. Ce marché ne cesse de progresser en France, pays classé premier en consommation de produits halals, devançant l'Allemagne et l'Angleterre).

Antérieurement aux années 80, la plupart des autorités religieuses n'interdisaient pas la consommation de viande produite dans un pays chrétien. En effet, il est extrêmement important de le préciser : le Coran autorise les musulmans à consommer de la viande achetée dans les boucheries classiques, sauf le porc qui est interdit. De nombreux musulmans l'ignorant, voici un extrait de la Sourate numéro 5, verset V qui confirme mes propos : « Vous sont permises, aujourd'hui, les bonnes nourritures. Vous est permise la nourriture des gens du Livre, et votre propre nourriture leur est permise. Rappelons que les gens du Livre sont les chrétiens, les juifs et les musulmans.

4) Le port du voile

L'obligation de porter le voile, intégral ou non est basé principalement sur le Verset 59 de la Sourate 33 du Coran (Al-Ahzab : Les Coalisés) : « Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux ». Ce Verset se justifie uniquement à l'époque de la vie du Prophète. Il s’adresse, clairement et seulement aux épouses du Prophète, à ses filles et aux femmes des croyants (de l’époque). En outre, les personnes favorables au voile intégral le légitime sur la base d'une traduction qui figure dans la version française officielle du Coran de l’Arabie Saoudite, traduction qui représente l’interprétation la moins tolérante du terme « Jalabibihinna », ce terme essentiel de cette version est traduit par « grands voiles ». Dans d’autres traductions, ce terme est plus sobrement traduit par : voiles, mantes ou capes.

Dans tous les cas, l’adjectif « grand » ne figure pas dans le texte en arabe. Nulle part, dans le Coran, il n’est mentionné que le port du voile (ni du foulard, d’ailleurs) est une prescription pour toutes les croyantes. Le port du voile n'est donc pas une prescription du Coran. Ces dernières années, sans compter les faux imams, le nombre de prêcheurs extrémistes a augmenté, ceux-ci diffusent et expliquent certaines Hadiths (interprétations des paroles prononcés par le Prophète avant l'an 632 et transcrites au VIIIème siècle, donc toutes ne sont pas forcément crédibles) via les réseaux sociaux. A leur écoute, de plus en plus de femmes prennent la décision de porter le voile. Voiler les femmes, c'est stigmatiser leur présence dans l'espace public.

Une petite anecdote, en passant, relative au port du voile : Gamel Abdel Nasser, Président de l'Égypte de 1952 à 1970 qui était membre de la confrérie des Frères Musulmans, a été élu grâce à elle. En 1953, après sa prise de pouvoir, le représentant de cette organisation intégriste a exigé qu'il impose aux femmes sortant en public de porter un voile qui devait cacher le cou et les cheveux. Or, Nasser ayant appris que ce Guide avait une fille, étudiante en médecine, qui refusait de le porter, saisit cette opportunité pour lui répondre : « Si vous n'avez pas réussi à convaincre une seule fille, qui de plus est la vôtre, à porter le voile, comment voulez-vous que je puisse l'imposer à 10 millions d'Égyptiennes ? ». Se sentant trahis, les Frères Musulmans ont projeté d'assassiner le président pendant qu'il prononçait son discours à Alexandrie en 1954. Nasser, ayant déjoué leur complot les a sanctionné en dissolvant leur confrérie, en saisissant tous leurs biens et en enfermant les principaux responsables. J'ai entendu dans une émission radio qu'en Égypte, de nombreuses jeunes filles portaient le voile pour ne pas être opporuné lorsqu'elles sont à l'extérieur. En effet, certains jeunes gens abordent les femmes non voilées car d'après leur raisonnement celles-ci ne seraient pas sérieuses. Espérons qu'un jour, nous n'en arriverons pas à cette extrémité dans nos banlieues.

Le souci avec cette histoire de voile, c'est que certains parents musulmans le font porter à des filles dés l'âge de 5 ans. Bien entendu, lorsque ces enfants auront atteint l'âge de leur majorité, ils n'oseront plus le retirer puisqu'ils l'auront toujours porté pendant plusieurs années. Sans le voile, ils auront l'impression de sortir nus à l'extérieur. En outre, il faut également souligner le coté commercial de ce voile, avec l'apparition de « créateurs de mode musulmane » qui créent des foulards assortis à des sacs à main de marque, du style Berry ou autres, des foulards ou voiles intégrales de couleur fuchsia (bravo la discrétion !), de Burkina … Il est donc grand temps que les musulmans et les non-musulmans apprennent que le port du voile ne fait pas l'unanimité chez tous les musulmans. Il n'est pas non plus un signe religieux puisque l'islam réprouve tout fétichisme matériel. La religion se vit dans le cœur, et non par l'exposition de ses vêtements.

Il faut que les vrais musulmans disent non aux salafistes qui, soi-disant, veulent revenir à la pureté des premiers musulmans (« sala », c'est-à-dire « purs ») ou aux wahhabites qui déforment le message de l'islam par de mauvaises interprétations basées principalement sur des hadiths. Par leur conduite, ils créent des divisions, en attisant la haine et en augmentant les discriminations. Pour toutes ces raisons et avec la multiplication du nombre d'attentats, de plus en plus de personnes ont tendance à faire l'amalgame entre les personnes d'origine étrangère qui vivent leur religion discrètement en respectant les lois de la République et les fanatiques qui déclarent que c'est un pêcher que de ne pas manger halal et que c'est offenser Dieu que de ne pas porter le voile. Ces fanatiques, en règle générale, ne connaissent pas leur propre religion. Ce sont eux les plus dangereux car ils manipulent certaines personnes marginales, fragilisées par leur parcours de vie, qui cherchent leur voie et qui veulent donner un but à leur existence. Ma conviction profonde est que la religion relève de l'intime, nul ne doit savoir à l'extérieur, par la tenue vestimentaire ou par les propos, si une personne est chrétienne, juive ou musulmane. Les devoirs de la République passent avant toutes les religions et chaque personne est libre de croire ou de ne pas croire, la France étant un pays laïque.

5) La double nationalité ou les binationaux

En matière de double nationalité, en France, certaines personnes son autorisées à posséder deux nationalités, mais cela ne veut pas dire reconnaissance de ces deux états. La majorité des pays autorisant la double nationalité, dont la France, ne la reconnaissent pas en son sein, c'est-à-dire qu'ils considèrent leurs citoyens comme possédant à un moment donné la seule nationalité du pays en question, l'endroit où ils sont présents, le lieu de vie quotidienne. C'est-à-dire qu'en France, ils ne sont que Français. Cela signifie qu'un résidant binational en France, n'est considéré que comme étant que de nationalité française, il ne peut revendiquer une autre nationalité sur le territoire français, même si dans les faits, il dit je suis franco-marocain, franco-belge ou franco-algérien, la réalité est tout autre. Lorsqu'il retourne dans le second pays dont il a la nationalité, il perd provisoirement sa nationalité française, pour retrouver la nationalité du pays étranger où il se trouve et dont il possède également la nationalité. Mais, dans ce pays, il ne peut pas non plus revendiquer la nationalité française, nationalité qu'il réintègre à son retour en France.

Quelques pistes pour créer la tolérance et le respect

Dénoncer les problèmes, c'est bien, mais tenter de trouver des solutions, c'est en encore mieux. Le mélange croissant de populations et de croyances créé par la mondialisation a rendu inévitable la nécessité d'élargir le dialogue inter-religieux entre les personnes de toutes origines et de toutes religions pour mieux connaître et accepter les différences de chacun. Dans chaque ville de notre pays, nous devrions multiplier les rencontres, instaurer des conférences, des débats avec la population via les représentants des institutions religieuses (églises, temples, mosquées, synagogues). Les milieux associatifs, les réseaux sociaux, notamment la télévision doivent y participer, dans l'objectif de développer et installer une tolérance et un respect mutuel de chaque religion. Je sais que certains dispositifs existent déjà, mais il faudrait les développer et les étendre à toutes les villes. Par exemple, pourrait on organiser des opérations porte ouverte des lieux de cultes dans l'objectif de rencontrer d'autres croyants, d'autres façons de prier, mettre en place des rencontres dans les milieux associatifs, notamment au moment des fêtes religieuses pour montrer et partager des plats ou gâteaux typiques, de découvrir des manières de vivre différentes, montrer des objets, vêtements ou traditions étrangères. Et pourquoi pas, en tant qu'adepte d'une autre religion, prier au même endroit, même si certains pourraient être choqués par ma proposition, je dirais comme le Pape Jean-Paul II : « On ne prie pas ensemble, on est ensemble pour prier ». Cela aurait le mérite de faire grandir la connaissance réciproque, et créerait la source d'une estime et d'un respect mutuels. Bien entendu, ces partages ne devront pas conduire les intervenants à rallier avec insistance de nouveaux adeptes à leurs croyances.

Chacun vit sa religion à sa manière, comme je le disais, à mon sens, la religion relève de l'intime, pour être un bon croyant, il n'est pas nécessaire d'aller prier dans une église, mosquée ou synagogue. D'ailleurs toutes les règles qui s'attachent à un culte ne sont pas suivies entièrement par tous les chrétiens, les juifs ou les musulmans, chacun vit sa foi comme il la ressent au fond de soi-même.

Enfin, même si beaucoup de personnes me jugeront arriéré, je pense qu'il faudrait réinstaurer les cours de morale dans l'enseignement, dés l'école primaire. Il faut développer le sens critique et le mode de raisonnement dés l'enfance. En outre, l'intégration des valeurs républicaines permettra de former des personnes autonomes et des citoyens responsables, valeurs essentielles au bien vivre ensemble. Comme disait Jules Ferry en 1883 : « Dans une telle œuvre, ce n'est pas avec des difficultés de théorie et de haute spéculation que vous avez à vous mesurer ; c'est avec des défauts, des vices, des préjugés grossiers. Ces défauts, il ne s'agit pas de les condamner, tout le monde ne les condamne-t-il pas ? mais de les faire disparaître par une succession de petites victoires, obscurément remportées. Il y faut beaucoup de leçons sans doute, des maximes écrites, copiées, lues et relues ; mais il y faut surtout des exercices pratiques, des efforts, des actes, des habitudes ».

Ferdinand Buisson, cofondateur de la Ligue des Droits de l'Homme avait dit « pour qu’une éducation morale nous paraisse suffisante, il faut qu’elle crée en chaque individu une sorte de force intérieure régissant non seulement ses actes, mais ses pensées, ses sentiments, ses intentions, toute la conduite, toute la direction de la vie ». Je n'ai pas la prétention de détenir toutes les solutions miracles pour régler tous les problèmes de notre société. Néanmoins, à la découverte des horreurs qui sont commises à travers le monde, je ne peux qu'en déduire que notre société est gravement malade et que beaucoup de médecins sont des charlatans.

Si j'ai écrit cet article, c'est pour tenter de sensibiliser les Françaises et les Français, musulmans ou non musulmans, croyants ou athées sur ce qui nous rassemble et non sur ce qui nous divise. Il faut effacer les divisions crées par l'évocation de faux problèmes notamment ceux relatifs à consommation de viande halal ou non halal. Il faut aussi rappeler que la culture musulmane n'est pas le monopole des pays du Golfe arabo-persique, ni des salafistes. Pour finir, j'aimerais ajouter qu'il est fort possible que de nombreuses personnes de confession musulmane ne partagent pas mes idées. Dans ce cas, je vais me répéter, si celles-ci souhaitent s'appliquer des règles de vie religieuse radicale, libre à elles de vivre pleinement leur conviction de la religion musulmane, en allant s'installer dans un pays radical qui la prône. Je pense sincèrement que, contrairement aux anciennes déclarations de M. François Fillon, l'islam est compatible avec la République et que le bien vivre ensemble, quelles que soient les croyances des personnes est réellement possible.

 



47 réactions


  • Seth 18 février 16:17

    La religion musulmane, l’islam, fait partie des trois religions monothéistes

    3 religions monothéiste... ça commence bien... smiley


    • cevennevive cevennevive 19 février 08:26

      @Seth, bonjour,

       « trois religions monothéistes »
      Je crois que l’auteur en a oublié une : le protestantisme...
      Point d’impératifs de consommation ou de nourriture, point de confession indiscrète, point de vêtements obligés, point de différence homme femme, point de papes ou de maîtres es conscience, etc...
      Et les guerres de religion qui ont décimé beaucoup de gens il y a quelques siècles, catholiques ou protestants ?

      Alors, tout cela me fait dire que les religions sont comme les partis politiques, motif de guerre, d’ostracisme et de haine.

      Religions d’amour... ??? Qu’en pensez-vous Seth ? Il me semble que vous rejoignez mes pensés.


    • Seth 19 février 08:33

      @cevennevive
       Bonjour,

      Les trois religions auxquelles il fait référence sont « abrahamiques » (judaïsme, christianisme en général et islam)

      En fait d’autres religions « monothéistes » on peut citer le zoroastrisme, le sikhisme et probablement d’autres.


    • Durand Durand 19 février 12:27

      @Seth

      « on peut citer le zoroastrisme, le sikhisme et probablement d’autres. »

      L’élection présidentielle ?

      ..


    • Seth 19 février 14:15

      @Durand

      Comme monothéisme civil et procédant du diable, on peut dire ça.  smiley


  • placide21 18 février 16:33

    L’islam est compatible avec la laïcité comme le vinaigre avec l’huile , nous avons suffisamment d’expérience avec l’islam : religion de conquête et de soumission , pour savoir que nous ne pourrons jamais faire société avec eux , je pense que les députés qui prennent fait et cause pour l’islam défendent en fait leurs dealers et travaillent à la destruction du peuple français  ; élise Lucet a raison de demander le dépistage des députés , les conducteurs automobiles sont dépistés, eux, et ils ne conduisent pas un pays.


    • Seth 18 février 16:59

      @placide21

      nous avons suffisamment d’expérience avec l’islam : religion de conquête et de soumission ,

      Et lors de l’évangélisation chrétienne à tout prix des pays colonisés, quelle était la position exacte du christianisme ?  smiley

      Ne reprochez pas à une religion ce qui a été l’attitude générale d’une autre : la vôtre qui a abouti à la situation actuelle de main mise totale de l’occident sur le monde entier et d’acculturation généralisée.


    • xana 18 février 19:25

      @Seth
      Il faut comprendre. Placide21 n’a pas encore tout compris, il croit encore que ses ancêtres étaient les Gaulois !


    • placide21 18 février 20:59

      @Seth
      La laïcité est une religion ?


    • placide21 18 février 21:01

      @xana
      Est ce que j’ai évoqué une ethnie dans mon propos ?


    • SilentArrow 19 février 02:24

      @Seth
       

      Ne reprochez pas à une religion ce qui a été l’attitude générale d’une autre : la vôtre qui a abouti à la situation actuelle de main mise totale de l’occident sur le monde entier et d’acculturation généralisée.

      Ne reprochez pas aux Français de vouloir mettre les colonisateurs islamiques à la porte comme ils ont été eux-mêmes mis à la porte de leurs colonies.

      Maintenant, si veut se mettre à comparer, on constate que la colonisation par les pays occidentaux, malgré tous ses défauts, a quand même contribué à tirer les pays colonisés vers le haut, en créant des infrastructures, des écoles, des hôpitaux, des institutions modernes, etc. La colonisation islamique, au contraire, est tiersmondisante et tire tout vers le bas.


    • jakem jakem 19 février 08:34

      @SilentArrow
      J’approuve !

      D’ailleurs les progrès ont été faits par l’Occident, pas en terres musulmanes.

      Les milliards donnés, gaspillés pour le développement n’ont pas généré d’effets positifs massifs.
      Tu veux ou tu veux pas ? c’est inch allah et mektoub !

      Un de ces progrès consiste à s’interroger et, en Occident, à faire une critique féroce de nous-mêmes.
      Les exemples en littérature et en cinématographie sont innombrables.

      Ça n’existe pas en musulmanie.

      Et un autre progrès, corrélé au premier, est de réagir afin d’améliorer les choses.

      Chez nous en Europe ( à l’exception, semble-t-il, des pays scandinaves et 2 ou 3 de la Mitteleuropa ) cet effet bienfaisant est bloqué à cause de l’eurokratur.
      Plus personne n’est responsable, tout est dilué, la vie est dangereuse, les innovations doivent être normalisées avant d’exister, l’avenir doit être multikulti, individualiste forcené, geignard, le ressenti remplace le raisonnement, la contemplation de son nombril et la défense outrancière de son ego remplacent l’action... et nous devenons tiers-mondisés.


    • Durand Durand 19 février 12:36

      @SilentArrow

      Je vous comprends mais ce sont nos propres dirigeants qui ont fomenté toutes les guerres qui ont fait d’eux des migrants… Pour moi, ceux qui faut virer en priorité, ce sont donc nos dirigeants…

      Ça ne sert à rien d’en virer deux ou trois si le mal n’est pas éradiqué à sa source !

      ..


    • SilentArrow 19 février 13:27

      @Durand

      Les virer pour les envoyer où ?

      Il vaudrait mieux ressortir la guillotine.


    • GoldoBlack 19 février 13:45

      @SilentArrow
      "on constate que la colonisation par les pays occidentaux, malgré tous ses défauts, a quand même contribué à tirer les pays colonisés vers le haut, en créant des infrastructures, des écoles, des hôpitaux, des institutions moderne"
      La vache ! Fut manquer singulièrement de culture historique et politique pour dire des conneries pareilles !
      Faut être sacrément demeuré pour y acquiescer.
      C’était un pillage. Rien d’autre.

      Ces arguments ne servent qu’à dédouaner les colonisateurs de leurs responsabilités.


    • SilentArrow 19 février 13:51

      @GoldoBlack
       

      Ces arguments ne servent qu’à dédouaner les colonisateurs de leurs responsabilités...

      ...et à faire aboyer le bouledogue.

    • SilentArrow 19 février 13:57

      @Durand
       

      Je vous comprends mais ce sont nos propres dirigeants qui ont fomenté toutes les guerres qui ont fait d’eux des migrants

      À noter que la Suède qui n’a jamais colonisé de pays islamiques et qui jusqu’à récemment ne faisait même pas partie de l’OTAN s’est pourtant vue submergée de migrants absolument détestables.

    • Seth 19 février 14:58

      @placide21

      La Turquie fut laïque (l’est elle encore, je ne sais pas).


    • volèm rien 19 février 19:14

      @placide21
      bien sûr que la laicité est une religion, incriticable, intouchable, elle a son clergé, ses dogmes et tout le reste.


    • GoldoBlack 19 février 22:12

      @Seth
      C’est sûr que c’est pas facile de savoir... Ignare.


    • Durand Durand 20 février 10:08

      @SilentArrow

      « À noter que la Suède qui n’a jamais colonisé de pays islamiques et qui jusqu’à récemment ne faisait même pas partie de l’OTAN s’est pourtant vue submergée de migrants absolument détestables. »

      Je ne faisais pas référence aux guerres de colonisation mais aux guerres de Syrie et de Libye, notamment, ainsi qu’aux innombrables tentatives de renversement de pouvoir fomentées par l’Occident, que ce soit au proche-Orient ou dans toute l’Afrique.

      Je considère donc que s’en prendre aux migrants qui arrivent en masse en Europe, est une facilité qui émane davantage du racisme brut que du bon sens.

      ..


    • Durand Durand 20 février 10:10

      @silentArrow

      « À noter que la Suède qui n’a jamais colonisé de pays islamiques et qui jusqu’à récemment ne faisait même pas partie de l’OTAN s’est pourtant vue submergée de migrants absolument détestables. »

      Je ne faisais pas référence aux guerres de colonisation mais aux guerres de Syrie et de Libye, notamment, ainsi qu’aux innombrables tentatives de renversement de pouvoir fomentées par l’Occident, que ce soit au proche-Orient ou dans toute l’Afrique.

      Je considère donc que s’en prendre aux migrants qui arrivent en masse en Europe, est une facilité qui émane davantage du racisme brut que du bon sens.

      ..


    • SilentArrow 20 février 15:49

      @Durand
       

      Je ne faisais pas référence aux guerres de colonisation mais aux guerres de Syrie et de Libye, notamment, ainsi qu’aux innombrables tentatives de renversement de pouvoir fomentées par l’Occident, que ce soit au proche-Orient ou dans toute l’Afrique.

      Mais là aussi, la Suède était absente puisqu’elle n’était pas membre de l’OTAN à ce moment. Et pourtant, elle a été envahie par des nuées de sauterelles islamiques, ce qu’elle commence à regretter aujourd’hui.
       

      Je considère donc que s’en prendre aux migrants qui arrivent en masse en Europe, est une facilité qui émane davantage du racisme brut que du bon sens.

      Il ne s’agit pas de « s’en prendre aux migrants ». Il s’agit de ne pas les laisser faire chez vous ce qu’ils ne vous laisseraient pas faire chez eux.

    • Durand Durand 21 février 14:46

      @SilentArrow

      « Mais là aussi, la Suède était absente puisqu’elle n’était pas membre de l’OTAN à ce moment. Et pourtant, elle a été envahie par des nuées de sauterelles islamiques, ce qu’elle commence à regretter aujourd’hui. »

      1 – La Suède a ratifié le TUE (Lisbonne) et sont article 42 qui stipule que la politique de sécurité et de défense des états membres est « compatible avec le cadre du Traité de l’Atlantique Nord. ». Et donc, sans faire partie de l’OTAN elle est en est complice.

      2 – La politique migratoire de la Suède, comme celle des autres états membres, est gérée par Bruxelles et non-pas au niveau national.

      Jusqu’au frexit ou à l’explosion de l’UE, vous n’avez pas fini de chialer !

      ..


    • SilentArrow 21 février 15:45

      @Durand
       

      Jusqu’au frexit ou à l’explosion de l’UE, vous n’avez pas fini de chialer !

      Je ne chiale pas. Je vous observe au télescope depuis le fuseau horaire de Yakutsk.
      Et je vous donne raison sur ce point : vous devriez quitter l’UE au plus tôt.

    • Durand Durand 22 février 15:03

      @SilentArrow

      « vous devriez quitter l’UE au plus tôt. »

      Si c’est un conseil, c’est déjà prévu… Mais si c’est un pronostic, je reste !

      ..


  • colibri 18 février 19:36

     « En effet, certains jeunes gens abordent les femmes non voilées car d’après leur raisonnement celles-ci ne seraient pas sérieuses. Espérons qu’un jour, nous n’en arriverons pas à cette extrémité dans nos banlieues. »


    c’est déja fait ..vous avez du retard ..



    Je pense sincèrement que, contrairement aux anciennes déclarations de M. François Fillon, l’islam est compatible avec la République et que le bien vivre ensemble, quelles que soient les croyances des personnes est réellement possible.


    tout à fait , encore faut il que les personnes étrangères jouent le jeu et ne fasse pas de communautarisme 


    La balle est dans leur camp , les français sont accueillants , ce n’est effectivement pas l’Islam qui est la cause de ces dérives , l’Islam dans les textes étant une religion tolérante , « pas de contrainte en religion » , ce sont les imams qui interprètent mal les textes qui incitent aux dérives communautaires ..

    Un musulman peut donc suivre sa religion et prendre les us et coutumes du pays d’accueil , manger non halal , pas de voile ni robe africaine etc qui serve à montrer sa différence, son appartenance ethnique , pour provoquer ..car ils ne cherchent pas à se fondre mais à se démarquer ...


  • colibri 18 février 19:37

    suite :

    Dans le réel on voit donc exactement le contraire de ce que vous dites ,est qui est vrai sur l’Islam , et certains jouent le jeu , trop se sentent plus étrangers que français , ne cherchent pas à se fondre mais à provoquer et ne cachent guère leur haine de la France ..

    Qui sont ceux qui ont demandé la libération de Boualem Sansal ? on ne les entend pas ...


    Sans compter sur les délinquants et violeurs trop nombreux dans les prisons et dans la rue et qui génèrent un sentiment d’insécurité ...


  • jakem jakem 18 février 22:27

    L’islam est INcompatible avec la République française et tous les régimes politiques occidentaux.

    Les musulmans qui parviennent à s’intégrer et qui encouragent leurs enfants à s’assimiler ont renoncé à une partie de l’islam, ce que j’appelle le coranisme ou le fondamentalisme ou l’essentialisme.
    J’en connais quelques uns que je considère comme mes compatriotes sans aucune restriction. 
    Mais ils ne constituent pas la majorité. Ni en France ni ailleurs en Europe.

    L’islam insiste sur l’orthopraxie, l’exhibition de la pratique, qui permet un contrôle social.
    Comme le communisme.et le nazisme et le fascisme.

    L’islam interdit le questionnement du Coran ( à l’exception des idioties comme celle que j’ai vue récemment de la part d’un « savant » musulman qui explique qu’on a le droit de se brosser les dents pendant le ramadan si le dentifrice est hallal et si on n’avale pas d’eau  faut quand même être un sacré connard de savant pour parler ainsi et tout aussi con pour avaler ses dires  il-y-en a même qui demandent s’ils ont le droit d’avaler leur salive !) et sa remise en cause.

    L’islam consacre la femme comme inférieure à l’homme, et pas seulement dans des travaux de force ou la pratique de certains sports. Et dans ces cas nous ne parlons pas d’infériorité stigmatisante. 

    L’islam est une idéologie totalitaire, prosélyte et conquérante ; impérialiste.

    Je HAIS l’islam.


    • titi titi 19 février 13:23

      @jakem

      "à l’exception des idioties

      "
      Vous avez tort.
      Il y a une question qui agite le monde musulman, c’est le message que Mohamed a voulu faire passer en épousant Aïcha à 6-7 ans, mais en ne couchant avec elle qu’à 9-10 ans.

      Du coup est-il hallal de marier et de coucher avec une fille de 6-7 ans, ou faut il attendre 9-10 ans ?

      Cette question a agité le parlement Irkakien pendant presque un an.
      Et finalement l’âge légal de mariage des filles a été fixé à 9 ans.

      Ouf ! Une question vraiment épineuse a été répondue !


    • SilentArrow 19 février 14:03

      @titi
       

      Il y a une question qui agite le monde musulman, c’est le message que Mohamed a voulu faire passer en épousant Aïcha à 6-7 ans, mais en ne couchant avec elle qu’à 9-10 ans.

      Ce trouduc n’avait aucun message à faire passer.

    • Seth 19 février 15:01

      @titi

      Le mariage était possible mais on ne pouvait pas consommer avant qu’elles n’aient eu leurs ragngnas. Moment aussi où elles se voilaient.


    • Seth 19 février 15:02

      @Seth

      Mais il reste que ça fait effectivement un peu jeunette. Mais leur plus grand rôle était la reproduction.


    • jakem jakem 19 février 21:45

      @titi
      Merci pour cette info.
      Je ne pense pas à tout parce que l’islam m’agace et j’avais en tête cette idiotie.

      Mais ... discuter de l’âge hallal pour coucher, forcer une gamine, n’est pas une idiotie.

      C’est une ignominie !  Je vais m’en souvenir pour le cas où l’autre « savant » à barbe me répondrait.


  • SilentArrow 19 février 01:54

    @PHIMOR

    Vous décrivez l’islam tel qu’il devrait être, pas tel qu’il est. L’islam tel que vous le décrivez n’existe pas et n’a jamais existé nulle part dans le monde. L’islam a été conçu dès le début par les premiers califes comme un instrument de conquête impérialistes et de contrôle des populations.

    D’après votre littérature (les hadiths), Mahomet était un menteur, un assassin, un voleur, un violeur, un tortionnaire, bref, un véritable trou de balle. Et ce monstre est présenté aux mahométans comme l’exemple à suivre ! Pas étonnant que certains mahométans deviennent des terroristes et que les autres les approuvent, au minimum, par leur silence.

    Une religion, il est plus difficile d’y entrer que d’en sortir. Une secte, c’est le contraire. Pour devenir mahométan, il suffit de blatérer quelques charabias devant témoins, mais on est menacé de mort si on veut en sortir.

    Tant que cette menace de mort pèse sur les apostats, l’islam devrait être considéré comme une secte malfaisante, ses lieux de rassemblement rasés et ses prêcheurs expulsés de tous les pays civilisés.

    Le Soudanais Mahoud Mouhammad Taha a essayé de réformer l’islam en proposant de considérer tous les versets du Coran dits « médinois » comme valables uniquement pour l’époque de Mahomet et de les retirer. Ils l’ont pendu.

    Autre chose : vous prétendez que les religions monothéistes partagent le même dieu. C’est faux. Les juifs ont fabriqué leur dieu en s’inspirant de l’Égypte et de la Perse. Les chrétiens et les mahométans ont fabriqué le leur sur la base du dieu des juifs. Ces dieux sont trois objets imaginaires différents qui ont tout au plus quelques caractéristiques communes.

    Petit détail pour finir : en français, les noms de religions ne prennent pas de majuscule, et l’islam ne fait pas exception.


  • SilentArrow 19 février 03:28

    @PHIMOR

     

    Je pense sincèrement que, contrairement aux anciennes déclarations de M. François Fillon, l’islam est compatible avec la République et que le bien vivre ensemble, quelles que soient les croyances des personnes est réellement possible.

    Les mahométans ne vivent en paix avec les croyants d’autres religions que quand ces croyants acceptent la domination des mahométans, c’est à dire une sorte d’apartheid.

    Les mahométans, tant qu’ils ne dominent pas luttent pour le pouvoir. 

    Et quand ils peuvent persécuter impunément les autres religions, ils ne se privent pas. Les exemples abondent, partout, à toutes les époques.

    Cela fait 14 siècles que ça dure.

    Jusqu’à preuve du contraire, le vivre ensemble avec les mahométans est impossible. Le mieux qu’une société puisse faire, c’est se débarrasser de cette secte malfaisante, pas essayer de la civiliser.


  • Étirév 19 février 07:06

    DJihad ?
    Le mot « viril » sert actuellement à indiquer tout ce qui est masculin. Il exprime entre autres une idée de force, mais de force génératrice. Or, le mot « viril » ne signifie pas seulement « force », il signifie aussi « vertu », la vertu masculine, c’est-à-dire le contraire de la force génératrice, la continence. Mais cette signification du mot s’est altérée et on a confondu « vir » avec « vis », (force). Le mot « vertu » du latin « virtus » dérive du mot « vir » (homme), et forme le mot « virilité » qui indique le courage MORAL de l’homme. La base de la vertu, était pour l’homme, la résistance à son instinct ; il faisait acte de courage moral s’il résistait à l’entraînement sexuel ; pour cela il lui fallait mettre en jeu la volonté. De là, courage, volonté, vertu, étaient considérés comme des actions viriles, morales, parce que c’est chez l’homme seulement que les impulsions de l’instinct ont de fatales conséquences.
    Victor Hugo a dit très justement : « Ceux qui vivent ce sont ceux qui luttent. ».
    Cette « lutte » de l’homme contre les ennemis qu’il porte en lui-même, c’est-à-dire contre tous les éléments qui, en lui, sont contraires à l’ordre et à l’unité, se retrouve dans la conception islamique de la « grande guerre sainte » (El-jihâdul-akbar) qui, contrairement à la « petite guerre sainte » (El-jihâdul-açghar) d’ordre extérieur et social, est de nature purement intérieure et spirituelle. Notons que le mot « guérison » a la même racine que le mot « guerre », car la guérison peut s’entendre, d’une part, comme la lutte et la victoire sur le désordre corporel qu’est la maladie, et, d’autre part, comme la lutte et la victoire sur les tendances désordonnées et inférieures que l’homme porte en lui-même.
    « Ainsi devras-tu dégager de toi l’être immortel qui dort son calme sommeil et le tendre vers la clarté divine. Comme du ver naît le papillon, de l’homme rampant naîtra l’ange à l’esprit lumineux. Cherche en toi les mystères que tu veux connaître : l’homme possède en lui le miroir profond qui réfracte la Vérité. Mais, de même qu’un lac troublé agité par le vent reflète imparfaitement l’azur, l’âme agitée ou troublée par les passions ne peut refléter dans toute sa pureté la Vérité sacrée. Calme donc en toi les vains tourments de la vie, libère-toi des attaches d’en bas, et la révélation attendue t’apparaîtra éblouissante et claire. Que ton seul ennemi soit l’ennemi caché en toi, car c’est toi-même qu’il faut vaincre. » (M. Boué de Villiers, Les Chevaliers de la Table Ronde).
    Homme de la Terre, en vérité, nul n’est ton ami ni ton ennemi plus que toi-même !
    « L’homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux » rappelle Alphonse de Lamartine.
    Le sûtrâtmâ, ce « fil » qui selon les Hindous relie l’individu au Soi, ne saurait être en aucun cas rompu. En conséquence, l’individu, qu’il en soit conscient ou non, est toujours relié à son origine… ou à son « ange gardien ». Et la seule sanction envisageable ne peut être que l’« errance » pour ceux qui, en oubliant qui ils sont, se sont égarés dans une impasse.
    « Celui qui a été bien guidé l’a été uniquement vers lui-même, et celui qui s’est égaré, s’est égaré uniquement loin de lui ». (Coran XVII. 17)
    À PROPOS DE L’ISLAMISME
    C’est au milieu des luttes que l’Église catholique soutenait contre les premiers Chrétiens féministes, qui gardaient fidèlement le culte de la Déesse, que retentit un cri de révolte d’un autre genre contre l’ancienne Théogonie : « Dieu seul est Dieu, et Mohammed est son Prophète. »
    Il n’est plus question de savoir de quel Dieu il s’agit, il n’y en a plus qu’un : c’est Dieu ; impossible d’être plus simple, et c’est avec ce cri et ce drapeau qu’une horde de cavaliers arabes va envahir l’empire d’Orient et celui des Perses, en guerre depuis 30 ans.
    L’an 630, Mohammed tombe comme une avalanche sur le territoire sacré de la Mecque, avec une armée de 10.000 hommes. La ville, incapable de résister, se rend, et Mohammed fait purifier la Kaabah (le sanctuaire) et détruire les images des anciennes Divinités pour anéantir le culte antérieur.
    « La Vérité est venue, dit-il, que le mensonge disparaisse. »
    Rappelons que dans des temps reculés, lorsque les émigrées de l’Inde se répandirent dans toute l’Asie, elles firent un séjour dans la partie de l’Arabie qui touche au Golfe Persique et y laissèrent des souvenirs dont l’histoire a gardé la tradition. Aussi, la Mecque (longtemps avant l’Islamisme) fut une de leurs stations. On y trouve la « Maison sacrée », la Kaabah, « Maison de Dieu », dira-t-on, quand on mettra le nom divin au masculin. Sur les collines voisines de la Kaabah se trouvait l’habitation des Déesses Icâf et Nayila.
    Remarquons au passage que le nom « Kobe » de la ville du Japon, signifie également « Maison de Dieu » (voir le « Dictionnaire étymologique des noms géographiques » de A. Cherpillod).
    C’est dans la Kaabah qu’avaient lieu les réunions secrètes des femmes, c’est là qu’elles célébraient leurs « Mystères ». Primitivement on disait Qoubbah, mot qui signifiait, dit le Coran, lieu d’Abraham. Une fois par an, les femmes y recevaient les hommes pour la fécondation annuelle qui avait lieu au printemps : d’où la Pâque, fête de l’œuf. Cet endroit fut donc consacré par le pèlerinage annuel qui réunissait les hommes et les femmes, dans un temps où la lutte des sexes avait créé le divorce social, les hommes vivant entre eux, les femmes entre elles. Cette fête de Pâque était accompagnée de cérémonies religieuses et d’un enseignement. Les Déesses profitaient du pèlerinage qui attirait les hommes pour leur expliquer les lois de la Nature que, dans d’autres occasions, ils ne voulaient pas écouter. C’est ainsi qu’on institua le Tawaf, ou les 7 tournées autour de la Kaabah, qui étaient destinées à faire connaître aux hommes les lois cosmiques résumées dans l’histoire des 7 corps actifs qui génèrent les couleurs des soleils. C’est le septénaire, représenté chez les Hébreux par les Elohim.
    C’est de cette cérémonie qu’est resté l’usage des processions autour des églises.
    La simple visite au lieu saint, qui pouvait se faire à toute époque de l’année, s’appelait « Omra » ou « Hadjdj al-Asghar » (« petit pèlerinage »). Pour se préparer aux cérémonies du Hadjdj et de l’Omra, on s’imposait certaines abstinences et on se mettait en état d’« ihrâm » (sanctification). C’est l’origine du carême. Les hommes se purifiaient (bain), se faisaient couper les ongles, la barbe et les cheveux avant de paraître devant les femmes. C’était l’occasion d’une grande féria, aux environs du sanctuaire. Des marchands venaient y apporter toutes sortes d’objets, et c’est là que les hommes achetaient des cadeaux qu’ils offraient aux femmes. C’est de là qu’est resté l’usage des foires annuelles.
    Un grand nombre d’images de femmes se trouvaient dans la Kaabah ; on prétend qu’on y voyait aussi celle d’Abraham et celle de Jésus.
    Ce triomphe à la Mecque amena à Mohammed/Mahomet la plupart des hommes (Mahomet n’est que la déformation du nom Mohammed). Toutes les tribus de l’Arabie se soumirent à sa doctrine qui se résume en cette phrase fameuse : « Dieu seul est Dieu, et Mohammed est son Prophète. »
    Les Arabes imposèrent par la force leur religion aux polythéistes, leurs ennemis naturels, puisqu’ils représentaient encore, dans l’opinion du monde, le symbolisme de la Nature et le culte de la Femme laissé à côté de celui de l’homme. Mais ils furent plus doux envers ceux qui avaient déjà masculinisé la religion. Les Juifs renégats et les Catholiques pouvaient, moyennant un impôt personnel, continuer librement l’exercice de leur culte.
    LA DIVINITÉ PRIMITIVE EN ARABIE
    La Femme-Esprit, chez les anciens Arabes, c’est l’Almée, en arabe « Almet », d’Alam (savoir).
    L’Almée, c’est « celle qui sait ». Elle représente l’âme, c’est-à-dire la vie, que l’on appellera plus tard Alma, et dans certaines langues l’homme parlera encore à la femme en l’appelant Alma mia, « mon Âme ».
    Nous trouvons aussi la Femme appelée « Almageste » (la très grande), mot dérivé du premier et dont on fera en grec « Mégistê » au féminin et « mégistos » au masculin, superlatif de Mégas (grand). Inutile de faire remarquer que c’est de ce mot qu’on fera « Majesté ».
    LES FEMMES EN ARABIE APRÈS L’ISLAMISME
    Les évolutions sociales sont lentes et les changements progressifs. Aussi, après l’Islamisme, bien que le Coran ait inscrit l’avilissement de la femme dans ses lois, les mœurs ne l’avaient pas encore accepté. Les femmes continuèrent encore à briller pendant quelque temps. L’époque des califes qui succèdent à Mohammed est particulièrement brillante par les femmes de valeur qui s’y distinguent. Zubeïdah, la propre femme du calife Haroun Al-Rachid, exprimait, dans des poésies délicieuses, l’amour et la douleur. C’était une étoile de première grandeur qui brillait dans le monde des lettres. On vit également d’autres femmes de califes provoquer une renaissance de la science. Une d’elles, Chodah, s’y fit surtout remarquer. Sa vie austère, livrée à l’étude, contrastait avec celle des autres femmes de son temps, si occupées des soins corporels que réclamait l’entretien de leur beauté. Avec elle devaient s’éteindre les derniers élans de l’esprit féminin en Arabie.
    Lien


  • roby roby 19 février 12:15

    Merci de bien vouloir m’indiquer :

    Pourquoi mes votes ne sont pas pris en considération ?

    Merci, selon la réponse je verrais si je reste sur Avox ou pas , d’après ce que je vois votre site est en baisse de fréquentation, faudrait peut-être voir a corriger certains problèmes, Merci


  • christophe nicolas christophe nicolas 19 février 13:07

    Vous faites toujours la même erreur, celle de l’arianisme qui consiste à parler de Dieu sans le citer fidèlement donc le mieux est de l’écouter se présenter par lui même à l’époque la plus proche de nous parce que l’humanité a progressé et que les problématique d’hier ne sont plus forcément celles d’aujourd’hui :

    Dieu n’a pas de corps, lui dit-Il : Il est lumière... Notre Trinité est lumière. Une lumière illimitée. Source d’elle-même, vivant d’elle-même, opérant en elle-même. L’univers n’est pas aussi grand qu’Elle est infinie. Son essence remplit les Cieux, glisse sur la création, domine les antres infernaux. Elle n’y pénètre pas - ce serait la fin de l’Enfer - mais les écrase. Son rutilement est béatifique au Ciel, consolateur sur la Terre, terrifiant en Enfer. Tout est triple en Nous. Les formes, les effets, les pouvoirs...

    https://fr.mariavaltorta.wiki/wiki/La_sainte_Trinit%C3%A9

    Après, lorsqu’on ne comprend pas tout, c’est comme pour tout, il faut un minimum de travail personnel.


  • ricoxy ricoxy 21 février 22:05

     

    « Mohammed [...] réputé analphabète ». Jeune, il vendait des chameaux ; il savait au moins compter.

     

    « les chrétiens ne croient pas en trois dieux, mais en un dieu unique en trois personnes (le Père, le Fils et le Saint Esprit) », soit la trilogie traditionnelle : corps, âme, esprit.

     

    « Tout comme la religion catholique, l’Islam est la religion de la paix ». C’est curieux, mais en lisant le coran, j’ai relevé pas moins d’une cinquantaine de versets prônant le meurtre : si tu rencontrtes un Juif, tue-le ; si tu rencontres un chrétien, tue-le ; si tu rencontres un mécréant, tue-le. Une religion de pais ou d’épée ?

     


    • PHIMOR PHIMOR 22 février 22:15

      @ricoxy
      Bonsoir, Pour prouver la véracité de vos propos, ayez tout du moins l’intelligence de citer vos sources, en indiquant les sourates et versets auxquels vous vous référez ... sinon, permettez-moi de douter de l’énumération des meurtres qui sont, d’après vous, encouragés et que vous auriez soit disant « relevé » dans les versets du Coran !! 


    • ricoxy ricoxy 23 février 12:14

       
      @PHIMOR

      « en indiquant les sourates et versets auxquels vous vous référez »
       
      En veux-tu, en voilà :
       
      Sourate II, verset 54
      Sourate II, verset 191
      Sourate IV, verset 89
      Sourate IV, verset 91
      Sourate V, verset 33
      Sourate V, verset 191
      Sourate IX, verset 5 (dit « Verset de l’Épée »)
      Sourate XI, verset 37
      Sourate XII, verset 5
      Sourate XVII, verset 33
      Sourate LI, verset 10
       
      etc. etc. etc.


    • PHIMOR PHIMOR 25 février 22:45

      @ricoxy

      Bonjour ricoxy,


      Je ne peux que constater que si vous avez lu le Coran, vous n’avez lu les phrases que partiellement. Par exemple, si parfois il est écrit « tu tueras ….. », je vous conseille, à présent, de lire la sourate jusqu’au bout. En effet, contrairement à vos propos « L’Islam n’autorise le Jihad par les armes qu’en cas d’extrême nécessité, en cas de légitime défense lorsque les musulmans sont attaqués par leurs ennemis et que toutes les voies pacifiques échouent. L‘Islam accorde une place considérable à la sacralité de la vie. Les Versets coraniques sont sans équivoque quant au bannissement de tout acte qui attente à la vie des innocents :


      “…quiconque tuerait une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. ”
      Sourate 5 (Al Mâidah), v. 32. ».


      Ce texte est proche de celui de la Bible qui dit, dans le sixième commandement de Moïse : (Exode 20.13) : “Tu ne tueras point”. Mais on lira dans le même livre de l’exode (Exode 23:7 ) : “Tu ne prononceras point de sentence inique, et
      tu ne feras point mourir l’innocent et le juste ; car je n’absoudrai point le coupable”.


      Vous tenez des propos à charge et non à décharge, pour preuve, vous n’indiquez pas dans votre liste la sourate 5 – verset 32 « Al Mâidah » précitée, dont je vous donne plusieurs traductions, il est déjà mentionné que dés cette époque cette sourate n’était pas respectée et que de nombreuses personnes se disant musulmans transgressaient les règles de respect de la vie humaine :

      5  : 32 - C’est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d’Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur la terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c’est comme s’il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu’en dépit de cela, beaucoup d’entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre.


      Je ne vais pas vous répondre sourate par sourate car je ne peux que constater que, comme je vous l’ai déjà dit plus haut, si vous avez lu le Coran, vous n’allez pas jusqu’au bout des phrases que vous lisez. La preuve, c’est que vous ne vous arrêtez que sur le verbe «  tuer ». Pour exemple, dans la première sourate que vous citez :


      Sourate 2 – verset 54 - Traduction du verset  :
      2  : 54 - Rappelez-vous que Moïse dit à son peuple : « Ô mon peuple, vous avez fait du tort à vos âmes en adorant le veau. Vous devez vous repentir auprès de votre Créateur.
      Vous tuerez vos égos. Ceci est meilleur pour vous au regard de votre Créateur. » Il vous a rachetés. Il est le Rédempteur, le Plus Miséricordieux.


      Un petit conseil, en passant, enrichissez votre vocabulaire ! Dans cette sourate, il est indiqué « vous tuerez vos égos ». Sachez que l’égo n’est pas un être vivant, c’est la conscience et la représentation que vous avez de vous-même en tant que personne. C’est le « moi ». En islam, l’égo porte le nom arabe de nafs. Il en est un des concepts principaux pour désigner le courant de la pensée. C’est pourquoi, le djihad nafs (que l’on peut considérer comme le combat contre soi-même, contre son égo) correspond à un état indispensable et incontournable dans la vie d’un véritable croyant.




    • PHIMOR PHIMOR 25 février 22:46

      @ricoxy

      Suite de ma réponse :

      Dans la seconde sourate que vous mentionnez :


      Sourate II, verset 191 - Traduction du verset  :
      2  : 191 -
      Et tuez-les où que vous les trouviez, et expulsez-les d’où il vous ont expulsé. Car l’oppression est pire que le meurtre. Et jamais vous les combattrez aux abords de la mosquée Sacrée, à moins qu’ ils vous combattent en elle. Alors si ils vous combattent, combattez-les donc. Telle est la juste rétribution des mécréants. :


      «  Non seulement il faut replacer le contexte de combats de religion de l’époque au cours duquel cette phrase a été écrite, mais en plus, il s’agit là de légitime défense …. »


      Par ailleurs, pour en revenir à l’histoire de notre pays, la France, ce n’est pas parce qu’il y eu des massacres au nom des religions catholique et protestante en 1572 (entre 10000 et 30000 tués - 3000 tués à Paris dans la nuit du 23/8 au 24/8), qu’il faut continuer à penser et agir comme par le passé. Ce contexte est révolu et nous vivons dans un pays qui facilite le vivre ensemble grâce à la laïcité. Nous avons le droit de croire ou de ne pas croire, de pratiquer la religion de notre choix ou de ne pratiquer aucune religion, tout en respectant toutes les croyances … et les non-croyants ! Les événements que nous vivons depuis de trop nombreuses années et jusqu’à aujourd’hui n’ont rien à voir avec les fous manipulés qui se transforment en assassins (d’ailleurs, le dernier assassin malade à Mulhouse suivait un traitement psychiatrique) et qui sont considérés par les médias comme des djihadiste parce qu’au moment de leurs actes ignobles ils ont prononcé la phrase « Allah akbar !  ». A présent, les croyants ont le droit de dire « Dieu est grand !  », mais surtout pas « Allah akbar ! », alors que la signification est la même.


  • ricoxy ricoxy 21 février 22:27

     

    «  l’islam réprouve tout fétichisme matériel ». Qu’en est-il de la kaaba (monument de La Mesque à un angle duquel est enchâssée une pierre prétendument apportée par l’archange Gabriel ?) C’est de la litholêtrie.

     


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