La victoire du diable
Le titre peut surprendre si l’on ne connaît pas bien ce qu’est le diable. C’est celui qui divise, qui rompt les harmonies, toujours par ruse. Il s’en délecte et récompense ceux qui y contribuent avant de les laisser croupir dans leur malheur.
Prenons l’exemple d’un restaurant qui veut servir un maximum de gens au prix le plus bas et qui s’organise pour cela. Il est donc attractif, efficace et prospère. Le diable va à la fois flatter ce restaurant pour sa réussite, son dynamisme et son altruisme, tout en donnant au contenu des poubelles, l’apparence de victuailles fraiches et en les mélangeant à ce qui arrive du marché. Jour après jour, sans que personne ne s’en aperçoive, il ajoutera aux achats du jour, le contenu des poubelles du quartier sans que personne n’en prenne conscience tellement l’illusion diabolique est parfaite. Chacun peut imaginer, sans même les détailler, les conséquences multiples et désastreuses pour le propriétaire, le gérant, le personnel de cuisine, celui en salle, les fournisseurs et les clients. Mensonges, disputes, certitudes, accusations, justifications, incompréhension, rancœur, voire haine, puis dans la foulée, obligations, interdictions, normes, contrôles, plaintes et enfin idéologies diverses et variées pour essayer de rassembler et d’unir tout le monde à nouveau. Bien évidemment rien ne marche et rien ne peut marcher puisque la cause n’est non seulement pas affrontée mais elle n’est même pas remarquée. Pendant que le diable rit, chacun ne se focalise que sur l’une quelconque des innombrables conséquences, en louchant dessus et en y perdant son énergie, son temps et ceux des autres.
Chacun aura reconnu la société occidentale actuelle qui ne survit que par une accumulation permanente de nouvelles interdictions, de nouvelles obligations, de nouvelles normes et de nouvelles gens qui créent et vérifient l’emprisonnement du peuple au nom de la liberté et son renoncement à lui-même au nom de l’égalité et de la fraternité.
Mais qu’a donc fait le diable pour réussir cette horreur présentée comme le progrès avec interdiction de regarder en arrière sous peine d’être traité publiquement de « rance » de « ringard » ou d’« extrême droite » ? Il lui a fallu additionner le bon et le mauvais mais « en même temps » convaincre tout le monde que tout était bon. Ce travail a été confié à l’INSEE qui, le 28 janvier 2021, a continué à écrire que le PIB mesurait « la richesse créée par tous les agents, privés et publics » tout en reconnaissant enfin qu’il est calculé par « la somme de toutes les dépenses finales » qu’elles soient de consommation ou d’investissement. La valeur ajoutée d’une entreprise n’est que la dépense du client amputée de la dépense de l’entreprise. Il est vrai que la dépense chiffrait autrefois la richesse lorsque la monnaie était en or. Le possesseur d’une pièce d’or avait avec cette pièce, une sorte de créance sur n’importe qui, l’or étant une richesse universellement reconnue et donc universellement désirée.
Mais qui a remarqué que tout a changé depuis que l’on a inventé le prêt sur richesse future alors que l’humanité n’avait connu que le prêt sur gage, sur richesse antérieurement reconnue et déposée en garantie ? Le prêt sur gage n’était qu’un échange, le prêt sur richesse future est une création de fausse monnaie légale émise par la banque dans le but d’être détruite une fois remboursée et les intérêts empochés. Le diable récompense par les intérêts en vraie monnaie, le faux monnayeur, malheureusement légal, qui prête sa fausse-monnaie avant de la détruire. C’est la monnaie-dette inventée au XXe siècle qui, pendant son existence, fausse absolument tout. Et dès qu’elle est détruite, on en crée une nouvelle plus importante. La monnaie reste pour tout un chacun une créance comme l’est le salaire ou la pièce d’or qui véhiculent l’énergie qu’il a fallu dépenser pour les obtenir. Mais vient se rajouter la monnaie-dette apparemment identique mais qui est son exact contraire puisque c’est une dette vis-à-vis de la banque. Personne ne peut distinguer les deux monnaies et nous continuons à croire que la monnaie est une créance, une sorte de pièce d’or et que nous sommes donc riches. Nous transformons des productions en richesses en les achetant avec une fausse monnaie que les banques jurent détruire dès qu’elles l’auront récupérée. Le génie du diable avec la ruse et la discrétion qui le caractérisent, est de nous avoir fait additionner dans le PIB les dépenses faites avec de la bonne monnaie créance et les dépenses faites avec de la fausse monnaie dette. Nous additionnons dans le PIB de moins en moins de créances et de plus en plus de dettes et nous continuons à appeler le tout un chiffrage de création de richesse dans laquelle nous croyons pouvoir puiser. Nous consommons aujourd’hui l’énergie humaine de demain sans même nous rendre compte des conséquences dramatiques inéluctables. Nous sommes très fiers de notre restaurant qui achète de moins en moins de produits frais tellement il collectionne inconsciemment les poubelles du quartier. Comment ne pas admirer la puissance du diable, ne pas regretter la faiblesse de nos esprits et ne pas pleurer sur les innombrables conséquences en tous domaines de notre aveuglement collectif qui nous met heureusement tout de même très mal à l’aise ?
Pour réussir ce coup magistral gagnant, le diable a réussi à nous subjuguer par une communication uniforme et mondiale, tout en nous faisant négliger la réflexion et l’action. On attribue à Goebbels parce qu’elle est diaboliquement vraie, la phrase « un mensonge mille fois répétés devient une vérité ». Les médias appliquent à la lettre cette maxime et, l’action et la réflexion étant noyées dans la communication, les peuples ne réagissent pas, ou plus … ou pas encore espérons-le.
C’est dans l’espoir d’une réaction bienvenue, qu’il faut combattre les deux mythes bien établis du développement et de la création de richesse, rassemblés dans la croissance économique, corne d’abondance inexistante mais prétendument nourricière. Tous les problèmes pourront enfin être affrontés une fois sortis de notre faux nirvana, et ce sera au peuple, une fois correctement informé, qu’il appartiendra de supprimer la fausse monnaie en ne la faisant rembourser, quand elle est en circulation, qu’à la collectivité qui se chargera de la détruire. Le peuple fera les choix difficiles de ce que nous ne paierons plus par arrêt de la création de fausse monnaie.
Pour faire réfléchir sur le développement, il suffit de rappeler que la racine latine du développement est d’enlever le voile et qu’enlever le voile en grec se dit apocalypse. Le développement est depuis toujours l’apocalypse. Le développement est mis dans le camp du bien et l’apocalypse dans le camp du mal alors que c’est la même chose. C’est comme distinguer et discriminer, ou fact-checking et négationnisme. Ce sont les nouveaux prêtres des médias qui décident si c’est bien ou mal en choisissant leur vocabulaire. Le peuple n’a le droit que de réagir émotivement et doit renoncer à réfléchir.
Pour la création de richesse, il faut se souvenir que seul Dieu crée, les hommes ne savent que produire, c’est-à-dire transformer. La production est le fruit de la Terre et du travail des hommes. Pour être vue comme une richesse, la production doit être achetée donc échangée contre de l’argent. La création bancaire de fausse monnaie légale donne l’illusion d’une création de richesse alors qu’elle n’est que création de dette.
Le plus grave et ce qui est le plus diabolique est l’utilisation de cette corne d’abondance inexistante pour tout éluder et ne pas affronter les problèmes fondamentaux de la vie qui sont la mort et la perpétuation de l’espèce par l’organisation sociale. Payer avec de la fausse monnaie pour croire à son efficacité, se donner bonne conscience et ne rien affronter, devient malheureusement notre mode de vie.
Le diable a-t-il définitivement gagné ? Tant que nous ne réagissons pas, oui.
La prise de conscience, totalement refoulée actuellement, que le PIB ne chiffre pas une valeur ajoutée comme cela est seriné partout, mais seulement une valeur échangée avec le client sans aucun ajout objectif de valeur, permettra enfin d’affronter les problèmes avec une chance de les résoudre. Ils sont en effet aujourd’hui tous totalement occultés et mis sous le tapis par la fausse monnaie qui tombe si facilement pour certains de la corne d’abondance.
L’arrêt de cette corne d’abondance, seule façon de vaincre le diable, arrêterait d’un coup la fausse monnaie légale bancaire, les subventions qui ne sont qu’achat d’électeurs, les minima sociaux sans contrepartie, les budgets déficitaires, les surestimations immobilières et la caste surpayée des hauts fonctionnaires, aristocratie actuelle, inutile et décadente. La vie redeviendrait échange. Mais, mis en face de notre réalité, nous aurions à nouveau besoin d’une spiritualité collective et du respect de la constitution qui dit que le travail est certes un devoir mais aussi un droit, ce qui est complètement oublié. Des ateliers nationaux devraient en même temps être recréés pour que toute personne désirant s’intégrer, trouve dans la journée un travail rémunéré. La priorité en tous domaines aux nationaux serait aussi une évidence retrouvée qui intégrerait les immigrés intégrables et constaterait simplement le départ des autres. Cela nous ferait évidemment sortir de tous les machins internationaux couteux, inutiles et corrompus par la corne d’abondance. Nous retrouverions une monnaie liée à l’or. Sans tout cela, l’arrêt de la corne d’abondance ne serait qu’un remplacement de cauchemar par un autre cauchemar. En revanche, La France pourrait redevenir, de par sa culture et en sauvant notre civilisation, un phare pour les innombrables cherchants des BRICS et une défaite cinglante du diable qui n’aurait plus comme alliés que les restes politiques actuels qu’il pourrait toujours refiler aux restaurants voisins. Ces restes ont d’ailleurs déjà pris l’apparence d’une marchandise fraiche.
48 réactions
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Clocel
2 octobre 09:15
Alcool un peu fort pour des laïcards aux petits pieds...
Allez, pour les gourmets.
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hamia
2 octobre 10:23
Les ruses du diable sont innombrables ; la plus pernicieuse est l’usure bancaire ,source de tous les malheurs et misères ,pourtant interdite ,par Dieu ,dans toutes Ses Révélations ,surtout dans le Coran :
- Verset 130 de la Sourate 3, Al-Imran : « Ô les croyants ! Ne pratiquez pas l’usure en multipliant démesurément votre capital. »
- Les versets 278 et 279 de la Sourate 2, Al-Baqarah : (V-278) « Ô les croyants, craignez Allah ; et renoncez au reliquat de l’intérêt usuraire, si vous êtes croyants. (V-279) Et si vous ne le faites pas, alors vous recevrez l’annonce d’une guerre de la part d’Allah et de son prophète. Et si vous vous repentez, vous aurez vos capitaux. Vous ne lèserez personne, et vous ne serez point lésés. »
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
2 octobre 10:28
@hamia s’il n’y avait pas une dette colossale en Belgique (105 pourcent, en réalité 135, mais chuuut), liée surtout au paiement des pensions, des allocations familiales (cumulées dans certaines familles...), bref, ce que l’on appelle L’ETAT PROVIDENCE (qui en fait n’en a jamais été un puisque l’argent doit bien venir de quelque part..), il n’y aurait pas d’usure. Qui paie ses dettes, s’enrichit.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
2 octobre 10:37
@hamia chez les musulmans, la notion de dette ou de karma, n’existe pas. Au paradis (pare-radis), les dettes sont effacées et les hommes y rencontrent de superbes vierges. Chez les juifs, au contraire, qui eux ne croient pas au paradis (trop réalistes) pensent au contraire que c’est sur terre que leur conduite doit être vertueuse (certes peu appliquent ce principe..bon soi !) et qu’il doivent atteindre leur paradis sur terre.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
2 octobre 10:44
@hamia c’est bien un JUIF : FREUD, qui démontra que nous ne sommes pas libres et portons la dette de nos ancêtres. Le karma est aussi propre à l’hindouisme.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
2 octobre 11:02
@hamia
Sous-entendu, les juifs pratiquent l’usure. »... Le juifs, tous des usuriers. Pourtant si on a bien lu la BIBLE : Moïse cassa les Tables de la LOI, parce que son peuple adorait le dieu : ARGENT. -
Lynwec
2 octobre 14:04
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Faux, faux et archi-faux .
Les dettes « colossales » ont été créées de toutes pièces il y a une bonne soixantaine d’années quand les pratiquants millénaires de l’usure ont pris le contrôle des états en y installant leurs marionnettes, prétendument élues, et prétendument au service de la nation, mais surtout affairées à légiférer contre nous...
C’est bien pour cette raison que tous les (rares) candidats qui se sont déclarés pour une réforme des relations de l’état avec l’argent et les banques ont été chaque fois blacklistés et mis à l’écart pour les financements de campagne...
Quand on prend le temps d’observer les actions et décisions des dites marionnettes (juste un retour de deux ans en arrière en donne une illustration éblouissante), on ne peut que constater que tout, absolument tout, a été fait pour entretenir et aggraver la Dette . Celle-ci est donc absolument indue, puisque résultant d’une escroquerie en bande organisée .
Ceci invalide votre conclusion qui n’avait de valeur que dans le cadre d’une dette volontairement contractée, mais ça, c’était avant...car aucun Français ne s’est vu demander son avis quand la réforme-escroquerie de janvier 1973 (début du vol organisé) a été mise en place...
C’est probablement la même démarche qui a eu lieu en Belgique .
« Donnez-moi le contrôle de la monnaie et je n’aurai plus à me soucier de qui dirige le pays.... » (un usurier parmi d’autres...) -
SilentArrow
2 octobre 16:06
@hamia
La finance islamique pratique ele aussi l’usure sous une forme particulièrement hypocrite : l’argent qu’elle prélève au client ne s’appelle pas intérêt, mais il est prélevé quand même.Les ruses du diable sont innombrables ; la plus pernicieuse est l’usure bancaire
Bandes de faux-culs halal. -
Pascal L
3 octobre 14:36
@hamia
Les « frais bancaires » pratiquées par la finance islamique peuvent être plus élevés encore que les intérêts. C’est de l’hypocrisie pure.
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bouffon(s) du roi
2 octobre 10:29
En parlant du diable :
Le Lucis Trust bénéficie du statut consultatif auprès du Conseil Economique et Social des Nations Unies (ECOSOC), et la Bonne Volonté Mondiale (World Goodwill) est reconnue par le Département de l’Information Publique auprès des Nations Unies, en tant qu’ONG, Organisation Non Gouvernementale.
En tant que telles, le Trust et la Bonne Volonté Mondiale font partie d’une communauté de plusieurs centaines d’ONG qui jouent un rôle actif aux Nations Unies, en particulier pour informer sur cette Organisation et en promouvoir les programmes.
Depuis leur création, le Lucis Trust et la Bonne Volonté Mondiale apportent leur soutien grâce à la méditation, la diffusion de documents pédagogiques et l’organisation de séminaires, en mettant en valeur l’importance des objectifs des Nations Unies et de leurs activités, car ceux-ci représentent la voix des peuples et des nations du monde.
et avec un « plan divin » forcément ^^ :
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
2 octobre 10:49
Cela dit. Freud eut besoin de la fausse monnaie fabriquée par Bernays (son neveu) pour élever son bébé : la psychanalyse..
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eau-mission
2 octobre 11:00
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Et si Freud avait fabriqué Bernays pour nourrir son bébé ? Et une pseudo-fée pour tuer mon désir ?
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eau-mission
2 octobre 11:11
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
AVez-vous répondu à LLS ? Il faut pas : dans sa question, il ne précise pas dit qui masturbe qui.
Sinon, vous parlez du post coïtum de Madame ou de Monsieur ?
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Lynwec
2 octobre 14:06
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Dans ce cas, c’est qu’un des deux n’a pas été à la hauteur...
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Gollum
2 octobre 17:24
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Post coïtum animal triste
Avec vous, oui j’imagine volontiers... Beurk.. et même pendant d’ailleurs..
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eau-mission
2 octobre 10:58
Il y a le migrant économique qui vient avec toute sa famille pour vivre des allocations sans rien faire.
Il y a le migrant économique qui vient seul et fait au noir le boulot qu’on ne peut pas délocaliser. Ce brave type est doublement couillon : il accepte d’’être exploité, et la monnaie qu’il envoie au pays permet de nourrir les exploité de là bas.
Et il y a le forumer de base qui nourrit l’Algorithme imbaisable.
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Florian LeBaroudeur
2 octobre 12:57
L’arrêt de cette corne d’abondance, seule façon de vaincre le diable.
Donc se défaire de l’effet de groupe.
Donc se défaire des plaisirs de ce monde et vivre de l’essentiel.
Ce que 92% des plus de 18 ans n’ont pas eu le cran de faire pour ne pas endurer l’épreuve de la privation désagréable des tentations.
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lephénix
2 octobre 14:13
juste un rappel : la planète ou la nature ne « produisent » pas : elles donnent ce que d’autres « s’emploient » à monétiser.en créant le mirage d’une corne d’abondance — une fumeuse et funeste ’économie" d’écrans de fumée informatiques...
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Bendidon ... Wind Pilgrimer
2 octobre 15:04
Très belle IMAGE comme dab mais cette fois celle ci serait plus appropriée et plus prégnante
Vade retro SATANA
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leypanou
2 octobre 15:12
@Bendidon ... Wind Pilgrimer
salut.
Je viens de lire un article sur le sujet que tu aimes bien sur SOTN (S.D Wells), c’est rigolo.
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Jean Keim
2 octobre 17:21
Allons ! encore un petit effort : le diable trouve son origine dans nos modes de penser, voilà c’est dit et finalement c’est facile à voir, il ne reste plus qu’à percevoir quelles en sont les conséquences dans nos rapports avec notamment les autres, et comment probablement nous risquons de nous comporter face à un événement singulier comme l’altérité.
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titi
3 octobre 00:12
@L’auteur
« mais seulement une valeur échangée avec le client sans aucun ajout objectif de valeur »
Personne, aucun client, n’échange sa monnaie contre quelque chose qu’il juge sans valeur.
Ce qui a changé depuis le 19è, même si j’ai bien compris que la plupart des intervenants sur AV ont bien du mal à dépasser cette époque, c’est qu’aujourd’hui la richesse en se mesure plus en tonne de fonte sortie des hauts fourneaux.
Vous faites fabriquer une paire de chaussure au Vietnam, prix de revient 8 euros.
Vous lui ajouter le logo Nike ou Adidas, et le client est prêt à échanger 150 euros de sa monnaie pour obtenir cette paire de chaussure.
Vous ne lui ajouter aucun logo, et le client n’en veut pas.
Cette paire vaut le montant qu’un blaireau est prêt à mettre dedans pour avoir le logo Nike ou Adidas. Et ça n’a rien à voir avec la quantité de matière première qui a servi à sa fabrication, ou la peine de l’ouvrier.
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Marc Dugois
3 octobre 06:36
@titi
La richesse n’a jamais été qu’un regard et un regard changeant. Le dessin d’un enfant est richesse pour ses parents. Les oeuvres d’art sont richesse du moment et souvent déchet un peu plus tard, pouvant éventuellemnt redevenir richesse, les regards sont si changeant ! Le seul intérêt de l’or est que le regard porté sur lui n’est pas changeant.
La vie n’est qu’échange avec des regards qui évoluent. Vouloir faire de la mathématique avec tout cela est d’une stupidité déconcertante.
Le prix n’est que la coïncidence de deux regards sur la même chose en un lieu et un temps donnés.
La fausse monnaie, légale fausse tous les regards et interdit à l’intelligence de s’installer. Le désintérêt de la plupart des commentaires en est l’illustration. Le diable ne s’arrête pas de gagner.
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Jean Keim
3 octobre 08:39
@Marc Dugois
Votre commentaire est intéressant, comme l’article d’ailleurs.
L’escroquerie de la fausse monnaie appelée également argent-dette a façonné un nouveau mode ce penser, mais sans que nous nous en apercevions, quand je tente de montrer à des connaissances, ceci en fonction de ce que je crois avoir compris, que l’emprunt est une arnaque et en expliquant ses mécanismes, à chaque fois je suis étonné du manque de réaction, les gens devraient, même si ce ne sera qu’un feu de paille, être scandalisés, mais que nenni le monde est très bien comme il est, il permet de consommer quitte à être étranglé par une dette dont le remboursement devient impossible, en conséquence mes biens tangibles seront saisis en lieu et place d’un prêt accordé avec intérêts en fausse monnaie.
Les désastres engendrés par l’emprunt ne concernent pas que les particuliers mais impactent également l’économie, les États (la dette souveraine) qui ne peuvent qu’être complices, en fait toutes les couches de là sociétés.
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Marc Dugois
3 octobre 12:40
u@Jean Keim
L’apathie générale, nourrie par les faux sujets pandémique, climatique, guerrier, migratoire ou religieux, est en effet presque désespérante car tous ces sujets ne sont des problèmes qu’à cause de la croyance en une corne d’abondance inexistante qui attire d’abord pour décevoir ensuite en rendant envieux.
Aucun sujet ne peut être traité sérieusement tant que nous décidons collectivement de rester dans un mental occidental qui ne croit plus en Dieu mais qui ne se nourrit que de sa manne. Personne ne croit à la corne d’abondanc mais quasiment tout le monde croit à la création de richesses et au développement que l’on veut même durable.
Si peu de gens acceptent de regarder le problème dans son ensemble ! Je suis souvent navré de voir des commentaires si éloignés du sujet traités.
Je cherche sans succès par mes articles à réveiller mes contemporains en me disant que peut-être un jour....
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titi
3 octobre 17:58
@Marc Dugois
« Le seul intérêt de l’or est que le regard porté sur lui n’est pas changeant. »
Même cela est faux.
Pour l’avoir vécu de l’intérieur, les bijoux en or sont devenus invendables.
Aucun consommateur n’est prêt à échanger sa monnaie contre un bijou en or... sauf s’il est siglé bien évidemment. Il suffit de voir les merdes vendues sous la marque Mauboussin.« Vouloir faire de la mathématique avec tout cela est d’une stupidité déconcertante. »
Et pourtant il faut le faire.
Parce que dans le jeu économique, il y a un passager clandestin : l’Etat.
L’Etat a tout intérêt à ce que les chaussures vietnamiennes coutant 8 euros soient vendues 150 euros.
La plupart de ceux qui râlent contre Amazon, ne se rendent pas compte que ce qui les fait vivre, c’est la TVA des ventes d’Amazon.
Sans ce nouveau Veau d’Or du 21è, pas de TVA collectée, et pas de TVA collectée signifie pas de salaire pour les fonctionnaires, pas d’aide sociale.Et ce que vous appelez la fausse monnaie elle devient réelle une fois que l’emprunteur l’a injectée dans l’économie et que celui qui lui a vendu des produits encaisse la contrepartie sur laquelle tous deux étaient d’accord.
Il faut que l’argent circule. Et s’il ne circule pas, alors il faut l’aider.
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Jean Keim
4 octobre 08:07
@titi
Donc il faut mathématiser l’économie et poser comme postulat qu’elle est une science exacte.
Donc la spéculation sur tout et n’importe quoi est une bénédiction, donc la guerre qui fait marcher le commerce est une saine entreprise, donc finalement notre civilisation axée sur le profit ne peut être que le nec plus ultra, en qq. sorte la vertu qui s’autorégule grâce au marché, si si ! il y a encore des gens qui gobe ce slogan pour esprits formatés.
Bref pour vous résumer, le monde est très bien comme il est..., il est très très confortable pour les gens qui en profitent ; il faut surtout ne rien changer... ça devrait tenir encore qq. temps.
Quand vous parlez de l’État, n’oubliez pas que ce mot est un concept, sinon vous oubliez également qu’un concept n’a de réalité que celle que des participants s’arrogent le droit de lui conférer, rappelez-vous Louis XIV : « l’État c’est moi. », notre monarque actuel très certainement pense la même chose.
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titi
4 octobre 16:20
@Jean Keim
« Bref pour vous résumer, le monde est très bien comme il est »
Je ne fais pas un jugement de valeurs.
Je présente les choses telles qu’elles sont.
Les choses qui permettent aujourd’hui de payer nos fonctionnaires, et les différentes allocations des uns et des autres.« il est très très confortable pour les gens qui en profitent »
Vous en profitez.
Sans cette fausse monnaie, vous seriez au cul d’une machine à coudre à fabriquer des chaussures à 8 euros. -
Jean Keim
6 octobre 07:22
@titi
<< Je ne fais pas un jugement de valeurs. >>
Ah bon ? Alors relisez-vous...
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hamia
3 octobre 16:21
Le diable a induit Adam et Eve ,en erreur et Dieu les a chassés du Paradis à cause de leur désobéissance et les a fait sont descendre sur terre , avec le diable :Coran 7 *24. « Descendez, dit [Allah], vous serez ennemis les uns des autres. Et il y aura pour vous sur terre séjour et jouissance, pour un temps. » 27.« Ô enfants d’Adam ! Que le Diable ne vous tente point, comme il a fait sortir du Paradis vos père et mère, leur arrachant leur vêtement pour leur rendre visibles leurs nudités. Il vous voit, lui et ses suppôts, d’où vous ne les voyez pas. Nous avons désigné les diables pour alliés à ceux qui ne croient point, » 35. Ô enfants d’Adam ! Si des messagers [choisis] parmi vous viennent pour vous exposer Mes signes, alors ceux qui acquièrent la piété et se réforment, n’auront aucune crainte et ne seront point affligés."
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zygzornifle
4 octobre 10:49
@hamia
comme il a fait sortir du Paradis vos père et mère, leur arrachant leur vêtement pour leur rendre visibles leurs nudités.
C’est de la qu’est née la pornographie ....
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SilentArrow
4 octobre 12:39
@hamia
Avec un dieu aussi monstrueux que la bête de La Mecque, vous n’avez pas vraiment besoin d’un diable pour faire peur aux faibles d’esprit.
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hamia
4 octobre 16:52
Un diable est affilié à chaque humain : Al Qarin (قرين, litt. : le compagnon) est dans la religion islamique le compagnon djinn assigné à chaque être humain ; selon le Coran et la Sunna, il l’accompagne constamment pour le séduire et l’égarer. Dans la langue, le mot qarin signifie compagnon 2.
Chaque personne a un qarin (compagnon) unique. Le qarin pousse son compagnon humain à commettre des péchés et à désobéir aux commandements de Dieu, exception faite du qarin du Prophète qui, comme le croient les musulmans, s’est converti à l’islam et ne lui a commandé que de faire le bien.
Le qarin est l’un des démons parmi les djinns qui se charge de pousser au péché une personne, il la tente afin de l’égarer .3,4
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SilentArrow
5 octobre 08:25
@hamia
Être, comme Mahomet, un assassin, un voleur, un menteur, un tortionnaire, un violeur et un pédophiles, c’est donc faire le bien selon l’islam !exception faite du qarin du Prophète qui, comme le croient les musulmans, s’est converti à l’islam et ne lui a commandé que de faire le bien.
Vous nous prenez pour des attardés ou vous croyez vraiment à ces fables ?
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hamia
8 octobre 10:36
@SilentArrow ; -" Quand nos Révélations lui sont récitées, il dit : « Des contes du passé ! » Coran ;83 : 13
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SilentArrow
9 octobre 12:39
@hamia
Précaution oratoire de la part des imposteurs qui ont écrit le Coran. Ils savaient très bien, eux, qu’il s’agissait de fables.Quand nos Révélations lui sont récitées, il dit : « Des contes du passé !
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
9 octobre 12:51
@hamia ceal existe AUSSI chez les juifs : https://la-voie-des-anges.fr/kabbale/tables-des-anges.php
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njama
8 octobre 11:44
@hamia
bonjour
ou que Dieu n’existe pas...14 : 22 - Et quand tout sera accompli, le Diable dira : « Certes, Dieu vous avait fait une promesse de vérité ; tandis que moi, je vous ai fait une promesse que je n’ai pas tenue. Je n’avais aucune autorité sur vous si ce n’est que je vous ai appelés, et que vous m’avez répondu. Ne me faites donc pas de reproches ; mais faites-en à vous même. Je ne vous suis d’aucun secours et vous ne m’êtes d’aucun secours. Je vous renie de m’avoir jadis associé [à Dieu] ». Certes, un châtiment douloureux attend les injustes [les associateurs].
du coup, peut-on le tenir responsable des malheurs du monde... ?
bon d’accord je me fais un peu l’avocat du diable (Iblis), mais c’est parce que en tant qu’homme j’estime qu’on ne peut pas le juger, ni le lapider comme les pèlerins le font « symboliquement » durant le Hajj, ce qui n’est pas prescrit dans le Coran à ma connaissance,
Le rite renvoie à un épisode de la vie d’Abraham
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lapidation_de_Satan -
njama
8 octobre 11:52
@hamia
allez, je me fais encore un peu son avocat (dans un sens noble) je ne suis pas de ses adeptes.
Dieu lui a accordé le « délai »
15/33-41
Il dit : « Je ne puis me prosterner devant un homme que Tu as créé d’argile crissante, extraite d’une boue malléable. »
Et [Allah] dit : « Sors de là [du Paradis], car te voilà banni !
Et malédiction sur toi, jusqu’au Jour de la rétribution ! »
Il dit : « Ô mon Seigneur, donne-moi donc un délai jusqu’au jour où ils (les gens) seront ressuscités. »
[Allah] dit : « Tu es de ceux à qui ce délai est accordé,
jusqu’au jour de l’instant connu » [d’Allah].
Il dit : « Ô mon Seigneur, parce que Tu m’as induit en erreur, eh bien je leur enjoliverai la vie sur terre et les égarerai tous,
à l’exception, parmi eux, de Tes serviteurs élus. »
[Allah] dit : « Voici une voie droite [qui mène] vers Moi.Dans la traduction de Kasimirski
15.39 Seigneur dit Iblis, puisque tu m’as circonvenu, je comploterai contre eux sur terre, et je chercherai à les circonvenir tous..
15.40 Excepté tes serviteurs fidèles.
15.41 Dieu répondit : C’est précisément le chemin droit ;Circonvenir : gagner la confiance, l’approbation de quelqu’un par des moyens artificieux, d’après mon dictionnaire Flammarion
Il faudrait voir avec le mot arabe, car difficile d’imaginer une intention insidieuse de Dieu, induire en erreur est je pense une très mauvaise traduction, circonvenir va mieux, Iblis s’est trompé seul...
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njama
8 octobre 12:04
« Je ne puis me prosterner devant un homme que Tu as créé d’argile crissante, extraite d’une boue malléable. »
Il s’agit d’une bévue, due à son orgueil probablement, dont il se repend tout de suite, puisqu’il demande le délai
Dans la Bible, Dieu accorde à Satan d’infliger des épreuves à Job, sauf le tuerL’épreuve pour l’homme est donc « analogue » à celle qu’a connu Iblis. Du moins pour ceux qui ne voient pas, ou ne reconnaissent pas le caractère inouï de la Création, son Mystère, qui devrait inviter à l’humilité, et nous attirer comme la lumière attire les insectes, ceux perdus dans la nuit...
C’est vraiment une question intéressante. Il faut que l’homme quitte cette idée, arrête de dire « C’est pas moi ! ... c’est le diable, ou je ne sais quelles obscures forces du mal » pour se défausser de ses égarements. L’homme est bien « responsable » de ses actes.
N’y a-t-il pas une analogie entre l’ange déchu et l’homme déchu Adam, chassé du Paradis ?
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SilentArrow
9 octobre 12:37
@hamia
Le diable, c’est l’islam et son Coran qui veut nous faire croire à une origine divine. Le comble de l’imposture !La grande victoire du diable ,est de nous persuader qu’il n’existe pas !
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CATAPULTE
8 octobre 13:11
M. Dugois dispose d’une banque d’image où il conserve jalousement l’unique cliché en sa possession...
Qu’importe l’objet du papier, quand il y en a un, c’est toujours le même rivage de Bretagne à marée basse qui vient illustrer le propos...
Il n’y a pas grand chose à dire sur l’essai philosophico-alambiqué de l’auteur... on s’attardera donc sur l’image d’entame
