mercredi 22 juin 2016 - par Elliot

Le calvaire européen

On peut toujours assembler les mots les difficultés commencent quand il faut faire marcher ensemble les choses représentées par ces mots ( Léon Daudet 1867- 1942 )

 L’Union européenne continue sa marche somnambulique au bord du gouffre.

La BCE dirigée par Mario Draghi, l’autiste goldman sachsien qui autrefois décerna son certificat de bonne gouvernance à la Grèce, reste sourde à toutes les objurgations, programmée une fois pour toutes pour étrangler les perspectives de croissance de l’Union en quête d’illusoires équilibres budgétaires.

Qu’importe la morale si le malade meurt guéri !

Serait-ce donc ça l’avenir que Bruxelles nous prépare avec autant d’arrogance que d’incompétence ?

 

Le château brûle, les écuries flambent, les peuples étouffent pris dans l’étau de politiques d’austérité dont l’irréalisme saute aux yeux de tout le monde sauf de ceux que la révélation s’obstine à bouder : tout va très bien, Madame le marquise !

Nombreux sont encore les obstinés qui ne veulent toujours pas admettre que les prémisses de la Construction européenne - donnés comme des postulats – se sont enlisées dans le sable des illusions perdues, que d’apparents syllogismes sont devenus des crimes contre la logique.

 

L’Union Européenne est certes toujours en principe une puissance économique de premier plan mais elle est empêchée de renouer avec la croissance sur son propre territoire.

Écartelée entre le Nord et le Sud, entre les primo-arrivants mus au sortir de la guerre par le souci légitime d’ exorciser les causes de conflits et les impétrants de la 11e heure plus intéressés par la perspective d’un festin partagé, l’Europe n’est plus aujourd’hui qu’une arène où se disputent, loin de l’idéalisme communautaire, des mercantis. Ce que l’intérêt a rassemblé un jour, un intérêt supérieur peut le défaire un autre jour.

 

 L’Europe est obligée de recourir à des expédients pour faire face au vieillissement de sa population. La grande dépression est encore à venir quand la courbe de paupérisation programmée des anciens ( ceux qui, paraît-il, vivent encore dans un confort inaccessible à leur progéniture et à qui on va imposer des sacrifices au nom de la solidarité intergénérationnelle ) rejoindra celle des jeunes générations et que beaucoup de parents se verront dans l’incapacité matérielle d’encore donner le coup de pouce à leurs enfants sans quoi ces derniers seront voués à végéter dans un moins-disant social généralisé.

L’avenir européen est porteur des lourds nuages noirs de la mondialisation qui ont chassé l’espérance, l’Union devait apporter la prospérité mais elle a surtout contribué - volens nolens - à désindustrialiser des régions entières.

On ne voit plus par quel miracle on pourrait rendre aux peuples européens l’ambition de souscrire à un projet collectif et leur faire retrouver la force d’y croire à nouveau dès lors que les seules valeurs qui ont vraiment droit de cité sont l’individualisme et l’égoïsme de classe.

 

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Glissons rapidement sur le sujet qui fâche de la place de l’Europe en géopolitique car hélas !pas un domaine n’échappe à la pusillanimité des politiques : les nations européennes qui dominaient les relations internationales au 19e siècle se sont converties à une mentalité d’épicier dans la philosophie du tiroir-caisse, il est vrai saignées à blanc par deux guerres ravageuses.

 

Favorisant les palinodies politiques, les ploutocraties détiennent aujourd’hui le pouvoir, elles font parfois mine – marketing oblige - de s’intéresser à certains états d’âme et elles consentent avec magnanimité à les prendre en considération pour autant qu’ils ne s’opposent pas à leur cupidité.

L’Europe est aujourd’hui dramatiquement incapable de transformer les restes de sa puissance et la richesse de son potentiel humain et scientifique en pion majeur sur l’échiquier mondial.

Certains états membres accrochés à leur splendeur passée se complaisent encore dans un rôle de figuration dans des cénacles où leur voix ne compte plus guère : comme l’albatros baudelairien que ses ailes de géant empêchent de marcher, l’Europe est empêtrée dans sa propre force d’inertie, trop grosse et trop lourde pour avancer et ses patauds essais sont incapables de se transformer en élans.

 

L’Europe est bien sûr pénalisée par sa bouillonnante périphérie mais elle participe trop sottement à cette instabilité pour avoir le droit de se plaindre.

Incapable de parler d’une seule voix, elle est donc inaudible et forcée de subir ce qui, dans le grand mécano mondial, contribue à entraver son développement.
Il ne faut pas non plus être Madame Soleil pour suspecter une instrumentalisation de ces conflits à ses frontières par tout ce que l’Europe compte de faux amis.

Il est donc inévitable que les fureurs qui se déchaînent à ses confins débordent sur son propre sol et que de fâcheuses métastases la fragilisent.

 

Qu’a gagné par exemple l’Europe avec la déstabilisation de l’Ukraine à laquelle elle a contribué sinon un foyer de tensions à ses frontières ?

Habilement mise sur les rails au nom de ses principes par de roués manipulateurs, elle s’est jetée la tête la première dans le guêpier en distribuant des brevets de bonne conduite à des nazillons incontrôlables qui prirent d’assaut le parlement légalement élu de Kiev.

 

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Mal conçue et élargie à des pays dont elle est devenu le calvaire, brinquebalée par la crise financière de 2008 et soumise à la tutelle rigide de personnages hors sol qui méprisent le peuple pour se consacrer uniquement à l’adoration bornée du veau d’or, la monnaie unique n’a plus comme légitimité que la paresse de l’habitude et du conservatisme : pour certains pays c’est une véritable bulle qui finira par éclater un jour.

La mythologie de l’Euro a fort bien fonctionné pour imposer une soumission quasi mystique des états à des critères arbitraires surgis de nulle part ou plutôt jetés un jour sur un coin de nappe dans les vapeurs d’éther par des experts aux neurones en délicatesse avec le bon sens : ces pinailleurs avant la lettre se sont sentis investis de la mission d’imposer des règles communes sorties de leur bréviaire néo-libéral pour empoisonner la vie des citoyens européens sans leur donner des perspectives de sortie de crise ( l’Europe est en état d’atonie depuis plus de quarante ans, quasi un demi-siècle, avec de courtes périodes de rémission ).

 

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Il y a malheureusement une tendance lourde dans l’opinion qui préfère subir que prendre le taureau par les cornes et qui se manifeste par le carrousel du partage du pouvoir entre les deux visages d’une même forfaiture avec quelques notables exceptions récentes comme en Grèce vite écrasées dans l’œuf.

Même les plus audacieux, les plus forts en gueule se raccrochent, malgré tout et quoi qu’ils en disent, à la trame usagée qu’ils font mine de combattre mais qui finalement les rassure et les relie aux choses raisonnables aux yeux de ceux dont ils revendiquent la confiance.

Tout ce que l’on compte de beaux esprits sur le continent, d’habitués des médias et grands experts surtout dans l’art de se tromper et des félins rétablissements acrobatiques, tout cet aréopage distingué nous prédit bosses et plaies dans l’hypothèse où, dans un moment d’égarement électoral, certains pays se doteraient de dirigeants désireux de renouer avec leurs droits régaliens et surtout celui de battre monnaie.

Le malheur veut que ces revendications de bon sens soient trop souvent concomitantes avec une résurgence de nationalismes nauséeux qui se dissimulent habilement derrière des opérations de séduction qui visent à gommer leur nature antidémocratique profonde.

Seule l’incurie de dirigeants européens et la poussière chassée sous le tapis leur donnent une certaine crédibilité dans l’opinion.

 

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Dans l’état actuel de l’Europe, sortie ou maintien de la Grande-Bretagne avec le statut ( un pied dehors et un demi-pied dedans ) qui est le sien et dont d’autres états vont bientôt revendiquer le bénéfice, l’intégration a du plomb dans l’aile, elle a même tendance à refluer dans certains domaines comme on a pu le mesurer ces derniers temps.

 

Quel que soit le verdict des urnes en Grande-Bretagne les partisans du Brexit ont déjà gagné, ils représentent une masse incontournable qui va brider Downing Street et, par la même occasion Bruxelles.
Quant aux fameux marchés dont la propagande agite les turbulences jusqu’à en favoriser la survenance pour dissuader l’électeur britannique de suivre son inclination profonde à la singularité insulaire, ils réagissent à l’émotion : du bon usage d’un assassinat pour que remonte la bourse !
Néanmoins nul doute que la City qui en vu d’autres s’accommodera d’un résultat qui ne serait pas celui escompté.

Dieu merci pour eux, Brexit ou Brexin, les Anglais sont au moins à l’abri des affres existentielles de l’Euro, la Livre de Sa Majesté a une solidité qui lui vient de son histoire et qui lui permet à l’instar du bouchon de toujours flotter et de ne jamais couler.



13 réactions


  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 22 juin 2016 08:54

    Ami belge, bonjour, il n’en demeure pas moins que vous êtes l’exemple type du gogo qui a avalé tout rond la propagande européiste, mes condoléances ... Vous avez tout gobé, « l’ Europe, c’est la paix », « ensemble on est plus forts », « on va faire contrepoids aux USA », toussa, toussa...


    L’UE n’a jamais été construite pour les peuples européens, qui n’ont rien demandé et qui n’ont jamais été consultés sur le fait de se retrouver pacsés dans un système supranational.
    Au commencement, il y a eu Hitler, qui a perdu la guerre contre l’ URSS et le communisme.
    Les Américains qui ont repris le programme économique des nazis pour l’ Europe après la guerre.
    Afin de sauver le grand patronat allemand, et de mettre en coupe réglée les pays européens.
    Comme l’ URSS a soumis les pays de l’ Est, chars compris, puisque l’ OTAN s’est installée à temps complet en Europe.

    Programme économique des nazis pour l’ Europe :
    Une zone économique européenne
     sans frontières
     sans barrières douanières
     un marché unique,
     une politique agricole commune,
     la relocalisation des usines au plus rentable,
     un taux fixe entre les monnaies,
     et l’idée que plus cette zone économique de libre échange est large et plus elle aura de poids pour négocier dans le commerce international.

    Vous reconnaissez les grandes lignes de la construction européenne ??

    Comment faire passer la pilule de la colonisation de l’ Europe par la finance et les multinationales US, et la domination économique de l’industrie allemande ? Par la propagande, et par la fabrication d’une extrême-droite, chargée de salir et de pourrir tous les débats sur la souveraineté.
    La Gauche a plongé comme un seul homme dans la marmite qu’on lui avait préparé.

    A tel point que nombre d’électeurs et de partis de Gauche croient désormais que la Nation est une idée... d’extrême-droite. Alors que c’est une idée républicaine que la Gauche a accompagnée tout au long de son histoire, car elle est garante de l’égalité des citoyens.

    • Elliot Elliot 22 juin 2016 11:55

      @Fifi Brind_acier


      Bonjour, 

      Notez que les Français n’étaient pas en reste non plus pour se pâmer devant la perspective idéalisée de la construction européenne : ils furent parmi les pères fondateurs, je vous le rappelle, encouragés comme les autres par l’oncle Sam qui y voyait une manière de garder en laisse la vieille Europe et ne s’est d’ailleurs pas trompé dans son analyse.

      Il est assez oiseux de tenir la comptabilité des gogos : les dupes furent également partagées entre tous les états membres.

      Obama s’ingérant dans la campagne anglaise pour dissuader les partisans du Brexit n’est finalement que le continuateur d’une politique de tutelle implantée au sortir de la seconde guerre mondiale.

      Il ne sert à rien de ressasser le passé, les illusions perdues et la triste réalité du présent.
      Ce qui importe aujourd’hui, c’est de se tirer des embarras.

      Faire table rase du passé est impossible, en tirer les leçons serait déjà une bonne chose mais comme l’écrit plus bas un intervenant , Alpo47 en l’occurrence, c’est plutôt la fuite en avant qui est d’actualité.
       Apparaît tout de même une complication de taille car des pays viennent de démontrer et pas nécessairement à bon escient leur volonté politique de transgresser certaines règles dont ils devaient pourtant se porter garants.

      Implosion ou explosion, au final le résultat sera le même : retour à la case départ.

      Personnellement je souhaite que ce soit un nouveau départ mais je conçois parfaitement que certains veulent un retour aux états nations avec le problème que posent les états – comme le mien - où cohabitent de moins en moins harmonieusement d’ailleurs plusieurs nations.


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 22 juin 2016 18:04

      @Elliot
      Je reconnais volontiers que le cas de la Belgique pose des problèmes...., aussi bien dans l’ UE qu’en dehors. Ce qui n’empêche pas les Belges, quels qu’ils soient, de se voir appliquer la même Loi Travail que les Français...


  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 22 juin 2016 09:02

    Voici une analyse marxiste de la Nation, de l’ Europe et du Brexit.
    (...)
    "En dehors de l’Europe, l’idée que la Gauche se doit d’être le principal défenseur de la souveraineté nationale est considérée comme allant de soi.

    La force du communisme dans des pays asiatiques comme la Chine ou le Vietnam repose sur son identification au nationalisme. L’attrait que suscite la Gauche dans les pays d’Amérique latine repose en grande partie sur l’opposition de celle-ci à l’impérialisme yankee.

    Il n’y a qu’en Europe que tant de militants de Gauche considèrent la défense de l’intérêt national face à l’intégration européenne comme « de droite », et donc réactionnaire par définition."(...)



  • Jo.Di Jo.Di 22 juin 2016 09:11

    Libération 2004 : La cinquantaine bien tapée, Monsieur Cissé avait à l’époque laissé ses deux premières épouses et leurs 7 enfants au pays pour venir soigner son sida au Benêtland.
     
    Sidaïque, il avait donc obtenu un permis de séjour, et des soins gratuits. Il ramena un jour du pays des ancêtres une troisième épouse, une jeunette de 16 ans, qu’il installa dans un foyer Sonacotra
     
    Ne pouvant être mère, elle eu l’assistance à la procréation de la riche sécu souchienne (10000€). 
     
    Le père avait un titre provisoire ? Pas grave avec un enfant il sera régularisé.
     
    Le sida ? Pas grave il suffit que le Boobaland paye une purification du sperme pour cette grande chance pour lui. 
     
    La jeunette sans papier ? Tant mieux, CMU.

    Décision sexialo-uropéenne 2013 : Monsieur Cissé peut dorénavant rapatrier tout son harem, ses 3 femmes et ses 9 enfants pour traire magnifiquement, et pour longtemps la souchiennerie (qui réduit le plafond familial aux veaux pour compenser).
     
    http://www.bvoltaire.fr/mariedelarue/les-allocs-pour-les-enfants-de-peres-polygames,23316
    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2008/02/01/et-si-l-on-arretait-tout-simplement-de-marcher-sur-la-tete.html


  • Alpo47 Alpo47 22 juin 2016 10:48

    Les dirigeants européens sont juste dans une démarche de fuite en avant, par refus de reconnaitre leurs erreurs et de mettre en place les changements qui s’imposeraient.
    Cela, c’est impossible pour eux, car ce serait remettre en cause le « socle européen ».


  • philippe baron-abrioux 22 juin 2016 11:00

     BONJOUR ,

     oui ,la Grèce fut une notable exception comme vous l’écrivez .

    mais vous souvenez vous ce qui figurait ici ,sur ce site , pour décrire ce qu’ a tenté de faire ce pays ,ce peuple pour préserver leur dignité ,celle que beaucoup d’autres ont jeté aux orties depuis longtemps ?

     combien d’intervenants sur ce site ont rappelé qui a manipulé les comptes du pays au moment de son adhésion ?

     souvenez vous les propos tenus sur A. Tsipras lors de la crise et de l’organisation du référendum ?

     souvenez vous des insultes proférées contre ce peuple que l’on aurait voulu faire passer comme collectivement responsable (la responsabilité collective d’un peuple n’existe pas ) de la situation ,en oubliant le coup d’état du 21 avril 1967 et les conséquences qui découlent immanquablement dans toute société d’une période de dictature ,ici comme dans tout autre pays,en Amérique du sud ,en Afrique ,en Asie ?

     qui a toujours provoqué ou soutenu les régimes mis en place par ces dictatures ?

     qui peut croire ,avec le recul , que cela n’aurait aucune conséquence sur la mise en place par le peuple de systèmes parallèles pour traverser ces périodes en cherchant à se « débrouiller » pour survivre comme ce fut le cas en France pendant l’Occupation , au Chili ,sous Pinochet, au Brésil sous Geisel , à Cuba ,etc... ?

     les peuples ont une histoire et des pratiques qui découlent des régimes qu’ils ont connus pour les supporter : désolé mais ces pratiques demeurent longtemps après dans les mémoires ,bien après le retour à la démocratie !

    le plus scandaleux dans ces histoires réside dans le fait que ce sont maintenant ceux qui ont mis en place ces régimes autoritaires qui demandent des comptes aux peuples qu’ils ont placés sous le joug de ces dictateurs .

     CYNISME A TOUS LES ETAGES !

     P.B.A

     

     
      


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 22 juin 2016 18:14

      @philippe baron-abrioux
      C’est Goldman Sachs qui a aidé à maquiller les comptes de la Grèce.
      Quelle coïncidence, tous les dirigeants de la BCE sont issus de chez Goldman Sachs...
      « Charles Gave : la mafia qui dirige les USA », et pas seulement ....


    • philippe baron-abrioux 22 juin 2016 19:41

      @Fifi Brind_acier

      BONJOUR FIFI , 

       et oui , mais il semble que certains aient perdu la mémoire .
       
       on passe très vite à autre chose ,on détourne les yeux ,on devient sourd et tout va très bien !

       les falsificateurs patentés se recasent ici ou là , les plus hauts responsables mondiaux de la finance paradent à New York ou ailleurs et nous ne voyons que les taxis .

       Davos en hiver ,belles images de neige aperçue par les baies vitrées des salons où ,à huis clos , une cohorte d"économistes orthodoxes échangent, se concertent , acceptent de sourire de façon réconfortante une minute devant les caméras en nous assurant qu’ils ont tout prévu pour le bonheur des peuples du monde entier .

       il est minuit ,dormez ,braves gens !

       P.B.A

       

       

       

       


  • straine straine 22 juin 2016 13:30

    Anaxagore nous a laissé son :
     « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau »
    Paraphrasé par Lavoisier par :
    « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »

    Il suffit dans notre cas de comprendre l’intérêt pour certains à transformer notre modèle sociétal, pour pouvoir corréler leurs solutions, leurs intérêts, et nos problèmes !
     Dans la phase finale de l’opération clivage ceux qui auront survécu subiront les thèses de l’eugénisme .....
    Le montage d’une guillotine place de la Révolution reste à mon sens un message plus audible pour cette ploutocratie simulant un autisme trop hautin et auto-suffisant pour être naturel !
    Pour bâtir l’avenir il faudra juger le passé smiley


  • Ruut Ruut 22 juin 2016 17:10

    De toute façon la voie du peuple de France est déjà bafoué par l’UMPS concernant l’Europe.


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