Le Miraculé politique Donald Trump apportera ce qu’il faut pour régler la guerre en Ukraine et à Gaza
Interrogeons-nous sur ce qui se passe en Ukraine, la guerre boucle bientôt trois années de résistance et de souffrance. Envahie par la Russie le 24 février 2022, l'Ukraine n'entrevoit toujours pas l'issue du conflit, alors que le pays s'apprête à vivre un autre hiver le plus rude depuis le début de la guerre, au moment où les troupes ukrainiennes sont à la peine sur le front est. La Russie aussi trépigne d’impatience et ce conflit a trop duré, et surtout, son territoire est touché en profondeur par des armes occidentales octroyées à l’armée ukrainienne et de plus autoguidées par le réseau satellitaire américain et européen. La Russie s’impatiente certes, mais attend « de voir venir ce qui mettra fin à la guerre ». Et « par ce qui doit venir », en réalité, la Russie fonde ses espoirs sur le président Donald Trump qui a été réélu pour un deuxième mandat, en novembre 2024.
Déjà, en 2023, Donald Trump prétendait pouvoir mettre fin à la guerre en Ukraine en 24 heures. Comme on le lit sur le journal Le Parisien :
« Et si la fin de la guerre en Ukraine venait de Donald Trump ? L’ancien président des États-Unis et candidat à la prochaine élection présidentielle américaine a déclaré dimanche dans une interview à Fox News qu’il était capable de mettre fin au conflit « en 24 heures » s’il était réélu en 2024.
De nouveau installé à la Maison Blanche, Donald Trump s’entretiendrait aussitôt avec le président ukrainien. « Je dirais à Zelensky : ça suffit. Tu dois conclure un marché », a-t-il modestement expliqué. Il pousserait parallèlement le président russe, Vladimir Poutine, à accepter cet accord de paix, sous peine de donner « beaucoup plus, plus qu’elle n’a jamais eu s’il le faut » à l’Ukraine, sous-entendant un soutien militaire plus important.
De « bonnes relations » avec les deux chefs d’État
Donald Trump est convaincu qu’il pourrait pousser les deux pays à se mettre d’accord « en un jour ». Il a assuré que sa force de persuasion tenait notamment au fait qu’il entretient « de bonnes relations » avec le président ukrainien et le président russe. Dans cette interview télévisée, il en a profité pour reprocher à son successeur Joe Biden de ne pas être capable de traiter avec les dirigeants mondiaux.
Ce n’est pas la première fois que le milliardaire américain fait ce type de déclaration. Mike Pence, son ancien vice-président et désormais adversaire dans la course à la Maison Blanche, a, lui, estimé que la seule façon de mettre fin à la guerre en Ukraine en un jour était de « donner à Vladimir Poutine ce qu’il veut », une position à laquelle il s’oppose fermement. » (1)
Que peut-on dire de cette déclaration de mettre fin à la guerre en Ukraine en « 24 heures » ? Il est clair qu’il n’a pas dit réellement ce qu’il en pensait de la guerre en Ukraine et comment l’arrêter. Il a fondé tout sur les bonnes relations qu’il a avec les deux chefs d’État, affirmant qu’il connaît bien Zelensky et Vladimir Poutine, et qu’il arrivera à les convaincre à mettre fin à la guerre. Et puis dire les vrais motifs qui mettraient fin à la guerre, Trump sait qu’il ne fera que provoquer une avalanche de critiques contre lui et même pourrait mettre en danger sa réélection.
Aussi qu’il explique pouvoir mettre fin à la guerre en ne fondant ses arguments que sur les bonnes relations avec les deux chefs d’État ne l’engage pas totalement, il garde pour lui ses raisons, et même lui donne une force de persuasion qui le rend populaire. Cela fait de lui un homme de paix et non de guerre et une telle opinion est importante pour le plus gros de la population américaine et mondiale.
En fait, Trump connaît bien les grands enjeux qui se jouent entre la Russie et Ukraine ; et s’il a déclaré qu’il mettrait fin en « 24 heures », c’est qu’il est convaincu d’arriver à le faire certes non en 24 heures mais en quelques mois. Et si on lit bien le discours d’investiture qu’il a fait au Capitole des États-Unis, à Washington, le 20 janvier 2025, on s’apercevrait qu’il existe réellement une corrélation entre une motivation profonde en lui et une volonté qu’il a traduit par les mots dans le texte de son discours qu’il va s’engager à mettre fin à la guerre et à toutes les guerres.
Et c’est très important un président, à peine élu, dévoile ses intentions dans ses objectifs à venir ; surtout que Donald Trump est le président de la première puissance mondiale, les États-Unis ; et tout lui est possible pour peu qu’il le veuille, et il en a des convictions profondes. Et surtout que la cause soit juste, ce point est essentiel ; si la cause n’est pas juste, forcément ça ne marchera pas. Combien de guerres ont été menées, et c’est surtout la cause juste qui a primé ; toutes les guerres de décolonisation ont été gagnées par les peuples opprimés et l’histoire en témoigne. Et c’est très important pour la paix lorsque des peuples sont en guerre.
On peut avoir une idée de Donald Trump dans certains passages de son discours d’investiture ; elles dévoilent sont esprit sur ce plan. Et il le déclare, en rappelant les « avanies » qu’il a subies les années précédentes :
« Ma récente élection m'a donné le mandat de renverser complètement et totalement une horrible trahison, et toutes les nombreuses trahisons qui ont eu lieu, et de rendre au peuple sa foi, sa richesse, sa démocratie et, en fait, sa liberté. »
« À partir de maintenant, le déclin de l'Amérique est terminé. Nos libertés et la glorieuse destinée de notre nation ne seront plus niées, et nous rétablirons immédiatement l'intégrité, la compétence et la loyauté du gouvernement américain. »
« Au cours des huit dernières années, j'ai été mis à l'épreuve et mis au défi plus que tout autre président en 250 ans d'histoire, et j'ai beaucoup appris en cours de route. Ceux qui souhaitent mettre un terme à notre cause ont tenté de me priver de ma liberté, voire de ma vie. Il y a quelques mois à peine, dans un magnifique champ de Pennsylvanie, « une balle d'assassin m'a transpercé l'oreille. » Mais j'ai senti à l'époque, et je le crois encore plus aujourd'hui, que ma vie a été sauvée pour une raison. « J'ai été sauvé par Dieu pour que l'Amérique redevienne grande. Je vous remercie. Merci beaucoup.
C'est pourquoi, chaque jour, sous notre administration de patriotes américains, nous nous efforcerons de faire face à chaque crise avec dignité, puissance et force. Nous agirons avec détermination et rapidité « pour ramener l'espoir, la prospérité, la sécurité et la paix pour les citoyens de toute race, religion, couleur et croyance. » Pour les citoyens américains, le 20 janvier 2025 est le jour de la libération. » […]
L'unité nationale est de retour en Amérique et la confiance et la fierté montent en flèche comme jamais auparavant. Dans tout ce que nous faisons. Mon administration sera inspirée par la recherche de l'excellence et d'une réussite sans faille. Nous n'oublierons pas notre pays. Nous n'oublierons pas notre Constitution et « nous n'oublierons pas notre Dieu. » Ce n'est pas possible. […]
Nous mesurerons notre succès non seulement par les batailles que nous remporterons, mais aussi par les guerres que nous terminerons et, peut-être plus important encore, par les guerres dans lesquelles nous n'entrerons jamais. L'héritage dont je serai le plus fier sera celui d'un artisan de la paix et d'un unificateur, c'est ce que je veux être, un artisan de la paix et un unificateur. […]
« Nous sommes un seul peuple, une seule famille et une seule nation glorieuse sous l'égide de Dieu. Alors, à tous les parents qui rêvent pour leur enfant et à tous les enfants qui rêvent pour leur avenir, je suis avec vous. L'Amérique sera-t-elle à nouveau respectée et admirée ? À tous les enfants qui rêvent de leur avenir, je dis : « je suis avec vous ». […]
L'avenir nous appartient et notre âge d'or ne fait que commencer. Je vous remercie. Que Dieu bénisse l'Amérique. Merci à tous. Merci à tous. Merci beaucoup. Merci beaucoup. Je vous remercie. Je vous remercie. » (2)
Et il n’y a aucun doute sur les convictions de Donald Trump ; il a invoqué quatre fois Dieu, montrant que ses convictions et sa croyance en Dieu sont profondes ; il l’affirme : « J'ai été sauvé par Dieu pour que l'Amérique redevienne grande. » Et concernant les guerres, le 47ème président américain affirme qu’il cherche la paix entre les peuples ; il le souligne : « L'héritage dont je serai le plus fier sera celui d'un artisan de la paix et d'un unificateur, c'est ce que je veux être, un artisan de la paix et un unificateur. »
Pour corroborer ce que Donald Trump affirme d’être « un artisan de la paix et d’un unificateur et d’en être le plus fier s’il le devenait », regardons les événements qui ont surgi juste après sa réélection, le 5 novembre 2024.
Le premier événement marquant a été l’« accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, signé le 26 novembre 2024 et pris effet le 27 novembre 2024. En soutien au Hamas, le Hezbollah est entré en guerre contre Israël, depuis le 8 octobre 2024. Et toutes les tractations pour mettre fin à la guerre entre Israël et le Hezbollah ont échoué. Et seule une main puissante a imposé une trêve de deux mois. Et Donald Trump, trois semaines auparavant, venait de gagner haut la main l’élection du 5 novembre 2024, et de plus les républicains sont désormais majoritaires au Sénat comme à la Chambre des représentants.
Le deuxième événement a eu lieu un jour avant son investiture. Après plus de 15 mois de guerre dans la bande de Gaza, un « accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas est entré en vigueur, le 19 janvier 2025. Pourquoi le 19 janvier 2025 ?
Trump devait prêter serment sur la Bible pour son deuxième mandat, le 20 janvier, alors qu’Israël, malgré qu’il a détruit plus de 70 % des villes de Gaza et plus de 150 000 entre morts et blessés palestiniens, n’a pas vaincu le Hamas. Le mouvement de résistance palestinien toujours actif, Israël était très réticent pour arrêter les combats, malgré les otages israéliens détenus par le Hamas. On doit comprendre que le 19 janvier 2025 était comme un ultimatum adressé par Trump à Israël puisque le 20 janvier, il devait prêter serment au Capitole des États-Unis. Et ne perdons pas de vue que toute la puissance militaire, Israël la doit aux États-Unis ; par conséquent, Israël n’a pas de choix que de s’exécuter et appliquer le cessez-le-feu avec le Hamas.
On comprend l’importance de l’élection du nouveau président américain en la personne de Donald Trump. Et surtout qu’après 471 jours de guerre, Israël n’est pas sorti victorieux ; et le Hamas, malgré qu’il s’est affaibli, reste toujours actif et même les accords de cessez-le-feu et de la libération des otages israéliens se sont faits avec lui, par l’intermédiaire des médiateurs qataris, égyptiens et américains.
Cependant, il y a une vérité qui saute aux yeux ; le Hamas n’a pas combattu seulement Israël mais aussi les États-Unis qui ont soutenus en armements l’armée israélienne. Et pire encore, le groupe de combattants du Hamas n’a ni aviation, ni blindés ni chars ni bombes de 900 kg à larguer sur l’ennemi. Et tous ces armements sont livrés en permanence à Israël par les États-Unis contre un groupe de combat qui n’a de protection que les tunnels qu’il a creusé pendant des décennies pour échapper à ses oppresseurs.
Et c’est cela l’incroyable, les États-Unis, première puissance mondiale, et Israël qui s’attaquent à un mouvement armé qui ne demande que se libérer de l’occupation et à fonder son État ont été mis en échec ; et les destructions de près de trois-quarts des villes de Gaza et pertes humaines dont 70% de morts et blessés sur les plus de 150 000 touchés par les bombardements aériens et terrestres ne sont que des femmes, des enfants, des vieillards ne montrent que l’horreur et l’immoralité de la force de la puissance israélienne qui doit tout à la première puissance mondiale.
Et quoi que l’on dise, Donald Trump en a conscience ; il sait que les États-Unis tant en à Gaza comme d’ailleurs en Ukraine piétinent ; il n’y a pas de victoire que des pertes considérables sur tous les plans (politique, financier, militaire), ce qui fait des États-Unis, un pays mal-aimé, n’apportant que destructions et souffrances aux peuples.
Et le président Donald Trump veut inaugurer un « nouvel âge d’or » pour les États-Unis, mais pour qu’il y arrive, il faut avant tout qu’il s’attaque en premier aux guerres en cours : il doit tout faire pour mettre fin aux guerres en Ukraine et à Gaza. Et, Donald Trump l’a promis dans son discours ; il a déclaré solennellement :
- « J'ai été sauvé par Dieu pour que l'Amérique redevienne grande. »
- « Nous n'oublierons pas notre Dieu. » Ce n'est pas possible.
- « Nous agirons avec détermination et rapidité pour ramener l'espoir, la prospérité, la sécurité et la paix pour les citoyens de toute race, religion, couleur »
- « L'héritage dont je serai le plus fier sera celui d'un artisan de la paix et d'un unificateur, c'est ce que je veux être, un artisan de la paix et un unificateur. »
La question qui se pose : « Et si ce que déclare Donald Trump est vrai, qu’il a été choisi par Dieu pour mettre fin aux guerres. » Peut-on réfuter ce que déclare le président Donald Trump qui est à son deuxième mandat. Et si réellement, Dieu l’a choisi ; en tant qu’humains, on n’en sait rien. Mais c’est possible. Trump a déclaré régler la guerre en Ukraine en 24 heures, et s’il l’a déclaré, c’est qu’il a ses raisons.
Le président Donald Trump a déjà assumé un premier mandat, pratiquement sans problème, et même, il a mis fin à la crise nord-coréenne. Il faut rappeler que la Corée du Nord, après être parvenue à procéder avec succès l’essai d’une bombe thermonucléaire et l’essai d’un missile balistique pouvant toucher des objectifs distants de plus de 10 000 km, et donc toucher les États-Unis, est entrée dans une rhétorique de guerre avec Washington. Et c’est la doigté de Donald Trump avec le leader nord-coréen Kim Jong-un, après trois rencontres (Hanoï, Singapour et la zone démilitarisée (DMZ) qui sépare les deux Corées, qui a permis, entre 2018 et 2019, de mettre fin à la crise.
Pour cause : « Matthew Pottinger, le plus grand expert asiatique du Conseil national de sécurité de Trump, explique : « le président Trump a proposé à Kim de le ramener chez lui à bord d'Air Force One. Le président savait que Kim était arrivé à Hanoï par un train de plusieurs jours qui traversait la Chine et le président a dit : « je peux vous ramener chez vous en deux heures, si vous voulez ». Kim a refusé.
Et Trump a fait un autre geste qui a surpris sa propre équipe, lorsqu'il a accepté la demande de Kim d'annuler les exercices militaires conjoints entre les États-Unis et la Corée du Sud.
« Kim Jong-un, comme il l'avait fait à de nombreuses reprises dans le passé, s'est plaint des grands exercices conjoints entre les forces sud-coréennes et américaines, qui se déroulaient dans la péninsule coréenne depuis plus de 60 ans », souligne M. Bolton à la BBC.
Trump a dit, sans crier gare : « je vais annuler les jeux de guerre [comme il les a appelés]. Il n'y a pas besoin d'eux, ils sont chers et ils ne vous rendront pas heureux ». Je ne pouvais pas le croire. (Secrétaire d'État) Pompeo, (Chef de cabinet) Kelly et moi étions assis dans la pièce avec Trump et nous n'avons pas été consultés. C'est ce qui vient de sortir de l'esprit de Trump. C'était une erreur spontanée. C'était une concession pour laquelle nous n'avons rien obtenu en retour », ajoute l'ancien conseiller de la Maison Blanche. » (3)
On voit la spontanéité et la logique dans les pensées de Donald Trump ; tout laisse à penser que Donald Trump trouvera la stratégie pour mettre fin aux deux guerres. Déjà, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, est le premier invité à la Maison Blanche, à Washington, pour le 3 janvier 2025. Cette invitation ne doit pas étonner. Pour l’investiture de Donald Trump le 20 janvier 2025, aucun chef d’État ou Premier ministre européen n’a été invité sauf Georgia Meloni, présidente du Conseil des ministres d’Italie. Ce qui en dit long sur sa politique « imprévisible et personnelle » avec ses alliés et les pays du reste du monde. Il décide seul de ses décisions quand il le faut, et ce trait de caractère chez Trump est important dans les événements qui suivront dans son deuxième mandat.
Lorsque Donald Trump propose de « déplacer le peuple de Gaza palestinien en Égypte et en Jordanie », on peut penser que ce n’est qu’une formule pour « brouiller les pistes », « frapper les esprits » ; Trump sait très bien que les frontières de la Jordanie et de l’Égypte sont reconnues internationalement et donc sont étanches. La Palestine n’est plus ce qu’elle était lorsqu’elle était sous mandat britannique, en 1922-1947, où on pouvait déplacer par les armes, par la violence des populations entières qui fuyaient d’être tuées ; l’exode de 1948 ne peut se répéter aujourd’hui. Une telle proposition est intenable et Donald Trump le sait.
Et si on déplaçait alors la population de Gaza qui compte 2,3 millions, pourquoi « ne pas déplacer aussi la population de Cisjordanie en Jordanie » et ainsi mettre fin à 75 ans de guerre et de résistance armée du peuple palestinien. Et laisser toute la Palestine à Israël. C’est précisément là la tactique de Trump pour « frapper les esprits » en proposant l’impossible pour voir les réactions.
Et pourquoi Donald Trump a invité le Premier ministre israélien, en premier, au début de son mandat ? Et selon les médias américains, la semaine prochaine, il invite le roi de Jordanie.
La raison qui apparaît logiquement et qui lie le Premier ministre israélien au monarque jordanien, c’est qu’Israël compte près de 2,5 millions d’Arabes Palestiniens avec Jérusalem-Est depuis son annexion, et la Jordanie compte 3 millions de réfugiés palestiniens, soit au total 5,5 millions de Palestiniens.
Avec la Cisjordanie qui compte 3,3 millions de Palestiniens et la bande de Gaza qui compte 2,3 millions de Palestiniens, soit 5,6 millions. La population palestinienne totale entre les deux pays et les Territoires palestiniens occupés s’élèvent à 11,1 millions de Palestiniens. Alors que la population israélienne qui compte 10 millions dont il faut retrancher les 2,5 millions d’Arabes Palestiniens ne compte que 7,5 millions de Juifs israéliens.
Le président Trump sait ses rapports démographiques entre la population israélienne et la population palestinienne, et il faut encore souligner que les réfugiés palestiniens dans les autres pays notamment au Liban et en Syrie comptent pour les deux pays environ 1 millions de Palestiniens, soit 12,1 millions de Palestiniens. Presque le double de la population israélienne.
Et le président Donald Trump, comme il a prêté serment et déclaré dans son discours, le 20 janvier, qu’« une balle d'assassin m'a transpercé l'oreille, et j’ai été sauvé par Dieu », il est clair que le « miraculé politique » apportera ce qu’il faut pour régler la guerre à Gaza et en Ukraine ; il apportera la paix comme il a réglé la crise nord-coréenne, en 2018-2019 ; une guerre qui allait éclater entre la Corée du Nord et les États-Unis.
Le président Donald Trump ne peut oublier ce qu’il a enduré pendant quatre années, en procès, en tribunaux ; et s’il revient de loin, personne ou presque n’imaginait sérieusement l’ancien président faire son retour au premier plan. C’est simplement qu’il croit à sa bonne étoile. « Et à qui doit-il sa bonne étoile ? » Une seule réponse, « elle est en lui et en sa foi. Le reste viendra tout seul. »
Medjdoub Hamed
Chercheur
Notes :
1. « Donald Trump prétend pouvoir mettre fin à la guerre en Ukraine en 24 heures », par Le Parisien Le 17 juillet 2023
https://www.leparisien.fr/international/donald-trump-pretend-pouvoir-mettre-fin-a-la-guerre-en-ukraine-en-24-heures-17-07-2023-QLYKYX4H4ZBZZOX6BLFXF54D4E.php
2. « Voyez l'intégrale du discours d'investiture présidentielle de Donald Trump à Washington », le 20 Janvier 2025
https://www.noovo.info/video/voyez-le-discours-integral-de-trump-a-son-investiture-presidentielle.html
3. « Trump et Kim Jong-un : le jour où le président américain a proposé de ramener son homologue nord-coréen à bord d'Air Force One » Par BBC News Afrique. Le 23 février 2021
https://www.bbc.com/afrique/monde-56167610