lundi 15 octobre 2018 - par gerard

Le niveau de la mer ne présente pas d’accélération de sa hausse

 

Alors que le GIEC annonce des hausses catastrophiques du niveau de la mer d’ici la fin du siècle, on peut s’étonner que cette vitesse soit linéaire depuis un siècle. Si le CO2 était en cause comme l’ indique le GIEC, il devrait y avoir une corrélation avec la hausse de ce gaz dans l’atmosphère (+33% en un siècle), or il n’y en a pas.

Constatons que les données recueillies par les marégraphes installés depuis plus de 100 ans dans la plupart des pays du monde, montrent une progression tout a fait linéaire de cette élévation.
Par exemple Brest donne +1,2mm.an soit 12cm par siècle. Pas de quoi s’inquiéter outre mesure.
Selon REFMAR , http://refmar.shom.fr/fr/applications_maregraphiques/niveaux_moyens_des_mers la hausse moyenne dans le monde depuis les marégraphes est de 1 à 2 mm/an.
Encore plus étonnant certains pays voit le niveau de la mer baisser, en scandinavie par exemple stockholm est à moins 3,8 mm/an.



                                                                             Les médias nous assomment avec les iles TUVALU ou SALOMON dans le pacifique et les futurs « réfugiés climatiques « certe la hausse est plus forte que la moyenne (+3,7mm/an) mais le contexte tectonique est complexe avec l’enfoncement de la plaque Pacifique sous la plaque Australienne et la baisse de la croute terrestre sous ces îles.

                                                                             Ces chiffres sont évidemment génants pour les partisans du réchauffement d’origine humaine car ils ne montrent pas d’influence.
Les mesures satellitaires mises en place depuis 20 ans montrent une hausse plus importante de 3mm/an. 
Mais la critique des spécialistes sur ces mesures est que les points de référence sur terre ne sont pas indépendants les uns des autres, cette divergence avec les marégraphes laisse supposer que le calage n’est pas fiable par rapport aux mesures in situ.


La hausse du niveau marin est continue depuis 18000 ans et est liée a la progression des températures globales depuis la derniére glaciation avec +120m.
En conclusion, ce faux scénario catastrophe occulte les vrais scénarios noirs qui menacent notre civilisation : 
un conflit nucléaire, l’érosion des sols agricoles, la pénurie des ressources fossiles, la hausse de la population, la pollution chimique, etc.. Nous en reparlerons dans de prochains articles.
Les ONG qui défendent la planète se trompent de priorités et se focalisent sur un phénomène marginal qui suscite peu d’adhésion et de sensibilité des citoyens. 

 



133 réactions


  • Christian Labrune Christian Labrune 15 octobre 2018 17:40
    Le GIEC nous avait dès longtemps prévenus : en 2015, les calottes polaires auront probablement disparu.

    Que d’eau ! Que d’eau !

    L’autre jour, j’ai renversé un pot à eau dans la cuisine. Un litre d’eau sur le sol, une vraie petite inondation ! Eh bien, je me suis muni d’une grosse éponge, et en très peu de temps toute cette eau s’était retrouvée dans l’évier.

    Il n’est pas difficile de comprendre que si le niveau de la mer ne s’est pas élevé malgré la fonte des calottes polaires, c’est à cause des éponges : il y en a partout dans la mer, et des vraies, des « bio », bien plus efficaces que les éponges synthétiques !

    Cette simple observation très empirique est de celles qui devraient séduire le GIEC, où les vrais « scientifiques » sont si nombreux.

    • Sergio Sergio 15 octobre 2018 21:13

      @Christian Labrune


      Mais Christian, si l’éponge reste dans l’eau, c’est comme si les poissons buvaient l’eau !

    • Christian Labrune Christian Labrune 16 octobre 2018 15:31
      Mais Christian, si l’éponge reste dans l’eau, c’est comme si les poissons buvaient l’eau ! 
      ...............................................................
      @Sergio
      Excellent remarque. Une solution serait l’élevage intensif de poissons très gros buveurs qui feraient très vite baisser le niveau des océans. C’est pour cette raison que les écologistes, dans leur très grande sagesse, s’opposent à des pratiques de pêche industrielle fatales à certaines populations

      Mieux encore que les poissons, il y aurait les cétacés qui, en raison de leur taille, boivent beaucoup plus, et sans soif.




  • blablablietblabla blablablietblabla 15 octobre 2018 18:26
    Ben dis donc, en ce moment la population du département de l’Aude disent que c’est la première fois qu’ils voient ça 10 décès .les commentateurs habituels d’Agora me font penser à l’orchestre du Titanic avec leur chef Gérard pendant qu’il sombré ils continuaient à jouer .
    Le dérèglement climatique est d’origine anthropique , pour une simple raison depuis deux siècles la révolution industriel jusqu’au jour d’aujourd’hui on continue à utiliser le pétrole et ses dérivés , etc...charbon. Renseignez vous ce que consomme comme carburant un porte centenaire et vous allez comprendre ou un avion multipliez les milliers d’avions et bateaux sur la planète qui carburent au pétrole , et ou va t-il ce pétrole cramé ? Allez allez dite le moi et vite je suis pressé.

    • gerard 15 octobre 2018 19:00

      @blablablietblabla
      Que pensez vous de l’érosion des sols agricoles dans ce secteur de viticulture et mais intensif ,ou les sols dégradés n’absorbent plus l’eau ?
      Ces phénomènes de crues sont récurrents dans les régions agricoles,ou alternent sécheresses et inondations.Les coulées de boues viennent des limons et argiles les plus fertiles qui sont otées des sols.


    • blablablietblabla blablablietblabla 15 octobre 2018 19:38

      @gerard

      "Que pensez vous de l’érosion des sols agricoles dans ce secteur de viticulture et mais intensif ,ou les sols dégradés n’absorbent plus l’eau ?"

      Pas partout , dans les Cévennes y a pas ce problème , oui certaines contrées en France c’est possible.

  • baldis30 15 octobre 2018 18:48

    bonjour, et merci à l’auteur !

    il faut compléter l’article sur le problème des marégraphes et des niveaux de la mer :

     D’abord les rebonds isostatiques, dont celui du bouclier scandinave parfaitement connu ; dans ce même ordre d’idée il faut tenir compte, et on commence à le faire, de la subsidence de la partie de la mer du Nord due à l’exploitation des hydrocarbures gazeux et liquides ... les valeurs de subsidence en mer sont époustouflantes ... notamment dans la zone d’Ekofisk !

    plus près de nous dans l’espace, à Marseille on peut admirer, les pieds bien au sec les vestiges du port de Phocée plus de cinq mètres au-dessus du niveau actuel du Vieux-Port ! ce doit être le refroidissement climatique à moins que les grecs eussent construit en ce point un « dioklos ».... disons de Marseille à Bordeaux comme ils le firent antérieurement !

     toujours dans le delta du Rhône pris au sens large, les mesures topographiques faites depuis deux cent ans et reprises grâce à l’aide des relevés dans anciens chemins de fer dit d’intérêt local ont montré une surrection de l’ordre de cinquante centimètres .... et le niveau relatif de la mer que devient-il ?

    enfin pour rester au bord de la Méditerranée et pour ceux qui connaissent le phare de l’Espiguette et autres plages du Grau-du-Roi qu’ils consultent les photos anciennes et comparent ... à moins qu’un esprit malin ait installé une gigantesque pompe invisible !

    Lors du grand séisme d’Alaska des surrections de l’ordre de douze mètres ont été constatées ... ce fut facile parce qu’on se trouve dans une zone développée bien mesurée ... mais quid des mêmes données lors du séisme de Sumatra auquel on attribue 300.000 morts.....

    Oublions les champs Phlégréens dans la baie de Naples... tant que les ruines de Baia ne remontent pas à la surface on peut espérer la tranquillité vocanique !


    • Gasty Gasty 16 octobre 2018 08:45

      @baldis30

      Je ne sais pas mais si le Japon devait disparaitre demain ... si ce serait dû à une montée brutale du niveau de l’océan pacifique ou juste l’effondrement du pays dans la fosse.


    • JC_Lavau JC_Lavau 16 octobre 2018 09:09

      @baldis30. Glissement de Surte, 10 octobre 1950 sur la Göta, province de Göteborg. Argiles post-glaciaires, mais marines, donc déposées floculées. Peu à peu lessivées depuis qu’elles sont exondées par la remontée du bouclier finno-scandinave, elles se sont brusquement défloculées et ont glissé sur 150 m, sur 400 m de large et 600 m de long.

      La pente n’excédait pas 1/50 dans les 350 m aval, et 1/15 sur les 250 m amont.
       
      Oh ! mais c’est sûrement la faute du méchant dioxyde de carbone !

    • baldis30 16 octobre 2018 14:34

      @JC_Lavau
      bonjour,

      je connais ... c’est un classique mais il est bon de le rappeler ! outre le méchant dioxyde de carbone, comme on se trouve en Scandinavie les émanations gazeuses des bovidés du coin sont certainement aussi responsables : en termes élégants on appelle cela « lapsus qu’a l’anus »


    • JC_Lavau JC_Lavau 16 octobre 2018 22:46

      @baldis30. Les vaches norvégiennes sont petites, musclées et agiles. 

      Un mot encore à propos de ces vaches norvégiennes : en Norvège, achetez et buvez du lait ! Ou au moins des fromages, si votre intestin ne digère pas le lait. Cela n’a pas grand chose de commun, sauf le nom, avec le machin aqueux que nous buvons en Europe plus méridionale. Les deux charmants néerlandais qui en 1968 m’avaient pris en stop vers Åmot - « On a vu marcher un grand sac rouge, avec de petites jambes en dessous. On a voulu savoir ce qu’il y avait devant le sac ! » - m’ont confirmé : si la quantité fournie par une vache norvégienne est dérisoire en comparaison de ce que fournit une vache hollandaise, la qualité est exactement en proportion inverse.

      J’en profite pour répercuter un conseil d’un auteur norvégien (Ragnar Frislid) : Unngå kuer om du har hund med ! Avec un chien, évitez les vaches ! Le chien est assez agile pour s’en tirer, mais vous ? Vous risqueriez fort de ne jamais revenir raconter votre mésaventure.


  • Decouz 15 octobre 2018 18:56
    Trump n’y croyait pas, mais l’armée américaine y croit depuis des décennies et a pris des mesures en conséquence, les habitants proches de la côte en Floride commencent à déménager vers l’intérieur. La zone de l’Arctique devient navigable et se transforme en enjeu stratégique.
    La fonte de l’Antartique ne provient pas (essentiellement) de la température externe, mais des courants profonds, qui minent le soubassement avant que la couche supérieure de glace ne soit atteinte à son tour.


  • charly10 15 octobre 2018 19:07

    Le problème c’est que les océans ne sont pas un bac étanche et stable. Vouloir appliquer des théories brutes de dilatation, sans prendre en compte les dizaines de paramètres difficilement mesurables ; entre autre l’instabilité liée à la tectonique de plaques composantes le fond des océans, mouvements volcaniques sous-marins, etc. J’ai cherché quelques études allant dans ce sens ; j’ai  trouvé une information très récente : depuis quelques temps des chercheurs ont découvert sous la banquise polaire arctique une zone de sources chaudes hydrothermales. Y aurait-il un lien avec le réchauffement de l’océan ? L’étude n’en est qu’à ses débuts. 

    https://www.anguillesousroche.com/changement-climatique/decouverte-dun-ocean-cache-qui-se-rechauffe-sous-larctique/

    Les océans offrent un champ d’investigation dont la portée est considérable, et qui concerne la résonance des ondes océaniques  et planétaires : celle-ci permet non seulement d’expliquer et de reproduire fidèlement  la variabilité du climat à moyen et long terme, mais également les phénomènes du type  El Niño, la succession d’années sèches ou humides observées en Europe de l’Ouest depuis les années 70 …

    D’autre part, on sait très bien que quand il fait froid, les océans absorbent plus de CO2, et quand il fait chaud, c’est l’inverse, ils en rejettent davantage.

    Les océans entrent en résonance avec les cycles solaires et orbitaux, l’attraction de la lune et du soleil les fait varier en permanence.

     Les Océans emmagasinent de la chaleur ou au contraire la restituent. Le principe général est connu mais les études reposent essentiellement sur des calculs qui ne sont que des projections mathématiques assises sur des relevés inadaptés et systématiquement pondérés.

    Les océans représentent la majeure partie de la surface du globe et constituent un immense réservoir de CO2 contenant 60 fois sa quantité dans l’atmosphère.

    Les océans recouvrent les 2/3 de la planète ; ce ne sont pas des structures homogènes, il y a la couche qui subit la température et la lumière et sous la couche de transition (thermocline) à environ 300 mètres, les abysses dont on ne connaît encore pas grand-chose aujourd’hui.

     Alors affirmer  quoique ce soit dans ces conditions, relève de la gageure.  

     http://www.universalis.fr/encyclopedie/retraits-et-avancees-des-mers/3-l-influence-de-la-tectonique-globale/

     


    • baldis30 15 octobre 2018 19:17

      @charly10
      bonsoir,

      « sous la banquise polaire arctique une zone de sources chaudes hydrothermales »

       c’est connu depuis longtemps notamment de tous les sous-mariniers : cela s’appelle la dorsale Lomonossov ( certainement encore un agent du KGB qui a allumé tous les fumeurs noirs et volcans de cette dorsale qui - horresco referens- va de l’Islande à l’embouchure de la Lena !) .

       Encore un coup de Poutine ! Sur le net on trouve même les photos de trois sous-marins US émergeant au pôle Nord ( de mémoire cherchez « nuclear submarine north pole emerge » )


    • charly10 16 octobre 2018 17:16


      @Baldis 30

      Bonjour

      Vous parlez justement des phénomènes tectoniques, subsidences et surrection, c’est une question qui m’interpelle beaucoup, particulièrement savoir si on peut inclure ce paramètre de façon fiable dans les études de variation du niveau des mers. 

       Savez-vous s’il existe une étude ou une thèse dans ce sens au sein des milieux scientifiques géologiques ?


    • baldis30 21 octobre 2018 17:57

      @charly10
      bonsoir,

       Je réponds tardivement à votre question : oui on doit tenir compte des surrections et subsidences !

      Pour des cas évidents comme les grands séismes d’Alaska ou de Sumatra, aucune discussion possible est-ce douze mètres ou dix ou quatorze ... peu importe ! Pour le cas marseillais où le port grec est situé à plus de cinq mètres au-dessus du vieux-port il s’agit d’un phénomène lent, comme ceux que l’on constate en Californie .

      Sur des temps géologiques plus longs disons le million d’années, Jean Goguel difficilement contestable cite le cas de la Costière de Nîmes pour une surélévation de plus de 200 mètres érosion comprise. De même pour le changement de lit du Rhône vers Aramon en raison du relèvement du seuil de Montfrin d’environ une cinquantaine de mètres depuis 300.000 ans ( mais là on est en plein dans un rift - pas besoin d’aller en Somalie pour en voir un cela existe bien en France sur un millier de kilomètres ) . Alors séismicité brutale ou séismicité lente - contrecoups des plissements pyrénéo-provençal et alpin encore en cours - dans ce dernier cas où l’isostasie ( cas scandinave) n’est pas en cause.... pour moi les deux ... 


    • baldis30 21 octobre 2018 18:15

      @baldis30

       un complément : l’auteur a donné les côtes à Brest ! Formidable ! initialement je n’avais pas prété attention ....

      Mais la Bretagne est soumise à une séismicité permanent, certes diffuse mais réelle et quelquefois ressentie ( par exemple au large du Mont-Saint-Michel, avec des épicentres actuellement plus situés vers les îles anglo-normandes ! mais au large de Brest on a constaté aussi une séismicité actuelle ... séismicité lente mais réelle ... voir les données quotidiennes sur le problème) : le sillon armoricain existe ... et est encore actif !

      Les plus curieux iront rechercher la représentation de la zone avant l’ouverture de l’Atlantique et constateront les similitudes géologiques avec par exemple les Appalaches ...


  • zygzornifle zygzornifle 15 octobre 2018 20:05

    Les morts et la mer viennent jusqu’au port ....


  • Armand Griffard de la Sourdière Armand Griffard de la Sourdière 15 octobre 2018 21:34

     
     Avec la fonte de la banquise , on va en retrouver des bouteilles vides derrière les igloos ! smiley


  • troletbuse troletbuse 15 octobre 2018 21:43

    La montée des eaux, c’est la faute aux pécheurs d’éponges.


  • Désintox Désintox 15 octobre 2018 22:39
    Il me semble que la hausse passée et prévisible du niveau de la mer est déjà modélisée. Les prévisions ne sont guère optimistes.

    Je ne comprends pas l’utilité de ce genre d’article. Mais il est vrai que, quand le glaçon fond dans votre verre de pastis, le niveau ne monte pas.

    • velosolex velosolex 16 octobre 2018 00:33

      @Désintox
      Ce genre d’article est très courant ici., même en dehors du premier avril....

       A mon avis un esprit supérieur s’en sert pour tester le niveau de la connerie ambiante, et le compteur de crédulité...
      .Je crois pouvoir dire les conclusions, au pif, sans avoir le nobel de physique 
      Le niveau baisse considérablement. 
      Je doute pour autant que ça puisse avoir une incidence sur la montée des eaux qui ne se laissera pas impressionner par la démagogie
      Finira t’on noyé, ou irradié, ou affamé, ou cuit par le soleil comme une tortilla ?
      Jerome Bosh avait tout vu. ( rien à voir avec la marque de machine à laver)
      « La vie est une farce dite par un idiot » disait shakespeare, qui n’avait pas connu pourtant le pire. 

    • JC_Lavau JC_Lavau 16 octobre 2018 08:27

      @Désintox. Yep ! Le menteur ne voit pas d’utilité à ce qu’on démonte ses mensonges.


    • jalin 16 octobre 2018 11:24

      @JC_Lavau

      Ferme la, c’est toi le menteur éhonté.

    • Manu Manu 16 octobre 2018 19:28

      @Désintox

      L’auteur présente des données de référence pour étayer son propos. Et vous, avez-vous des données montrant l’accélération de la montées des eaux ?


    • JC_Lavau JC_Lavau 16 octobre 2018 22:41

      @Alcyon : « Climate-change–driven ». Voilà qui trahit qu’ils écrivent aux ordres.

      Aucune indépendance scientifique ne sera tolérée.

    • Aita Pea Pea Aita Pea Pea 16 octobre 2018 23:34

      @arthes

      En fait le blême est que quand toi dans le sud où y fait chaud, et moi dans le nord où que ça caille le volume de flotte est inégal pour un poids égal ...d’où le blême de la dose de pastis pour faire des prix correcs et équivalents dans tout l’ hexagone.


    • JC_Lavau JC_Lavau 16 octobre 2018 23:37

      @Alcyon. Marion Tafani aussi a écrit que pour pouvoir continuer à étudier les tactiques adultérines des marmottes femelles dans ses vacances idylliques dans le cadre grandiose de la Grande Sassière, il faut raconter à son autorité de tutelle qu’on étudie le changement climatique. C’est le principal moyen d’avoir des sous. Elle est comme ça, la bureaucratie aux ordres.


    • Manu Manu 17 octobre 2018 13:22

      @Alcyon

      Pour ce qui est de la non accélération, les données sont issues du site de référence en la matière : http://refmar.shom.fr

      Pour le reste, l’auteur mentionne juste que le niveau des océans augmente depuis la dernière glaciation.


  • Matlemat Matlemat 16 octobre 2018 14:36

    L’eau des océans du monde met environ 1000 ans pour se mélanger entièrement, les conséquences du réchauffement de ce dernier siècle se feront donc sentir dans 900 ans.


  • Gilbert Spagnolo dit P@py Gilbert Spagnolo dit P@py 21 octobre 2018 18:03

    Ben oui, pour la survie de l’humanité la montée des océans que du pipi de chat par rapport à tous les molécules chimiques que nous ingurgitons, surtout celles qu agissent sur la fertilité des hommes , et sur malformations des organes génitaux de bébés.


    Allez pour changer d’ambiance la chanson : « Quand la mer monte, j’ai honte », par : Raoul De Godewarsvelde ,et les : Compagnons de la chanson,



    @+ P@py


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