Le niveau de la mer ne présente pas d’accélération de sa hausse
Alors que le GIEC annonce des hausses catastrophiques du niveau de la mer d’ici la fin du siècle, on peut s’étonner que cette vitesse soit linéaire depuis un siècle. Si le CO2 était en cause comme l’ indique le GIEC, il devrait y avoir une corrélation avec la hausse de ce gaz dans l’atmosphère (+33% en un siècle), or il n’y en a pas.
Constatons que les données recueillies par les marégraphes installés depuis plus de 100 ans dans la plupart des pays du monde, montrent une progression tout a fait linéaire de cette élévation.
Par exemple Brest donne +1,2mm.an soit 12cm par siècle. Pas de quoi s’inquiéter outre mesure.
Selon REFMAR , http://refmar.shom.fr/fr/applications_maregraphiques/niveaux_moyens_des_mers la hausse moyenne dans le monde depuis les marégraphes est de 1 à 2 mm/an.
Encore plus étonnant certains pays voit le niveau de la mer baisser, en scandinavie par exemple stockholm est à moins 3,8 mm/an.
Les médias nous assomment avec les iles TUVALU ou SALOMON dans le pacifique et les futurs « réfugiés climatiques « certe la hausse est plus forte que la moyenne (+3,7mm/an) mais le contexte tectonique est complexe avec l’enfoncement de la plaque Pacifique sous la plaque Australienne et la baisse de la croute terrestre sous ces îles.
Ces chiffres sont évidemment génants pour les partisans du réchauffement d’origine humaine car ils ne montrent pas d’influence.
Les mesures satellitaires mises en place depuis 20 ans montrent une hausse plus importante de 3mm/an.
Mais la critique des spécialistes sur ces mesures est que les points de référence sur terre ne sont pas indépendants les uns des autres, cette divergence avec les marégraphes laisse supposer que le calage n’est pas fiable par rapport aux mesures in situ.
La hausse du niveau marin est continue depuis 18000 ans et est liée a la progression des températures globales depuis la derniére glaciation avec +120m.
En conclusion, ce faux scénario catastrophe occulte les vrais scénarios noirs qui menacent notre civilisation :
un conflit nucléaire, l’érosion des sols agricoles, la pénurie des ressources fossiles, la hausse de la population, la pollution chimique, etc.. Nous en reparlerons dans de prochains articles.
Les ONG qui défendent la planète se trompent de priorités et se focalisent sur un phénomène marginal qui suscite peu d’adhésion et de sensibilité des citoyens.