dimanche 10 mars 2013 - par Simple citoyenne

Le parasite au travail

Pervers prenez vos comprimés et laissez les autres travailler !

Les personnes qui pourrissent la vie des salariés et d’une entreprise, les petits chefs qui ignorent même l’existence de chef au-dessus d’eux et qui ignorent jusqu’aux lois qui protègent portant ceux, qui, à cause d’eux, vivent un véritable enfer au travail ; ces spécimens finissent presque par me fasciner ; car malgré leur bêtise crasse, ils ont une faculté certaine, celle de la persévérance ; ces jusqu'au-boutistes du pourrissement envers et contre tous ont une incapacité chronique à comprendre qu’ils sont là pour travailler et pas jouer les p’tits bras faute d’être pourvu de cerveau ; ce parasite est aussi résistant qu’une Escherichia Coli (la bactérie à la mode) qu’aucun antibiotique n’arrive à jamais combattre ; le Harceleur.

Increvable et toujours au poste

Ce qui m’inquiète ce sont ces salariés harcelés qui vont tels des héros au travail et le dégout au ventre tout en avalant de travers et en riant jaune face à l’attitude inappropriée de ces nuisibles qui n’ont pas leur place dans une entreprise sauf sur un divan d’un psychanalyste qui calmerait enfin leurs petites ardeurs mesquines et qui s’ils brillaient définitivement par leur absence donneraient enfin une véritable bouffée d’air à pas mal de salarié. 

« J’affronte l’emmerdeur de service tous les jours donc je me sens être un héros »

Oui moi ce qui m’inquiète ce sont les salariés harcelés qui oublient qu’ils ont bel et bien des droits et qui prennent pour un véritable défi personnel celui de combattre une fouille merde au boulot qui l’empêche de bosser l’esprit tranquille. « Il faut se battre dans la vie » me dit une salariée de mon hypermarché « après avoir vaincu un divorce, une maladie, et maintenant un harcèlement, je me bats car je me suis toujours battue » m’a-t-elle dit, et offensée, je l’ai compris seulement maintenant quand je lui ai dit qu’il existait des associations mais que le mot association pour certains peut rimer avec nunuche et faiblarde ; « Sachez que je n’ai jamais eu besoin d’aucune d’association pour me battre dans la vie d’accord ? ! » s’étrangle-t-elle blanche de rage ; sauf qu’association rime surtout avec juriste, professionnel et efficacité bien réelle. 

Les associations guident et rappellent les droits et elles évitent littéralement de se faire écraser par des gens qui pensent agir en toute impunité car si celui qui subit ne sait pas qu’il est normalement protégé l’auteur le sait encore moins ; à moins d’être avocat soi-même. 

Une salariée qui subit les assauts répétés d’un autre salarié qui menace, qui intimide et qui l’abreuve de propos déplacés, car « Quand il va un peu trop loin, je souris et je laisse tomber » me dit-elle ; bref un vrai calvaire quoi… et bien ceci ne doit pas être pris pour un défi personnel ni même une catastrophe naturelle dans la vie que de subir un harcèlement quotidien sur son lieu de travail ; ceci n’a rien de naturel dans une vie car ce n’est pas une maladie, ou encore moins un divorce comme le pense cette salariée, ou même parce que c’est la vie et que c’est comme ça et que ça en fait partie. Stop ! Stop ! Un harcèlement c’est un parasitage inutile et pour rien, c’est juste là pour pourrir la vie de l’autre et qui n’apporte rien sauf celui de détruire un individu et si le harceleur pourrit la vie des autres sur son lieu de travail, c’est qu’il l’a pourri aussi chez lui ; en conséquence, ce n’est parce que c’est vous, mais parce que c’est lui ; alors ce sera parti pour durer.

Le harcèlement au travail ou à l’école il est temps d’arrêter de faire les constats

Je vais essayer de ne pas faire un article sans queue ni tête, car si un énième thème sur le harcèlement au travail vient d’être abordé encore, c’était aussi pour aborder celui du harcèlement scolaire ; car même si celui-ci n’est pas le même qu’en entreprise où une attitude pernicieuse d’un adulte en vers un autre n’est pas la même attitude bien plus directe faite par des enfants en vers les autres, le constat est bien le même ; le harcèlement d’où qu’il vienne pourrit le quotidien et la finalité peut être terrible aussi ; le suicide ; et concernant les enfants l’actualité l’a prouvé avec ce petit bonhomme de 13 ans, harcelé par des crétins mal dans leurs peaux et à qui il aurait fallu un bon suivi psychologique. Mais voilà c’était sans compter sur notre grande spécificité française ; car dans le drame de ce petit bonhomme il y a cette phrase rapportée par les médias et criante de bêtise, lisez-bien « Le collégien, dont on avait repéré les difficultés relationnelles avec ses camarades » la grande lâcheté dans toute sa splendeur. Voilà ; ce n’est pas le harceleur qui a des difficultés relationnelles avec les autres ; c’est la victime qui est coupable d’être en difficulté relationnelle avec les autres ; ça n’est plus possible de lire des constats aussi pleutres ; et de pleurer pour les harceleurs on n’en n’est pas si loin oui les pauvres. (Ou les harceleuses)

Le programme Kiva en Finlande un succès réel qui a réduit de moitié ces comportements.

Si j’ai abordé très vite et mal le harcèlement à l’école c’est pour informer des programmes créés en Angleterre et en Finlande dont le programme Kiva, -Kiva. Casser la dynamique perverse du harcèlement et persuader la majorité silencieuse d’avoir le courage de montrer leur réprobation et de soutenir la victime- ces programmes auraient fait baisser de moitié ces comportements odieux. En France on doit agir vite et arrêter de constater.

Concernant les adultes il y a toujours des associations et même l’inspection du travail vous sera bien utile, ne négligez rien, ne vous sentez pas offensé dès que l’on aborde le mot association ça ne veut pas dire faible devant la vie car les conseils sont précieux je parle en connaissance de cause car j’en ai été plusieurs fois témoin et ne pas vouloir profiter de ce que les associations vous offrent gratuitement c’est faire un rallye avec l’absurde ; ou alors réagissez ; car si certains vous conseillent de vous tenir éloigné pour se protéger, moi je dis stop ça suffit, il faut être solidaire et montrer une réprobation en groupe contre le harceleur qui est le plus souvent seul, alors que les salariés sont en plus grand nombre dans une entreprise ; soutenir, ne pas laisser tout seul un ou une collègue même s’il ne veut pas faire de démarche montrer que vous êtes là, avant qu’il ne se ferme comme une huitre et qu’il soit trop tard.

Quelques associations d’aide aux victimes 

Stop-Harcèlement Sexuel deux numéros gratuits

Un numéro dédié aux femmes victimes de violences

Autres

Service du SAJIR – Établissement de l’APCARS numéro vert

Défenseur des droits

N’oubliez pas l’inspection du travail de votre département

N’oubliez pas la Maison de justice et du droit.

Agir contre le harcèlement.gouv

FCPE efficacité redoutable

Même si ces associations ci dessus ne sont pas dans votre département elles vous guideront vers d’autres.

 



92 réactions


  • alinea Alinea 10 mars 2013 15:46

    Je pense que si le harceleur a les coudées franches, c’est bien parce que les autres, les témoins, préfèrent être aveugles ! La grande solitude du harcèlement est exactement là. Et puis, tout le monde n’est pas harcelé, en entreprise, je pense que celui qui l’est a un sacré caractère, qui défrise sa hiérarchie immédiate ; ce caractère, bien souvent, empêche la demande d’aide.
    Bref quand tout sera vu de manière aussi neutre - ce qui est- que cela est décrit dans l’article, on peut dire que le harcèlement n’existera plus ou quasi !


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 16:27

      Bonjour et merci de votre réaction, en effet le gros caractère  doit empêcher la demande d’aide qui est un peu d’orgueil et que je  comprends complètement, car moi je suis orgueilleuse ; sauf où il faut réaliser que cette situation est complètement hors norme dans le monde du travail et même ailleurs, car cela doit être une vraie prise de conscience. Concernant les témoins qui préfèrent êtres aveugles c’est justement là le but de cet article car  j’insiste sur le fait de mettre fin à cette lâcheté. Si j’ose dire. Concernant également l’isolement, la personne harcelée a tendance à s’isoler d’elle-même ; je conseille à la victime de ne pas avoir peur de continuer à aller vers ses collègues. Conseil précieux.

       


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 19:00

      Bonjour à vous SelenaOndirignee

      Le conseil sur lequel j’insiste également c’est de ne pas s’isoler soi-même l’orque ce problème nous tombe dessus dans notre entreprise ; ne pas avoir peur d’aller vers ses collègues c’est aussi une technique. Par exemple : certes un collègue me fait la misère au travail mais rien ne m’empêche de m’adresser à mes autres collègues pour demander les renseignements habituels sur telles ou telles choses concernant mon travail ! Tout simplement parce qu’ils ne vont pas se mettre courir en me voyant ? C’est tellement évident !  Ce serait presque comique quand même ! Et en effet il est très difficile démontrer certains mécanismes, mais en générale, même si les témoins se taisent beaucoup s’en rendent compte quand même.


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 19:04

      @ SelenaOndirignee

      Je voulais également ajouter que ce sont ces même témoins qu’il faut faire réagir !


    • appoline appoline 11 mars 2013 17:16

      Bien vu Alinea et je rajouterais qu’une bonne baffe dans la gueule a l’avantage de remettre les idées en place si les autres arguments ne fonctionnent pas.


  • Jean-Louis CHARPAL 10 mars 2013 17:09

    Il paraît que nous avons un Gouvernement de gauche.

    Or nous savons bien que ce problème de harcèlement au travail a pris une ampleur considérable depuis le triomphe de l’ultra libéralisme sans pitié.

    Un tel Gouvernement ne devrait-il pas s’attaquer vigoureusement à ce problème ?

    Que fait-il à ce sujet ? La réponse est simple : rien !

    Il est vrai qu’on ne peut à la fois être au service du MEDEF et au service du peuple !


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 17:31

      Bonjour à vous et merci de votre lecture, l’ultralibéralisme incite évidemment à des comportements odieux, telle que cette histoire, dont je ne retrouve pas le lien mais qui s’est passée dernièrement où dans une entreprise les employés étaient notés avec des Smiley à la limite de la menace ! Compter sur un gouvernement ? C’est à nous tous d’agir quand nous sommes face à ces comportements inacceptables et comme je l’indique aussi dans l’article et soyons au service du peuple.


    • appoline appoline 11 mars 2013 17:19

      Pour cela il faudra que notre gouvernement ait des couilles, ce qui n’est pas son cas. Le ménage à faire dans la fonction publique concernant le harcèlement risquerait de mettre sur la touche une bonne partie des chefaillons qui, mis à part se masturber leurs quelques neurones, ne font pas grand chose d’autre.


  • Yvance77 10 mars 2013 17:18

    Salut,

    Ce genre d’excès de caporalisme m’est arrivé il y a peu. Au Fairmont Monaco - le nom est vrai et je me ferais ce point d’honneur, et s’ils veulent me poursuivre libres à eux, je suis leur homme au tribunal !

    Je pars sur un contrat saisonnier. Aucune erreur, jamais en retard, disponible, courtois et aimable avec la clientèle... je pense savoir faire d’un bon professionnalisme. Mais ce n’est jamais assez pour certains. Huit heures à rester debout, derrière un comptoir, c’est long, les jambes brulent... et quand ces heures sont en plus de nuit, je garantis que cela compte double.

    Je faisais une pause vers les quatre du matin, jusqu’à ce que le manager de nuit refuse et m’impose de la prendre immédiatement à mon arrivée. Ce qui fait qu’ensuite c’est toute la nuit debout sans quitter le comptoir. Je m’étonne et refuse. Le début des ennuis et mesquineries en tout genre. Jusqu’à ce que je dise que cette personne (Walbrecq) se comporte d’une manière sadique. Son plaisir voir les autres en chier, lui étant assis royalement, tel Caesar sur son trone, le regard scrutant au loin. Et ces collègues pas mieux hormis un. Le second étant le péteux de service, celui qui pige que dalle au job, et poignarde dans le dos... tout le mode sa mère y compris.

    Je me plains de cela au délégué du personnel. Et à la chef de service (Massiera), tout comme les ressources humaines (Boucicot) sont plus fait pour continuer d’enfoncer la tête sous l’eau à ceux qui se noient. Donc rien... et la grande direction de toute façon s’en fiche et couvre cela. Un jour de formation, ou l’on me demande d’être honnête, je le suis et je savais bien que j’allais signer mon arrêt de mort. Devant les bleues bites, j’avoue qu’il traine une ambiance assez malsaine, et qu’il serait bien de faire quelque chose.

    Deux semaines plus tard on ne me renouvelle pas le contrat - que de toute façon je ne souhaitais pas !

    Mais cela en dit long sur la lâcheté des gens, le manque de courage d’une hiérarchie, et surtout du silence d’une direction plus appliquée à distribuer la schlague que de veiller à la bonne santé mentale au sein de la société.

    La seule envie que l’on a après cela c’est de leur foutre à tous un poing en pleine gueule, mais tout ce qui précède ne comptera jamais au yeux de la justice, ce que font subir ces salauds est bon pour le teint sans doute !


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 18:01

      Bonjour à Yvance 77 et merci également pour votre lecture, vous êtes parti et c’est tant mieux, vous le dites vous-même, votre intention n’était pas de renouveler leur contrat d’exploitation, que dis-je, pardon, leur contrat de travail, (qui visiblement n’était pas un CDI) et peut-être que de toute manière ça n’était pas dans leur intention également de ne pas renouveler le contrat si tel est leur politique d’embauche, un jour de formation on vous demande d’être honnête ? Et bien sans doute après l’avoir été, l’employé qui est passé après vous a dû profiter d’une certaine tranquillité on a dû lui foutre la paix grâce à votre honnêteté, mai j’en doute  un peu ; et dans c’est cas là aussi c’est rarement  l’employé des ressources « humaines » qui est aussi précaire que les autres qui   pourra vous aider ; c’est aussi le but de certaines entreprises de faire croire que vous êtes tout seul face à eux alors que si tout le monde à le courage de l’ouvrir et de s’ouvrir ( sans vouloir jouer les Bisounours) vous verrez que tout le monde pensent pareils mais il faut être comme vous courageux. Je vous l’écris car j’en ai été témoin avoir à faire même ne serait-ce à l’inspection du travail ça vaccine quand même.


    • manech42 manech42 10 mars 2013 21:48

      Pour Yvance77,


      Je te propose une solution, je l’ai testée et elle marche très bien.

      Un soir en quittant ton boulot tu suis discrètement celui qui te harcèle sans cesse, tu vois où il habite et tu repères bien les lieux puis tu détermine l’endroit le plus approprié pour un guet apent, tu patientes en attendant l’hiver et puis un jour tu te décides, ce sera pour ce soir, le soir venu tu quittes ton boulot en quatrième vitesse et te rend à l’endroit que tu as prévu, tu planques ton véhicule et tu attends, il arrive et passe devant l’endroit où tu t’es planqué, il te dépasse et tu lui assènes un grand coup de batte de base ball derrière la tête ce qui l’envoie au sol, ensuite tu frappes à nouveau et lui casse les deux genoux, et puis tu rentres tranquillement chez toi. Après deux mois de souffrance à l’hospital et à la rééducation il revient au boulot, soit il a compris et il est calme, soit tu patientes encore et tu recommences, soit sur qu’il se lassera avant toi, surtout sois prudent et ne parles à personne de tes agissements. 

    • epicure 11 mars 2013 01:43

      ou alors, il porte plainte et obtient réparations et peine de prison car lui a des preuves matérielles contre toi, alors que ce que tu auras à présenter contre lui sera moins solide face à une agression armée au niveau juridique.
      Harceleur rime souvent avec manipulateur, et sait profiter de toutes les failles du systèmes pour passer pour une victime et avoir la justice de son côté quand c’est le cas.
      Il vaut mieux passer par des voies légales plutôt que de passer pour l’agresseur aux yeux de la justice.


    • julius 1ER 11 mars 2013 08:44

      je trouve que tu fais bien de citer des noms, car ces gens croient toujours bénéficier d’une impunité totale, ces petits chefs ne sont pas là par hasard, ils sont le produit d’un modèle de management et ont été sélectionnés pour leurs qualités intrinsèques, cad pouvant appliquer les règlements sans remise en question et comme en plus la menace du chômage est là, c’est l’aiguillon pour faire avancer les gens, le chômage de masse associé au caporalisme est le cocktail parfait pour maintenir à flôt le système Ultra-libéral, rappelles-toi ce jeu télévisé ou l’on demandait à un panel de gens d’envoyer des décharges électriques de plus en plus intenses à une personne sous prétexte qu’elle n’avait pas été assez performante, à la fin les candidats se comportait en véritables tortionnaires et envoyaient des décharges électriques de plus en plus violentes tout en cherchant à avoir la caution de leur supérieur( bien sûr les décharges électriques étaient fictives mais les candidats ignoraient ce fait , en fait la démonstration se situait là on peut conditionner les gens et les pousser à faire des choses que de prime abord ils ne feraient pas, mais le système, la hiérarchie, sont là pour exercer une pression continuelle sur les esprits et valider des procédures qui seraient totalement rejetées en d’autres circonstances..........bienvenue dans le meilleur des mondes !!!!!!


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 09:30

      Bonjour à vous Manech 42

      Non sûrement pas ce n’est pas la bonne solution

      dans l’article il est fait mention de solidarité

      et surtout pas de violence, l’union fait la force.

       


    • appoline appoline 11 mars 2013 17:23

      Encore mieux, si tu as quelques copains qui peuvent te rendre service, n’hésite pas. Mon frère a testé, je te prie de croire que le harceleur a vu les choses, je dirais, différemment après cela. Tout avait été tenté pourtant et la justice ne pouvait ou ne voulait rien faire


  • alberto alberto 10 mars 2013 17:31

    Salut Yvance,

    Si tu ne trouves personne pour témoigner de ce que tu avances, ça risque d’être chaud...

    Bon courage !


    • Yvance77 10 mars 2013 17:42

      Salut,

      Bah un deuxième trou on ne le fera pas aussi... La seule chose qui pourrait arriver c’est que je ne puisse plus jamais travailler en principauté, mais au final, je me dis qu’une once de courage vaudra toujours mieux que leur lâcheté !

      Après il y a des traces, jamais d’erreur de caisses (les papiers existent, jamais en retard on pointe etc...)


    • Irina leroyer Irina leroyer 10 mars 2013 19:47

      et bien Yvance c’est très simple ils ont perdu un excellent éléments en ta personne, finalement c’est eux qui ont été perdant. et toi comme tu es performant tu as retrouvé immédiatement qq chose d’autre. 


      j’ai connu ça aussi par le passé, mais je ne me suis pas démontée et je suis partie et avec un chèque en plus .

      donc ce n’est pas tres grave.

      irina

    • Irina leroyer Irina leroyer 11 mars 2013 11:10

      Fatale !


      vous venez de vous dévoiler : il faut de la censure, il faut empêcher les autres de parler ! 

      Ce que votre esprit, terriblement limité et réduit, prend pour du cynisme n’est que du réalisme. Aussi je n’ai pas l’intention de m’arrêter de dire ce qui me semble vrai.

       quand à vous, Fatale, qui agissez masquée, vous n’êtes qu’une imposture ; La seule chose qui change par rapport a vos collègues masculins bobo gauchouillards majoritairement présents sur ce site, c’est que vous ne faites pas d’allusions sexistes, certainement du fait que vous êtes aussi une femme.

      c’est dommage, car a un certain moment, j’ai pensé que vous étiez assez évoluée et que vous étiez capable de réflexion. je me suis trompée à votre égard, vous ne savez que répéter inlassablement les idioties développée par vos gourous.

      Irina 

    • Irina leroyer Irina leroyer 11 mars 2013 12:24

      ta réaction de bobo gauchouillard aigri était prévisible. 


      c’est d’ailleurs l’intégralité de votre comportement et de vos intentions qui sont prévisibles !

      donc pas détonant que Flamby soit au pouvoir (même si ce n’est qu’une illusion)et que l’on continue a s"enfoncer...

      pauvre France

      Irina

    • lulupipistrelle 12 mars 2013 14:20

      @ Yvance77


      En principauté, le syndicat est un vrai syndicat... des durs de durs... tu devrais les contacter.

      Et puis tu peux aussi compter sur la médecine de travail... Il y a une femme qui ne mégote pas avec les rythmes du travail de nuit, et qui a déjà tenu tête à des personnes vraiment haut placées...

  • Venceslas Venceslas 10 mars 2013 17:38

    La crotte sur le gâteau.
    Dans un premier temps, je me délectais à lire l’article, jusqu’au moment où, devant mon oeil pantois, je vis la pub pour la « FCPE, efficacité redoutable ». Là, ça fout tout par terre. La FCPE pourrit la vie des profs, est capable de monter des cabales, dégoûte les jeunes de leur métier. Au secours. Ils sont même capables d’empêcher l’exclusion des élèves violents qui passent au conseil de discipline . (Forcément, ce sont les autres qui les supportent). A quand une association pour faire cesser le harcèlement de ces privilégiés ?


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 18:18

      Bonjour à vous Venceslas et merci de votre commentaire

      Je ne pensais sincèrement pas faire une pub car je ne fais pas partie de cette association.

      Mais là encore, pour en avoir été le témoin direct en 2005, (factuel) quand ils soutiennent, ils soutiennent. Qu’ils soutiendraient ou qu’ils empêcheraient une exclusion pourtant légitime d’élèves violents, selon vous, je ne l’espère surtout pas.


    • appoline appoline 11 mars 2013 17:27

      Chacun doit rester chez soi : les profs doivent enseigner et les parents élever leurs rejetons. Il est inadmissible que l’éducation nationale laisse envahir les écoles par ces cons de parents d’élèves, qui pour la plupart ont un demi poids chiche à la place du cerveau et ne manquent pas d’emmerder le monde


    • julius 1ER 11 mars 2013 17:38

      @Irina


      tu es marxiste , mais quelle tendance Groucho , Harpo, ou Chico ?????????????????

    • Irina leroyer Irina leroyer 14 mars 2013 04:06

      julius,


      ce marxisme la ne me derange pas bien au contraire

      Irina

  • Philippe VERGNES 10 mars 2013 18:50

    Bonjour Simple citoyenne,

    Merci pour cet article utile.

    Vous avez parfaitement raison : si nous souhaitons enrayer le harcèlement que nous constatons à tous les échelons de notre société, c’est sur les « témoins » de ce type d’agression qu’il faut agir.

    Tous les spécialiste le disent à commencer par Eric DEBARDIEUX, ancien directeur de l’Observatoire International de la Violence à l’École (son rapport de 2011 : « Refuser l’oppression quotidienne, la prévention du harcèlement à l’École »). Agir sur les spectateurs passifs à ce type de situation, c’est aussi ce que préconise Nicole CATHELINE, pédopsychiatre, dans son livre : « Harcèlement à l’école » paru en 2008 (cf. sa conférence du mercredi 4 février 2009 ici, d’autre sont visibles sur le site Agir contre le harcèlement à l’école.gouv.fr).

    Éric DEBARDIEUX a été nommé président de la délé­ga­tion minis­té­rielle char­gée de la pré­ven­tion et de la lutte contre les vio­lences en milieu sco­laire qui a été installé en novembre 2012. Un point d’étape sur les travaux de cette délégation a été dressé le mardi 26 février dernier.

    Ce problème est d’une importance cruciale, car si l’on ne peut pas agir au niveau de la prévention les risques de développer des troubles de la personnalité sont très important. Troubles la personnalité qui, un fois enkysté, se retrouvent à l’âge adulte sous les traits des « harceleurs ».


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 19:18

       Bonjour à vous Philippe Vergnes et merci pour votre lecture

       Merci également pour toutes ces informations aux quelles vous contribuez. Concernant les spectateurs passifs qui peuvent être des aussi adultes, leur désapprobations en vers l’auteur semblent être la solution, car ça fonctionne avec le  programme Kiva mis en place en 2006 en Finlande  et qui a fait ses preuves, car il aurait réduit de moitié ces comportements.

       


  • Rincevent Rincevent 10 mars 2013 19:08

    Il ne faudrait pas confondre pervers et harceleur, c’est de nature différente.


    - Le harceleur, que j’appellerais ordinaire : le petit chef, typique de l’organisation du travail en France, dernier maillon d’une chaine orientée plus sur la surveillance que sur une productivité bien pensée (le Français est spontanément fainéant, c’est bien connu). Il n’a donc pas toujours de vraie qualification dans sa branche, ce n’est pas nécessaire. Son comportement peut être aggravé par une vie où il n’est pas chef du tout, c’est du classique. On le connait, on le voit venir, on le supporte, on peut même arriver à le neutraliser plus ou moins (dans une équipe solidaire).


    - Le pervers lui, est infiniment plus dangereux,. Il se sert de son poste, quel qu’il soit, pour retirer une jouissance de la souffrance de l’autre. Là c’est beaucoup plus compliqué car, dans un premier temps, il avance masqué pour capter votre confiance. Une fois fait, le calvaire pourra commencer et la victime mettra un certain temps à comprendre ce qui lui arrive.


    A cela s’ajoute, depuis un moment, un troisième type généré par le manadgement : le nouveau cadre. Comme le premier, il n’est pas promu depuis la branche dont il s’occupe, il a fait une école pour diriger n’importe quoi. Pour avoir ce poste il a souvent dû signer un « contrat d’objectifs », c’est à dire faire passer, coûte que coûte, les exigences du boss. Après, selon les circonstances, il pourra aller jusqu’à faire craquer l’employé pas conforme, il a « bénéficié » pour ça de techniques adéquates dans sa formation. Quand c’est, par ailleurs, un pervers le mélange peut être explosif. Dans les histoires de suicide au travail, il y en a souvent un dans le trajet mais il est inaperçu.


    Je crains que votre proposition de passer sur le divan soit inappropriée : le premier n’aura souvent pas le niveau pour être accessible à la psychanalyse, le second ne verra vraiment pas pourquoi il devrait renoncer au bénéfices de son fonctionnement (d’ailleurs les psychanalystes le savent bien et les refusent) et le troisième, s’il se rend compte vraiment de son rôle, n’aura plus qu’à démissionner ou se flinguer…


    • Philippe VERGNES 10 mars 2013 19:21

      Bonsoir Rincevent,

      Je vous plusse.

      Difficile effectivement de passer sur le divan les individus que vous décrivez, c’est la raison pour laquelle il faut agir en amont avant que le problème ne se « chronicise » comme je le précisais plus haut.

      Les choses semblent doucement se mettre en place en France. C’est tant mieux, car nous n’accusons juste qu’un tout petit demi siècle de retard sur les pays scandinaves et les premières études sur cette problématique de harcèlement à l’école faîtes par Dan OLWEUS.


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 19:38

      Bonjour à vous Rincevent  et merci de votre lecture !

      Vous avez raison votre commentaire est tout à fait juste ; ils sont différents mais on peut les avoir tous au boulot et pervers, harceleur ou manageur sorti de son école de l’ultralibéralisme font les mêmes dégâts et la solidarité doit jouer.


    • julius 1ER 11 mars 2013 09:03

      il y a une panoplie de techniques pour exercer une pression psychologique sur les exécutants, rappelons -nous que sous le régime de Vichy, lorsque celui-ci s’est senti en péril et pour renforcer son pouvoir il allait dans les prisons « récupérer » les droits-communs pour renforcer la milice ces gens-là étaient les plus cruels car donner une arme à un assassin rend le système encore plus violent et bien sûr cela engendrait une dynamique de la violence, car les miliciens les moins zélés se trouvaient pris dans un engrenage ou les jusqu’auboutistes faisaient loi, car les ex-taulards bien sûr n’avaient plus rien à perdre, ils savaient que la fin du régime signifiait pour eux la fin de leurs privilèges, c’est pour cela que le régime de Vichy en 1943/44 est devenu de plus en plus violent dans la répression.........


    • Folacha Folacha 11 mars 2013 09:25

      Quand j’étais gamine, j’ai travaillé quelques mois dans une grande surface . Le mot d’ordre y était que, pour communiquer efficacement , tout le monde devait employer le même language .

      donc, à la fin de mon service, j’amène mon fond de caisse à la chefaillonne de service, qui revenait de « formation » :

      « Tiens voilà mon fond de caisse », je lui dit de façon je l’avoue inappropriée .
       Elle me répond ; « on ne dit pas un fond de caisse, on dit un »tiltré« (excusez l’orthographe, mais à part »tiltree« en anglais qui correspond à une espèce d’arbre, je n’ai jamais trouvé à quoi ça peut correspondre ...

      Le lendemain, fière d’avoir retenu ma leçon je lui dit : tiens voilà mon tiltré » elle arrete quelques secondes de mâcher son chewing-gum et me répond : « C’est quoi un tiltré ? » . smiley

      je pense que beaucoup d’entreprise choisissent leurs chefaillons pour leur QI déficient .

      A ce propos, tapez dans votre navigateur « management toxique »

    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 09:40

      Bonjour Folacha

      Merci pour votre témoignage et votre lien

      Oui c’est quoi un tiltré ?


    • Folacha Folacha 13 mars 2013 16:47

      Je crois qu’il faut s’y faire, ça restera un mystère ! smiley


  • gaijin gaijin 10 mars 2013 20:03

    oui +++++++++++++++++++
    sauf :
    « les petits chefs qui ignorent même l’existence de chef au-dessus d’eux »
    le petit chef de ce genre a généralement une hiérarchie idem
    et si lui est un ’ vrai « harceleur ( le même qui sévissait a l’école ) les autres ont fait des études pour en arriver là
    individus médiocres prêts a toute les bassesses pour » réussir « ils sont persuadés que leur attitude est normale : ce sont les champions du management a la française qui allie l’incompétence a l’arrogance et remplace le savoir faire par le faire savoir .
    cadres » multicartes " ils sont la reproduction a un échelon plus bas de nos politiques et énarques qui connaissent tout sur tout mais rien sur quoi que ce soit de précis a part monter sur l’échelle sociale ..........


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 20:50

      Bonjour à vous et merci de votre lecture

      Voyez ce qui me gène c’est justement ça aussi  et c’est ce que vous décrivez si bien également « Que ces individus sont persuadés que leur attitude est normale » hors justement, c’est une attitude hors norme (même si on ne peut définir une « normalité »)  que même les victimes en arrivent à ne pas se rendent compte que cette attitude est anormale.

      Faire prendre conscience que cette attitude est inacceptable pour enfin faire des démarches celui de faire respecter son intégrité est parfois difficile, la salariée dont je parle dans l’article en est presque à essayer de comprendre « son » harceleur ! J’ai hallucinée !


    • gaijin gaijin 10 mars 2013 22:02

      " la salariée dont je parle dans l’article en est presque à essayer de comprendre « son » harceleur ! J’ai hallucinée ! « 
      bien sur elle essaie d’aborder le problème sous l’angle de l’humain, erreur normale mais grosse erreur .........ces gens ne comprennent que les rapports de force
      a la limite lorsque vous arrivez a prendre le pouvoir sur eux ils trouvent ça normal c’est ça qu’il faut comprendre
      vous connaissez les résultats de l’expérience de milgram ?
      20% des individus »normaux" sont capables de torturer quelqu’un a mort parce qu’ils en ont reçu l’ordre d’une autorité
      regardez autour de vous ou sont ils ?
      qui dans un univers hiérarchisé et coercitif sont les individus les plus aptes a être aux postes de hiérarchie intermédiaire ?
      les psychopathes !!!
      n’est ce pas évident ?
      ils sont les plus forts, les plus performants dans l’art d’écraser les autres........

      et vous savez quoi ? tout comme vous êtes incapable de les comprendre ils sont incapables d’imaginer que vous n’êtes pas comme eux
      c’est un travers commun a presque tous les gens : nous avons du mal a ne pas analyser le comportement des autres en fonction de nous même .......
      alors que l’autre même proche, peut être irrémédiablement étranger .........

       


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 09:50

      Bonjour Jaijin

      A ce propos en parlant de psychopathe, il a eu une émission sur ARTE et

      si vous avez l’occasion de la voir elle se nomme

      -  Je suis un psychopathe- Je crois qu’elle est accessible sur le net.

       

       


  • Rincevent Rincevent 10 mars 2013 20:34

    La solidarité est essentielle mais c’est justement elle que beaucoup de harceleur essayent de neutraliser en premier (quand elle existe). Le pervers, par sa démarche séductrice fera que les collègues ne s’apercevront pas de ce qui se joue. Le nouveau cadre, lui, sait qu’il faut d’abord cliver les membres d’une équipe pour isoler la personne visée. Le truc, par exemple, étant de faire comprendre que, quelque part, la personne met leur poste en danger : avec l’ambiance actuelle, succès presque garanti.


    Je parle par expérience : j’ai failli être victime du procédé et, bien que connaissant parfaitement la technique utilisée, je n’arrivais pas à la contrer, mes collègues restant passifs. Heureusement, ce cadre a fait une erreur qui a « réveillé » les collègues et je lui ai immédiatement appliqué sa démarche en sollicitant le niveau au dessus. C’est lui qui a été déplacé (pas sanctionné, faut pas réver) et j’ai sauvé ma peau mais c’était juste.


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 10 mars 2013 21:01

      Pour sauvez votre peau vous avez manipulé à votre tour donc ?   

      Bien que là, soit encore une autre chose, mais tout de même.

       


  • manech42 manech42 10 mars 2013 22:01

    Les harceleurs dont vous parlez n’existaient pas longtemps il y a 50 ans, ils étaient vite repérés et passés à tabac dans la foulée, beaucoup en portaient des séquelles pour le restant de leurs jours, aujourd’hui les harceleurs ont la vie belle, sauf à geindre et encore pas trop fort, personne ne les envoie à l’hosto pour un long séjour dans la douleur, c’est pourtant la solution pour les remettre dans le droit chemin, soyez assurés que ces harceleurs deviendront de vrais agneaux après avoir été massacrés plusieurs fois, défendez vous en employant la manière forte, pas de pitié pour ces fumiers !


  • Rincevent Rincevent 10 mars 2013 22:12

    « Pour sauver votre peau vous avez manipulé à votre tour donc ? » OUI, ABSOLUMENT ET SANS AUCUN REMORD, ce n’était pas moi l’agresseur. Que reproche t-on à ces gens là ? De faire des dégâts humains, d’en tirer profit et de ne pas pouvoir les arrêter la plupart du temps, non ? Comment voulez-vous les combattre, si ce n’est, occasionnellement, avec leurs propres armes ? En plus j’ai trouvé ça assez moral, finalement… 


    A propos de la salariée dont vous parlez dans votre article, sa réaction d’essayer de comprendre son harceleur est un des signes majeurs qui indiquent qu’il s’agit bien d’un pervers (restes de la stratégie de séduction).



    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 10:03

      @ Rincevent
       
      Concernant cette jeune femme, la stratégie c’est la justice qui doit mettre un point final à son enfer comme je lui ai indiqué ! On a pas à se battre avec un autre employé sur son lieu de travail en plus de notre travail, elle a des droits !


    • Rincevent Rincevent 11 mars 2013 11:48

      @ Simple citoyenne


      On est bien d’accord sur les droits. Ce que j’ai voulu vous dire c’est que cette jeune femme n’en est apparement pas encore là, engluée qu’elle est dans la stratégie de son harceleur.


  • brindfolie 11 mars 2013 01:10

    Le harcèlement peut prendre une troisième forme,celle d’adulte contre enfant,bien que là on a tendance à appelé cela ’souffre-douleur’.Ca m’est arrivé à l’adolescence ou un instituteur m’a literalement harcelé mentalement et physiquement,avec voie de fait caractérisée.Bien entendu à cette époque,il y a 50 ans,il ne courait aucun risque !Cela c’est encore accentué pour moi dans le monde ouvrier puisque à quatorze ans,placé comme apprenti,j’ai du subir les viols à répétition de manoeures illetrés.Ca s’est arrété du jour au lendemain après que j’eu planté un couteau de cuisine dans le ventre d’un de mes agresseurs !Et bien je vous le donne en mille,il ni a eu AUCUNE SUITE,tout a été éttouffé.
    Cela a eu comme conséquences dans ma vie,de ne plus jamais me laisser approcher par un tiers,d’être sans arrêt sur mes gardes,de faire des métiers solitaires et surtout d’entrainer ma force physique à réagir dans l’instant.
    J’ai tout de même réussi à faire un gros travail sur moi-même et depuis de nombreuses années je me voue presque exclusivement à la protection des plus faibles.
    C’est tout de même aberrant que le genre humain puisse développer de tel comportement.


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 10:15

      Bonjour brindfolie

      Le harcèlement d’un adulte  en vers un enfant existe

       hélas, bien sûr, c’est d’une couardise totale que de s’en prendre à un gosse

      et c’est vraiment révoltant.


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 10:25

      Bonjour à vous durae.leges.sed.leges

      Certes c’est aussi une politique orchestrée.

       Merci pour votre lien.


    • manech42 manech42 11 mars 2013 22:10

      Pour durae.leges.sed.leges (


      Sous prétexte que l’on peut se retrouver sans travail il faudrait tout accepter, le harcèlement, les insultes, les heures supplémentaires non payées, etc ..., et bien je dis non ! j’ai un certain sens de l’honneur et je ne me laisserai pas insulter au travail par un fumier qui utilise le harcèlement pour exister au sein de l’entreprise, celui qui m’insultera se retrouvera à l’hospital pour un long séjour, je prendrais toutes les précautions possibles, je serai très discrêt et ne laisserai aucune trace, je ne dirai rien à personne et nierai toute implication dans l’attentat. Je m’arangerai pour que le fumier soit absent de l’entreprise pendant longtemps et qu’il porte ensuite des séquelles pour lui rappeler qu’il doit respecter les autres au travail. 

  • Le printemps arrive Le printemps arrive 11 mars 2013 07:48

    Bonjour,

    la violence, qu’elle soit intériorisée ou extériorisée est la résultante de ce système dans lequel nous vivons.
    Même les animaux qui vivent avec nous présentent ces symptômes : quand est-ce qu’on change ?


  • soi même 11 mars 2013 10:30

    Pour que cela marche, l’ harceleur a besoin de victime consentante, d’est que les victimes ne sont plus consentantes ses jours sont comptés !
    Ce n’est pas plus bête que cela, quand une personne vous écrases les pieds vous n’allez pas lui dire merci benoîtement ?


    • Philippe VERGNES 11 mars 2013 10:58

      Bonjour soi même,

      Malheureusement, c’est beaucoup plus subtil que cela.

      Lorsque le harcèlement est visible, il est déjà trop tard et pendant toute la période où s’installe ce harcèlement, la « victime » n’a absolument pas conscience d’être la cible d’un harceleur. Si elle en prend conscience, elle peut alors s’en sortir en se faisant aider, mais c’est bien souvent quand la stratégie du harcèlement est à un stade paroxystique qu’il devient visible et que la victime cherche à rompre ce cercle vicieux. Les dégâts psychiques sont déjà là et il y a bien longtemps que la réciprocité a été perdu entre la victime et son agresseur (il n’y en a en fait jamais eu véritablement bien que, souvent, les choses aient été présentées ainsi par le harceleur).

      C’est l’une des nombreuses difficultés à surmonter pour comprendre le harcèlement : la relation harceleur/harcelé est totalement dissymétrique. c’est ce que j’ai commencé à expliquer au travers de mes articles sur la perversion narcissique, mais il me faudra bien quatre autres articles pour donner un aperçu à peu près complet de cette problématique. A commencer par donner une suite (au moins deux en fait) à cette interview pour comprendre pourquoi l’on ne se débarrasse pas aussi facilement d’une situation de harcèlement qui induit une relation d’emprise. C’est ici que réside le nœud gordien du problème.


    • soi même 11 mars 2013 19:45

      @ Philippe VERGNES, il y a toujours des signes avant-coureur, en autre des questions trop indiscrètes, des petites phrases assassines, des impolitesses, des plaisanteries douteuses et surtout faire croire que votre vie dans l’entreprise ma de sens que si vous atteignez 100% de rentabilité, et de la part du naïf un manque évident de prudence en livrant à qui le veux des indiscrétions.
      Le manipulateur tâte le terrain et repaire le maillon faible de la personnalité pour mieux l’exploité aux moment venus, car ce qui lui importe c’est d’avoir une où des têtes turc dans une équipe pour soudé les autre éléments à sa cause qui seront les faire valoir pour se justifier en cas de litige.


    • soi même 11 mars 2013 19:57

      Si nous n’avez pas le répondant et la rigueur de vous faire respecter, vous pensez que c’est juste l’esprit de la maison qui s’exprime là, il est claire que vous êtes mal barré pour vous faire respecté.

       Une des techniques le plus simple pour repéré ce qui se passe et de transcrire dans un bloc note tous les détails de sa journée au bout d’un certain temps, à la relecture il y a des détails qui apparaisse et en autre quand il s’agit d’ordre et de contre ordre contradictoire.

       


    • Philippe VERGNES 11 mars 2013 23:28

      @ Soi même,

      Il y a beaucoup de choses vraies dans ce que vous dîtes, notamment sur le fait de noter tous les détails de sa journée sur un bloc note afin de faire ressortir les contradictions de la situation. Cependant, ce sont des « outils » que les « proies » favorites des harceleurs ne connaissent pas. Cela n’a rien à voir avec une quelconque naïveté : elles ont été « programmées » ainsi et ne peuvent donc pas « interpréter » correctement les quelques signes avant-coureurs que vous énumérez très justement. Cependant, si elles ne possèdent pas ces « outils », cela ne veut pas dire qu’elles ne seront pas capables des les acquérir.

      Bref, encore une fois, c’est un peu plus subtil que cela.

      Par ailleurs, vous ne pouvez pas dire que les victimes de harcèlement sont consentantes par naïveté : c’est un oxymore, une contradiction qui vient alimenter les idées reçues et les préjugés au sujet des personnes qui se laissent piéger dans les filets d’un harceleur (ou d’un manipulateur, il n’y a que peu de différences). Les paradoxes sont au cœur des relations d’emprise. Je compte m’attaquer au sujet prochainement tant ce fait est sous-estimé au niveau des interrelations humaines.

      Démasqué un paradoxe est dans certains cas, extrêmement difficile. C’est surtout long, contraignant et épuisant. Un seul exemple (il est pourtant des plus bénins) : pour démontrer l’injonction paradoxale que vous émettez en déclarant que « les victimes de harcèlement sont consentantes par naïveté », il me faudrait construire un développement d’une vingtaine de lignes , voire plus, et ce pour une seule phrase de 8 mots à peine. Peu de gens s’en donnent la peine. La balance penchent nettement en faveur de l’injonction paradoxale qui dans certains cas, comme celui du harcèlement, est extrêmement pathogènes (à un stade où l’on n’a même pas idée).


    • lulupipistrelle 12 mars 2013 14:52

      Je dirais que dans le harcèlement la victime développe un comportement qui rappelle celui de la femme battue... une espèce de culpabilisation..


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 12 mars 2013 15:16

      @

      lulupipistrelle

      Puis-je me permettre de vous répondre également, c’est tout simple, si certains voire certaines culpabilisent d’avoir été battues, c’est parce qu’il y a des suspicions et des sous-entendus lourds de sens, tel que notre ami Soi-même a l’air de vouloir nous le faire sentir comme par exemple avec ces victimes consentantes « tu es victimes ? Tu l’as bien cherché » Comme ci une personne qui subissait un méfait de la part d’une autre se mettait à hurler « Ohé ! Harcelez-moi ! Je suis là » où encore « Ohé ! Battez-moi qui serait »


  • L'enfoiré L’enfoiré 11 mars 2013 10:41

    Bonjour,

     La hiérarchie et ses faux-fuyants, tout un programme.
     Devenus des portes-paroles de la direction, plus cathos que le Pape.
     Parce qu’ils espèrent toujours monter plus haut, j’ai connu et dénoncé ce processus.
     
     

  • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 10:41

    Bonjour à vous Par soi même.

    Une victime n’est jamais consentante , si non on ne l’appelle pas victime.
    Et quand ce genre de harceleur voire pervers vous écrase le pied, il n’attendra pas que vous lui disiez merci il vous écrasera avec plaisir le deuxième.


    • L'enfoiré L’enfoiré 11 mars 2013 10:54

      A lire, de Marie Andersen, « Les 10 façons de la manipulation ».


    • soi même 11 mars 2013 11:02

      Une victime est consentante, par sa naïveté, tant qu’il n’est pas rendue esclave, il a toujours le choix de dire non.
      C’est pas évident à admettre et pourtant, c’est pour cela que le harceleur choisie toujours ses victimes, celle justement qui sont dans une fragilité existentiel, physique où psychique et se garde bien de s’attaquer à ceux qui se laisse pas abattre.
      Et la meilleur arme est justement d’être toujours dans la volonté de mettre au claire publiquement ce qui parait contradictoire !
      La plus grande illusion est de pensé par ce que l’on est servile, que l’on va être aimé, et respecter à lors que c’est toujours aux résultats inversent que l’on observe, tous où tard, si les rapports humains sont malsains, c’est le plus pervers qui remporte la mise !


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 11:18

      @ Par soi même

      Cela vous plairait-il qu’une victime soit consentante ?

      Une personne qui vient vous demander de l’aide lui répondriez-vous

       qu’elle l’aura bien cherché ? Vos affirmations sont inacceptables.


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 11:21

      @ L’enfoiré

      Merci pour vos liens.


    • soi même 11 mars 2013 12:33

      Cette question est superflue, pour la raison tous où tard nous sommes confrontes à une situation de se genre, je l’ai vécus et c’est pour cela que je parle de complicité naïve qui est la clé de cette manipulation. quand nous atteignons, cette conscience que nous avons plus rien à perdre, s’ouvre la possibilité de se libérer de cette étreinte.
      Je suis d’accord, tous non sont pas égaux devant cette prise de conscience et certain on besoin d’une interversion étrangère pour les sortir de ce mauvais pas, car ils se sont tellement fragiliser qui non plus aucune ressource de réaction salutaire.

      Un vieux diction, le courage est dans la fuite !

       


    • soi même 11 mars 2013 21:40

      Il n’est pas interdit d’avoir du répondant, à ce que je sache à moins que courbé l’échine est votre philosophie.


    • manech42 manech42 11 mars 2013 22:19

      pour simple citoyenne,


      Si je te comprend bien il aurait le droit de m’écraser le pied et il me serait interdit de lui écraser le gueule !, avec moi ça ne marche pas comme ça et personne ne m’a jamais emmerdé au boulot, il y a des harceleurs parce qu’il y a des gens qui agissent comme des moutons, qui baissent la tête au lieu de la lever, si vous vous sentez faible face au harceleur, faites vous aider par des gens dont vous êtes surs, mettez vous à plusieurs et massacrez le, ça fera un fumier de moins !

    • Simple citoyenne Simple citoyenne 12 mars 2013 09:44

      @manech42

       

      Écraser les pieds au figuré- Encore heureux que tu ne te laisses pas faire
      puisque c’est ce dont je parle ; mais certainement pas avec une batte de baseball ! Bien sûr qu’une bonne raclée peut arranger les choses, mais sur le moment seulement, mais ça ne résout rien du tout car après c’est le risque finir en prison. Cela en vaut il le coup ? Non ! Surtout pas pour un vicelard qui ne demande qu’à exister comme victime et à qui tu auras fait l’honneur de  rentrer dans son jeu et qui jouera la victime alors que la « victime » c’était admettons toi !


  • Dzan 11 mars 2013 11:04

    Ca me rappelle, les réunions, du matin des petits chefs, de mon « département », dont certains allaient vomir en sortant, quand ils ne tombaient pas dans les pommes.
    Ensuite, ça dégringolait sur les opérateurs. ( on ne dit plus ouvriers)


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 11 mars 2013 11:20

    Je suis tombé sur un connard du genre décrit , un petit chef connard en boulangerie .
    Je faisais une période d’ essai dans un des premiers hypermarchés de l’ Est .
    Ouverture du bouclard on faisait tous les jours bien plus d’ heures que prévu le nombre
    de clients étant bien plus grand que prévu .Alors on mettait un coup , bossait sans rechigner . Puis dans la quatrième semaine à ce rythme j’ ai demandé un après midi de congé ( on travaillait tous les jours sauf le dimanche ) Le chef connard a refusé . Suis monté à la compta et demandé le solde de tout compte et la semaine suivante j’ étais à mon compte dans un boulangerie de quartier .

    Ce fumier a dû finir connard grand-chef , et moi je me suis régalé tout le restant de ma vie dans mon bizzness .


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 11:25

      Bonjour rocla ( haddock)
       
      Bravo !


    • L'enfoiré L’enfoiré 11 mars 2013 11:55

      Salut Rocla,

       Dommage que vous ne donner pas la période dans laquelle cela s’est passé.
       Il fut un temps où dans mon job, on ne cherchait pas du boulot, on venait vous chercher sans même l’aide d’un CV en bonne et due forme.
       Epoque plus ou moins révolue.
       Ce n’est pas du tout du même tabac que de travailler dans une multinationale ou dans une boulangerie. Les choses s’institutionnalisent dans la multinationale. Vous avez au dessus de vous une bonne dizaine de niveaux de managements au dessus de vous avant d’arriver au grand chef manitou.
       Je parlais des connards « grand-chefs » de middle management qui ont souvent été viré, passé à la trappe, une fois leur travail de nettoyage effectué.
       Vous connaissez très bien ce qui diffère entre le travailleur indépendant et celui qui est appointé. Travailler en 2020 ne sera qu’une conclusion logique et pas nécessairement tendance.
       Le travail de demain va encore bien évoluer, je peux vous le dire. Tout est en place pour que cela se produise. smiley

    • rocla (haddock) rocla (haddock) 11 mars 2013 12:14

      Bonjour l’ Enfoiré , 

       Vrai que les rôles se sont inversés entre temps .

      Mais comme l’ évolution ne s’ arrête jamais on reviendra sûrement un jour
      à des formes différentes à celles d’ aujourd’ hui .

      Dans ma jeunesse ( années 50 60 ) il y avait des boulangeries dans beaucoup de rues ,
      des artisans en tout genre que le commerce intégré ( j’ ai pas dit intègre ) a tué .

      Cette forme de distribution laissait aux artisans le loisir de s’ exprimer .

      La vie a pas dit son dernier mot .


  • Folacha Folacha 11 mars 2013 11:50

    Les témoignages montrent bien que les salariés « précaires » sont encore plus vulnérables que les autres .


  • Rincevent Rincevent 11 mars 2013 12:12

    Pour rebondir sur les propos de L’enfoiré, aujourd’hui les métiers sont remplacés par des emplois et c’est très différent. L’employé est beaucoup plus interchangeable, ce qui est la base même de la précarité.


    • L'enfoiré L’enfoiré 11 mars 2013 12:55
      L’interchangeabilité, ce n’est pas ce qui est préconisé dans les hautes études.
      Il faut devenir expert. Le problème d’être expert dans un domaine précis, il suffit qu’il disparaisse pour être comme ce que je disais pour le middle-mangement, remisés dans les poubelles de l’histoire d’une entreprise. Des généralistes qui ont une vision à 360° dans le temps et l’espace, on en cherche. C’est chez eux que se retourne les questions. Interchangeable, c’est ce qui a fait ma force, plutôt que ma précarité, mais surtout, ne le répétez pas parce qu’ils faut que eux-mêmes centralisent et se retournent sur quelques experts smiley

      En fait, et je vais être un peu cynique, beaucoup voudrait bien un emploi mais pas nécessairement un travail. smiley

    • Rincevent Rincevent 11 mars 2013 14:16

      @ L’enfoiré

      « L’interchangeabilité ce n’est pas ce qui est préconisé dans les hautes études » Oui et non. Oui si vous parlez au niveau ingénieur, par exemple. Non s’il s’agit du niveau du vrai pouvoir (Sciences-Po, ENA, MBA, etc). Ceux-là sont censés être omniscients et changent de branche plus aisément qu’un chimpanzé. Quand je dis interchangeable = précaire ce n’est pas à leur niveau que je pense.


      Pour rejoindre ce que vous dites, un changement fondamental serait en discussion actuellement dans les hautes sphères. Il consisterait à ne plus sélectionner exclusivement,au départ, par la « voie royale » (S), les matheux se révélant, au fur et à mesure de leur spécialisation, moins capables de réorientation si nécessaire. Le temps que ça produise des effets (si ça se fait), il y en aura encore beaucoup qui auront été jetés.


      Un emploi plus qu’un travail… Oui et, outre ce que votre cynisme sous-entend, les causes sont multiples. Pour le demandeur, pas de formation sérieuse ou obsolète par disparition de sa spécialité, licenciement exprès, etc. 



    • L'enfoiré L’enfoiré 11 mars 2013 16:14

      Rincevent,


       Bien d’accord avec vous.

      Je ne connais pas Sciences-Po, ENA, MBA, etc 
      Je ne peux donc en parler.

      Je viens d’apprendre ce que sont les études dans votre pays et ce que signifie la voie « S ».

      Le phénomène d’expertisation se poursuit aussi dans les sciences humaines comme la médecine. On devient parfois chirurgien de l’auriculaire gauche, troisième phalange. J’exagère mais on n’en est pas aussi loin qu’on le croit. Chacune des ses « portions » de la même science porte son nom propre et chacun doit se référer à un collègue dans le cas où sa propre science est dépassée. 

      Les généralistes n’osent plus prendre leur retraite.

      « moins capables de réorientation si nécessaire. Le temps que ça produise des effets (si ça se fait), il y en aura encore beaucoup qui auront été jetés. »

      Exactement ; L’obsolescence est plus rapide qu’elle ne le fut dans le passé.




    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 13:15

      Bonjour à Parkway !

      Heureusement qu’il y a le fonctionnariat,
      je m’en rends compte.


    • titi titi 11 mars 2013 16:31

      Bah disons que vous êtes harcelés quelques jours par semaine et quelques semaines par an.

      Ca change pas mal les choses...


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 17:00

      Bonjour Titi

      J’ai eu une expérience comme celle-ci, pas le harcèlement pur et dur si j’ose dire ainsi,
      mais des propos déplacés, des propos qui m’étaient adressés ; c’était un directeur
      de centre culturel qui est toujours en poste d’ailleurs ; Bref, je l’ai vigoureusement et sérieusement remis à sa place et il semblait vraiment tombé de haut lorsque je lui ai dit que son comportement était inacceptable et répréhensible ; il semble que c’était la première fois qu’on lui disait les choses clairement et il a stoppé net son comportement ;  en tout cas, je ne suis pas restée, mais apparemment grâce à ma franchise, il a remis ses propos graveleux  dans sa poche et les suivantes sont mieux traitées actuellement.


    • titi titi 12 mars 2013 07:55

      Moi j’ai eu une expérience dans une boite filiale d’une boite US.

      Il y a avait un restaurant d’entreprise.
      Un jour dans ce restaurant ont été installés des grands écrans plats. Roland Garros approchait... on s’est dit chouette.

      Mais une fois mis en service, les écrans affichaient en boucle les résultats de non-qualité des différentes équipes sur les différentes chaines... les mecs à la chaine voyaient donc leur performances pendant l’attente pour être servis, et pendant tout le repas. On voyait les erreurs et leur cout en $.

      Racontez moi un peu, ce qu’est le harcèlement dans l’administration, qu’on se marre... on vous refusé un congé ? On vous a fait une remarque désobligeante dans la salle des profs ? Pire on vous a demandé des comptes pour le pot commun d’achat du café !!!
      Ohh les gros vilains harceleurs !!!

      J’avais un pote qui se disait harcelé : son patron lui refusait toujours ses congés de Noel, alors même qu’il adorait skier. Le fait qu’il bosse au rayon jouets d’une grande enseigne ne lui a jamais fait tilt.


  • Jason Jason 11 mars 2013 16:11

    Il faudrait peut-être penser à utiliser les réseaux sociaux. Commencer à établir une notation (tiens une idée nouvelle d’agence de notation qui servirait à qq chose) de ces établissements. Avec des exemples sérieux, des noms et des preuves, etc. On pourrait commencer à noter les relations sociales, la bonne gouvernance, la culture d’entreprise, etc.

    Le tout sur un serveur hors UE ou dans un lieu garantissant l’anonymat.

    Je suis sûr qu’il y aurait des résultats. Un ami avait menacé une clinique où il avait été mal traité. Les comportements ont été vite corrigés.

    Vous n’avez rien à perdre à essayer, avec d’autres victimes si possible.

    « We have nothing to fear, but fear itself » Nous n’avons rien à craindre sinon que d’avoir peur.
    Cordialement.


    • Simple citoyenne Simple citoyenne 11 mars 2013 16:30

      Bonjour Jason

      Les réseaux sociaux sont intéressants quand cela dénonce ( attention pas à tort) des comportements odieux. Mais les réseaux sociaux peuvent être aussi utilisés pour harceler ! Donc...
      Bof !


  • rocla (haddock) rocla (haddock) 11 mars 2013 17:28

    Un de ceux qui harcèle le plus c ’est Marcel .

    Marcel tu m’ harcèles .


  • ecolittoral ecolittoral 12 mars 2013 13:26

    La rentabilité est proportionnelle aux motivations et compétences.

    Si je ne suis que « du vent » par rapport aux autres, je suis harceleur professionnel.
    Rentabilité zéro, occupation de l’espace ET des esprits, maximum.
    Dans l’entreprise ? Non ! Partout !
    Dans le quartier, à la mairie, dans l’association(quand elle est suffisamment développée).

    Demandez lui d’effectuer une tâche. Demandez lui de vous expliquer. Demandez lui son avis sur tel dossier. Demandez lui de vous montrez comment faire mieux et plus vite.
    Harcelez le de bonnes intentions. Courrez lui après pour mettre en valeur son savoir.
    Devenez dangereux pour lui ou pour elle tout en flattant son ego démesuré.

    Pour ce qui est du « harcèlement de compétitivité » il s’agit d’un système plus que de personnes. Là, je sèche.

    • Simple citoyenne Simple citoyenne 12 mars 2013 13:59

      Bonjour ecolittoral

      Concernant n’ être que du vent par rapport aux autres et l’occupation des esprits et de l’espace, voire, plus dans les esprits que dans l’espace, car tel est le but du harceleur je pense. Mais on ne devrait pas à avoir à se battre contre de tels pourrisseurs d’existences.


  • ecolittoral ecolittoral 13 mars 2013 11:52

    D’accord avec vous « Simple citoyenne » mais ces individus...comme les belles mères, on a pas le droit de les éliminer physiquement.

    Il faut faire avec.

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