Le théâtre pro-migrants dans nos établissements scolaires. Lavage de cerveau ?
Nos chères têtes blondes ou brunes font l'objet d'attentions particulières. On a décidé de les manipuler dès leur plus jeune âge et de les préparer mentalement afin de les rendre réceptifs positivement à l’accueil du migrant.
Du théâtre pro-migrants dans les établissements scolaires subventionné par les conseils régionaux ! Il fallait oser le faire, ils l'ont fait.
Pièce de théâtre dont le titre est La neuvième nuit, nous passerons la frontière.
Ce spectacle a pour objectif de « suspendre les jugements hâtifs et de renverser les points de vue » du spectateur, lorsqu’il s’agit de migrants dixit l'auteur.
"La neuvième nuit nous passerons la frontière" : Marcel Bozonnet raconte la violence de l'exil des migrants aux lycéens.
« Cette pièce de théâtre a été jouée en 2017 dans neuf établissements scolaires de la Haute-Vienne, de la Creuse et de la Corrèze. Elle s’inscrit dans le cadre plus large d’un projet pédagogique « Parcours d’éducation artistique, culturel et citoyen » pour le moins surprenant ».
Elle va se déplacer dans toute la France.
On n'a pas assez d'heures de cours pour apprendre aux élèves les fondamentaux, mais on trouve du temps pour des heures de bourrage de crâne et d'endoctrinement.
Il faut les former très jeunes à la société qu'on leur prépare.
Leur inculquer dès maintenant la nécessité du mondialisme et le goût du multiculturalisme.
Les sensibiliser aussi à notre part de responsabilité, leur inoculer le remords à avoir envers le sort de ces immigrés. On les initie à battre leur coulpe très jeune, à rejeter nation, culture qui n'existe pas dixit Macron, traditions, pour le nouveau culte de l'homme interchangeable.
La méthode de persuasion est archi-connue et a été exploitée souvent avec succès sous toutes les latitudes. On pratique le lavage de cerveau et l'endoctrinement depuis toujours.
Leur inculquer des solides préjugés pro migrants.
Avec ce type de manipulation, on a amené les peuples à vénérer Mao Tse Tung, à adorer le petit père du peuple Staline, à faire croire que Castro était un démocrate et le président de la Corée du Nord une chance pour son pays.
Bien sûr, notre démocratie bien qu'imparfaite ne permettra pas cette gigantesque manipulation totale et collective, mais on fait des recrues, qui vont porter la bonne parole. Les ayatollahs de la bien bien-pensance font feu de tout bois et forment des bataillons.
Alors on construit discours après discours, interventions politiques après discours d'associations qui défilent dans nos médias, une histoire de l'immigration abracadabrantesque comme dirait Chirac.
Le migrant sauveur d'enfant, le migrant qui va faire la richesse de notre pays, le migrant qui est notre chance de rémission pour nos comportements de salauds, qui participera au salut de nos âmes, qui nous permettra de nous amender, qui nous apportera richesse collective et joie du vivre ensemble.
Bien sûr on se garde bien de faire une distinction entre les demandeurs d'asile pour lesquels on a un devoir d'accueil, et les migrants économiques pour la plupart clandestins. Pour culpabiliser on fait un savant mélange.
Pour bien faire passer ce message positif sur l'immigration, nos médias ne font pas dans le détail, images poignantes sur le sort de migrants, en mer, sur des embarcations de fortune, rien sur notre impuissance à pouvoir les accueillir décemment, mais silences complices, rien sur les violences, agressions, viols, attentats commis par des migrants qui errent dans nos rues livrés à eux mêmes.
Ne pas ternir le tableau idyllique. Ce ne sont pour eux que des péripéties inérantes à la marche vers le mondialisme, qu'il vaut mieux occulter.
Alors on tait toutes ces vérités.
On cache la façon dont on les traite et les parque, pratiques qu'on n'oserait même pas employer avec des animaux.
Les bonnes âmes, les donneurs de leçons, osent appeler cela accueillir les migrants.
On tait notre impossibilité à les loger, les instruire, leur donner un travail, silence. On ne veut pas admettre que le seuil de tolérance est atteint.
Alors on s'étonne et on s'indigne des manifestations contre les migrants en Allemagne, on ressort même le spectre du nazisme, pour faire peur.
Ce sont les positions absurdes des immigrationnistes qui alimentent la xénophobie. Ils se plaignent de conséquences dont ils sont la cause.
Le véritable sort des migtrants, se faire voler par des passeurs, rançonner par des marchands de sommeil, et être exploités par des patrons ou des entreprises délictueuses, limite esclavagistes, c'est cela leur vrai devenir.
Ou alors désespérés, déçus, certains vont verser dans des commerces illicites et augmenter la criminalité dans notre pays.
Le comportement délictueux pour le moins, de certains migrants qui venant de pays qui sont à des années lumières de nos cultures et traditions se comportent en contradiction avec nos lois et nos règles est la résultante de nos mensonges.
On leur a promis l'Eldorado, ils se retrouvent dans un monde de misère.
Monde de misère pour ceux qui arrivent, les autres, les absents, sont les milliers de morts qui tapissent le fond de la Méditerranée, parce que des bien pensants au grand cœur mais au cerveau malade, rongé par une idéologie irresponsable les incite à venir chez nous et pour se faire, à monter sur ces épaves qui pour certains seront leur cercueils.
Pour faire le bien, il faut deux moteurs, le cœur et le cerveau. Mais l'idéologie annihile le cœur et paralyse le cerveau.
Tous ces bien pensants, ces belles âmes, persévèrent dans cette attitude irresponsable, les associations, les ONG, une certaine gauche toujours donneuse de leçons.
Attitude qui les rend complices des passeurs, à qui la traite des hommes rapporte des fortunes, ne comporte aucun risque, et fait des milliers de victimes.
Les vraies raisons de cette manipulation sont évidentes, mais certains se refusent à les voir.
Se servir du migrant comme variable d'ajustement à la natalité dans nos pays, au lieu de relancer la natalité autochtone, car l’U.E veut nous imposer le multiculturalisme, utiliser au-delà du raisonnable comme l'a fait Merkel, le migrant, le rendre indispensable pour le développement du mondialisme sauvage. Le migrant, prototype de l'homme interchangeable. L'homme universel de demain, taillable et corvéable à merci.
Alors contre ceux qui tirent le signal d'alarme, les tartuffes immigrationnistes parlent de racisme, de xénophobie. Pour empêcher toute discussion raisonnable, le terme raciste jeté à la figure de ceux qui ne pensent pas comme eux, disqualifie tout interlocuteur.
Auréolés de leur fausse générosité, ils vous méprisent.
En France, une grande partie de la population est issue de l'immigration, mais d'une immigration raisonnée, contrôlée, enrichissante pour ceux qui arrivent et ceux qui reçoivent.
Personne en France n'est contre l'immigration, le Français n'est ni raciste ni xénophobe à condition que l'immigration soit ce qu'elle a été et aurait du rester, une double chance. Chance pour celui qui arrive, chance pour celui qui reçoit.
Une règle d'or qui n'est que du bon sens.
On ne peut accueillir plus d'immigrés qu'on ne peut intégrer.
On a failli dans notre rôle d'intégrer ceux qui sont là depuis deux ou trois générations, alors pour les nouveaux arrivants, cela est mission impossible. L’échec est programmé avec ses conséquences chaotiques.
On le voit avec ce qui se passe avec cette immigration incontrôlée et incontrôlable.
Même si les médias essayent de cacher les faits ou de les minimiser, les cas d'exactions sont tellement nombreux qu'il finissent par éclater au grand jour.
Les peuples de plus en plus inquiets se révoltent, on les appelle les populistes, de façon péjorative bien sûr, alors que leur attitude n'est qu'un instinct de conservation compréhensible devant les dangers de cette mondialisation sauvage.
La révolte grandit, l'U.E telle qu'elle existe est sûrement condamnée à court terme, et c'est l'immigration qui provoquera son implosion.
Nous en aurons, je pense, la démonstration lors des élections européennes dans quelques mois, malgré le lavage de cerveau des politiques mis en musique par les médias.
Et là je ne pense pas que l'on votera par défaut. Enfin je pense qu'on ne refera pas cette erreur.
Mais cependant méfions nous, 'bis repetita placent', Mélenchon lors de son congrès de la FI ces derniers jours veut faire de l’élection européenne, un référendum anti Macron, bonne idée, seulement lui comme Valérie Pécresse ressortent le vieil épouvantail de ''l’extrême droite'' .
Donc on risque de repartir sur le vote par défaut donc l'échec. Va-t-on encore sacrifier nos convictions à ces positions partisanes qui conduisent à chaque fois à manger son chapeau ? Si c'est un référendum anti Macron, tout le monde doit y être invité, on ne peut en écarter un quart des Français. Macron applaudit déjà aux discours de Mélenchon et Pécresse. Il connaît les miracles du vote par défaut dont il est le produit, cette manipulation lui a permis le casse du siècle.
Serons-nous moins intelligents et courageux que les Italiens qui eux sont allés beaucoup plus loin et ont renversé carrément la table ?
Un vote eurosceptique ne ferait qu'obliger l'U.E à revoir ses diktats concernant l'immigration et à concéder aux nation un peu de souveraineté.