mercredi 22 janvier - par Mohamed Belaali

Lénine et la révolution

Le 21 janvier 1924, Lénine, le grand Lénine a cessé de vivre à l'âge de cinquante quatre ans. Si la vie lui avait accordé quelques années de plus, le sort de la Révolution d'octobre aurait été probablement différent. En cette sombre période de débandade idéologique et de barbarie capitaliste, il est utile, voire nécessaire de rappeler quelques idées d'un homme qui a, qu'on le veuille ou non, profondément marqué l'histoire contemporaine. Parler de Lénine, c'est en quelque sorte lui redonner la parole, citer ses écrits et souligner son rôle décisif dans la glorieuse Révolution d'octobre 1917.

La révolution que la bourgeoisie hait de toute ses forces, Lénine lui a consacré et sacrifié toute sa vie. Seule la révolution socialiste mondiale peut sauver l'humanité du capitalisme et de ses ravages qui deviennent aujourd'hui de plus en plus évidents et de plus en plus insupportables. Pour faire triompher la révolution, Lénine s'appuyait sur la doctrine de Marx et d'Engels, inconciliable avec le charlatanisme et la superstition. C'est lui qui disait « sans théorie révolutionnaire, pas de mouvement révolutionnaire » (1), Lénine a déclaré une guerre implacable à la société de classe, à l'esclavage salarié, à l’État bourgeois, à la soumission de la femme à l'homme, au chauvinisme national, à toute forme d'opportunisme, à l'oppression, bref à toutes les conditions économiques, sociales et politiques qui méprisent et avilissent les hommes.

Pour Lénine, la marche en avant vers le socialisme ne peut résulter d’une quelconque perfection de la démocratie bourgeoise, de la conciliation des classes etc. Seule une révolution est en mesure de mettre un terme à la résistance de la minorité d’exploiteurs, et d’enfanter une nouvelle société.

Lénine s'est battu inlassablement avec toute son énergie et sur tous les fronts pour rendre possible la Révolution socialiste tant rêvée et espérée par tous les opprimés et par tous les exploités du monde.Toutes ses forces, toutes ses actions pratiques, tout son travail théorique et toutes ses tactiques tendaient vers la même stratégie, l'émancipation des travailleurs, vers la révolution non seulement en Russie mais à l'échelle planétaire.

Mais aujourd'hui pour tous les bourgeois du monde, petits et grands, Lénine est un monstre, un démon, un dictateur responsable de tous les crimes et de toutes les horreurs possibles et imaginables. On ne lui pardonnera jamais d'avoir appelé les ouvriers, les paysans pauvres et les soldats à se dresser, les armes à la main, contre la société bourgeoise. « Malheur au génie qui s’oppose fièrement à la société bourgeoise et qui forge les armes qui lui donneront le coup de grâce. A un tel génie, la société bourgeoise réserve des supplices et des tortures qui peuvent paraître moins barbares que ne l’étaient le chevalet de l’Antiquité et le bûcher du Moyen Age, mais qui au fond n’en sont que plus cruels » disait Franz Mehring parlant d'un autre génie, Karl Marx (2). De son vivant déjà, Lénine était haï, détesté, calomnié et persécuté par les classes possédantes et par tous les opportunistes du mouvement ouvrier. On a même tenté de l'assassiner à coups de revolver. Les balles qui l'ont touché ont certainement contribué à abréger sa vie. Cet attentat sur la personne de Lénine montre à l'évidence la haine viscérale que lui vouent les ennemis de la classe ouvrière. Rien de plus normal dans une société fondée sur la lutte des classes ! « Du vivant des grands révolutionnaires, les classes d'oppresseurs les récompensent par d'incessantes persécutions ; elles accueillent leur doctrine par la fureur la plus sauvage, par la haine la plus farouche, par les campagnes les plus forcenées de mensonges et de calomnies » disait Lénine (3).

Plus d'un siècle après sa mort, les idées de Lénine font toujours peur à tous les défenseurs de l'ordre établi. Car Lénine s'est attaqué aux fondements même des pouvoirs de cette minorité d'exploiteurs qui n'hésite et qui ne recule devant rien pour perpétuer ses privilèges. Lénine a démontré que sans le renversement du capitalisme par une révolution socialiste, point de salut pour tous les travailleurs et pour tous les opprimés. Le véritable crime de Lénine c'est d'avoir remplacé la Révolution bourgeoise de février 1917 par la Révolution socialiste d'octobre. Ce crime là, la bourgeoisie ne lui pardonnera jamais. « Lénine doit naturellement apparaître comme Attila venu détruire la Rome du bien-être et du confort bourgeois, basé sur l'esclavage, le sang et le pillage. Mais de même la Rome antique a mérité sa perte, de même les crimes du monde contemporain justifient la nécessité de sa destruction » disait Maxime Gorki (4).

Lénine était aimé et admiré par les ouvriers et les paysans pauvres. Il savait leur expliquer des choses profondes avec des mots simples. John Reed le décrivait ainsi : « Peu fait, physiquement, pour être l'idole de la foule, il fut aimé et vénéré comme peu de chefs au cours de l'histoire. Un étrange chef populaire, chef par la seule puissance de l'esprit. Sans brillant, sans humour, intransigeant et détaché, sans aucune particularité pittoresque, mais ayant le pouvoir d'expliquer des idées profondes en termes simples, d'analyser concrètement des situations et possédant la plus grande audace intellectuelle » (5).

Il ne s'agit pas ici de verser dans le culte de la personnalité ou de l'idolâtrie. Lénine lui-même combattait fermement ce genre de futilités. Ce sont les masses qui font l'histoire et non « les grands hommes ». « Il n'est pas de sauveurs suprêmes » disait Eugène Pottier dans l'Internationale. Mais pour faire la révolution, les masses ont besoin de chefs de la trempe de Lénine et des intellectuels révolutionnaires : « les ouvriers ne pouvaient pas avoir encore la conscience social-démocrate. Celle-ci ne pouvait leur venir que du dehors. L'histoire de tous les pays atteste que, par ses seules forces, la classe ouvrière ne peut arriver qu'à la conscience trade-unioniste, c'est-à-dire à la conviction qu'il faut s'unir en syndicats, mener la lutte contre le patronat, réclamer du gouvernement telles ou telles lois nécessaires aux ouvriers, etc. Quant à la doctrine socialiste, elle est née des théories philosophiques, historiques, économiques élaborées par les représentants instruits des classes possédantes, par les intellectuels. Les fondateurs du socialisme scientifique contemporain, Marx et Engels, étaient eux-mêmes, par leur situation sociale, des intellectuels bourgeois. De même en Russie, la doctrine théorique de la social-démocratie surgit d'une façon tout à fait indépendante de la croissance spontanée du mouvement ouvrier ; elle y fut le résultat naturel, inéluctable du développement de la pensée chez les intellectuels révolutionnaires socialistes » (6).

Sans Lénine, la Révolution d'octobre 1917 n'aurait probablement jamais triomphé. La révolution était le produit des rapports sociaux de la Russie de l'époque. Mais Lénine agissait dans le cadre des conditions sociales et politiques particulières. La Première Guerre mondiale et la Révolution de février étaient des occasions, des opportunités à ne pas manquer pour renverser le Gouvernement provisoire et donner ainsi le pouvoir aux ouvriers et aux paysans pauvres.

En 1915, un an seulement après le déclenchement de cette terrible guerre impérialiste, Lénine appelait déjà à la transformer en guerre civile : « Le caractère réactionnaire de cette guerre, le mensonge éhonté de la bourgeoisie de tous les pays, qui dissimule ses visées de brigandage sous le manteau de l'idéologie “ nationale ”, suscitent nécessairement, dans la situation révolutionnaire qui existe objectivement, des tendances révolutionnaires au sein des masses. Notre devoir est d'aider à prendre conscience de ces tendances, de les approfondir et de leur donner corps. Seul le mot d'ordre de la transformation de la guerre impérialiste en guerre civile exprime correctement cette tâche, et toute lutte de classe conséquente pendant la guerre, toute tactique sérieusement appliquée d'“ actions de masse ” y mène inévitablement » (7).

Lénine expliquait à qui veut l'entendre qu'il ne s'agit nullement d'une simple opposition à la guerre, mais de renverser tous les gouvernements en guerre à commencer par celui de la Russie.

Mais son propre parti n'était pas prêt à cette tâche c'est-à-dire mener la révolution bourgeoise déclenchée en février jusqu'à son terme. La plupart des dirigeants bolcheviks, avant le retour de Lénine de l'exil en avril 1917, étaient prêts à travailler avec le Gouvernement provisoire de Kérenski composé de bourgeois et de propriétaires terriens.

Dans ses célèbres « thèses d'avril », Lénine exige des Bolcheviks de se préparer à l'insurrection et à la prise du pouvoir : « Ce qu'il y a d'original dans la situation actuelle en Russie, c'est la transition de la première étape de la révolution, qui a donné le pouvoir à la bourgeoisie, à sa deuxième étape, qui doit donner le pouvoir au prolétariat et aux couches pauvres de la paysannerie » (8).

Les thèses de Lénine ont été accueillies avec beaucoup d'hostilité :« Même ses camarades de parti, les bolcheviks ahuris, se détournèrent alors de lui » écrivait Trotsky dans « Histoire de la révolution russe ». Lénine se trouva alors seul avec ses idées révolutionnaires. Mais en même temps, il savait qu'il pouvait compter sur les ouvriers, les paysans pauvres, la base du parti et sur les soldats qui désertaient massivement le front. Lénine disait que « ce pays d'ouvriers et de paysans indigents était mille fois plus à gauche que les Tchernov et les Tsérételli et cent fois plus à gauche que nous autres, bolcheviks » (9) . Les masses opprimées savent que les puissants ne renoncent jamais à leurs privilèges, qu’ils n’accordent jamais rien par générosité ou grandeur d’âme et qu’ils ne reculent devant rien pour sauver leurs intérêts et perpétuer leur système. Elles ont compris, comme Lénine, que le moment était venu pour s'emparer du pouvoir les armes à la main.

Mais la direction du parti continue à tergiverser. Lénine devient de plus en plus impatient « Les bolchéviks doivent prendre le pouvoir sur le champ disait-il dans une lettre au comité central. (…) Temporiser est un crime. Attendre le Congrès des Soviets, c'est faire preuve d'un formalisme puéril et déshonorant ; c'est trahir la révolution » (10).

Le 24-25 octobre (6-7 novembre) 1917, les ouvriers, les paysans et les soldats russes s'emparent du pouvoir, un pouvoir qui les asservissait, qui les opprimait.

En ces premiers moments historiques, « quelque chose s’était brusquement éveillé en tous ces hommes écrivait John Reed. L’un parlait de la révolution mondiale en marche, un autre de l’ère nouvelle de fraternité, où tous les peuples ne seront plus qu’une grande famille (…) Mus par une commune impulsion, nous nous trouvâmes soudain tous debout, joignant des voix dans l’unisson et le lent crescendo de l’Internationale. Le chant roulait puissamment à travers la salle, ébranlant les fenêtres et les portes et allant se perdre dans le calme du ciel ».(11).

La Révolution d'octobre 1917 a renversé l'ordre ancien et ouvert les perspectives pour une nouvelle forme supérieure de vie. « La seule raison du succès des bolcheviks, c’est qu’ils réalisaient les vastes et élémentaires aspirations des couches les plus profondes du peuple, les appelant à l’ œuvre de destruction du passé et coopérant avec elles pour édifier sur ses ruines encore fumantes un monde nouveau » (12). Après la glorieuse Commune de Paris, les masses opprimées guidées par Lénine s’emparent à nouveau du pouvoir et entrent dans l’Histoire.

Mais on ne peut parler de Lénine sans évoquer sa compagne Nadejda Kroupskaïa. Comme disait Clara Zetkin « Il est impossible de parler de lui sans penser à elle. Elle était la main droite de Lénine, son meilleur secrétaire, sa compagne dévouée, la meilleure interprète de ses idées » (13).

Son dévouement a beaucoup aidé Lénine à supporter la clandestinité et la vie pénible des révolutionnaires partout traqués par la police du Tsar. Rappelons que Lénine et Nadejda Kroupskaïa ont passé plus de quinze ans dans l'immigration changeant sans cesse de pays, de villes et de logements. Kroupskaïa a probablement souffert plus que Lénine des affres de l'exil. Elle menait de front plusieurs combats et plusieurs tâches. En plus de ses travaux scientifiques dans le domaine de la pédagogie qui embrassent tous les domaines de la politique éducative (14), elle consacrait une grande partie de son temps à la diffusion des brochures et documents du parti, combattait les ennemis de Lénine, engageait des luttes pour la cause des femmes etc. mais si « la vie n'était pas gaie » en exil, le retour du couple en Russie en avril 1917 était triomphal : « Les masses, ouvriers, soldats, matelots, s'étaient portées au-devant de leur chef. Tout autour de nous, c'était une mer humaine qui bouillonnait. Qui n'a pas vu la révolution ne peut s'en imaginer la beauté majestueuse, triomphale » disait Nadejda Kroupskaïa dans « Souvenirs sur Lénine » (15).

Au crépuscule de sa vie, malade, affaibli et éloigné du pouvoir, Lénine pouvait encore et toujours compter sur sa plus fidèle camarade, Nadejda. C'est dire le rôle joué par cette femme discrète dans la vie de Lénine et partant dans la révolution d'octobre.

Le 21 janvier 1924, Lénine a cessé de vivre à l'âge de cinquante quatre ans. Si la vie lui avait accordé quelques années de plus, le sort de la Révolution d'octobre aurait été probablement très différent. En tout cas, ses ennemis se sont empressés, contre la volonté de sa veuve, d'embaumer son corps afin de consolider leur propre pouvoir et pour mieux enterrer ses idées révolutionnaires.

Parlant des chefs des classes opprimées en lutte, Lénine disait « Après leur mort, on essaie d'en faire des icônes inoffensives, de les canoniser pour ainsi dire, d'entourer leur nom d'une certaine auréole afin de "consoler" les classes opprimées et de les mystifier ; ce faisant, on vide leur doctrine révolutionnaire de son contenu , on l'avilit et on en émousse le tranchant révolutionnaire » (16).

Après l'adieu officiel à Lénine, Nadejda Kroupskaïa prononça ces paroles : « Camarades, ouvriers et ouvrières, paysans et paysannes. Ne laissez pas votre peine se transformer en adoration extérieure de la personnalité de Vladimir Ilitch. Ne construisez pas de palais ou de monuments à son nom. A toutes ces choses, il accorda peu d'importance au cours de sa vie. Ça lui était même pénible.(...) Si vous voulez honorer la mémoire de Vladimir Ilitch, construisez des crèches, des jardins d'enfants, des maisons, des écoles, des hôpitaux, et mieux encore vivez en accord avec ses préceptes » (17). Son avertissement n'a pas été vraiment entendu.

Mohamed Belaali

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(1)Lénine, « Que faire », Éditions du progrès, page 46.

(2)Franz Mehring « Karl Marx, histoire de sa vie », Bartillat, page 261.

(3)Lénine « L'Etat et la révolution » :

https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1917/08/er1.htm

(4)Maxime Gorki dans V I Lénine : http://gallica.bnf.fr/ark :/12148/bpt6k1478992/f1.image

(page 13).

(5) John Reed, « Les dix jours qui ébranlèrent le monde », Editions Tribord, 2010, page 220 .

(6)Lénine, « Que faire ? » op cit, page 56.

https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1902/02/19020200g.htm

(7)https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1915/08/vil19150800b.htm

(8) https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1917/04/vil19170407.htm

(9)https://www.marxists.org/francais/trotsky/oeuvres/1924/04/lt1924042100c.htm

(10)https://www.marxists.org/francais/lenin/works/1917/10/vil19171001b.htm

(11)John Reed, « Dix jours qui ébranlèrent le monde ». Op cit. pages 228 et 229.

(12)John Reed, op. cit.

(13)Clara Zetkin, « Souvenirs sur Lénine » : https://www.marxists.org/francais/zetkin/works/1924/01/zetkin_19240100.htm

(14)http://www.ibe.unesco.org/sites/default/files/kroupskf.pdf

(15)Nadejda Kroupskaïa, « Souvenirs sur Lénine » :

https://www.marxists.org/francais/kroupskaia/works/1924/00/emigration.htm )

(16) Lénine, « L’État et la révolution », op.cit.

(17)Cité dans Tariq Ali, « Les dilemmes de Lénine », Sabine Wespieser éditeur, 2017, page 459.

 



15 réactions


  • Mozart Mozart 22 janvier 13:37

    Cher ami,

    que de bêtises tout au long de votre pensum. Les révolutions sont d’abord bourgeoises et menée par des bourgeois. Lénine était un petit bourgeois, comme le fut Robespierre. Ce fut, d’abord un traitre à sa patrie et un sanguinaire syphilitique. Il a trahit son pays en se vendant aux allemands, en traitant avec les allemands leur permettant de pouvoir rapatrier leurs armées sur le front de l’ouest. Il a trahit son pays en balayant le début de démocratie qui s’y instaurait ; il a trahit son pays en instaurant aussi la terreur rouge, les massacres ; il a encore trahit son pays en permettant à Staline (homme médiocre) de prendre le pouvoir. Il n’y a rien de bon chez cet homme, et le porter aux nues comme vous le faites, revient à adorer Robespierre, Pol Pot, Mao, Staline et même Hitler. Il a si bien réussit, qu’à la fin du communisme en URSS, son pays et ses satellites avaient 30 ans de retard sur les démocraties.


    • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 22 janvier 13:44

      @Mozart

      Bonjour,
      L’auteur vous a répondu par avance dans l’article. Il a notamment écrit :

      "Plus d’un siècle après sa mort, les idées de Lénine font toujours peur à tous les défenseurs de l’ordre établi. Car Lénine s’est attaqué aux fondements même des pouvoirs de cette minorité d’exploiteurs qui n’hésite et qui ne recule devant rien pour perpétuer ses privilèges. Lénine a démontré que sans le renversement du capitalisme par une révolution socialiste, point de salut pour tous les travailleurs et pour tous les opprimés. Le véritable crime de Lénine c’est d’avoir remplacé la Révolution bourgeoise de février 1917 par la Révolution socialiste d’octobre. Ce crime là, la bourgeoisie ne lui pardonnera jamais. « Lénine doit naturellement apparaître comme Attila venu détruire la Rome du bien-être et du confort bourgeois, basé sur l’esclavage, le sang et le pillage. Mais de même la Rome antique a mérité sa perte, de même les crimes du monde contemporain justifient la nécessité de sa destruction » disait Maxime Gorki"


    • Mozart Mozart 22 janvier 15:17

      @Jean Dugenêt
      Lénine ne fait plus peur à personne : idées dépassées basées sur des erreurs (Marx et Enghels) ayant aboutit à la dictature la plus sanglante n’ayant jamais existé et produit un pays ayant, lors de l’écroulement de son régime, plus de 3 décennies de retard économique sur les autres. Les révolutions ont toujours été néfastes au progrès humain alors que les évolutions ont été bénéfiques. Les pays révolutionnaires ont toujours pris du retard par rapport aux pays évolutionnaires (France vs Angleterre.....). Et l’Histoire nous a largement démontré qu’aucuns pays dits socialistes (et pire même communistes) n’a jamais réussi économiquement. Ils se sont fait écrasés par les pays dits capitaliste, pays où règne la liberté de pensée et où la critique a le droit d’exister ; pays d’innovations face à l’immobilisme socialiste. Lénine, ce funeste personnage a enterré la liberté naissante d’une nation asservie par un pouvoir monarchique absolu, qui aurait pu évolué vers une monarchie constitutionnelle voir une démocratie. Lénine a été le fossoyeur (petit bourgeois) de l’ouverture de la Russie vers la démocratie, pays qui paie encore aujourd’hui, les déboires aberrent d’un petite bourge en cravate en recherche de reconnaissance, agitateur sanglant et syphilitique imbu de son pouvoir personnel n’ayant pas même prévu une succession digne de ce nom En un mot un personnage sinistre à oublier au plus vite. Il n’y a qu’en France et à Cuba ou de vieux rouges sur le retour croient encore aux fadaises du bolchévisme. On voit où en sont ces deux pays !


  • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 22 janvier 13:39

    « Lénine, le grand Lénine »

    Je crois que cette expression ne lui aurait pas fait plaisir. Il n’a jamais voulu qu’on érige des statues à sa gloire.

    « la doctrine de Marx et d’Engels »

    Je crois que cette expression n’aurait fait plaisir ni à Marx, ni à Engels, ni à Lénine. Ils étaient contre toutes les doctrines. Le matérialisme et la dialectiquie sont des outils permettant de percevoir la vérité. Il ne s’agit nullement de « doctrine ».


    "Sans Lénine, la Révolution d’octobre 1917 n’aurait probablement jamais triomphé. La révolution était le produit des rapports sociaux de la Russie de l’époque. « 

    Vous pouvez enlever le »probablement« . C’est une certitude. Trotsky seul n’aurait pas pu avoir l’adhésion du parti bolchevique pour lancer l’insurrection en octobre. Kamenev et Zinonviev y étaient opposés.

     »Mais Lénine agissait dans le cadre des conditions sociales et politiques particulières. La Première Guerre mondiale et la Révolution de février étaient des occasions, des opportunités à ne pas manquer pour renverser le Gouvernement provisoire et donner ainsi le pouvoir aux ouvriers et aux paysans pauvres.« 

    Cette explication est insuffisante. En juillet Lénine ne voulait pas lancer l’insurrection. En octobre, il était certain qu’il y avait un bon créneau. Pourquoi ? L’état de décomposition de l’armée à la suite d’une défaire mémorable était la cause principale. Il ne suffisait pas de prendre le pouvoir. Il fallait avoir de bonnes chances de le conserver.

     »Attendre le Congrès des Soviets, c’est faire preuve d’un formalisme puéril et déshonorant ; c’est trahir la révolution"

    Il faut dater cette déclaration car nous savons que l’insurrection a été volontairement lancée dans la nuit précédent le Congrès des soviets. 

    C’était la proposition de Trotsky, président du soviet de Pétrograd. Lénine s’est rallié à cette proposition.

    Pour conclure : Merci d’avoir écrit cet article. Je partage votre point de vue pour l’essentiel. Les quelques critiques que j’ai émises vont de pair avec mon accord. Il faut prêter attention aux faits qui semblent parfois des détails mais qui ont tous une importance..


    • Mozart Mozart 22 janvier 15:21

      @Jean Dugenêt
      C’est bien de conjecturer sur l’une des plus immondes saloperie qu’a engendré le XXieme siècle. Il n’empêche que Poutine a mis tout cela dans les poubelles de l’Histoire. J’attends avec impatience la mise à la poubelle de la moie mitée de Lénine (pour l’instant ça rapporte des sous-sous, Lénine aura au moins servi à quelque chose). Ensuite, à la benne, c’est tout ce que mérite ce pré-Staline.


    • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 22 janvier 18:41

      @Mozart
      « C’est bien de conjecturer sur l’une des plus immondes saloperie(s) ».

      Vous préférez lancer les insultes les plus ordurières possibles plutôt que de chercher des arguments. Vous montrez ainsi que vous n’avez pas d’arguments. Vous exprimez seulement la haine des privilégiés à l’égard de ceux qui agissent pour abolir les privilèges.

      Les « immondes saloperies » sont ceux qui considèrent normal qu’il y ait des exploiteurs et des exploités. Ce sont ceux qui, au fil des époques, ont défendu d’abord l’esclavage, puis le servage et maintenant le capitalisme.

      « Il n’empêche que Poutine a mis tout cela dans les poubelles de l’Histoire ».
      Nous devons vraiment avoir des modes de pensée différents, car cette phrase me semble incompréhensible. Poutine exprime autant que vous sa détestation à l’égard de Lénine et son admiration à la fois pour les tsars et pour Staline.


    • Mozart Mozart 23 janvier 12:36

      @Jean Dugenêt
      Je rejoins Coluche quand il dit : Le capitalisme est l’exploitation de l’homme par l’homme et le communisme c’est le contraire. Le communisme a été la plus grande dictature où l’homme n’a compté que comme unité déshumanisé. C’est bien beau de croire en des chimères et des lubies pseudo humanistes, une autre chose est de les réaliser. Or, il s’avère que l’Histoire nous prouve le contraire de ce que vous osez dire : le communisme a accouché d’un régime sanguinaire, où toutes notions de liberté a été bannie, ou les apparatchiks vivaient luxueusement dans des datchas confortables (Trotsky lui dans son train de luxe) alors que le peuple était aussi miséreux voir même plus que sous les tsars, était asservi à une idée pour que quelques meneurs puissent, eux, vivre dans l’aisance. En fait, le communisme a révélé le pire de l’homme et a conduit une nation à l’esclavage et le pays à la ruine.
      Alors vos vieilles barbes idéologiques dépassées (pourquoi n’allez-vous pas vivre à Cuba, ce paradis sur terre), font partie du passé et non de l’avenir de l’humanité. D’ailleurs il semble que cette dernière ait choisi.


    • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 24 janvier 14:06

      @Mozart

      « Je rejoins Coluche quand il dit : Le capitalisme est l’exploitation de l’homme par l’homme et le communisme c’est le contraire. »

      Je ne sais pas si Coluche a dit cela, mais cette plaisanterie était souvent exprimée à Prague en 1968.
      En fait, il y a confusion entre le stalinisme et le communisme. La dictature mise en place par Staline et poursuivie par ses successeurs n’a rien de commun avec le communisme.

      Personne n’a vu le communisme (société sans classe) comme mode de société mise en place.

      La société actuelle vous convient peut-être. J’ai peur qu’elle perdure, car elle mène l’humanité à sa perte. Très concrètement, nous risquons une troisième guerre mondiale. Je crois qu’un abruti comme Poutine préférerait que l’humanité soit détruite plutôt que d’être défait.

      Voyez quels sont les progrès amenés par le capitalisme dans toute cette région du monde : Irak, Syrie, Afghanistan, Lybie ! C’est cela que vous proposez comme avenir pour l’humanité. Je crois effectivement que les hommes peuvent faire mieux : construire une société dans laquelle la recherche sans limites du profit ne sera plus le moteur de l’activité humaine.


    • Mozart Mozart 24 janvier 15:21

      @Jean Dugenêt
      Cher ami,
      Le communisme a engendré le plus grand nombre de massacres de l’Histoire : Russie, Chine, Pays de l’est asservis, guerre de Corée, du Vietnam, du Cambodge, d’Angola, de Cuba... sans compter les milices rouges actives dans beaucoup de pays avec des guerres larvées...
      Comme vous l’avez si bien dit, on a jamais vu un pays communiste parce c’est une chimère non compatible avec l’esprit humain. On l’ a vu avec les communautés 68tardes qui n’ont duré le temps d’un rêve. Seul le capitalisme, et donc l’esprit d’entreprise humain est capable de faire évoluer l’homme. Le rêve rouge n’est qu’un immense gâchis où le mérite est remplacé par le fayotage et la feignantise. L’Histoire nous l’a largement démontré et ne pas la prendre en compte c’est refusé la vérité. Mon vieux Winston disait : Plus je connais mon passé, plus je vois loin dans mon avenir.


    • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 24 janvier 17:10

      @Mozart
      Ce n’est pas parce que les avancées faites dans le bon sens ont échoué que leur destinée est nécessairement de toujours échouer.
      A ce compte là, il aurait fallu dire la même chose de la volonté de mettre en place un régime républicain. Il n’y a eu que des échecs jusqu’à la mise en place depuis la révolution jusqu’à la mise en place de la IIIème république. Fallait-il pour autant abandonner le projet républicain ?


    • Mozart Mozart 25 janvier 11:47

      @Jean Dugenêt
      Vous oubliez au passage que (pour n’en citer que quelques uns), la Suisse, les USA, le Royaume uni.... ont été des démocraties bien avant nous et notre fichue révolution. D’ailleurs cette dernière nous a amené à la dictature Napoléonienne. Or, pour le communisme il n’y a eu que des échecs et aucune réussite, car il n’est pas dans la nature humaine d’être comme son voisin, de travailler pour rien et sans intérêt. C’est comme cela, vous n’y pouvez rien. Vous voudriez que les bovins soient solitaires alors qu’ils sont grégaires, que les loups ne mangent que des fruits alors qu’ils sont carnivores... Vous ne les changerez pas. Chaque homme a son ego plus ou moins fort et l’exprime à sa façon. Les sociétés capitalistes ne vous empêchent pas de vivre en communautés communistes (kibboutz....), alors que les sociétés communistes vous empêchent de vivre une vie capitaliste. Il est temps d’oublier ces vieux dogmes dépassés. Je pourrais comprendre votre nostalgie, mais pas l’aliénation de ma liberté asservie par un gauchisme fascisant.


  • Étirév 22 janvier 14:51

    Au cours de l’été 1917, il devint impératif de savoir qui financerait Lénine et Trotsky pour leur coup d’état révolutionnaire. Les Banquiers Internationaux décidèrent que leurs représentants se rencontreraient à Stockholm (Suède) parce que ce pays était neutre et relativement peu fréquenté par les espions internationaux. Parmi les personnes qui assistèrent à la réunion, se trouvaient des hommes qui représentaient les intérêts bancaires de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de France, de Russie et des États-Unis d’Amérique. M. Protopopoff, le ministre russe de l’Intérieur y était, de même que M. Warburg de Hamburg (du B’nai B’rith), frère de Paul Warburg, associé de Kuhn-Lœb & Co de NewYork, qui avait mis au point la législation du Système de Réserve Fédérale en 1910. Nous verrons que dans le but de savoir comment on s’entendrait sur le financement de Lénine et de Trotsky pour renverser le gouvernement russe, des délégués vinrent de toutes les nations en guerre. Il fut décidé finalement que Kuhn-Lœb de New-York mettrait $50.000.000 à la disposition de Lénine et de Trotsky à la Banque de Suède. En 1917, les officiers des Renseignements britanniques et américains rapportèrent ces faits à leurs Gouvernements respectifs. Les plans que Jacob Schiff avait dressés pour permettre à Trotsky et à sa cohorte de révolutionnaires professionnels de revenir à St Petersburg via New York « tombèrent à l’eau » lorsque Trotsky fut emprisonné par le gouvernement canadien à Halifax (Nouvelle Ecosse). Le pouvoir que les Banquiers Internationaux exercent sur les gouvernements constitutionnels est ainsi prouvé par le fait qu’ils protestèrent aussitôt auprès des gouvernements concernés. Trotsky et son « gang » de révolutionnaires furent relâchés et ils reçurent un sauf-conduit pour traverser la Zone de blocus britannique. Nous avons une preuve supplémentaire de la complicité des politiciens britanniques dans la Révolution Russe de 1917, grâce à D. Petrovsky qui nous expose le rôle joué par Sir G. Buchanan, ambassadeur de Grande-Bretagne. Petrovsky prouve que bien que parfaitement informé de tout ce qui se tramait dans les coulisses, le gouvernement de Lloyd George aida les Banquiers Internationaux à faire entrer Trotsky et ses révolutionnaires en Russie pendant qu’au même moment le Haut Commandement allemand aidait les Banquiers Internationaux à faire passer Lénine et son « gang » de révolutionnaires de Suisse à Petrograd. On fournit à Lénine ainsi qu’à ses hommes de main un wagon de chemin de fer privé pour leur voyage à travers l’Allemagne. M. Petrovsky révèle que Milioukoff, qui avait été nommé ministre des Affaires étrangères par le gouvernement républicain russe au printemps de 1917, fut l’homme qui négocia cette intrigue qui impliquait des nations en guerre. Il est aussi mentionné qu’en remerciement de la coopération du Haut-État-Major allemand, le gouvernement de Grande-Bretagne accepta la requête de Milioukoff, à savoir la libération de M. M. Litvinov. Ce dernier avait été arrêté par les officiers du renseignement britannique en tant qu’espion de l’Allemagne. Les origines de M. Litvinov s’avèrent d’un grand intérêt ; ses parents portaient le nom de Finkelstein. Lorsqu’il rejoignit le Mouvement Révolutionnaire Mondial, il changea son nom en celui de Meyer Wallach. Lorsqu’il décida de s’associer avec Lénine et son parti bolchevique, il changea de nouveau son nom en celui de Maxim Litvinov. C’est le même homme qui fut l’espion des Allemands et c’est encore le même homme qui sera arrêté lorsqu’il essayera de changer les billets de banque de 500 roubles qu’il avait dérobés après avoir lancé une bombe lors du cambriolage de la Banque de Tiflis. Après sa libération par les autorités britanniques, Litvinov retourna en Russie. Il aida Lénine à renverser le Gouvernement Provisoire de Kérensky et le Soviet Menchevik instauré à St Petersburg avant octobre 1917. Litvinov fut le Commissaire des Affaires étrangères de Staline de 1930 à 1939 et fut nommé membre du Comité Central du Parti Communiste en 1935. Assassin, receleur d’argent volé, espion, gangster international et Chef d’orchestre des menées révolutionnaires dans de nombreux pays, toutes ces qualités furent acclamées par les nations du monde lorsqu’il fut élevé à la fonction de Président du Conseil des Nations Unies. Seul un groupe international, tel que les Banquiers Internationaux, pouvait sauver la vie de cet homme et lui assurer la liberté lorsqu’il exécutait les mots d’ordre criminels des comploteurs internationaux. Seuls le pouvoir et l’influence des Banquiers Internationaux ont pu le faire élire Président du Conseil des Nations Unies. Une autre preuve qui vaut la peine d’être citée établit que les Banquiers Internationaux du Royaume-Uni, des États-Unis, d’Allemagne et de Russie travaillèrent ensemble même après que l’Allemagne et la Grande-Bretagne se soient déclaré la guerre. Nous trouvons cette preuve dans une brochure intitulée « Trotsky » (Defender Publishers, Wichita, Kansas), citant une lettre de J.M. Dell et adressée personnellement à Lloyd George (Lloyd George avait été durant des années l’Avocat du Mouvement Sioniste dirigé et financé par les Rothschild). Mais pourquoi continuer ? Il faudrait des livres entiers pour citer toutes les preuves établissant que les Banquiers Internationaux organisèrent, financèrent et dirigèrent la Révolution Russe afin d’obtenir le contrôle d’un énorme territoire pour pouvoir y tester à fond leurs théories totalitaires. En pratiquant des expériences sur un territoire aussi gigantesque que la soi-disant U.R.S.S., ils pouvaient déceler les erreurs et les faiblesses du procédé par tâtonnements. Il aurait été vraiment stupide de leur part d’essayer de diriger le monde entier avant d’avoir accompli cette expérience qui coûta des millions de vies humaines. De telles actions ont toujours fait partie de leur Plan à longue échéance. Ce plan a commencé il y a cinq mille ans et fut remis à jour lors de la réunion qui eut lieu dans l’Orfèvrerie Bauer à Francfort en 1773. A moins que l’on ne décide d’agir en commun, il est probable que ce plan arrivera à échéance lorsqu’ils auront obtenu le contrôle économique et politique après la Troisième Guerre Mondiale. Si l’on permet le déclenchement de la Troisième Guerre Mondiale, la dévastation sera si considérable que les Internationalistes en arriveront à prétendre que seul un Gouvernement Mondial soutenu par une force de police internationale permettra de résoudre les différents problèmes nationaux et internationaux, rendant impossible de nouvelles guerres. Cet argument paraîtra logique à de nombreuses personnes qui oublient toutefois que les dirigeants communistes Orientaux et les dirigeants capitalistes Occidentaux ont l’intention de mettre à exécution en dernier lieu leurs idées de Dictature Athée-Totalitaire. (W.G. Carr, « Des Pions sur l’Échiquier »)
    NB : Les pays se sont ruinés sans s’en apercevoir. Comme personne n’apporte de solution miracle (c’est impossible au niveau actuel du Plan), les hommes qui sont au pouvoir visible tentent de créer l’illusion que tout va bien. C’est la raison pour laquelle tout a été fait pour corrompre la classe politicienne. Et les peuples continuent de flatter, pour le temps qui leur reste, ceux qui donnent l’impression d’écarter d’eux toutes les calamités. Inutile de vous dire que cette espérance est et sera trompée. Tous les accords de paix dont vous avez entendu parler depuis la « guerre du Golfe », tous les évènements de Russie faisant croire à une nouvelle ère où le Communisme serait renvoyé au cimetière sont des « composantes » du Plan. Pensez-vous réellement que cette « Organisation » qui a financé Lénine, qui a donné la moitié du monde à Staline avec la complicité des dirigeants de l’époque accepterait de tout arrêter alors qu’elle est si proche du but ? Croyez-vous sérieusement que tous les montages secrets qui ont permis au Socialisme d’être planétaire vont s’arrêter là ?
    Comprenez que le Communisme ne sera réellement mort que le jour où son « père nourricier », à savoir le Capitalisme ultra libéral de la Haute Finance, ne sera, lui-même, plus de ce monde !
    Avec la grande duperie de la « Perestroïka » (Restructuration) et l’imposture de la « Glaznost » (Ouverture), nous assistons depuis quelques temps au « Glissement » mondial (Européen pour commencer) vers une Deuxième « Révolution d’Octobre ».
    LIEN


    • Seth 22 janvier 16:19

      @Étirév

      Waouh ! Peut-on savoir hors du lien quel historien de référence a publié ce texte de découvertes inédites ?

      On se croirait dans un roman de plage. smiley


    • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 22 janvier 18:44

      @Seth
      Bonjour,
      Il existe une abondante littérature produite par des réactionnaires qui veulent nier l’existence de toute révolution. Pour eux, en 1917, il y a eu un complot judéo-bolchévique. Ils ont écrit des romans pour raconter ce complot.


  • GoldoBlack 23 janvier 07:37

    Lénine comme un gourou...

    Pathétique.

    Ni dieu, ni maître !


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