Les Beatles... toute une époque !
Les Beatles... toute une époque !
Nous avons tous fredonné leurs chansons... Help !, Yesterday, Penny Lane, All You Need Is Love, Hey Jude... que de titres nous viennent à l'esprit !
Le plus grand groupe de tous les temps et de son époque, un groupe mythique !
Frédéric Granier nous raconte leur histoire dans une biographie intitulée : "Les Beatles - Quatre garçons dans le siècle..."
Invité lors du Festival de la Biographie à Nîmes, il a présenté son ouvrage devant un public nombreux et passionné.
Formé en 1960, et composé de John Lennon, Paul McCartney, George Harrison et Richard Starkey, dit Ringo Starr, le groupe est considéré comme le plus populaire et le plus influent de l'histoire du rock.
"Comment se sont passés les débuts ?
Cela s'est passé de manière un peu chaotique... ce sont quatre garçons qui sont sortis des bouges de Liverpool, c'étaient plutôt des bad boys, un peu des prolétaires issus d'un milieu très modeste. Ils se sont rassemblés autour d'une passion : le rock'n' roll...
Ils se sont retrouvés dans les petites salles de Liverpool et ils ont petit à petit gravi tous les échelons du succès. Ils ne sont pas immédiatement passés des petites caves de Liverpool jusqu'au numéro un de tous les tops. Il y a eu de longues années d'initiation : ainsi, ils ont passé plusieurs années dans les clubs de Hambourg à jouer du rock'n roll pour quelques deutschemarks et quelques bières qu'on leur offrait.
Après l'essor de la Beatlemania au Royaume-Uni et ensuite en Europe, les Beatles connaissent le succès en Amérique du Nord à partir de 1964, puis rapidement dans le monde entier.
La reine les a anoblis en 1965, ça été une surprise.
C'est un moment très ambigu : on ne sait pas si eux essaient de faire une sorte de happening, en se moquant un peu de l'establishment anglais ou si c'est une manière de rentrer finalement dans le rang ?
La conquête de l'Amérique s'est faite fin 1963.
Ils ont essayé de sortir des disques, plusieurs fois, en Amérique... aucun succès : on se demandait qui étaient ces quatre adolescents avec des accents à couper au couteau, avec des espèces de choucroutes sur la tête...
On s'est demandé : "Mais c'est qui ces gens-là ?", d'autant plus qu'il y avait déjà des stars locales, il y avait les Beach Boys, d'autres groupes, il y avait la soul.
Et puis, en 1963, Kennedy a été assassiné, et les Beatles ont servi finalement de palliatif, de pansement dans une Amérique meurtrie.
Les jeunes Américains noirs et blancs ( parce qu'il y avait encore la ségrégation à l'époque) ont compris que c'était une musique qui transcendait les frontières, les couleurs de peau.
Et ça a été un extraordinaire exutoire et pour beaucoup de gens que j'ai interviewés, les Américains qui avaient connu cette époque, ils associent mentalement la mort de Kennedy, cette tristesse et ce retour de la joie avec le premier grand succès des Beatles aux Etats-Unis : I want to hold your hand.
Alors, il y a deux années très importantes, décembre 1980 : assassinat de John Lennon, et novembre 2001 : la mort de Georges Harrison.
Dans deux contextes très différents : Lennon est assassiné en 1980, beaucoup de gens s'en souviennent, ça a été un choc... pour des raisons musicales parce qu'on s'est dit que plus jamais on n'entendrait de trésors de la part de Lennon, un choc aussi parce qu'on a compris qu'il n'y aurait plus jamais de reformation possible. A l'époque c'était le fantasme... tous les ans, on disait : "Et si les Beatles se reformaient, et si les Beatles se reformaient..."
Et puis aussi, parce qu'on est passé de la fin d'un idéal, celui des années 60/ 70 à la décennie 80 qui est la décennie de Thatcher, celle de Reagan, c'est l'ère du libéralisme à tout crin, et tout d'un coup on avait l'impression de tourner la page des années Flower Power et de l'espoir porté par les Beatles.
Mais, malgré le temps qui passe, les Beatles ont toujours du succès...
La vente des disques a de l'avenir : 47 % des auditeurs en 2019 ont entre 18 et 29 ans. C'est remarquable !"
L'auteur Frédéric Granier témoigne encore : "Ma fille a 10 ans et je peux vous assurer que je mets un disque des Beatles, et tout de suite, son regard s'illumine."
Le blog :
http://rosemar.over-blog.com/2020/02/les-beatles.toute-une-epoque.html
https://www.lisez.com/livre-grand-format/les-beatles/9782262077235
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64 réactions
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Fergus
19 février 2020 13:07
Bonjour, Rosemar
Sauf erreur de ma part, avant 1960, le groupe préexistait sous le nom de Johnny and the Moodog. Devenu The Beatles cette année-là (en fait, je croyais plutôt en 1959), il ne comporte pas Ringo Starkey comme vous l’écrivez, mais Pete Best à la batterie : Ringo n’arrive qu’en 1962 !
Vous avez en outre oublié un élément biographique important ! Le succès initial du groupe n’a pas été dû à la seule qualité des titres interprétés, mais au look des musiciens, en rupture avec les stars du rock de ces années-là : impeccablement vêtus et impeccablement coiffés, on a très vite parlé d’un « look de gendre idéal » qui, allié à des paroles de chanson très soft, a beaucoup contribué au succès des Beatles dans la société anglaise.
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Fergus
19 février 2020 13:22
Erratum : Ringo Star se nommait Richard Starkey.
Un musicien a été oublié : le bassiste Stuart Stucliffe, partie intégrante du groupe durant les années 1960 à 1962 où les musiciens ne cessent de faire des allers et retours entre l’Angleterre et le quartier chaud de Sankt-Pauli à Hambourg où, en blousons de cuir, ils jouent dans des boîtes assez miteuses comme l’Indra ou le Kaiserkeller.
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rosemar
19 février 2020 17:27
@Fergus
Oui, enfin, l’auteur qui a écrit la biographie des Beatles a fait un résumé au cours de sa présentation, et je ne prétends pas être exhaustive sur le sujet !!
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Fergus
19 février 2020 17:49
@ rosemar
Pas « exhaustive », c’est le moins que l’on puisse dire. Cela dit, personne ne demande d’article exhaustif sur un sujet aussi riche.Mais le fait est que la vie et l’oeuvre d’un groupe comme les Beatles mériterait un article nettement plus consistant qu’un texte aussi peu développé.
Une opinion qui n’engage que moi, cela va de soi.
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rosemar
19 février 2020 17:54
@Fergus
Je confirme : je n’ai pas le temps d’écrire une biographie plus complète des Beatles... L’auteur Frédéric Granier l’ a fait... je vous conseille de lire l’ouvrage si le sujet vous intéresse...
Les infos que vous donnez se trouvent sur wikipédia...
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Fergus
19 février 2020 18:55
@ rosemar
Ah ? Vous consultez Wikipedia ? Moi pas : ce site comporte trop d’erreurs pour que l’on puisse s’y fier. En revanche, je dispose de bouquins bien documentés sur le rock.
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rosemar
19 février 2020 19:34
@Fergus
Ben voyons ! Vous allez nous écrire votre article parfait sur les Beatles, bien sûr !
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foufouille
19 février 2020 19:56
@rosemar
fergus aura aucun mal à faire mieux que toi tellement tu es nulle.
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rosemar
19 février 2020 22:56
@bokiller
Ah vous avez remarqué : Fergus fait mieux que tous les autre... c’est un spécialiste né !!
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Trelawney
20 février 2020 07:49
@Fergus
Paul, John et George se sont connus à LIverpool où il ont fondé les Quarrymen puis ont filé à Hambourg où ils vivaient dans un bordel (ils avaient 16 et 18 ans) Ils faisaient des petits travaux d’entretien dans ce bordel contre le logis et le couvert.
Johnny and the Moodog daté d’avant les Quarrymen et je pense qu’il n’y avait que John dedans.
Pourquoi Hambourg ? Parce que dans une ville en pleine reconstruction (la ville la plus bombardée d’Allemagne) ils leur étaient plus facile de trouver de la drogue
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Laconique
19 février 2020 13:48
Très bon article sur le satanisme des Beatles, sur AgoraVox TV.
La face cachée des Beatles : https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/la-face-cachee-des-beatles-49419
Il y a des trésors dans les archives d’Agoravox...
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Gollum
19 février 2020 14:31
@Laconique
Il y a des trésors dans les archives d’Agoravox...
Tout à fait. Les posts d’un certain serpent vert, pleins de bon sens....
Alors que l’article du narcissique Jean Robin -----> poubelle..
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Laconique
19 février 2020 14:37
@Gollum
Ah oui c’est vrai. J’avais même commenté. Nous étions encore en bons termes à l’époque...
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Laconique
19 février 2020 18:28
@arthes
« Helter Skelter », la chanson qui a inspiré Charles Manson. Manson était obsédé par les Beatles. Renseignez-vous un peu.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
20 février 2020 14:15
@Laconique. Les liens entre christianisme et nazisme (Thulé) ne sont pas mal non. Lire Grunberger. L’oeil et la poutre.
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Laconique
20 février 2020 14:56
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Vous rigolez ? Il suffit de lire les déclarations de l’Eglise sur le nazisme (Mit brennender Sorge), ou les déclarations des nazis sur l’Eglise (faciles à trouver sur Google) pour avoir les idées nettes là-dessus, et ce n’est pas votre bouillie psychanalytique qui pourra convaincre quiconque du contraire. Vous êtes en pleine confusion, sur ce sujet-là comme sur tant d’autres. Priez la Vierge Marie pour qu’elle vous guérisse.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
20 février 2020 17:12
@Laconique. Belle synchro. Le pape François a décidé d’ouvrir les archives de PIE XII. BREL :Nazis durant les guerres
Et catholiques entre elles
Vous oscillez sans cesse
Du fusil au missel
Vos regards sont lointains
Votre humour est exsangue
Bien qu’y aient des rues à Gand
Qui pissent dans les deux langues
Tu vois quand j’pense à vous
J’aime que rien ne se perde
Messieurs les Flamingants
Je vous emmerde -
Massaliote
21 février 2020 14:30
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Sur PIE XII : posez vous donc la question : pourquoi Golda MEIER s’est-elle portée volontaire pour prononçer son éloge funèbre aux Nations-Unies ? Il ne faut pas se fier à BFMTV. Si brel est votre maître à penser ça ne fait pas de lui un historien sérieux.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
22 février 2020 08:47
@Massaliote. Lisez Marcel Sel qui a fait un travail sérieux d’historien sur les flamingants.
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Massaliote
28 février 2020 14:47
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Le rapport entre les flamingants et PIE XII ?
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ticotico
19 février 2020 14:18
Je vous conseille l’excellent film d’Éric Idle (des Monty python) sur l’histoire des Rutles « All you need is cash »
On le trouve en intégrale sur YouTube.
Humour anglais de très haut niveau...
Dans un registre plus mainstream, *Yesterday" de Danny Boyle (2019) se regarde avec plaisir. Il décrit les aventures d’un auteur compositeur ringard qui vit dans un monde où il est presque le seul à se souvenir des chansons des Beatles.
Et les Beatles sont partout, il y a deux dans le parc « John Lennon » à la havane, j’avais assisté à un concert où la crème des musiciens rock et jazz locaux interprétait des chansons des p’tits gars de Liverpool. Prétexte officiel : fêter les 50 ans de la sortie de sergeant’s pepper...
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Fergus
19 février 2020 16:03
Bonjour, Initiativedharman
A mon avis, il en va des Rolling Stones vs les Beatles comme de Brel vs Brassens : des titres incontestablement géniaux pour les premiers nommés, mais aussi beaucoup de titres médiocres motivés par la quête du fric.
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Initiativedharman
19 février 2020 16:18
@Fergus
C’est un peu ça. Mais il y a l’attitude rock’n’roll et là, incontestablement, du moins, au début de leur carrière, je préfère nettement les Rolling Stones aux Beatles. Aujourd’hui, ils remplissent les stades avec des places à 150 euros, c’est du grand n’importe quoi. -
rosemar
19 février 2020 22:59
@Initiativedharman
Je pense que le répertoire des Rolling Stones est moins connu...
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rosemar
19 février 2020 22:59
@Initiativedharman
Je pense que le répertoire des Rolling Stones est moins connu...
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Trelawney
20 février 2020 09:29
@rosemar
Je pense que le répertoire des Rolling Stones est moins connu...
Depuis des lustres mon réveil est sur under my thumb et ça suffit pour me donner la pêche pour la journée.
Le répertoire des Rolling Stones est bien connu des aficionados
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TSS
19 février 2020 17:15
A l’epoque de leurs debuts j’ecoutais chuck Berry,little Richard,jerry lee Lewis
c’etait une autre pointure !
Ensuite ce fut les Animals,Stippenwolf etc
Je suis allé voir les Stones au stade de France,c’est desesperant ,il faut
qu’ils regagnent leur maison de retraite !!
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Fergus
19 février 2020 17:54
Bonjour, TSS
Je partage votre avis. Encore avec-vous oublié de citer les Kinks, les Doors, Canned Heat, Creedence Clearwater Revival ou bien encore Lynyrd Skynyrd, pour ne citer que ceux-là.
Cela dit, j’ai toujours bien apprécié les Beatles : du travail bien fait, quoi qu’on en dise.
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Trelawney
20 février 2020 09:31
@TSS
Je ne sais pas l’age que vous avez, mais voir Mick Jagger faire ce qu’il fait à 76 ans démontre que la drogue fait des miracles
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rosemar
20 février 2020 10:05
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Jean Guillot
20 février 2020 11:43
@CLOJAC
J’ai écouté mais j’ai été obligé de me boucher les oreilles , dans la cacophonie on fait pas mieux , là vous videz le supermarché et remplissez les magasins d’audioprothésistes
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Decouz
19 février 2020 19:07
Ce que je trouve très fort chez les Beatles, c’est leur inventivité mélodique (les compositeurs, Lennon, Harrison, McCarney) couplée avec des arrangements bien trouvés... La rythmique de basse de Come together... C’est comme la patisserie il faut des petites gourmandises en plus sur le gâteau.
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rosemar
19 février 2020 23:20
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JC_Lavau
20 février 2020 08:16
« Nous avons tous fredonné leurs chansons ». Non, je n’ai rien fredonné du tout. Aussi bien les biteuleuzeus que les autres scies du juke-box, ça me sortait par les trous de nez.
Marié à Yoko, Lennon était éléphantesque, grotesque.
Ça ? De la musique ?
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Le421
20 février 2020 08:43
Le film « Yesterday » m’a assez plu. Une histoire fantastique basée sur la musique des Beatles et pas mal jouée... A voir ou revoir.
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Mélusine ou la Robe de Saphir.
20 février 2020 14:33
Jeunes, quand nous dansions sur les rythmes anglais, nous aurions été effrayés de connaître la traduction et le sens des messages (faux amis) : genre : KISS THE DEVIL (groupe d’extrême-droite du Bataclan).
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JC_Lavau
20 février 2020 15:07
@Mélusine ou la Robe de Saphir. Remarque que pour les cantates de Bach, je me doutais bien que c’étaient des bondieuseries, mais j’avais l’excuse de ne pas comprendre l’allemand, et ne pas comprendre à quel point c’était bête.
Quand arrivait une traduction, aïe aïe aïe !
Certes, c’est vachement bien balancé, « Kletten weis an ihm zu Kleben », mais quand il entend la traduction « car nous sommes accrochés à Lui comme des chardons », oh que le maître de choeur se dépêche de donner le ton aux quatre pupitres ! -
Armand Griffard de la Sourdière
20 février 2020 17:40
@Aita Pea Pea
oui mais en allemand, par exemple la Sinfonia en Fa majeur de la cantate
« ich steh mit einem FuB in grab » et suite pour orchestre N°3 en Ré majeur ont même été traduits en anglais .
et classé dans le genre Barock ’n Pop
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Aita Pea Pea
20 février 2020 18:06
@Armand Griffard de la Sourdi�re
Le truc de Gainsbourg était de chopper Chopin et Brahms...un zeste de citron ...lemon incest ...
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Armand Griffard de la Sourdière
20 février 2020 21:24
@Aita Pea Pea
Chopper Chopin, calé sur un chopper Electra Glide (in blue) écoutant BB qui ne reconnait personne en HD sur la Route 66... à donf ze manettes ...effectivement c’est envisageable ... yeah !!! -
Aita Pea Pea
20 février 2020 21:32
@Armand Griffard de la Sourdière
Bon ...ta bécane est une bouse , même amerloque qu’elle soit .
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Armand Griffard de la Sourdière
20 février 2020 22:48
@Aita Pea Pea
C’est pas fait pour te plaire .
Cela dit pour la peine j’te ferais pas voir ma 850 Norton Commando ...na
-désolé j’ai pas d’Italienne
Sinon un Bultaco 250 ...d’origine héhé ! -
Aita Pea Pea
20 février 2020 23:19
@Armand Griffard de la Sourdière
Enfoire ...la commando je bande déjà...sniff et la Bultaco trial ...rhaaa .. C’est laquelle ?
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Armand Griffard de la Sourdière
20 février 2020 23:40
@Aita Pea Pea
le Bultaco ,c’est l’Angélus Trike
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Aita Pea Pea
21 février 2020 00:01
@Armand Griffard de la Sourdière
Sinon pour les trial espingouines il y aurait beaucoup a dire ...salopes de bonnes bécanes...
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Aita Pea Pea
21 février 2020 00:40
@Djam
Messe en Si . En faite faite de brocs et de rôles pour assumer une commande. Chef d’oeuvre absolu. Youtube.
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Aita Pea Pea
21 février 2020 01:29
@prong
Après Django... Si il y a un ou des papiers que j’aimerais poser ici ce sera sur Django. J’ai commencé à écrire une nouvelle, lorsqu’ il était aux États-Unis a suivre le Duke ...
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Aita Pea Pea
21 février 2020 01:52
@prong
Ecrite dans la tête...pourquoi Django ne s’est pas rendu au Carnegie Hall de New York alors qu’il devait jouer avec Duke Ellington ? Véridique.
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Aita Pea Pea
21 février 2020 15:24
@nono le simplet
Difficile d’écrire sur un poète...le biais que je prend est sa profonde déstabilisation lorsqu’ il fit sa tournée aux states...entre attirance et répulsion. Lui qui composait en pêchant, en vallée de Chevreuse...Nuages.
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