samedi 29 septembre 2012 - par tiptop

Les effets néfastes de la politique de fermeture des frontières en Europe

Cet essai a pour but de questionner la politique européenne vis-à-vis des flux migratoires venant du sud, d’évaluer ses effets pour le moins contrastés et la remettre dans une perspective historique. Question éminemment sensible. Parler d’immigration de façon sérieuse est rendu difficile aujourd’hui en raison des enjeux identitaires qui enfument les esprits plus qu’ils ne les éclairent. J’ai bien peur que cette « enfumage » arrange tout le monde et pas seulement l’extrême droite qui profite de la pauvreté du débat pour faire avancer ses thèses les plus farfelues. Pourtant les processus migratoires en Europe et les différentes politiques d’endiguement sont connues, étudiées mais comme souvent en sciences humaines peu vulgarisés et diffusés. C’est que je vais tenter de faire ici à mon humble niveau. La question est complexe et je ne prétends pas en cerner tous les contours. J’ai l’avantage sur beaucoup d’observateurs de disposer d’un triple regard qui me permet d’avancer sur un terrain miné par les manipulations politiciennes sans dire trop de bêtises. D’une part il y a ma position d’enseignant dans un quartier où le turnover migratoire est bien visible et qui génère beaucoup de contacts, d’autre part il y a ma position de chercheur en histoire contemporaine qui je l’espère me permait d’avoir un regard distancié et informé sur les différentes temporalités qui sous-tendent ces phénomènes et enfin, ma belle famille étant africaine, je peux observer de très près ces situations migratoires puisque d’une certaine manière (et parfois à mon corps défendant) j’y participe. Je pourrai ajouter que je réside dans une petite ville périurbaine comme tant d’autres dont une partie de la population se vit « assiégée » et où le vote front national est très important (de 25 à 30%). Cette article fera l’objet d’une suite qui s’intitulera « Pourquoi les africains cherchent à venir en Europe ? Mythes et réalités. » et qui tentera de relever les nombreuses idées fausses qui parcourent la société française vis à vis de l’immigration africaine mais aussi d’explorer certains des mécanismes à l’œuvre qui favorisent la poussée migratoire, de l’escapisme aux effets diasporiques et médiatiques en passant par les conditions d’accueil.

 La formulation de mon titre n’est pas anodine. Si je substitue « l’Europe » à « la France » c’est bien parce que les migrations du sud touchent tous les pays d’Europe et que la France est très loin d’être la seule destination des candidats à l’immigration qu’ils soient clandestins ou qu’ils utilisent des voies légales. D’autre part il s’agit bien d’une politique « européenne », le couple Franco-allemand, pays cibles de l’immigration avec l’Angleterre, ayant bien été un moteur dans cette politique commune. Les traités de Maastricht pour les visas (1992) et d’Amsterdam pour le droit d’asile(1997) furent un pas décisif vers l’« uniformisation » du droit d’asile dans la totalité de l’UE. La mise en œuvre du traité d’Amsterdam, en 1999, supprima définitivement les contrôles aux frontières intérieures ce qui entraîna une perte de contrôle qui devait être compensée par un renforcement de la surveillance aux frontières extérieures. Nous avons ainsi deux processus politiques étroitement liés : l’intégration des États de la Communauté européenne et l’isolation de l’Europe vis-à-vis du reste du monde.

 Mais voilà, faut-il rappeler que l’Europe a toujours présenté un brassage des populations constant et intense sous l’effet des migrations successives (Voir F. Braudel) ? Rappelons juste les différents facteurs qui déterminent aujourd’hui les profils des migrants : proximité géographique, liaisons économiques, politiques et culturelles et les ponts linguistiques nés de l’histoire coloniale. Ajoutons les traditions migratoires, les réseaux constitués et l’attrait économique et social variable des différents pays d’accueil. C’est ce qui fait de l’Europe un « pôle attractif ». La détermination des pays africains en « pôle répulsif » sera étudiée dans un prochain article. Attraction, répulsion, la dynamique migratoire est une donnée universelle qui traverse les siècles depuis les premiers hominidés dont la puissance s’est toujours jouée des frontières. Il serait illusoire de penser pouvoir complètement y échapper. Et pourtant…

 Il est aujourd’hui un fait nouveau : les frontières de l’Europe sont fermées, beaucoup moins poreuses qu’on ne le pense généralement, mais offrant un certain nombre de sas permettant la circulation des hommes. Elles sont d’ailleurs d’autant plus fermées que l’espace Schengen a aboli les frontières intérieures. Cela bien entendu n’a pas toujours été le cas, inutile je pense de rappeler le contexte de l’après guerre où l’immigration de travail fut massive et répondait à des besoins économiques précis. De fait si l’immigration n’a pas toujours été contrôlée en revanche elle a toujours été « choisie » ! On considère qu’en France un tiers environ des autoroutes ont été construites par des clandestins. La production automobile continuait elle aussi à être, pour un tiers, assurée par des travailleurs en situation irrégulière. La construction du tunnel sous la Manche, dépendait également d’elle, et l’industrie de la mode s’effondrerait sans elle. Le travail au noir des autochtones y participe davantage encore. Acceptation tacite, hypocrisie des états qui tapent « administrativement » (chasse aux clandestins, centre de rétention…) sur des gens qu’on a invité à venir travailler dans des conditions déplorables mais qui restent, point crucial, avantageuses à leur yeux, au moins dans un premier temps. Nous devons une part de notre prospérité à ces « sans-parts ».

 K J Bade historien allemand spécialiste des migrations (« l’Europe en mouvement ») rappelle que le « choc pétrolier » de 1973 ébranla la foi en une croissance illimitée. Ce fut le prétexte d’un coup d’arrêt au recrutement et à l’immigration, consensus autour d’une attitude défensive, premiers pas sur un chemin qui s’achèverait, après la fin de la Guerre froide, sur ce que l’on a appelé « l’Europe citadelle ». Mais l’arrêt du recrutement eut l’effet inverse recherché. La main-d’œuvre étrangère fut brutalement placée devant une alternative : rester ou partir. Car rompre son contrat de travail afin de revenir chez soi pour une longue période pouvait désormais signifier un départ définitif. Et cela signifiait une déqualification dans les pays d’origine. Beaucoup décidèrent donc de rester. Le regroupement familial garanti par les directives européennes sur la protection de la famille devint bientôt le plus puissant moteur de l’immigration. Ajoutons le phénomène d’acculturation profond que joua l’école sur les enfants de la deuxième génération (mythe du retour) et qui fixa les génarations. Conséquence politique : le transfert de main d’œuvre en Europe fut associé d’emblée aux questions liées à l’intégration européenne. Un « paradoxe libéral » qui ne permet pas aux systèmes libéraux, en État de droit, de bloquer complètement les processus de migration une fois qu’ils ont été mis en marche, sans déroger aux obligations humanitaires fondamentales. Mais on n’assista pas à la « grande migration » d’Afrique du Nord en direction de l’Europe que certains Cassandres prédisaient (et continuent à prédire !). Le nombre des immigrés clandestins en 1991 constituait 14 % de la population étrangère. L’Italie arrivait à la première place. Depuis les chiffres ont fortement augmenté, ceci étant lié à l’endiguement de l’Europe face à la vague de réfugiés et de demandeurs d’asile, une politique qui incita un nombre croissant de migrants à emprunter des chemins irréguliers ou illégaux. Ce fait est très important et pas très difficile à comprendre : plus on bloque les moyens légaux de circulation des hommes plus on les incite à circuler par d’autres moyens !

 Il est important à ce stade de comprendre le durcissement, la réorientation de la politique africaine de la France en matière d’immigration et ses conséquences dramatiques pour la France mais aussi pour le continent africain. Un éminent politiste et historien J. F Bayart lors d’un colloque sur ce sujet n’y va pas avec le dos de la cuillère. Il observe, je cite, « une orientation clairement antisociale de la politique africaine de la France qui substitue de plus en plus à la lutte contre la pauvreté la lutte contre les pauvres. Tel est le résultat de la réglementation anti-migratoire puisque seuls les plus favorisés sont désormais en mesure d'être « choisis » et d'obtenir un visa pour entrer sur le territoire français afin d'y poursuivre des études, d'y faire du tourisme, d'y suivre des soins ou d'y faire des affaires, et puisque les clandestins qui parviennent à passer à travers les mailles du filet, au péril de leur vie, sont voués à se faire surexploiter et à fournir à l'économie française qui en a besoin une main d'œuvre taillable et corvéable à merci, tout en restant pourchassés par l'administration et la police. Politique d'autant plus cynique que les remises (remittances) des émigrés dépassent maintenant, à l'échelle mondiale, les montants de l'aide publique au développement, et que la libéralisation des filières agricoles, que la France a appuyée au sein des institutions multilatérales, a appauvri les populations rurales et intensifié les migrations que l'on prétend interdire. ».

 Il dynamite ainsi plusieurs préjugés. On se trompe souvent en parlant de « réfugiés de la pauvreté ». Ils ne cherchent pas à sortir de la pauvreté, mais à fuir pour qu’elle ne les rattrape pas ce qui infirme la fameuse phrase de Rocard qui semblait pourtant frappé du bon sens : « La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde ». Précisément ce n’est pas « la misère du monde » qui s’invite chez nous car elle n’a tout simplement pas accès aux différents réseaux qui rendent possible l’émigration. JK bade ajoute « À l’aune des situations sociales dans le pays d’origine, ils viennent même parfois de milieux tellement élevés que leur migration peut être classée dans la migration des élites ». Brain drain. L’Afrique a perdu entre 1985 et 1990 près de 60 000 cadres moyens et supérieurs ; dans les années 1980, le Ghana a perdu environ 60 % de ses médecins. Un cycle absurde, qui remplace, à court terme, des spécialistes autochtones migrant en bien plus grand nombre par des membres de l’aide au développement provenant des Etats industrialisés, l’action humanitaire contribuant par un effet pervers à cette situation. Et je peux confirmer à titre personnel que la grande majorité des immigrés africains présent en France issu de ma belle famille (et qui travaillent tous !) sont particulièrement instruits ce qui rend scandaleux leur sous-exploitation et les multiples discriminations dont ils sont victimes. Un vrai gâchis de compétences pour la France mais aussi et surtout pour leur pays d’origine, j’y reviendrai.

 J’entends déjà certains me hurler à l’oreille que beaucoup d’ « immigrés » sont loin d’être si instruits ou qualifiés que ça. Bien sûr, mais les apparences sont souvent trompeuses et la pente est très glissante pour mes compatriotes qui trop nombreux assimilent des personnes « issues de l’immigration » nées et scolarisées en France dans des situations de relégation sociale que l’on connait bien, aux simples « immigrés » fraichement débarqués. L’amalgame est facile puisque qu’il tient à l’apparence physique, cet « impensé de la race » qui pollue nos représentations de la société cosmopolite dans laquelle nous vivons (Voir le dernier Goncourt « l’art français de la guerre » d’Alexis Jenni). La situation dramatique des cités, véritable matrice de la pauvreté et de la délinquance, est un problème social français (car nous en avons été les promoteurs et les architectes) et non africain, beaucoup font mine de l’oublier et le nier nous ferait tomber dans le racisme le plus rance. Du reste quand même, une minorité non négligeable d’immigrés clandestins, donc débrouillards, dont les compétences à l’aune de nos critères d’employabilité nous les font trop souvent passer pour des « bons à rien » corvéables à merci, parvient à franchir nos frontières dans l’illégalité. A quel prix ! Le beau livre de Marie Ndiaye (« Trois femmes puissantes ») nous offre de saisissants et cruels parcours. Mais là encore il s’agit de déterrer un lièvre et de faire prendre conscience que la fermeture des frontières de l’Europe est simplement … criminelle.

 Bayart appuie là où ça fait mal (à moins d’être complètement cynique) « Elle est criminelle, au sens strict du terme, dans la mesure où elle provoque la mort de milliers d'hommes - on parle d'une quinzaine de milliers de victimes pour ces dernières années, ce qui correspondrait au coût humain du conflit dans le Sud-Est anatolien depuis 1984. Les dirigeants européens sont directement responsables des conséquences des mesures qu'ils prennent en la matière, et de la façon dont ils sous-traitent leur application aux Etats du Maghreb, en particulier à la Libye. Le film de Andrea Segre, Dagmawi Yimer et Riccardo Biadene, « Comme un homme sur la terre (2008) », établit par exemple avec précision l'ampleur de la complicité du gouvernement de Silvio Berlusconi avec le régime de Mouammar Kadhafi et l'exploitation éhontée de cette rente de la lutte contre les migrants, au prix de mauvais traitements, de tortures, de viols et de meurtres systématiques. ». En bref nous sous-traitons le sale boulot. La Françafrique n’est plus ce qu’elle était. Quand Sarkozy rendait visite à nos amis dictateurs africains ce n’était plus pour négocier une rente diplomatique devenue caduque avec la guerre froide, mais pour négocier la rente allouée aux gouvernements africains pour leur soutien à la lutte anti-terroriste et anti-migratoire. Une aubaine pour eux ! Les états méditerranéens et états de l’est constituent ainsi des zones tampons ou d’accumulation pour les migrations jugées indésirables dans l’UE. De temps en temps les vannes s’ouvrent et ces zones tampons continuent à alimenter le marché parallèle du travail.

 Aujourd’hui les consulats, les aéroports, les ports, les préfectures, les centres de rétention, les camps de réfugiés sont des nœuds d’engorgement. Nous avons aujourd’hui une division historique de l’humanité entre ceux qui peuvent atteindre en avion avec ou sans visa n’importe quel point du monde, et ceux qui ne réunissent pas les conditions matérielles pour quitter leur pays et auxquels on n’accorde pas de visa par peur de les voir émigrer. Et j’ai bien peur qu’après l’épisode colonial nous continuions à exploiter par d’autres moyens une partie de l’humanité en jouant avec le droit à circuler. C’est le chantage du passeport. Nos riches, plus apatrides que jamais, peuvent eux se rendre en Belgique ou en Suisse non pas pour des raisons de survie sociale, auquel cas on serait indulgent, mais pour des raisons fiscales. De telles injustices peuvent-elles perdurer ? On en viendrait presque à regretter l’époque infiniment plus dure du XIX siècle où la révolution des transports et la souplesse des législations nationales permettaient tout de même aux individus de se projeter dans l’avenir en circulant, fusse dans des conditions épouvantables. L’Amérique mais aussi l’Europe en bénéficia au premier chef. Aujourd’hui le durcissement des réglementations et des mesures répressives poussent les migrants à biaiser et à jouer leur va-tout. On les criminalise tout en les exploitant quand on ne les tue pas. 

 Suite au prochain numéro. Je tenterai de répondre à cette question : Mais pourquoi ne restent-ils pas chez eux ?



39 réactions


    • tiptop 29 septembre 2012 13:30

      Je ne comprends pas grand chose à ce que vous dites...


  • bluerage 29 septembre 2012 12:47

    What is this shit ?????


  • jef88 jef88 29 septembre 2012 12:56

    plus on bloque les moyens légaux de circulation des hommes plus on les incite à circuler par d’autres moyens !

    Si je comprends bien il faut ouvrir les frontières en grand pour limiter l’immigration .
    Vision bizarre et boboïste !


    • tiptop 29 septembre 2012 13:24

       C’est juste un constat ! Et pas très difficile à comprendre si l’on a pris conscience de la détermination des candidats migrants.
      Le problème n’est pas tant de limiter l’immigration que de contrôler les flux. Puisque l’immigration de travail est nécessaire à notre économie (là aussi c’est un fait tangible, qu’on le regrette ou non) plutôt que générer des clandestins avec les effets désastreux que j’ai décris, la solution ne serait pas d’ouvrir les vannes unilatéralement mais de permettre les aller-retours par le biais de contrat de travail. Avant la fermeture des frontières au milieu des années soixante dix, beaucoup de travailleurs immigrés rentraient chez eux parce qu’ils savaient qu’ils pourraient revenir ! Ce fut le cas au XIX siècle avec les migrations de travail italo-hispaniques et en Allemagne avec les polonais.
      De toute façon l’endiguement de l’EUROPE n’est pas tenable.


    • jef88 jef88 29 septembre 2012 15:57

      l’immigration de travail est nécessaire à notre économie

      les chômeurs apprécient !!!!


    • tiptop 29 septembre 2012 18:14

      Les chômeurs prennent les emplois que beaucoup ne veulent plus. vous en connaissez beaucoup des demandeurs d’emplois qui veulent terrasser, travailler à la chaîne ou sur les chantiers par -10 l’hiver ?

      Il y a en France plein d’emplois qui ne sont pas pourvus malgré les trois millions de chomeurs. Ce n’est quand même pas un secret d’état !!


    • tiptop 29 septembre 2012 18:43

      Oups erratum... Il fallait bien sûr lire : les « immigrés » prennent les emplois et non les chomeurs


    • foufouille foufouille 29 septembre 2012 20:23

      ton etranger fait des heures sup gratos, pas le « francais »


    • foufouille foufouille 29 septembre 2012 20:26

      "Le problème n’est pas tant de limiter l’immigration que de contrôler les flux. Puisque l’immigration de travail est nécessaire à notre économie"

      pas vraiment, mais patronat, si
      travailleur pas cher = plein de benef
      clandestin = esclave, virable tout de suite

      tu leur donnes des papiers, ils auront plus de boulot
      par contre certains viendront pour les allocs


  • Robert GIL ROBERT GIL 29 septembre 2012 14:17

    vouloir arretez l’immigration juste en remettant des frontieres et sans remettre en cause les relations nord sud, c’est comme arretez sa montre pour gagner du temps...

    http://2ccr.unblog.fr/2010/10/28/a-qui-profite-limmigration/


  • Yohan Yohan 29 septembre 2012 16:00

    Le marronnier habituel... Pourtant, il suffit simplement de se rendre à Pôle emploi pour voir la composition de la file d’attente. Encore un de ces enseignants qui sait tout.... smiley


  • COVADONGA722 COVADONGA722 29 septembre 2012 16:17

    yep Yohan on suggerera utilement à l’auteur d’aller dans un bureau de poste le 7 de chaque mois quand l’état distribue la manne prélevée dans nos poche , il y verra les fieres « chances pour la France » se gooberger tout en conchiant et niquant la géhenne qu’est la France.
    C’st tres probablement les armes à la main qu’il faudra reconduire les invités du monsieur
    on lui suggerera de faire partie du voyage vus qu’il est un habitué du « recul et du métissage culturel ».
    Asinus : ne varietur


    • Constant danslayreur 29 septembre 2012 16:33

      Bonjour Covadonga,
      Ce com entre autres, après votre choix de nouveau pseudo et dire qu’un jour vous m’aviez « démasqué » comme étant en guerre smiley

      Je me souviens vous avoir à l’époque demandé d’arrêter de projeter sur les autres vos propres travers, voila qui est désormais fait et ça a effectivement le double mérite d’être plus honnête et surtout très clair, vous êtes un théoricien, un faiseur de Breivic... On a le destin qu’on mérite.


  • COVADONGA722 COVADONGA722 29 septembre 2012 16:53

    yep , en guerre ben vus qu’elle m’est faites quels autres choix ais je ? la soumission ou la disparition,.De part mon statut social je n’ai guere la possibilité d’avoir de la « hauteur de vue » les jobs j’en suis à mon 5 e je suis en competition avec es vagues incessantes qui arrivent
    « je suis pas le seul d’ailleurs les prolos immigrés2 et 3 generations sont encore plus perdants que moi » Mon quarier deviens invivable jours apres jours et je devrais applaudir ?
    Ne vous en déplaise une guerre m’est faites ainsi qu’au miens que l’immigration soit instrumentalisée pour m’imposer la terreur économique est une évidence , mais je dois en plus desormais composer et subir avec un communautarisme religieux ostentatoire et agressif
    « ici dans mon quartier » et avec une frange de population quasi totalement allogene qui as definitivement fait le choix du non respect des lois , du pillage des prébendes de l’état distributeur et qui en plus « a raison de mon avis » n’éprouve aucun respect des sous-chiens chez qui ils deboulent.Alors oui je suis mécontent oui je pense « avec peur » que l’on vas au clash et que les guerres balkanniques sont au programmes.Dans les « chances pour la france » vous avez de votre propre fait choisis d’y voir un descriptif saharien ou africain alors que j’y inclus les tchechenes albanais et autres caucasiens qui sont légion ici.Je prendrais votre allusion à breivik pour une reduction « ad hitlerium » vous m’avez habitué à mieux que cela.
    Asinus:ne varietur


    • Constant danslayreur 30 septembre 2012 13:43

      Et les noirs africains animistes ? Et les mozabites athées, pas de géhenne chez les athées me trompé-je ? Et les berbères chrétiens ? ça va ils ne vous font pas trop d’ombre ?.

      Pas grand chose à faire de vos contorsions au rabais, que vous rendiez d’autres que vous responsables de vos échecs, ne vous distinguera en rien de la masse bonobique un coup ouvrière, un coup aube dorée grecque, par contre que vous en arriviez à suggérer de renvoyer on ne sait pas trop qui ni vers quelles frontières au juste, ni non plus jusqu’à quelle génération, les armes à la main... smiley

      Et les de-souche convertis ? Des complices qu’avaient qu’à pas, j’ai bon ?

      Ensuite tout ira bien dans votre vie et vous réussirez à atteindre le nirvana sur terre, dès que les centaines d’innocents lynchés pour délit de sale gueule par des milices que VOUS aurez exhortées à s’armer, en auront poussé d’autres à demander asile ailleurs ? 

      Vous voulez que je vous dise, si j’étais vous je « prierais » que Dieu soit vraiment une vue de l’esprit, parce que s’il ne l’était pas et parce que vous vous en seriez déjà pris à des innocents, vous pourriez faire une croix sur le sentiment de sécurité quand bien même vous auriez des milliards sur vous. 

      Pauvre de vous.


    • Constant danslayreur 30 septembre 2012 13:55

      Ah oui au fait, ça s’appelle comment déjà, prendre des armes contre des civils ? Pardon ? Le terrorisme oui, de l’Antar Zouabrisme quoi et prenez encore des poses à la « vous m’avez habitué à mieux que cela »

      Voyez-vous ça Madame la marquise smiley


    • COVADONGA722 COVADONGA722 30 septembre 2012 15:33

      mon « cher » constandanlayreur , il m’apparait surtout que mes vélléités de revoltes ou de ne pas subir vous indisposent alors que le discour de votre frere en religion « philouie » n’appelle
      de votre part aucune contradiction , juste un silence approbateur ?.D’ailleurs perso je rend grace à sa franchise lui ne pratique pas la takia et annonce franchement le programme.
      Je continuerais donc comme il me chante à dire tout le mal que je pense de l’envahissement de ce sol , je continuerais donc à dire que je ne crois pas une seconde au theme de paix et de tolerance douceureusement instillé inteligement et poliment par des gens commes vous et à dire que la plus que problable réalité de votre paragdime est celle annoncée par philouie,
       soulmanfred et autres.Vous et moi savons qu’il ne suffit pas de nier l’existence de certains comportement pour qu’ils soit nul et non avenus je pense à des trucs comme les tournantes et autres viols par exemple vos circonvolutions chattemites pour plaisantes et cultivées n’en dissimule pas moins un discour ou vous revez les gens de « mon espece » coi , patientez les larves au pouvoir vous offrirons tot ou tard une loi en breivktude ou antislamophobie qui ce jour la vous verra reveler votre vrai visage à vous.Quand à dieu parlons du votre soit il vous autorise vos attitudes jesuitiques de restrictions mentales et c’est un enfoiré comme ses confreres soit il doit etre foutrement contrarié par vos discours.
      Asinus : ne varietur


    • COVADONGA722 COVADONGA722 30 septembre 2012 15:38

      @propos de milice les deux en actions à marseille et à grenoble ces derniers 48h
      on fait un profilage ?


    • Romain Desbois 30 septembre 2012 19:03

      Il n’y a pas de français de souche , il n’y a que des français de couche.


    • Constant danslayreur 30 septembre 2012 21:07

      Hein que ça fait du bien ?
      Allez Salam Antar...


  • tiptop 29 septembre 2012 18:29

    Je suis absolument consterné par la qualité des interventions... Franchement les gars lisez l’article et restez dans le sujet sinon passez votre chemin. Ou alors vos compétences de lecture sont à la ramasse et c’est réellement inquiétant.
    Quand j’écris un article j’y passe une bonne demi-journée avec une pile de bouquins sur la table. Merde , je mérite un peu plus de respect. Y’en a t-il un seul parmi vous capables d’argumenter et de produire des phrases lisibles ? Agoravox est un forum de discussion pas un défouloir... Mais je vais finir par croire que ce n’est pas moi qui suis à ma place...


    • Piotrek Piotrek 29 septembre 2012 19:07

      Vous avez partiellement raison. Mais en ces temps de crise, il faudrait préciser pour qui exactement l’immigration est un phénomène positif : Si vous possedez une entreprise ou une exploitation agricole ou autre chose ne nécécitant pas de la main d’oeuvre qualifiée, alors oui l’immigration sera pour vous et vous seulement une chose très positive.


    • Romain Desbois 29 septembre 2012 22:46

      Bah moi j’attends avec impatience la suite de cet article .

      Car la vraie question est pourquoi quittent-ils leur pays ? (ALERTE TROLL !!! pas la peine de répondre pour nous parasiter).

      Toujours chercher la cause des causes comme dirait Etienne Chouard. Et là je ne m’étends pas mais il y en a à dire.

      Je me souviens en 1986 (de mémoire), je suis allé rencontrer des Maliens dans un foyer Sonacotra dans le 18ème arrondissement de Paris.

      Ils m’expliquaient qu’avant, chaque village envoyait pour six mois un an , un des leurs en France pour travailler. Puis le jeune repartait dans son village et un autre partait à sa place. L’argent qu’il envoyait était indispensable à la survie de la communauté villageoise. Mais leur but n’était pas de rester en France. C’était un sacrifice pour eux.

      Puis les conditions d’entrée en France se sont durcies (sous Pasqua) et du coup plus personne ne repartait de peur de ne pouvoir envoyer un autre ou de pouvoir revenir en France.

      Voilà comment un dispositif censé dissuader l’immigration peut produire l’effet contraire. Si les gars ne peuvent repartir et revenir facilement, ils restent en France, s’établissent , finissent pour certains par fonder une famille ou font venir celle qui est au pays.

      On dénonce souvent les délocalisations mais c’est aussi une façon de lutter contre l’immigration. L’usine Renault ouverte au Maroc a fait grincer des dents et pourtant nombre de marocains qui bossaient chez Renault en France sont repartis dans leur pays bosser dans cette usine.


    • tiptop 29 septembre 2012 23:04

      Je suis proprement effaré de voir tant de gens sur ce forum qui fantasment tout haut d’une société sans « étranger » . Il n’ y pas besoin de trop remuer l’Histoire pour voir à quel genre de cataclysme cela peut aboutir ! Ne pas se rendre compte que nous vivons dans une société cosmopolite où les gens ont toutes les bonnes ou mauvaises raisons de migrer (c’est le cas depuis le début de l’humanité) est proprement alarmant. Nous ne sommes pas condamnés à cohabiter mais voué à vivre ensemble. Qu’il y ait des tensions c’est parfaitement normal. Mais les exemples de sociétés cosmopolites viables ont été généralement la norme jusqu’à que l’ethnonationalisme porté par l’Europe fin XIX mette le monde à feu et à sang. C’est précisément quand les peuples en proie à toutes les manipulations commencent à se forger une identité exclusive de toutes les autres qu’il y a danger. Le dégout d’une certaine forme de jeu démocratique ne peut pas excuser n’y absoudre les immondices déversés par l’extrême droite. Le ras le bol ne peut tout excuser. Faut-il rappeler à quoi il a abouti dans les années trente ? Mais non... finalement Paul Ricoeur avait raison, nos sociétés sont fondamentalement oublieuses.

      Autre chose ... la rapidité des commentaires imbéciles et nauséabonds laisse penser qu’il y a des snipers du FN postés à tous les étages. Regardez par exemple mon précédent article sur l’Algérie française...Franchement c’est flippant.


    • tiptop 29 septembre 2012 23:09

      Romain des bois

      Enfin une contribution intéressante ! Tu as tout à fait raison de souligner que la fermeture des frontières accentue les délocalisations puisque la main d’œuvre peu chère ne peut se trouver sur place

      Merci je commençais à désespérer.


  • alinea Alinea 29 septembre 2012 19:02

    tiptop ; consternation de ma part aussi mais incompréhension surtout.
    Le bon lecteur pour cet article n’est peut-être pas au rendez-vous du samedi !
    Moi j’ai apprécié !
    Peut-être est-il difficile de prendre du recul sur un problème que l’on vit de plein fouet !
    Quoique je ne sois pas sûre qu’il n’y ait pas de confusions.
    Passez votre deuxième article quoiqu’il en soit !
    Votre analyse ne sera pas périmée demain ; vous la donnerez ailleurs aussi.
    J’ai l’habitude aussi du dérapage systématique dans les commentaires de mes articles.
    Réfléchir et apprendre demande sûrement plus d’efforts que déverser sa bile à propos d’un mot !!
    Dommage.
    Merci en tous cas


    • tiptop 29 septembre 2012 19:34

      Merci Alinéa je me sens moins seul. J’ai la naïveté de croire qu’un débat est possible. J’attends toujours.


  • alinea Alinea 29 septembre 2012 19:56

    Pour ma part, je ne saurais être un bon débatteur car mes connaissances du sujet ne sont pas assez approfondies pour avoir la moindre lumière à exposer ; la seule chose que je peux constater, comme beaucoup, c’est que la politique menée est une ineptie qui nie les évidences ( que vous traitez dans votre article), qui fait des pseudo actions pour plaire à un certain électorat sans se rendre compte que cette ignorance ou ce déni des réalités crée ou à tout le moins envenime la situation.
    sans parler de l’ignominie de la violence faite aux hommes dans ce que vous nommez les zones d’engorgement !
    Dans tout ce bazar politique et géopolitique, il y aurait ne serait-ce qu’un peu plus d’humanité, cela ne ferait déjà pas de mal.
    ceci dit, les beaux parleurs qui se défoulent sur ce fil, par exemple, n’expriment que leur malaise et ne sont peut-être ( sauf à mal voter) acteurs du malaise réel.
    La proposition de Front de gauche de régulariser les sans-papiers de manière à ce qu’ils aient les mêmes droits que les autres me paraissait être une bonne solution.
    Quant à ceux qui disent que tous devraient être français, je ne suis pas sûr que tous le voudraient !!


  • lulupipistrelle 29 septembre 2012 23:15

    On peut remonter aux Grandes Invasions, si vous voulez... la pression qu’exerce une vague migratoire, déplace la population envahie, vers d’autres horizons... 
    Ainsi, 200 000 jeunes Français s’expatrient légalement chaque année dans des pays où l’avenir leur semble plus séduisant..


    • tiptop 29 septembre 2012 23:37

      Justement l’historiographie récente montre qu’il faut davantage parler de déplacements de populations et de migrations que d’« invasion » avec tous les phénomènes d’acculturation que cela impliquait. Un peuple ne chasse pas l’autre, ils s’apprivoisent l’un l’autre quand il n’y pas des imbéciles qui les montent l’un contre l’autre.

      Laisser entendre que l’ immigration chasse les jeunes qui quittent la France est d’une rare bêtise (satisfaite je présume Non ????)


    • lulupipistrelle 30 septembre 2012 00:11

      Une rare bêtise ? ben voyons...en tout cas, le déni, c’est au contraire une bêtise très commune.

      Ceux qui partent, ont une formation et des capacités, et ils préfèrent d’autres sociétés où leurs talents seront plus justement appréciés et rémunérés... 

      Le sujet est tabou... un homme politique chez Taddeï interpelé sur le sujet, n’a rien nié, mais il s’est étouffé de rage, avant de se lancer dans une tirade sur le manque de patriotisme... etc... et alors ?

      Quel patriotisme devrait-on attendre chez des jeunes auxquels on impose de prendre en charge tous les miséreux qui s’insinuent dans cette patrie sans y être invités ? Ils ont le sentiment qu’il est légitime de vouloir construire sa vie, sans être plombé par les mêmes problèmes récurrents décennies après décennies ...et surtout ils sont accueillis à bras ouverts ailleurs.

      C’est ça, bouchez-vous les yeux, insultez vos contradicteurs, cependant, les faits sont les faits.


    • tiptop 30 septembre 2012 10:44

      Je viens de comprendre comment vous faites le lien...

      « des jeunes auxquels on impose de prendre en charge tous les miséreux qui s’insinuent dans cette patrie sans y être invités »

      Suggérez vous ainsi que les impôts qu’ils payent sont destinés avant tout aux immigrés clandestins ? Savez vous que les sociologues sont presque tous unanimes pour dire que les subsides de l’état providence dans sa masse globale profitent d’abord aux classes aisés qui savent mieux que quiconque y accéder ? Et l’économie subventionnée profitent d’abord aux très gros. D’autres part vous insultez ces jeunes qui profitent de certaines opportunités (je ne les en blâme pas, la plupart revienne de toute façon, eux ont cette avantage !) en suggérant qu’ils ne le font que par rejet, racisme et xénophobie. Mais c’est probablement comme ça que vous pensez les choses n’est-ce pas ?
      Vos propos sont idiots et méprisables.


    • lulupipistrelle 30 septembre 2012 14:56

      Vous êtes borné. Et malhonnête . Racisme ? refuser d’êtrev englué dans un système qui perpétue éternellement une assistance à une misère sans cesse renouvelée par de nouveaux arrivants, c’est être raciste. Et enseignant, c’est être collabo ?

      Les opportunités sont offfertes à tous, encore faut-il avoir surmonté le formatage aliénant que vous et les vôtres mettez en oeuvre, servilement, depuis des décennies, pour le profit des classes dirigeantes sur lesquelles vous bavez, sans pour autant rompre avec... ha,ha,ha.


    • Romain Desbois 1er octobre 2012 08:38

      Lulu la chauve souris.

      La France n’a pas à accueillir tous les pauvres du monde, elle a à faire en sorte de ne pas en faire d’autres !!!!!

      Car lorsque Emaus France vend à vil prix sur les marchés de Bamako des fringues neufs donnés par nos généreux français, il jette à la rue tous les fabricants de vêtements locaux.

      Quand à coup de subventions , l’Etat permet l’envoi de milliers de containers de poulets congelés (les DOUX et compagnie) sur les marchés africains, mettant sur la paille tous les petits éleveurs locaux ; nous fabriquons des pauvres qui après avoir tenté leur chance dans leurs métropole, finissent par tenter l’aventure parfois mortelle de l’émigration.

      Je n’ai pas d’idéologie sur l’immigration, je pense qu’il faut en chercher les causes pour ne pas à avoir utiliser les moyens non justifiables.

      Je suis pour l’immigration choisie, la vraie. Celle qui est choisie par l’émigré, pas celle que la misère choisie !!!!


    • lulupipistrelle 1er octobre 2012 12:16

      @Romain Desbois :

      Vous avez tout à fait raison... Mais comme nous n’avons aucune possibilité de contrôler l’Etat et ses sponsorts... qui bénéficient de tous les passe-droit... et bien, il est tout à fait raisonnable d’aller voir ailleurs...
      Je ne crois pas au vote, ni à la politique institutionnelle... Seules des actions concrètes, comme voter avec ses pieds , impactent la réalité française.

      Les politiques, quelqu’ils soient, prétendre décider de nos vies, et modifier nos comportements ...Et c’est objectivement une démarche totalitaire..
      Le FDG est un parti comme les autres... son fond de commerce est marxiste... mais enfin quand on connait l’origine de ses leaders, on rigole...
      J’ai été condisciple d’un de ses théoriciens les plus radicaux, fils de bourgeois gaullistes...cathos, famille nombreuse, etc...
      Alors ces appels à la mortification fiscale des classes moyennes, et cette phobie des riches...ce n’est ni rationnel, ni pragmatique... juste une résurgence du catéchisme catho..


    • Romain Desbois 1er octobre 2012 12:53

      chère petite chauve souris.

      C’est là que l’on se trompe, allez voir cet article : abstentions, piège à cons

      (pardon à l’auteur de me faire misérablement de la pub içi , vous êtes autorisé à replier smiley )


    • lulupipistrelle 1er octobre 2012 13:14

      J’ai bien lu votre article... très bien construit...

      Je ne me suis pas abstenue à l’élection présidentielle, contrairement à mon intention première, par réaction à un discours ignoble de Sarko le minime...mais je n’ai pas voté au second tour des législatives... D’ailleurs ce sont les abstentions à ces élections qui mesurent l’écart entre la victoire du PS en 1981 et celle de 2012... cet écart selon moi, a une valeur prédictive... mais c’est un autre sujet.

      Non, je ne crois pas que la politique puisse changer quoi que ce soit... sans que la population n’ait préalablement donné une impulsion... La loi qui légalisait l’avortement n’est venue qu’après que les centaines de milliers de femmes se soient fait avorter...par exemple.
      Quand l’hémoragie démographique sera continue et pérenne, alors ceux qui nous gouvernent devront réagir.

      On voit bien que tout le monde est dans le déni... et oui, c’est dur d’affronter l’échec de décennies, et d’être désavoué par la jeunesse sur laquelle on fonde beaucoup de projet.


    • Romain Desbois 1er octobre 2012 13:36

      je pense que cette loi serait passée bien plus tôt si les électeurs avaient mieux choisi leurs élus. D’ailleurs, le fait que les femmes aient acquises le droit de vote n’a pas été neutre dans l’évolution des lois sociétales.


  • non667 29 septembre 2012 23:17

    à mélanger l’intérêt particulier et l’intérêt général ,le court terme et le long terme on ne peut sortir que des âneries
     sur le long terme l’immigration n’est pas une solution pour la france 
    sur le long terme l’émigration n’est pas une solution pour les pays d’émigration !
    chaque pays doit adapter sa population aux ressource de son sol et sa politique à sa population
    compter sur l’immigration pour faire le travail dont les souchiens ne veulent pas et leur payer leurs retraites est de l’esclavagisme déguisé ! smiley smiley smiley


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