lundi 25 février 2019 - par Frimas

Les prochains jours...

Voici comme nous en sommes arrivés là, secourus en se réconfortant à servir le tourment de la versalité de l’instabilité mentale ici bas, traduisant sournoisement et d’une précision dégoûtante en tristesse ou en troubles psychologiques qui s’ennoblissent mutuellement en se renforçant à l’acceptation, que tout espoir d’euphorie disparaît à tout jamais sur le béton luisant se faisant passer pour la vedette de cette société totale à tout vouloir aplatir à son usage ou encore l’imperturbabilité de l’exploitation du territoire et son aménagement abstrus, indéchiffrable quoi que certainement mystérieux avec sa lumineuse idée de faire de cette masse atomisée un ténébreux geste ataxique au petit soir après la journée à passer sa vie naïve et roturière à tapoter dépouillé sur des boutons sur base d’ordres venus quelque part de plus haut et par la suite j’ai pensé à ceci : Nous avons tout intérêt, il me semble, d’admirer l’épanouissement économique, ce trésor idéal sous lequel repose cette suréminance du bonheur industrialisé ne connaissant pas de véritable intelligence, ce soulagement mature sous profusion de jouvence sans défectuosités, sans souffrances, sans désastre, sans guigne, sans rien de ce qui pourrait ravir le revers de la médaille, l’achèvement total de tout refus de médiocrité… Le bien-être semble prospère et son déchirement à vouloir s’étioler sous la lucidité n’opère plus désormais… La domination économique nous fournit cette conserve de vie moderne dans laquelle on vieillit obéissant aux concerts de la mémoire atomiste (Regardez comme il est combattif face au fibrome qui lui a ravagé les propositions de guérison, dont la famille attend sa mort avec impatience faute de moyens financiers)… Mais voici ce que j’ai pensé d’autre : un déséquilibre est une aliénation à une nécessité, une limpide tempête, étouffé sous confusions… Vaseux vertige… Personne n’acagne plus ni même semble s’étonner face à tant d’enthousiasme morfondu dans les ténèbres de la vie quotidienne.

J’ai pensé à ceci face à la pointeuse à pianoter l’ordre de l’algarade du travail : Il n’est pas question d’être coûteux face au souvenir pittoresque qu’on avait face à ces moments où on cherchait à attirer l’attention sur ce qu’on faisait jadis avant que la rationalité actuelle se consume face à son temps raréfié ou que nous avons désormais une telle quantité de maladies qu’il suffit d’être comique avec des affiches apposées aux entrées des pharmacies qui ne cessent d’agrandir le cercle de la convenance orthographiée aux citoyens que la domination du marché tiens captif par son mode de représentation : Tout en étant cacochyme, traumatisé et valétudinaire en se tenant debout à gamberger souffreteux dans cette matinée secouée aux hormones de croissance avant que cette sonnerie du réveil criard nous rappelant le patient pâle somnolant d’ennui, admonesté d’infirmité, docile par pathologie désireuse que seul la dépression ou la folie pourraient y représenter quelque poésie qui rendrait à la vie sur terre cet élan sensible dont l’anéantissement moderne qui y a sucé toute harmonie : L’accomplissement total de leurs administrations desséchant à un tel point n’importe quel individu sur cette terre à ne pas pouvoir comprendre la prospérité consistant à ouvrir le frigidaire dix milliards de fois en même temps ou d’allumer son moteur pour y encoder des chiffres ou des publicités ou encore à vendre des puces électronique ou des téléphones portable ou encore d’administrer des sans-emploi prêt à s’employer au meutre qu’il ne reste alors plus rien à s’ébaudir face aux usages qu’on multiplient derrière nos écran où la vie artificielle prend forme sous la monotonie des dix-milles chaîne de télévision qu’on a si profondément intériorisées qu’on y trouve au feutre quelque chose de jaculatoire, quelque chose qu’on s’injecte sans le devoir faire à notre place… On ne se mettait pas dans de tel margouillis avant que ces muches on trouvé nécessaire d’imposer leurs bilans psychiatriques aux individus déjà lobotomies face à leur pares-étincelle à actualiser les statistiques de suicide ou d’incarcération (selon le choix des circonstances).



6 réactions


Réagir