Liberté, j’écris ton nom et mon non à toute cette mascarade
Vendredi, j'ai croisé ma caissière préférée avec qui je discutais souvent sans masques du temps où on le pouvait encore, j'avais dessiné le drapeau français sur mon masque et écrit « liberté ? », j’ai essayé de lui dire mon désarroi et je l’ai plaint d’avoir dû se conformer à cette chose autour de la bouche depuis le 16 mars, elle m’a répondu « oui, c'est difficile, mais je protège les personnes fragiles »
Je me suis sentie démunie... devant tant de gentillesse, de bons sentiments... ça m’a appelé la ligne verte, avec le pedophile qui a réussi à tuer les deux petites filles à cause de leur amour de sœurs... j'étais John Coffey, démuni devant tout cet amour qui mène les animaux qu'on élève à aller à l’abattoir sans broncher
Hier, j'ai vu un medecin car j'avais un rhume à 38 et obligée de m'arrêter avec le protocole sanitaire. On est d'accord avec le doc sur ce que le corona n a pas plus tué qu'une grippe classique. Que les masques, c'est incompatible avec l’exercice du métier de prof. Qu'on a l‘habitude de se confronter aux virus, à tous les virus, lui et moi en maternelle etc... par contre, comme je lui dis « quand toute cette ineptie va-t-elle s'arrêter me dit presque « vivement le vaccin ». Je sais, c'est son job, de croire aux vaccins... c'est le mien, de croire aussi à l’enseignement mais je sers avant tout la transmission et la confiance des enfants dans ce que je leur dis, comme lui devrait servir, je pense, la santé et donc les humains qui devraient y avoir droit. Tout être humain a le droit d'être en bonne santé et nous sommes conçus pour l’être sauf quand un produit chimique ou une substance nocive la menace.
Une amie à qui je parle après des lustres me raconte que ses parents sont morts. Son père à 71 ans d’un cancer, sa mère à 70 ans aussi due à sa consommation excessive de tabac. Et comme j'aborde le sujet des masques et des vaccins, au lieu de souscrire, je semble l’effrayer ... ses parents sont morts jeunes, dommages collatéraux d’une société anxiogène pour sa mère, de produits toxiques pour son père mais tout va bien pour elle, nos gouvernants nous protègent...
Mais sur le moment, je n’ai pas su quoi leur répondre... comme à ma caissière, il y avait tant de bonté dans son regard... Un vaccin, vite, pour que plus personne ne soit malade et obligé de porter un masque. C'est beau cette confiance.
Qu'est-ce qui s’est passé ? Suis-je une vraie vilaine ? Est-ce que nos gouvernants, qui sont aussi des substituts parentaux, ne nous voudraient pas que du bien dans ma tête ? Suis-je comme Jack Nicholson dans « vol au dessus d'un nid de coucou », quelques électrochocs feraient du bien à mon cerveau malade de paranoïa.
J'ai du mal à penser qu'on nous impose les masques pour nous protéger et protéger les autres. Vrai.
J'ai du mal à penser que si on veut nous vacciner, c'est pour éviter qu on ne devienne malades. vrai aussi.
j ai du mal à penser que ceux qui nous gouvernent sont comme des parents bienveillants qui ne voudraient que notre bonheur et notre bonne santé. Vrai.
Mon intuition me dit qu'il y a une raison derrière tout ça.
Mon cœur me dit de ne pas avoir peur de l’autre et de le toucher et de l’embrasser s’il a besoin de réconfort et que n'importe quel virus même amplifié par la peur, ne doit éteindre les contacts entre tous les habitants de cette terre, sinon je dois empêcher aussi mon chien d’aller dire bonjour à tout le monde sans masque.
Ma raison dit : oui, ils nous veulent du mal, le fluor, les vaccins oû il y a du mercure, de l’aluminium et encore plus un vaccin prévu depuis longtemps avec modification de l'adn, voire « the economist » en 2018 avec le code génétique sur l'homme de vitruve, le pangolin, le Pinocchio, c'est louche...déjà il y a de plus en plus de maladies dites émergentes ( qu'on les appelle Alzheimer, Charcot, parkinson, Guillain barré, fibromyalgie etc... à des âges non avancés qu'on peut légitimement se demander si nous ne sommes pas empoisonnés délibérément .
Mon instinct me dit : fuis, vends ta maison, pars dans la montagne vivre en autarcie.
Et mon humanité me crie : reste, résiste « liberté, j écris ton nom sur les masques, sur chaque nuage, sur chaque sourire que je rencontrerai... »