mardi 21 avril 2009 - par morice

Pierre Perret : un tag honteux sur un monument (1)

Ça recommence : après le Nouvel Obs, aujourd’hui, c’est le Figaro qui s’en prend à Pierre Perret, via la signature de Mohammed Assaouï. Pas toujours très à l’aise, avouons-le. Obligatoirement, on pense à une cabale  : certains, qui l’ont toujours critiqué, s’en prennent à notre monument national de la chanson française, à la suite de racontars d’une journaliste grande admiratrice de Barbara, visiblement en mal de scoop et de reconnaissance personnelle, Sophie Delassein. Le procédé et le thème utilisé est révoltant, car personne ne peut prouver quoi que ce soit dans cette histoire, à part l’intéressé lui-même. Le sujet de la cabale étant la rencontre ou non de Perret et de Léautaud, juste avant la mort de ce dernier. Auquel la journaliste ajoute de sa plume de fiel un soupçon d’homosexualité chez Perret vis à vis de Brassens (relisez le texte de Telerama, c’est une évidence !) : tant qu’à faire dans l’ignoble, autant charger le stylo ! A quoi s’ajouterait encore un air de jalousie, le second, selon Dalassein, ayant pris ombrage du succès du premier. Delassein raisonne comme aujourd’hui sur des faits et des mentalités d’hier. C’est oublier que Brassens n’en n’avait rien à cirer des chiffres de vente, et que Perret n’est pas devenu riche le lendemain même du succès des « Jolies colonies.... » La « critique » (si on peut appeler ça une critique, elle ne parle en rien du contenu plutôt riche du livre !) d’ A Cappella de Pierre Perret, faite par Sophie Delassein dans Telerama, est tout simplement ordurière et cherche à remettre en cause l’inspiration du poète. Avec deux bouts de phrases dont une de Garcia Lorca, et un vague projet qu’avait Brassens, et que tout le monde connaissait, elle vous fait un plagiaire. Ce texte est la honte du journalisme, tout simplement.

Rencontrer Léautaud, à la réputation d’homme reclus et invivable ; était-ce si difficile ? La secrétaire (et maîtresse) de Léautaud, Marie Dormoy, avait pourtant expliqué en détail en 1966 à la télévision française, comment le faire facilement, et Delassein s’est engouffré dans un procès qui n’a pas lieu d’être, à moins de chercher à faire la une des journaux à tout prix, celui de l’invérifiable surtout. Delassein a choisi de réveiller les sombres heures des techniques maccarthystes, celle des accusations gratuites, on ne donc va pas se priver de lui répondre, et pas sur le même registre, en l’honneur bafoué d’un homme qui n’a pas mérité pareille vilenie. A noter que Marie Dormoy terminait sa déposition télévisée sur la publication "à partir de 2006" des écrits intégraux de Léautaud comme étant "un nid à procès" ! En fait, Dormoy avait déjà résolu de tailler gaillardement dans les publications sulfureuses de Léautaud : "En ce qui concerne le Journal, Marie Dormoy a publié ce qu’elle a bien voulu - c’est à dire ce qui ne la génait pas - mettant de côté la valeur d’au moins 600 feuillets. Fort heureusement ceux-ci existent toujours - Marie n’ayant pas suivi le triste exemple de Madame Jules Renard - et sont plus ou moins pieusement conservés à la Bibliothéque Doucet," dit un intervenant sur un site dédié (Patrice Rostain). En résumé, la maîtresse de Léautaud avait pris depuis longtemps l’habitude de révéler ce que bon lui souhaitait. Et de dire qui avait ou non rencontré Léautaud. Qu’elle n’ait elle jamais vu personnellement Perret ne résoud rien : elle n’était pas tout le temps chez Léautaud loin s’en faut ! C’est elle qui, pourtant, lors d’une émission de Paul Dumayet du 17 août 1966, décrit un étrange "trou" de six mois dans le journal de Léautaud. "Dévoré par sa gueunon", dit-elle en souriant : disons que ce soir là, on s’était déjà rendu compte que de Léautaud, on ne saurait jamais tout. Marie Dormoy s’en est très bien occupé. De ce qu’il disait d’elle, surtout, et d’Anne Cayssac.

A-t-on fait en revanche un procès à Léautaud qui affirmait lui avoir rencontré Maupassant ? Non. Pourtant "Le 29 mars 1931, l’écrivain écrivait dans son Journal à propos de sa "possible rencontre" avec Maupassant qui habitait rue Clauzel, où une plaque commémorative venait d’être posée"... les mots exacts étant ceux-ci : "J’ai certainement dû le rencontrer étant enfant. J’avais alors six ans, sept, huit et neuf. […] On disait déjà, sur place, qu’il n’est pas très sûr que ce soit au 19 qu’ait habité Maupassant, que ce pourrait bien être au 17. " La journaliste incendiaire de Télérama va-t-elle aussi oser faire aussi un procès à Renaud pour avoir écrit qu’il avait rencontré un jour Brassens et Marie Dormoy .. ? Car l’un des visiteurs fortuits de "l’extravagante" Marie Dormoy sera plus tard un dénommé Séchan. Dont Dormoy n’a jamais parlé. Oui, le chanteur Renaud, qui ainsi croise Dormoy et... Brassens, pour une raison simple : Renaud habitait dans le même bâtiment que Marie Dormoy, à deux étages près. "Le petit Séchan allait au cinquième étage chez lui, Brassens, au septième, rendait visite à Marie Dormoy, secrétaire et maîtresse de Paul Léautaud"... Un Brassens que connaissait donc bien Marie Dormoy. "Lorsque je regarde [ce disque] aujourd’hui, trônant au-dessus de mon bureau près de trente ans plus tard, je crois parfois sentir encore la douce odeur du tabac qu’il fumait dans sa pipe en bois ce jour-là." Ecrit Renaud. Car de cette rencontre aussi, seul Renaud se souvient... il n’y a aucune autre preuve de cette rencontre... A-t-on accusé Renaud de plagier Brassens ? Que non. Sophie Delassein va -t-elle le faire dans sa critique du prochain Renaud ? Elle en serait bien capable. A-t-on osé clamé que Renaud n’avait pas rencontré Brassens car Brassens n’ a jamais écrit un seul mot sur cette rencontre ? Et Brassens d’être un faussaire et un plagieur en ayant chanté autant Ruteboeuf, François Villon ou Paul Fort  ? Encore moins. Et Ferrat d’être le pilleur d’Aragon ? Jamais entendu, plutôt le chantre. Perret, arrivé à Paris en 1954 croise aussi furtivement en audition Boris Vian : comme Vian n’a rien écrit là-dessus, peut-on dire que la rencontre n’a pas eu lieu ? Et que Perret mentirait là encore ?

Delassein, la tortueuse, joue sur du velours, de toute façon, car l’héritage de Léautaud, à savoir surtout le manuscrit de son journal a été l’enjeu de furieuses batailles et de captations non encore élucidées, comme le rappelle un blog qui n’est pas idiot. Dormoy a beaucoup joué avec ce qu’elle avait pu emporter du legs de Léautaud, mais elle n’était pas la seule : une universitaire, Edith Silve, va faire de même pendant des années, au sein de la fondation de la SPA auquel Léautaud a légué tous ses écrits. Elle s’est efforcée de bloquer régulièrement l’accès aux archives, en qualité d’ayant droit, ce qu’elle n’était aucunement ! En résumé, nul ne sait aujourd’hui ce que Léautaud a pu écrire des gens qu’il rencontrait. Et on imagine mal un vieillard faire un chapitre complet sur un jeune homme venu le saluer à peine âgé de 19 ans, alors militaire. A moins que notre Delassein imagine une relation coupable et fugace entre un jeune militaire et un vieillard grabataire : elle a commencé sa "critique" comme ça, on n’a plus qu’à conclure sa démarche, si on suit son "raisonnement". Ignoble, bien entendu, mais bel et bien suggéré par Sophie Delassein. Edith Silve, elle, avait été invitée par un Pivot plutôt "effrayé" en 1986... et avait fait une prestation fort remarquée... sur le compte-rendu de la vie de Léautaud et du portrait qu’il avait fait de Marie Dormoy. Dans une presse à scandale, elle aurait eu sa place de responsable, pour sûr. Ce soir là, en fait, Pivot nous avait fait un roman photo à la Nous Deux, mais version "hard".

Car notre journaliste aurait pu noter que Léautaud, qui n’aimait pas vraiment les gens, sortait pourtant de chez lui en 1953 encore, même si c’était déjà avec difficultés : un homme, grand amoureux de Paris, Bernard Vassor, avait minutieusement noté les endroits où il pouvait être aperçu : "Quelques domiciles de Léautaud, ou lieux fréquentés : 37 rue Molière où il est né. Le bureau de tabac du 62 rue de Richelieu Librairie d’Adrienne Monier rue de l’Odéon Librairie Anachréon, rue de SEINE Le Mercure rue de Condé Description minutieuse du marchand de couleurs du 1 rue des Martyrs, à l’angle de la rue Notre-Dame-de-Lorette. Le petit pavillon dans la cour du 21 rue des Martyrs : "je suis entré dans la cour. Resté là un bon moment à regarder le petit pavillon où mon père habitait. Le premier étage composé d’une unique pièce, sa chambre à coucher. Au rez-de-chaussée la salle à manger (…) dans la cour, la fenêtre à vasque est toujours là, face à la porte d’entrée (…). Même adresse boutique de mercerie, tenue par la mère de deux petites filles (camarades de jeux de Léautaud) Madame Nadaud. Le charbonnier de la rue Clauzel. 17 rue Rousselet en 1905, 15 rue de l’Odéon 1903 29 rue de Condé". Les endroits ne manquaient donc pas, même si Léautaud, il est vrai, en 1954, ne bouge quasiment plus de chez lui. Lire son journal littéraire, écrira Pierre Lalanne, "c’est le suivre pas à pas dans les rues de Paris chez les libraires, les marchands, au théâtre, le voir s’acharner à écrire malgré tous ceux qui meurent autour de lui en songeant à sa propre fin". Son journal relate tout, il l’a rédigé de 1893 à sa mort en 1956. Mais à 19 ans, Perret n’était pas près de mourir, certainement.

Delassein, l’encenceuse de Françoise Sagan, après avoir couru après trois années de suite pour pondre un "Aimez vous Sagan" dithyrambique, (a-t-on les preuves, au fait, de ses entretiens ?), et qui a osé écrire que Perret agissait en "enrageant d’être une pâle copie de Brassens"... ce qui décrit l’approche subjective de la journaliste. L’histoire de Léautaud, et le coup de l’homosexualité latente, a été surajouté à une tentative bien plus insidieuse de saper les textes de Perret. Que Dalassein n’aime pas la poésie de Perret est une chose, qu’elle attaque aussi bassement l’individu en est une autre. Perret n’a jamais revendiqué la place de Brassens et ne la revendiquera jamais. Les deux ne jouent pas sur le même registre : les deux seules choses qui puissent les rapprocher est l’interdiction de diffusion en radio, avec une nuance de taille : chez Brassens elle a été officielle, chez Perret officieuse. Les mœurs avaient évolué entre deux. Le "Gorille" ne passait pas, avant 1955, le "zizi" a fait un malheur, malgré le refus de certaines radios de le diffuser au départ. Une Delassein admiratrice de Sagan (comment peut-on être admirateur d’un tel vide, ça reste un grand mystère) qui argumente pitoyablement son brûlot avec comme argument principal contre Perret le pillage des auteurs du XVIIIeme, en citant un bouqiniste... bien entendu totalement inconnu : "Il est friand des auteurs méconnus du XVIIIe. Il me demande toujours à combien d’exemplaires les recueils ont été tirés. Au bout d’un moment, j’ai compris pourquoi : il les pillait et avait peur que ça se sache". C’est pitoyable, comme argument, et ça provient d’une source non précisée, car en ce cas Lagarde et Michard étaient à jeter en prison et non pas à être distribués dans les écoles. Avec une différence de taille en ce qui les concerne : là où Perret fait œuvre d’archéologue, en, exhumant tel que un mot ou une expression savoureuse, et en la répercutant telle quelle, Lagarde et Michard faisaient leur baron Haussman, en écrivant "voici le temps des assassins" de Rimbaud, à la place de "voici le temps des hachichins". Ça, c’est la version que préfèrent également les lecteurs du Figaro. Car le problème est là, et ce n’est pas un hasard si l’immonde cabale a été reprise aujourd’hui par le journal qui vante chaque jour les mérites d’un Maurice Druon ou d’un Jean d’Ormesson, quand ce n’est pas l’exhumation de Paul Guth, cet écrivain qui n’a jamais rien eu à dire (même avec du retard c’était encore pour se tromper), et avait inventé l’ampoulage comme style littéraire. Plus tartignole est impossible à trouver. Sauf Sagan, remarquez, peut-être, mais pour ça on a Delassein, il est vrai.

La basse attaque de Delassein, qui se gargarise de Barbara ou de Sagan, c’est bien une affaire de culture : oui, Perret, comme Renaud sont des révolutionnaires, oui, on continue à vouloir leur peau, et Delassein y participe avec envie. Le second n’a pas chanté Hexagone pour rien, et je détiens toujours chez moi un exemplaire d’un inédit que Renaud chantait, mais ne pouvait enregistrer, qui s’intitulait "Si Michel Sardou n’était pas là"....Perret a fait en littérature ce que le film "La guerre des boutons" a fait pour le cinéma : il l’a revigoré et a redonné vie à la part de la jeunesse qui lui manquait. Car la langue est bien l’endroit où se joue le pouvoir : dans les années 70, on a découvert dans les écoles les "niveaux de langue", à savoir la façon de parler selon l’inrterlocuteur en face, car ainsi des gamins qui ne parlaient pas "bien" chez eux pouvait "traduire" leur pensée en langage châtié. J’étais ravi de cette découverte : je suis issu d’une famille pauvre, qui ne parlait que le patois des flandres chez elle. Plus ch’ti, tu meurs. Le niveau de langue, on me l’a jeté à la tête. Quand je suis arrivé au collège de mon village, on m’a fait comprendre que j’avais intérêt à m’équiper (vite fait et tout seul) du module de traduction. Je me suis fabriqué un appareil dans la tête, voisin du traducteur d’akwakwak de Mars Attack, et ai donc appris sur le tas comment parler correctement devant des gens qui ne juraient que par Pivot, que je ne peux donc que détester, lui qui commençait à poindre son nez dans les téléviseurs. Perret avait fait la même chose à 10 ans d’intervalle : chez lui on parlait que l’argot. Avec Pivot, la France de d’Ormesson avait trouvé son icone : il allait un jour inviter le chanteur Charlélie Couture, qui en était à son cinquième disque, en parlant d’un "premier album prometteur". Chez Pivot, la culture a toujours été un vernis. Perret ,qui est tout sauf un homme de conflits, lui rendra pourtant hommage un jour en chantant sa façon de faire parler les gens "car c’est un art que de faire jacter un auteur timide". Ce qu’est un Pierre Perret, outré par les attaques ignominieuses d’une journaliste en mal de plume. 

Chez moi, on parlait ch’ti, tendance bien écrasé, et à l’école, on devait parler comme Roger Peyrefitte (le ministre, pas l’écrivain). J’ai donc appris à jongler de l’un à l’autre : ma future place dans la société en dépendrait. Pour le certif, fallait causer français. J’ai fini premier prix de canton, on m’a refilé un bouquin sur de le Maréchal Leclerc et un diplôme. Le traducteur akwakwak marchait bien, mais je n’ai jamais réussi à traduire "canton" dans l’autre sens. "Diplôme du coin ?" L’homme qui a épousé la responsable de Nous Deux est venu pendant des années nous parler défense de la langue française. En l’enterrant chaque jour un peu plus : Pivot est tourné vers le passé, pas les gens comme Frédéric Dard ou Pierre Perret, ou Renaud qui continuent à faire vivre le français. Un français qui a toujours évolué, comme le montre la sortie d’un Robert cette année acceptant bien davantage de mots nouveaux. Si l’on veut vaincre la concurrence de l’anglo-saxon, il n’y a pas d’autres solutions : je me vois mal revenir de l’école en 1960 et dire à mes parents "c’est quoi le fooding du jour"... L’anglo-saxon est à toutes les sauces des publicitaires, et personne pour empêcher l’invasion. Sauf ceux qui déterrent chez des auteurs anciens des mots ou des expressions qui pourraient très bien subvenir aux besoins d’expression nouvelle. En ce sens, Pivot rejoint Perret... sur cent mots, disons.

Perret, à faire re-vivre le français, à puiser dans ses immenses réserves, est en ce sens, est un monument, et Delassein une simple taggeuse, qui croit, en signant un forfait sur ce Pierre là, laisser une trace pour l’éternité. Dans vingt ans, il y a aura encore plus de maternelles qui s’appelleront Pierre Perret, et pas une qui s’appellera Delassein. J’en ai vu, des concerts de Perret, et j’ai toujours assisté à des scènes extraordinaires durant ceux-ci : des familles complètes, jusqu’aux plus petits de cinq ans, en train de chanter des textes par cœur. Qui chantent la liberté, l’égalité et la fraternité : Perret est bien le meilleur représentant de son pays. Il a la gouaille et le sourire en plus, ce qui en fait une très belle image extérieure, le contraire exact du français réputé râleur et rochon. Des familles qui chantent par cœur Lily, qui reste le plus beau texte jamais écrit contre le racisme, ce mal qui ravage régulièrement la France et dont ne veut pas entendre parler Pierre Perret, Le monumental Perret. Celui qui déteste Le Pen et consorts, et qui le chante.

Demain, je vous propose autre chose : j’ai retrouvé dans ma bibliothèque l’introduction du "Petit Perret illustré", qui date de 1982 (aux éditions Claude Lattès). Je vais vous le soumettre tel quel : il contient tout ce qu’il faut pour répondre à cette gâcheuse, qui a une sauterelle dans la vitrine et de la galantine dans la terrine. En voilà une au moins qui ne saura jamais réécrire les Fables de la Fontaine en argot. Delassein avait commencé son article par le ô combien condescendant "le rigolo Pierre Perret". Pour elle, La Fontaine devait se situer dans le même registre, sans doute. Il est vrai aussi qu’elle a d’autres hommes de cour à encenser... On ne sait si ça "mérite d’être lu"...

Que cela ne vous empêche pas de lire le bouquin de P.Perret : vous y découvrirez des anecdotes savoureuses, comme celle de son audition devant Eddie Barclay, qui n’a pas toujours compris grand chose à la musique. A la fin de sa prestation, Barclay lui dit, "oui, mais bon, ça ne va pas. Ce serait mieux si vous ne faisiez pas du Pierre Perret." Il n’y a pas : en France, il y en a qui ont beaucoup aidé les chanteurs et la chanson française. Si un gars comme Ferré a fini par vendre quelque chose, franchement, il ne le doit qu’à lui-même.

 



121 réactions


  • morice morice 21 avril 2009 10:48

    J’adore me faire des amies.


    • morice morice 21 avril 2009 12:25

      cessez donc de troller et de me poursuivre jusqu’au canada. Ça devient grave chez vous....


    • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 12:34

      Appelez la police montée Morice.


  • Gazi BORAT 21 avril 2009 11:18

    « la journaliste ajoute de sa plume de fiel un soupçon d’homosexualité chez Perret vis à vis de Brassens »

    L’homosexualité serait donc honteuse et un « soupçon » de celle-ci de nature à entacher irrémédiablement une idole ?

    Je plaisante !

    Par contre, sur cette question de la révélation a posteriori de l’homosexualité d’une célébrité, une réaction intéressante de Lacouture, en réponse à un écrivain actuel qui l’accuse d’avoir délibérément caché l’homosexualité de François Mauriac dans la biographie qu’il composa jadis..

    Dans sa réaction (pages Rebonds du Libé d’aujourd’hui, pas encore en ligne) Mauriac évoque le « temps du biographe » et une époque où, par souci pour les proches, on se devait de ne pas mettre en avant certains penchants.

    Sur ce règlement de compte en cours, l’avis de Jean Daniel..

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/culture/20090402.OBS1817/francois _mauriac_jean_lacouture_et_lhomosexualite.html

    Sinon, Pierre Perret n’est guère ma tasse de thé.. C’est une sorte de Carlos, mais d’un niveau nettement au-dessus de fils de Dolto, et qui écrit mieux...

    Et Léautaud ?

    J’ai apprécié son journal et la partie relative à la période de l’Occupation.

    Le personnage apparait comme ignoble : il hait tout le monde et apparait, au milieu des évènements, comme totalement égocentrique.. mais c’est fort bien écrit..

    CITATION :

    Samedi 15 juin 1940. Je le disais tantôt à mon voisin Gagenco : l’entrée de Hitler à Paris, l’armée allemande à Paris, la honte et le désespoir des Français ! Et l’entrée de Napoléon à Berlin, et l’armée française à Berlin, et la honte et le désespoir des Allemands ! L’un vaut l’autre, autant, ou pas plus. Les choses ont changé de côté, voilà tout. Hitler est dans son rôle. Nous n’avions qu’à être dans le nôtre.

    Lundi 12 août 1940. « Il y a, rue Suger, un lycée Fénelon. Jeunes filles. Autant que j’en puisse juger, de douze à seize ans. Je me suis trouvé passer là à la sortie de midi. Certaines sont déjà fardées comme des catins. Si Fénelon voyait cela ! »

    Jeudi 25 juillet. – (…) Arrivé place de l’Odéon, je vois la librairie Lipschutz, au coin de la rue Crébillon, fermée depuis les premiersj ours de juin, l’étalage demeuré visible, avec tout un étagement de caisses d’emballage, fort bien faites, en bois neuf, comme celles que j’ai vues à Sainte-Geneviève, lors de l’inventaire des livres rares.
    Au Mercure[5], je parle de cela à la concierge. Elle est au courant. Elle l’a appris par les gens du commissariat de police. Ce sont les Allemands qui ont ouvert la librairie et la déménagent. J’en ai un moment d’une tristesse, d’une désolation, d’une pitié. Juif, c’est entendu, mais si charmant, si courtois, si obligeant, si désintéressé ! Il y avait de petis trésors dans sa librairie.

    Samedi 5 octobre 1940  Quand je disais que les mesures contre les juifs auraient tout de suite leur succès chez pas mal de gens d’une certaine sorte. La France au travail d’aujourd’hui, journal immonde qui recommence la démagogie du Front populaire, publie la lettre d’un lecteur qui réclame qu’on mette les citoyens en mesure de faire les mouchards pour signaler les juifs qui essaieraient de se soustraire à ces mesures. Je le disais hier à Fauchois : le mouvement s’accentuerait, on chaufferait exprès en conséquence : on trouverait des gens pour tuer"

    FIN de CITATION

    gAZi bORAt


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    • morice morice 21 avril 2009 11:30

      Sinon, Pierre Perret n’est guère ma tasse de thé.. C’est une sorte de Carlos, mais d’un niveau nettement au-dessus de fils de Dolto, et qui écrit mieux...


      vous vous trompez complètement. 

  • LE CHAT LE CHAT 21 avril 2009 11:24

    @momo

    j’aime beaucoup Pierre Perret , et dire qu’il est un monument de la chanson française n’est pas de trop ! des chansons comme tonton cristobald , les colonies de vacances , le tord boyaux , le zizi , resteront gravés dans les mémoires collectives .
    Mais on peut pas plaire à tout le monde , surtout aux cons , et comme disait son ami Brassens , quand on est con , on est con !


  • Gazi BORAT 21 avril 2009 11:33

    Ciel !

    Quel nettoyage !

    Je suis passé il y a cinq minutes, j’ai déposé un commentaire.. Plus rien !

    Aurais-je été censuré ?

    gAZi bORAt


  • morice morice 21 avril 2009 11:48

    Mario D’alba

    Mario-Jacques Magliulo d’Alba dit Mario d’Alba est Corse, Italien, Flamand, Pied-noir, Niçois de Paris, natif de Monaco, bref, Français.

    De 1966 à 1970, il enregistre chez Vogue deux albums et douze 45 tours, sous le noms de Mario Jacques.
    En 1972, Il est Napoléon dans la « RÉVOLUTION FRANCAISE » au Palais des Sports.
    En 1973, la Troupe Attention chez Barclay.
    En 1974/75, il est « BEPPO » dans la comédie musicale « MAYFLOWER » au Théâtre de la Porte St Martin.
    En 1978/79, « ON VOUS ECRIRA » (Théâtre des 400 coups) écrit et interprété en duo avec Roger MIREMONT, mise en scène de François CLUZET.
    En 1980, « LES JOYEUSES COLONIES DE VACANCES » (Cinéma rôle principal), de Michel GERARD, film dont il compose la musique.
    En 1981, « KICK » de Marc SIMENON, série de six épisodes dont il compose la musique (TF1). « LES AVENTURES DE GEORGES LARRERE » (Théâtre), toujours avec Roger MIREMONT, mise en scène de Feodor ATKINE, à la COMEDIE DE PARIS.
    En 1982, « RENDEZ-MOI MA PEAU » (Cinéma rôle principal), de Patrick SHULMAN.
    En 1984, « TU PEUX TOUJOURS FAIRE TES BAGAGES », téléfilm de Jacques KRIER (TF1), dont il compose la musique.
    En 1986, il joue dans la mise en scène de Daniel BENOIN (C.D.N. Théâtre Jean Dasté St Etienne), le rôle de WISKOPF dans « GHETTO » de J.SOBOL avec Anna PRUCNAL, J.C DROUOT, J.P JORIS, etc... (élu meilleur spectacle de l’année 1986).
    En 1987, il remporte le grand prix TF1-Télérama du festival de Café-théâtre de Cannes pour son one-man-show « LE RAPATRIE MONEGASQUE », spectacle qu’il joue plus de 1500 fois à Paris (Théâtre d’Edgar) et en province (Théâtre les 3 T-Toulouse-, Théâtre Jean Dasté -St Etienne-, Espace Gerson -Lyon-, le Vertigo -Nançy-, etc...), il est aussi grand prix du public au festival de St Gervais.
    En 1988, toujours sous la direction de Daniel BENOIN, « WOYZECK » de J.BUCHNER.
    En 1991, avec Patrick BOUCHITEY, il co-écrit les dialogues et co-interprète « LA VIE PRIVEE DES ANIMAUX », diffusée sur sur France 2 (Champs Elysées, Michel DRUCKER), 250000 cassettes vidéos vendus à ce jour.
    En 1993, avec son épouse STONE, ils écrivent et interprétent dans une mise en scène d’Eliane BOERI « ET ILS VECURENT HEUREUX » au Théâtre d’Edgar à Paris.
    En 1996, il met en scène STONE, Franck ALAMO et MONTY dans un grand spectacle de variétés.
    En 1997, il produit « VERSIONS ORIGINALES » compilation de STONE ET CHARDEN chez BMG. 250 000 exemplaire vendus, double disque d’or.
    1998, Sortie de la compilation au Canada. STONE ET CHARDEN au CASINO DE PARIS, double CD, K7 vidéo (disque d’or) 
    2003/05, STONE, CD Malin chez Sony Music (60 000 exp vendus)
    2004, Il tourne dans « LES GAOUS MONTENT A PARIS » de Igor SECULIC et J.M POIREE
    2004/05, Compilation « STONE ET CHARDEN » chez Sony Music (40 000 exp vendus)
    2004/05, Il est Mr Jourdain dans le « BOBO GENTILHOMME » au Théâtre de la Providence (19ème), Théâtre du Bec Fin (1er) et Théâtre Le Temple (11ème) à Paris
    2006, Il met en scène le « Beatles Story » dans la grande salle du Théâtre du Gymnase à Paris
    Il a composé et écrit pour le cinéma, la télé, la publicité, la chanson ; Eric CHARDEN, les COMPAGNONS DE LA CHANSON, CARLOS, TINO ROSSI, sont quelques uns de ses interprètes, sans oublier STONE avec qui, il est marié depuis 1991

    Mario d’Alba interprète le rôle de Jean Michel Tagine.

    Une émission de theatre réalité sans producteur n’existerais pas. LE producteur se nomme Jean-Michel Tagine. Un mixe entre Gérard Louvin, Jean-claude Vandamme & Nicolas Sarkozy.

    Lire la suite ▼

  • LE CHAT LE CHAT 21 avril 2009 11:59



    Voilà un chanteur qu’endemol voudrait pas sur ses plateaux !


  • morice morice 21 avril 2009 12:00

    et hop, ça dégénère ; je le répète, les inclusions d’images ne sont pas une bonne idée dans un forum.... 


  • Lediazec Lediazec 21 avril 2009 12:03

    Gogol 1er, svp. L’idole d’un tas de jeunes punks des années 80. Le genre : j’enc. mon père, j’enc. ma mère... La croix à l’envers. Quelle époque, le chat !


    • LE CHAT LE CHAT 21 avril 2009 12:29

      @lediazec

      je vois qu’il y encore des gens qui le connaissent ! c’était l’époque béruriers noirs et garçons bouchers !


  • Lediazec Lediazec 21 avril 2009 12:07

    Sinon, super papier morice, j’ai voté pour la suite. Curieuse époque et curieux journalistes. Ce n’est plus de l’information mais du vomitif. Lamentable !


  • Dzan 21 avril 2009 12:21

    Delassein, ou De la since ?
    C’est à raz du carrelage !


  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 13:23

    Une chose que je ne comprends pas : sur le nouvel Agoravox on nous a donné la possibilité de mettre des images afin de détendre l’atmosphère et égayer ces articles et commentaires souvent profondément ennuyeux, alors pourquoi les censurer ?


  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 13:26

    Boule de Poils ronflottait sur sa chaise à porteurs
    Dodu, lascif, peinard, conscient de son bonheur,
    Quand une souris survint sortant de sa cabine
    Histoire de s’aérer un p’tit coup les tétines.
    Sur le chemin d’la plage le matou l’aperçoit
    Et s’apprête à lui faire le coup du père François.
    Il en fera un pâté, ou plutôt une quiche
    Et à fond les manettes, il lui cavale aux miches.
    Emportés par l’élan et la baskets qui fument
    Soudain, ils freinent sec, un clébard a surgi,
    Qui bien qu’un peu gâteux, un peu perdant ses plumes,
    Se lance à fond la caisse aux trousses du Mistigrti
    La souris épargnée se dit en fin de compte :
    Qu’il faille se faire becqueter par l’autre face de raie !
    Il est bien évident quand le récit s’estompe
    Que chacun court après son petit intéret.
    Moralité :
    On court, on court, c’est vrai, après l’argent, l’amour
    La jeunesse, on s’obstine à poursuivre du vent.
    Mais après mille tours on s’aperçoit un jour
    Que nos fesses jamais ne passeront devant.

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  • morice morice 21 avril 2009 13:35

    remplissage inutile du troll habituel, sans arguments comme d’hab.


  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 13:46

    Vous n’aimez pas les fables de Pierre Perret ?

    Moi si.


  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 13:50

    Pour mieux se gaffer d’un Morice
    Tournicotant dans le bosquet,
    Sur les hautes branches d’un chêne
    Quelques dindons s’étaient planqués.
    En plein nuit, deplus, une lune cafteuse
    N’arrangeait pas du tout les plans du vieux rusé.
    Du haut de son perchoir, les volailles moqueuses
    Se poilaient en voyant le goupil désabusé
    Ce dernier n’avait pas qu’un tour dans sa musette
    Pour tromper la méfiance de ces gros emplumés
    Il voulait plaire à ceux qu’il aurait tant aimé
    Déchirer de ses crocs sans souci des arêtes.
    Il feignit de grimper se dressant sur ses cannes
    Fit semblant de clamser puis de ressuciter
    Jouant à la marelle faisant l’aéroplane
    Et bien sûr les gros piafs n’osaient pas roupiller
    Ayant les nerf tendus comme des cordes à violons
    Et comme hypnotisés par le fourbe Morice
    Les dindons du perchoir piquant ttous de la tpete
    Se sont évidemment cassés la margoulette.
    Les pauvrets dont l’excès de prudence fut fatal
    Ont fini dans l’buffet de l’aut’ qui avait la dalle.

    Moralité :
    C’est quand tu crains l’averse à l’abri d’un tilleul
    Que tu prends un boeing sur le coin de la gueule.

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  • morice morice 21 avril 2009 13:57

    vous plagiez : très mauvais exemple !! c’est un Renard, pas un Morice : vous trichez, mais c’est habituel chez vous...

    Pour mieux se gaffer d’un Renard
    Tournicotant dans le bosquet,
    Sur les hautes branches d’un chêne
    Quelques dindons s’étaient planqués.
    En plein nuit, deplus, une lune cafteuse


  • Françoise Gazoduc Mario 21 avril 2009 14:13

    Il ne s’agit pas d’un plagiat mais d’une adaptation.


  • morice morice 21 avril 2009 14:28

    Plagiat, vous n’avez pas fait remarquer au lecteur la référence à l’original. 


    « Le plagiat consiste à s’inspirer d’un modèle que l’on omet délibérément ou par négligence de désigner. Le plagiaire est celui qui s’approprie frauduleusement le style, les idées, ou les faits ».

    c’est à moi de le retrouver : et de vous dire que vous plagiez : venir faire ça sur un article sur le plagiat c’est bien du trollisme, la seule chose dont vous êtes capable ici, à part d’harceler tous les jours, et de ne jamais discuter du contenu..

  • morice morice 21 avril 2009 14:39

    expliquez-moi pouquoi le vocable « Mario » pointe sur l’enregistrement christoff_m, comme « auteur »... Par Jimmy Just (xxx.xxx.xxx.73, Par Ricou Browning (xxx.xxx.xxx.44, Par Christoff_M (xxx.xxx.xxx.134) etc....



    • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 14:51

      expliquez-moi pouquoi le vocable « Mario » pointe sur l’enregistrement christoff_m, comme « auteur »... Par Jimmy Just (xxx.xxx.xxx.73, Par Ricou Browning (xxx.xxx.xxx.44, Par Christoff_M (xxx.xxx.xxx.134) etc....

      Si vous croyez que je vais vous réveler les secrets du trollisme comme çà, vous vous mettez un doigt dans l’oeil mon cher ami !


  • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 14:43

    « vous n’avez pas fait remarquer au lecteur la référence à l’original. »

    Les lecteurs ont compris, plus vite que vous, qu’il s’agissait de fables de Pierre Perret très légerement ADAPTEES.

    Deuxio : j’ai dit plus haut Vous n’aimez pas les fables de Pierre Perret ? Moi si.

    Troisio, je ne « harcèle pas tous les jours », mais uniquement les Mardi et Jeudi, et très rarement les week-end, uniquement ceux où j’ai la garde de mon fils à qui j’enseigne le trollisme chez Tonton Morice (c’est comme çà qu’il vous appele).


  • morice morice 21 avril 2009 14:55

    Troisioje ne « harcèle pas tous les jours », mais uniquement les Mardi et Jeudi, et très rarement les week-end, uniquement ceux où j’ai la garde de mon fils à qui j’enseigne le trollisme chez Tonton Morice (c’est comme çà qu’il vous appele).


    ....expliquez donc aux lecteurs pourquoi vous avez déjà 4 pseudos ici, qui s’ajoutent à ceux que vous aviez déjà avant : vous êtes à nouveau en CRISE, et devez à tout prix vous créer de nouveaux personnages pour venir TROLLER ???

  • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 15:07

    Flûte, j’ai l’IP qui flotte. Excusez-moi cher ami.


  • LE CHAT LE CHAT 21 avril 2009 15:09

    @momo

    j’ai vu dans ta bio que tu connaissais bien le groupe stocks. C’est un super groupe de rock chti ! je les ai vu en concert à la Braderie au temps jadis !
    j’aimais bien aussi les steaks bulgares et leur rock alternatif .......


    • LE CHAT LE CHAT 21 avril 2009 15:11




    • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 15:12

      momo fait le beauf et le ringard sur Avox, mais c’était un mec super branché dans le temps.
      Il a même interviewé le réparateur de jacks de Zizi Top.


    • morice morice 21 avril 2009 15:14

      cessez vos attaques personnelles, elles ne vous grandissent pas : et cessez aussi de revenir avec un énième pseudo... le procédé est connu et son auteur aussi. 


    • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 15:18

      le procédé est connu et son auteur aussi.

      Si vous me connaissez pourquoi persistez-vous à faire semblant de me confondre avec un autre ??

      Je donnerai la réponse aux lecteurs, preuves à l’appui, dans quelques temps, et vous allez vraiment passer pour un couillonnaud de première !!

      Il s’est fait enfumer par une gonzesse, le Momo, mouarf !


    • LE CHAT LE CHAT 21 avril 2009 15:23

      @tout nu et tout bronzé

      ça serait pas mal une reprise du zizi par ZZtop  ! ça serait du même ordre que la reprise de my way par les sexpistols


    • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 15:24

      Yeah !

      Morice pourrait peut-être leur proposer ?


  • morice morice 21 avril 2009 15:11

    je les ai vu en concert à la Braderie au temps jadis ! 


    je suis à l’origine du concert et vous expliquerait un jour pourquoi c’était une escroquerie...

    • LE CHAT LE CHAT 21 avril 2009 15:14

      Super , un futur article sur Marquilly et Stocks , le vrai blues rock chti !


    • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 15:19

      Un article sur Mario d’Alba serait sympa aussi.

      C’est un grand artiste.


    • morice morice 21 avril 2009 15:30

      vous allez pleurer, je le sens.


    • morice morice 21 avril 2009 15:40

      sur votre photo ; il y a deux batteurs : le bon est à droite. il s’appelle Franck Seynave. Il a débuté à 15 ans avec...Stocks. Il est ici en bas à gauche. J’en profite pour saluer la mémoire de Muchmard, le bon batteur de Stocks. Si Marquilly avait écouté Philippe Manœuvre, il aurait vendu plus que Téléphone. Seulement il avait un frère, qu’il écoutait... et patatras.


    • LE CHAT LE CHAT 21 avril 2009 16:27

      ils avaient fait une bonne prestation aux enfants du Rock , immense émission culte jamais remplacée .............. Place à la daube endémolisée , beurk !

      je me souviens d’une remarque interprétation de wang dang sweet poontang par un Ted Nugent en superforme qui avait duré plus de 17 mn !!!!!


    • snoopy86 21 avril 2009 18:22

      « je suis à l’origine du concert et vous expliquerait un jour pourquoi c’était une escroquerie... »

      Toi un escroc Momo ?

      Tu as oublié ça dans ton CV


    • morice morice 22 avril 2009 01:35

      ... à l’origine ne veut pas dire organisateur, achetez donc un dico, vous en avez bien besoin. J’ai fabriqué ce concert, parce qu’on me l’a demandé, et que seule une radio pouvait rameuter autant en aussi peu de temps, je ne l’ai pas souhaité ni voulu. C’était un pari, merci, j’ai réussi à remplir la salle avec tous mes potes techniciens, 3500 spectateurs. Mais ça n’en valait pas la peine : le producteur du groupe avait dilapidé l’argent de l’enregistrement en studio (30 patates ! ) alors que j’avais remis deux rapports aux deux firmes de disques tentées, RCA et WEA. Ils préconisaient de prendre exemple sur Nine Below Zero. Mais comme vous ne bitez rien au rock and roll, je vais vous laisser mariner avec cette idée ; quelle pouvait donc être la particularité de ce garage band anglais ? Résultat final pour Stocks : le son est pourri.


    • LE CHAT LE CHAT 22 avril 2009 08:33



      c’était pas mal comme groupe , les inmates aussi !


    • LE CHAT LE CHAT 22 avril 2009 08:54

      tout comme Little Bob que j’ai encore vu il y a deux ans à Istres en première partie des excellents Dr Feelgood !


    • morice morice 22 avril 2009 22:53

      ça ; c’est le second ; il est à l’origine en vinyl vert... moi, je vous parle du premier, et du bandeau jaune qu’il y avait autour à son lancement...


  • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 15:23

    Pour vous aider pour l’article sur d’Alba, voici un disque injustement méconnu :

    Electrogène : groupe dans lequel on retrouve Mario Jacques (Mario d’Alba), Stone, Annie Philippe, Lilou et Raymond Jeannot


  • claude claude 21 avril 2009 15:23
    bonjour,

    je vous trouve un peu raide avec bernard pivot, d’autant plus que perret et pivot s’apprécient, à tel point que perret lui a dédié une chanson et que bernard invita par 2 fois, au moins, pierre à son émission apostrophe !


    Bernard Pivot by Pierre PerretJ’ai eu envie de faire en m’amusant
    Une petite chanson
    A propos d’un monsieur qui vient souvent
    Dans notre maison
    Il s’agit pas du facteur du plombier
    D’un représentant casse-pieds
    Il rend intelligent même les plus sots
    C’est Bernard Pivot.

    Un homme illustre disait des Français
    Ce sont tous des veaux
    On a depuis fait de nombreux essais
    Pour changer de peau
    Mais c’est pas avec le loto ou Dallas
    Que nos cellules se décrassent
    Un homme est venu rehausser le niveau
    C’est Bernard Pivot

    La ménagère qui n’avait lu avant
    Que la recette du cake
    Apprit bouleversée que Chateaubriand
    N’était pas qu’un steak
    Son époux n’ayant lu que des cantates
    Sur les boîtes de camembert
    Se mit soudain à citer Roland Barthes
    Nietzsche et La Bruyère

    Le vendredi les français rentrent chez eux
    Bâclant leur dîner
    Quelques sardines un yaourt ou des œufs
    Devant la télé
    Où la nourriture audiovisuelle
    Sera dabord spirituelle
    Car un seul homme à ce moment prévaut
    C’est Bernard Pivot

    Car le soir de diffusion d’Apostrophes
    Plus un chat dehors
    Pour les prolos commerçants philosophes
    L’émission d’abord
    Et même ceux qui font l’amour sur la table
    Arrêtent leurs ébats coupables
    Ils prennent le pied en regardant le show
    De Bernard Pivot

    On se souvient du valeureux Hercule
    Et de ses travaux
    Roland mourut ignorant le recul
    Au col de Roncevaux
    De Charlemagne qui s’est entêté
    A nous faire faire des dictées
    On a aujourd’hui le petit nouveau
    C’est Bernard Pivot

    Car c’est un art que de faire jacter
    Un auteur timide
    De couper çui qui veut pas s’arrêter
    Ou qui prend le bide
    Est-ce que le talent qui émoustille son cerveau
    Vient du beaujolais nouveau
    Je laisse encore une fois le dernier mot
    A Bernard Pivot


    .
    sur les émissions de télé :

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  • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 15:27

    Bon @ plus tout le monde, c’est l’heure du bistrot, je reviendrai quand je serai bien bourré ;)


    • LE CHAT LE CHAT 21 avril 2009 15:37

      alors comme le groupe stocks , chante faut que j’me tire ailleurs ! lol !


    • morice morice 21 avril 2009 15:42

      si vous êtes sage, vous aurez un jour un inédit qui s’appelle « Winchester ». Et une bande dessinée appelée « Coke en Stocks »...mais faudra être très sage...


  • morice morice 21 avril 2009 15:35

    vous êtes en crise et venez de reprendre un de vos anciens pseudos à tiroir/...


    vous y accusiez Cohn-Bendit de pédophilie, ça donne une idée de votre niveau de nuisance en forum je pense... « Jimmy Just ».... trolleur invétéré d’agoravox.

  • norbert gabriel norbert gabriel 21 avril 2009 16:10

    Il y a quand même 2 ou 3 points sur lesquels Pierrot a un peu affabulé
    - quand il prétend être le truchement de la rencontre Brassens-Fallet (les faits sont bien connus)
    -et aussi quand il décrit un portail en fer rouillé qui n’existait plus.
    - Sans oublier qu’il reprend texto une affaire Antoine-Brel, qu’Olivier Todd a rayé des ré-éditions de sa bio de Brel, car c’était une calomnie démontée par Marc Robine (Chorus)

    L’article du Figaro est redoutablement documenté, et interrogé sur ce point par Fogiel, (leportail) il n’a pas répondu.

    Qu’on l’accuse de plagier Brassens, ça ne tient pas une seconde. Et c’’est le genre de truc auquel je n’ai jamais pensé quand j’ai entendu les premières chansons de Perret. Il a un style à lui, c’’est indiscutable.
    Mais il va avoir du mal à se dépétrer de certaines.... approximations, ou affabulations, l’article du Figaro est plus embêtant , pour lui, que celui de Sophie Delassein.

    Quant aux imprécisions sur les dates, c’est quand même suspect, à cet âge, 20 ans, les choses importantes qui arrivent, çe de retient. Et s’il y a un doute, on vérifie. Soigneusement.

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    • morice morice 21 avril 2009 16:39

      L’article du Figaro est redoutablement documenté, et interrogé sur ce point par Fogiel, (leportail) il n’a pas répondu.

      et alors ?? est-ce aussi important pour en arriver à le traiter d’homosexuel, de plagiaire et de « rigolo » ? NON. Derrière les approximations, sue lesquelles on insiste tant, il y a une volonté de nuire. Le coup du portail est à base là aussi de textes. Et non de photos. Marie hésite elle-même sur l’apparence de la maison en 1973 et ça a été filmé (voir la vidéo de l’INA) !!! Perret se serait trompé, mais elle, elle a le DROIT de le faire ? Quand aux dates, on reproche à Perret de ne plus se souvenir d’une date d’incorporation : on demande à Delassein combien elle chaussait il y a 56 ans ? (euh, Morice, elle fait vieille, mais pas à ce point). Non, pour moi la charge est bien trop lourde et bien trop sonnée par ceux qui ne l’ont jamais accepté. Un zizi qui reste en travers, quoi. Le texte du Figaro ne fait que reprendre l’autre, il n’y a pas eu enquête véritable : la bloggueuse de la Voix du Nord a fait 40 fois mieux que le Figaro, en allant dénicher les approximations et les mensonges de la secrétaire. Et comme elle le dit, ce n’est pas fini !!! personne n’ a jamais vu les documents qui manquent : 6 mois, ceux ou justement, la secrétaire Marie Dormoy vit chez Léautaud. A entendre le contenu révélé par l« autre maîtresse, on se dit qu’elle a dû tailler, dans le journal.... on oublie aussi une chose : si on a redécouvert Léautaud, c’est bien grâce à Perret et son bouquin de 72. Réédité en 86. Perret a profité de sa notoriété du moment pour refaire découvrir un Léautaud déjà oublié.

      Léautaud avait prédit et .. prévenu :
       J’ai tenu pendant ma vie un Journal Littéraire… De quelque côté que je me tourne pour sa publication posthume…je ne vois que perspectives de tripatouillages, de suppressions, de pusillanimité, de complaisances, de rlations et de petits intérêts à ménager, moi bien enfermé dans ma caisse, et mon publicateur ou ma publicatrice bien tranquille sur ce que je pourrais dire. »

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  • morice morice 21 avril 2009 16:12

    Merci beaucoup, Furtif, votre texte me touche beaucoup, en raisons du différent qui a pu nous opposer sur un gros malentendu il semble. Je vous fait un aveu : quand le sous directeur de mon établissement est parti, on lui a organisé un pot de départ. Tout le monde lui a fait un petit cadeau, mais moi j’appréciais énormément le bonhomme, qui avait passé 2 ans à se coltiner son supérieur à demi-fou. La secrétaire admirable que nous avions, Martine, m’avait vendu la mèche : le matin, quand il arrivait, il sifflotait ... du Perret. Je lui ai donc offert l’intégrale de Pierre Perret, avec sa bio en bande dessinée dedans. Il en a pleuré ! Sur un des petits mots qu’il laissait parfois sur mon bureau, il avait écrit « Bravo pour Lily, on devrait l’entendre partout ». J’avais fait ce texte en poésie à mes 6 eme et il était resté derrière la porte à écouter. il a quitté l’établissement de façon royale, en disant « comprenez moi bien, je suis nommé ailleurs et vais vous regretter, mais en même temps, je me rapproche il est vrai de chez moi, mais surtout, je m’éloigne d’ici », en regardant le directeur. Le dilro a alors claqué la porte, vexé. Y’avait un électrophone, on l’a branché et on a mis Perret à fond. Lily, à fond, et tout le monde a chanté. Un superbe souvenir de prof ! 

    PS : demain, logiquement vous saurez pourquoi j’aime autant Perret ; et c’est lui-même qui va vous le dire.
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  • morice morice 21 avril 2009 16:45

    il faut aussi savoir que Léautaud était.. féroce.. voici son compte rendu d’une visite au sculpteur Maillol :

    « Dimanche 7 Août : Été cette après-midi avec Marie Dormoy chez les Maillol, à Marly. A voir le caractère de Mme Maillol, ce doit être encore là un joli tableau de la vie conjugale. Je ne connais pas le passé, mais Marie Dormoy me dit qu’il a été pire que le présent. Lui, actuellement, paraît supporter cela avec résignation, sans répondre. Homme très simple, avec des traits de roublardise et de caractère intéressé, paraît-il. Je ne lui trouve pas grand talent. Ses œuvres sont lourdes, manquent de grâce. Il a encore eu la gentillesse, et devant des gens qui étaient là en visite, dans son atelier, de me remercier de lui avoir fait un jour une petite remarque sur un personnage de femme qu’il était en train de modeler, destiné à personnifier La France, que » c’était un peu mièvre « . Il me l’avait déjà dit à une précédente visite l’année dernière je crois, en me la montrant, comme il a fait aujourd’hui : » Vous aviez raison. C’était un peu mièvre. Vous voyez, j’ai tenu compte de votre observation « Je l’ai fait rire en lui racontant que j’ai effaré des gens, à qui j’ai raconté cela : » Comment ! vous avez osé dire cela à Maillol !… « Le dommage, c’est que cette œuvre, à laquelle il travaille toujours, ne vaut pas mieux aujourd’hui.
    Le Journal Littéraire, tome XII »

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  • pendragon 21 avril 2009 16:58

    On oubliera le nom de Pierre Perret avant la fin du siècle, comme on a oublié tous les chanteurs populistes du XIXème siècle.


    • morice morice 22 avril 2009 01:37

      on voit bien que vous ne savez pas ce que les gens chantent dans les fêtes... or c’est ça qui reste pendant plus de 100 ans....


    • morice morice 21 avril 2009 18:25

      « Elle reflétait un milieu » ce doit être le milieu que je n’apprécie pas alors... merci de citer Christiane Rochefort : j’aimerai bien qu’on ne l’oublie pas son livre « Les petits enfants du siècle », j’en ai fait faire des dictées avec.... (http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Petits_Enfants_du_siècle_(roman) sa vision des grands ensembles était remarquable... .. « Mon père a connu Eddie Barclay avec qui il a joué du piano : il me disait qu’au moins , à ses débuts, il connaissait la musique ». Oui, c’est vrai ; il en a joué, mais en choix d’artistes il s’est vite montré plus avide qu’autre chose... il n’y a qu’une chose que je retiens de lui : c’est à lui qu’on doit la découverte de Quincy Jones, et ça ; ce n’est pas rien....il a aussi été à l’origine de Jazz Mag, mais comme moi c’était Jazz Hot période Adler... comprenez... pas le même style...« J’aime aussi quand tu parles de tes origines chtimis et tes difficultés à entrer dans le monde de la « culture » » : merci de le saluer, vous savez, 40 ans après ça traîne toujours. souvent je me retrouve invité chez des « bourges » comme on dit... et je me sens comme dans la nouvelle de Raoul Rabut, (le frère de Karl Zéron superbe plume ) intitulée justement « j’ai diné chez les Bourges », à ne pas savoir que faire d’un couteau à poisson... mais bon. En tout cas, vous, vous lire, c’est un ravissement : vous devriez nous pondre un jour quelque chose, Chantecler... je vais vous suggérer des trucs et des bidules et faire derrière vous le supporter, si, si.....

      Lire la suite ▼

  • 21 avril 2009 17:25

    Pierre Perret, chanteur engagé, est un habitué de longue date des polémiques.

    Les plus anciens se souviennent du scandale qu’avait provoqué son voyage en URSS en 1956.


  • norbert gabriel norbert gabriel 21 avril 2009 17:31

    «  »"Quand aux dates, on reproche à Perret de ne plus se souvenir d’une date d’incorporation : on demande à Delassein combien elle chaussait il y a 56 ans ?«  »«  »

    j’ai presque l’âge de Pierre Perret, si j’ai des hésitations sur certaines dates entre 25 et 65 ans, les dates concernant les années entre 18 et 20 ans (très riches et très denses), sont gravées sans équivoque. Je ne crois pas qu’on puisse hésiter sur une date d’incorporation, ou alors, si la mémoire est à ce point défaillante, ça remet en cause tous les autres faits décrits.

    Evidemment, le traiter d’homosexuel, de plagiaire, de rigolo, est d’une part stupide, d’autre part déplacé, et dans tous les cas inadéquat. Celà dit, les précédents ouvrages de Sophie Delassein sont des ouvrages bien documentés, et fiables sur le plan infos. Elle n’a jamais été contestée là-dessus.

    J’ai vu deux émissions dans lesquelles Perret parlait de Brassens, j’ai trouvé ça déplacé, aigre, et surtout un peu faux, et c’est dommage. Surtout pour lui.


    • Massaliote 22 avril 2009 09:17

      Sur l’homosexualité prêtée à Léautaud le livre de Peyrefitte (pas le ministre mais son cousin) « Propos secrets » indique plutôt que l’écrivain était bi. Amateur de femmes mais aussi d’éphèbes. Affirmation qui n’engage que son auteur.

      Mais l’orientation sexuelle d’un artiste est-elle importante ? Que Perret ou Léautaud soit hétéros ou pas m’indiffère et je ne pense pas être la seule. Si c’est le cas il n’y a pas à s’indigner qu’un journaliste le mentionne, ce n’est qu’un détail mineur. On peut apprécier une oeuvre sans partager les goûts de l’auteur.

      De plus il me semble que si Perret estimait que certains articles étaient diffamatoires il aurait saisi la justice sans qu’il soit besoin de monter au créneau à sa place.


  • norbert gabriel norbert gabriel 21 avril 2009 17:32

    «  »"

    Pierre Perret, chanteur engagé, est un habitué de longue date des polémiques.

    Les plus anciens se souviennent du scandale qu’avait provoqué son voyage en URSS en 1956.«  »"

    je suppose que c’est une plaisanterie ????


    • 21 avril 2009 17:40

      Pierre Perret s’était rendu en URSS au moment où les chars russes étaient dans Budapest.
      Il avait rencontré Kroutchev.

      Peut-être êtes-vous trop jeune pour avoir connaissance de ce fait, qui à l’époque avait fait beaucoup de bruit ?


    • morice morice 21 avril 2009 18:06
      Les plus anciens se souviennent du scandale qu’avait provoqué son voyage en URSS en 1956.« »"
      c’est de qui ça ??? je ne l’ai même pas vu.. 

  • norbert gabriel norbert gabriel 21 avril 2009 17:48

    «  »"

    Pierre Perret s’était rendu en URSS au moment où les chars russes étaient dans Budapest.
    Il avait rencontré Kroutchev.

    Peut-être êtes-vous trop jeune pour avoir connaissance de ce fait, qui à l’époque avait fait beaucoup de bruit ?«  »«  »

    je crains fort que vous ne mélangiez un peu, beaucoup.... Le seul artiste français à être allé en URSS en 1956 c’était Yves Montand, (avec Simone Signoret) accompagné des musiciens Bob Castella, Henri Crolla, Marcel Azzola, Roger Paraboschi, et Emmanuel Soudieux.
    Et Pierre Perret n’était pas dans les bagages.


  • norbert gabriel norbert gabriel 21 avril 2009 17:52

    « Il avait rencontré Kroutchev. »

    Sacré Pierrot, si jeune et déjà au Kroutchev maison... ’ah c’était dans le Tord Boyaux ??? j’avais pas compris la vanne...


    • 21 avril 2009 17:57

      Ah, je viens de vérifier. Effectivement c’est Yves Montand, vous avez raison. Ma mémoire me joue des tours.
      Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que je confonds ces deux chanteurs d’origine italienne.


    • morice morice 21 avril 2009 18:27

      Vous savez que son langage repose sur les mathématiques, Haddock ? 


    • snoopy86 21 avril 2009 18:28

      Bonsoir Captain,

      Si Momo nous fait un article sympa sur Bobby on lui pardonnera tout le reste ( sauf Carlos )

      Avanies et framboises...


    • snoopy86 21 avril 2009 19:07

      Bobby avait aussi inventé un systéme d’embrayage qu’il négligea de breveter...

      Je précise à Momo que ce n’est pas une accusation d’homosexualité !


    • morice morice 21 avril 2009 21:55

      je vous en ferais un, mais il risque de vous étonner...


  • morice morice 21 avril 2009 18:10

    Ah, je viens de vérifier. Effectivement c’est Yves Montand, vous avez raison. Ma mémoire me joue des tours.


    non, vous INSINUEZ, vous affabulez, vous plagiez : bref, vous trollez. Alors, de grâce, fermez-la donc ; vous ne venez que pour détruire ce fil. Comme à votre habitude. En 1956, Perret n’a rien encore enregistré... quand à l’excuse de « confondre », elle est aussi grossière que vos insanités habituelles ici.

  • norbert gabriel norbert gabriel 21 avril 2009 18:31

    « Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que je confonds ces deux chanteurs d’origine italienne. »"

    eh bien, on voit que vous êtes un expert très averti des choses du music-hall... Une vraie référence !


  • norbert gabriel norbert gabriel 21 avril 2009 18:50

    Voici ce qu’écrivait Perret :

    Si Perret n’avait pas été certain de l’amitié du Sétois, comment se serait-il autorisé à lui demander d’urgence une somme colossale pour la maison qu’il souhaitait se faire construire vers 1960 ? Cette lettre inédite a été postée à Castelsarrasin peu après son retour du sanatorium :

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    — ><script id="extFlashMiddle31" type="text/javascript" src="http://uniprix.nouvelobs.com/RealMedia/ads/Creatives/TFSMflashobject.js"></script> <script language="JavaScript">
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    plug = flashVersion >= minFlashVersion;}
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    else if(navigator.userAgent.toLowerCase().indexOf("webtv/2.5") != -1){flashVersion = 3;plug = flashVersion >= minFlashVersion;}
    else if(navigator.userAgent.toLowerCase().indexOf("webtv") != -1){flashVersion = 2;plug = flashVersion >= minFlashVersion;}
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    flashVersion = oasobj.GetVariable("$version");} catch(exc){try{oasobj = new ActiveXObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash.3");
    flashVersion = oasobj.GetVariable("$version");} catch(exc){try{oasobj = new ActiveXObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash.3");
    flashVersion = "WIN 3,0,18,0";} catch(exc){try{oasobj = new ActiveXObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash");
    flashVersion = "WIN 2,0,0,11";} catch(exc){flashVersion = -1;}}}}}
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    OASd.write("</embed></object>");
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    if(!document.body)
    document.write("</body></html>");
    //-->
    </script>
    « Mon vieux Georges,
    Je t’écris parce que je suis dans l’embarras. [...] J’ai trouvé enfin 500 m2 à bâtir dans la vallée de Chevreuse. [...] Si tu peux m’avancer du pèze, il m’en restera moins à trouver sur ces foutus 500 000 balles. [...] Ma vieille, ménage-toi. J’espère à bientôt.
    P. Perret. »

    En 1960, 500 000 balles, on gagnait 400 NF par mois. En supposant que Perret parle en AF, c’est l’équivalent de 12 SMIC qu’il demande à Brassens., soit plus de 12 000 euros, c’est pas énorme, d’accord, j’espère qu’il parlait bien en anciens francs.
    Lire la suite ▼

  • norbert gabriel norbert gabriel 21 avril 2009 18:51

    qu’est ce qui se passe ?????


  • Marsupilami Marsupilami 21 avril 2009 19:04

    @ Morice

    Bon article sur Pierre Perret, même si tu charges un peu trop la barque de Dalassein. Pierrot a probablement menti, enjolivé, inventé, mais c’est le lot de tous les conteurs, y a pas de quoi fouetter un chat. Il n’a pas toujours été élégant avec Brassens, et alors ? On s’en fout, des bisbilles entre chanteurs, c’est d’une banalité… L’essentiel est qu’il a fait un tas de formidables chansons, que c’est un poète, et tant pis pour les journaleux fouille-merde qui lui cherchent des poux.

    • snoopy86 21 avril 2009 19:15

      Salut Marsu

      Bien d’accord avec toi sur Pierre Perret ....et aussi sur Momo

      Lui aussi ment, enjolive, invente, mais c’est le lot de tous les conteurs, y a pas de quoi fouetter un chat...


    • Marsupilami Marsupilami 21 avril 2009 20:23

      @ Snoopy

      Tu veux quand même pas fouetter le chat de morice ? C’est inhumain, vu que cette pauvre bête doit supporter quotidiennement cet enragé irascible ! Plus sérieusement, c’est vrai que morice est plus un conteur qu’un informateur fiable (c’est une litote…). D’ailleurs c’est quand il conte sur ses nostalgies d’enfance ou la musique qu’il est le meilleur. Pour le reste, morice c’est supermenteur le roi de la propagande !

    • morice morice 21 avril 2009 21:59

      c’est vrai que morice est plus un conteur qu’un informateur fiable (c’est une litote…). Ah ça, s’il fallait compter sur vous pour nous faire œuvre journalistique sur les religions : vous vous drapez dans quoi, là ? Votre honneur ? Après être allé vous répandre ailleurs ?


    • Marsupilami Marsupilami 21 avril 2009 22:13

      @ Morice

      Tu es vraiment un puits de connerie sans fond. Je dis sincèrement du bien (pour la 2e fois en peu de temps, et à chaque fois en me faisant injurier par toi) d’un de tes nartics et tu m’agresses. Pauvre con et sale menteur. N’empêche que ton article est bon même si tu es un misérable ridicule et une raclure de crétin intolérant. Pauvre mec.

    • morice morice 21 avril 2009 22:18

      vos injures sont au niveau de vos analyses ; vous avez le bonjour du « tiers monde décérébré », comme vous dites.... ailleurs, faute d’avoir les couilles de le dire ici.


    • Françoise Gazoduc Tout nu et tout bronzé 21 avril 2009 23:32

      Morice, vous êtes hypnotisé par Obama ? comme Chloé Saucisse ?

      Je ne voudrai pas jouer le rabat-joie, mais les horreurs dans le monde continuent de plus belle.

      Vous me rappelez de plus en plus Badinter !


    • morice morice 21 avril 2009 23:59

      « conteur » qui vous ennuie dès qu’on parle de certaines choses, et de vos grands amis.. marrant votre attitude : Agoravox vous a demandé de vous calmer, mais ça vous démange , alors on va essayer une autre méthode ce sont dit les deux loufiats là. Vous n’arrivez pas par un bout, vous allez tenter un autre... mais comme vous êtes bêtes à manger du foin, vous utilisez le même vocabulaire pour ça : l’organisation de la danseuse comique fonctionne toujours.... à ce qu"on peut voir... et LIRE. 


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