jeudi 3 mars 2016 - par Desmaretz Gérard

Républicanisme - Laïcité - Franc-Maçonnerie, la nouvelle « Sainte-Trinité »...

Le 16 juin 1877, Adolphe Thiers est acclamé comme le libérateur du « territoire », les républicains ont obtenu la majorité à l'Assemblée. Le 15 août, Léon Gambetta déclare : « Quand la France aura fait entendre sa voix souveraine, croyez-le bien Messieurs, il faudra se soumettre ou se démettre. » Lors du renouvellement des sénateurs en janvier 1879, le parti Républicain remportait la majorité au Sénat.

 

La République aime les symboles, la Constitution de 1848 consacre la devise : « Liberté - Égalité - Fraternité », le 14 juillet 1880 elle figure aux frontispices des édifices publics ornés du drapeau tricolore qui réunit les couleurs rouge et bleue de la ville de Paris et le blanc de la royauté, décrété drapeau national par la Convention le 15 février 1794. Marianne coiffée du bonnet phrygien que portaient les esclaves Romains ou Grecs affranchis, fille née des « lumières » et dont aucune Mairie n'a l'obligation de présentation, allait en pousser plus d'un vers une forme d'« idolâtrie ». La III° République est proclamée le 4 septembre 1870, la Marseillaise écrite dans la nuit du 25/26 avril 1792 par Rouget de Lisle est déclarée chant national le 14 juillet 1795 avant d'être interdite sous l'Empire et la Restauration. Il faudra attendre l'avènement de la III° République pour que ce : « Chant de guerre des Armées aux frontières » soit déclaré hymne national en 1879.

Pour entraîner l'adhésion vers un sentiment national partagé, il faut un dénominateur commun, celui-ci va reposer sur l'histoire de France. Dès 1838, son contenu est décidé par le Ministère et applicable à tout le pays, cela allait nous donner « Nos ancêtres les Gaulois », perle fine censée être à la base de l'appartenance à une culture commune. La défaite contre la Prusse en 1870 va ouvrir la voie à un véritable roman national... La charge héroïque de nos Cuirassiers du 6 août 1870 à Reichshoffen fut une véritable « boucherie », rien à voir avec le tableau d'Alphonse de Neuville. Les exemples sont légion et l'anniversaire de la bataille de Verdun est venu nous rappeler la terrible saignée de la Première Guerre mondiale. « C'est une succession d'épisodes tragiques, où toujours la France en perdition ne doit son salut qu'au sacrifice de quelqu'un, voire de tous » (Jean Plumyèene). Mêmes les rédacteurs des manuels d'histoire en perdent le fil, chaque nouvelle édition, chaque éditeur y va de son couplet et présente le même événement sous une approche parfois fort différente comme si la réalité était multiple et dépendait de l'observateur et du lieu d'observation.

Autre grand vecteur identitaire, la langue, à la fin du XVIII° siècle, seulement 10 % de la population (28 millions) parle français couramment, les habitants ont l'habitude de s'exprimer dans leur langue régionale. Les décrets sont traduits dans toutes les langues régionales jusqu'à ce que le Comité de salut public affirme : « dans une république une et indivisible, la langue doit être une ». Les fonctionnaires qui oseront s'exprimer dans une langue régionale seront renvoyés et condamnés à une peine d'emprisonnement.

La révolution va voir apparaitre des mots appartenant au lexique de la politique afin de mieux désigner les nouveaux concepts. La loi Guizot de 1833 fixe le français qui sera enseigné dans les écoles par les maîtres formés par l'État. « Dans la démocratie, laisser des citoyens ignorants de la langue, c'est déjà trahir la patrie » (Bertrand Barère). Entre 1880 et 1914, une répression sévère s'abat sur nos langues régionales. Si Dans l'enfer des tranchées des poilus maitrisent imparfaitement le français, cela ne les empêche pas d'accomplir leur devoir avec bravoure. La lutte contre le breton par exemple, sera plus une lutte contre le pouvoir des religieux que contre la langue.

L'instauration de l'école publique et laïque et gratuite (1880) fit partie d'une stratégie républicaine pour soustraire les enfants, adultes en devenir, à l'emprise de la bourgeoisie et à celle de l'église. Les Républicains accusaient les Catholiques d'être de mauvais citoyens restés fidèles au pape. Léon XIII demandera en 1892 aux fidèles de se rallier à la République, rien n'y verra, l'antagonisme perdure toujours. Aussi surprenant que cela puisse nous paraître, pas une heure de cours est consacrée à l'enseignement de l'histoire de la langue française..., c'est tout juste si l'écolier actuel connait l'ordonnance de Villers-Cotterêts qui stipule que tous les actes officiels devront désormais être rédigés en « françoys » signée par François I° (1539) marquant le recul du latin.

Le début de la condition ouvrière allait s'enclencher avec cette population sachant à peine lire les notes de services et être à la base de l'apparition de la naissance de la main d'œuvre d'ouvriers spécialisés et professionnels. Les patoisants être traités avec mépris en raison de leur incapacité à véhiculer les idées abstraites nouvelles et techniques, pour cause, une langue régionale est avant tout utilitariste et affective, chercher à traduire le sens de certains mots est une gageure. Le film les « Chtis » par exemple, ne signifie pas petit, ce terme est apparu en 1914 pour désigner les gars de « ch'nord » et cela reste valable pour le breton, l'alsacien, le normand, le picard, etc, bref, pour toutes nos langues d'Oil et d'Oc à la base de nos cultures régionales. Le Français a deux identités géographiques, son appartenance à sa région d'origine ou petite patrie, à la France (l'autre pays en breton) à ne pas confondre avec l'État. Je peux me reconnaitre comme Français et non me reconnaitre dans le système de gouvernance ou politique.

Le choix des enseignants suivi de la refonte de l'enseignement du primaire : la gratuité et la scolarité obligatoire de 6 à 13 ans allaient revenir aux pouvoirs publics et l'enseignement dans les écoles publiques relever exclusivement des enseignants laïcs. L'enseignement assuré par des religieux est cependant maintenu, l'État ne disposant pas suffisamment d'effectifs laïcs, mais l'éducation religieuse va être remplacée par l'instruction morale et civique dans les écoles privées. Les enseignants, « hussards » de la République, allaient combattre les autorités ecclésiastiques et participer à la politisation de la vie politique française. La République ne reconnaît aucun culte, l'Église relève exclusivement du Pape. La loi du 3 juillet 1905, un « souhait » des frères francs-maçons, marque définitivement la séparation de l'Église et de l'État. Cette séparation allait permettre la construction de lieux de cultes, la création de nouvelles paroisses et le maintien de l'enseignement privé avec un personnel sécularisé. Cette loi qui pose le fondement juridique de la laïcité sera confirmée par celles de 1946 et de 1958.

Madame la ministre Najat Vallaud-Belkacem a prévu de participer au colloque sur la jeunesse organisé par la Grande Loge de France qui se tiendra au Palais Brongnard (Paris) le 2 avril, réunion placée « sous le haut patronage » du ministère de l’Éducation nationale. Le cordon ombilical n'a jamais été rompu, la République doit les lois sur la scolarité au frère Franc-Maçon Jules Ferry, et les Républicains doivent leurs victoires et avancées, en partie, également aux frères francs-maçons dont la première loge française fut créée en 1726 dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés à Paris. En 1771, la Grande Loge de France comptait plus de deux cents loges (40 à Paris, 160 en province, 11 dans les colonies). L'Ordre maçonnique n'est pas un monolithe, on y rencontre aussi bien : des idéologues, des républicains, des monarchistes, des militaires, quelques ecclésiastiques et maintenant des musulmans.

En 1848, le Grand Orient de France adoptait la devise de la République : Liberté - Égalité - Fraternité et la troisième République se révéler être l'âge d'or de la franc-maçonnerie française. Il n'existe alors aucun parti vraiment structuré, la franc-maçonnerie va contribuer à la construction de la IIIe République et se révéler un adversaire acharné de la religion. Les libres penseurs vont croiser et « communier » de temps à autre avec les frères francs-maçons dans les combats pour la laïcité, le syndicalisme et la démocratie socialisante, dont ils sont une parentèle historique, notamment à partir du siècle des Lumières et de la Révolution.

Les travaux (planches) accomplis au sein des loges ont donné lieu à des lois votées avec l'appui des frères députés ou sénateurs. Au début du XXe siècle, les francs-maçons vont faire campagne en faveur des candidats de gauche, ce qui aboutira en 1902 au Bloc des gauches. La loi de 1901 portant sur les associations allait permettre l'émergence de nouveaux partis, notamment celui de la SFIO. Les réflexions maçonniques vont désormais être relayées par quelques partis politiques. Un scandale va éclabousser la Franc-Maçonnerie. L'affaire des fiches éclate en pleine affaire Dreyfus. Le ministre de la guerre a fait établir les fichiers « Carthage » et « Corinthe », le premier recense les officiers classés douteux et le second, les officiers réputés sûrs. En 1901, les loges du GOF ont été invitées à faire connaître leurs remarques à propos des officiers. Vingt mille fiches vont se retrouver sur le bureau du ministre ! En octobre 1904, le député Guyot révèle l'existence de ces fichiers qui a été dévoilée par un frère qui cherchait à les monnayer. C'est le scandale.

Au sortir de la Première Guerre mondiale, le Grand Orient diffuse le Manifeste aux républicains, un opuscule dans lequel sont recensés les sujets d'insatisfaction socio-économiques et les manquements à la laïcité dénoncés. Au Congrès de Tours en 1920, une large majorité de francs-maçons se range au côté de la SFIO, tandis qu'une infime minorité se rallie aux idées de la Troisième internationale qui deviendra l'embryon du futur Parti communiste... Cela va avoir pour conséquence la disparition ouvrière des loges. La maçonnerie est interdite au cœur de l'été 1940, rendue responsable des malheurs qui frappent la France. Au mois d'août de l'année suivante, le Journal Officiel publie les noms des dignitaires et gradés, trois mille fonctionnaires sont renvoyés. L'ordonnance du 31 mars 45 rétablira la légalité républicaine et viendra confirmer l'annulation de la loi de 13 août 1940.

Le premier gouvernement socialiste de Pierre Mauroy de 1981 (président de l'Internationale socialiste, vice-président Lionel Jospin, membre du praesidium Ségolène Royal) comptait une douzaine de francs-maçons à laquelle il faut ajouter les nombreux conseillers auprès des cabinets ministériels et proches du président François Mitterrand. Ce gouvernement a connu des revers avec la loi Savary portant sur la réforme de l'enseignement, l'accord dit Jack Lang du nom du ministre de la Culture, portant sur le déblocage de fonds pour la création de la cathédrale d'Évry, les scandales, Urba, Carrefour du développement (1986) impliquant des socialistes-maçons au travers de « fraternelles » affinitaires ou corporatistes. En 1995, tous les candidats à la présidentielle furent reçus par les dignitaires du Grand Orient de France, mais la Franc-Maçonnerie à laquelle on doit, entre autre, les lois sur l'abolition de l'esclavage (XIXe siècle), la contraception (1967), l'avortement (1974) etc., semble en perte d'audience alors que de grands projets sociétaux et humanistes restent à accomplir, notamment entre les religions et la République, l'immigration, l'antisémitisme, l'insécurité, les prisons, la citoyenneté européenne, la formation des Imams.

Les points de friction ne manquent pas : port du foulard dans les établissements recevant du public, à l'université, à l'école, et ce, en dépit de la loi de 2004 interdisant les signes religieux ostentatoires - financements des mosquées - cession de terrains à vil prix... Le Grand Orient de France (52 000 frères au travers de 1 200 loges) souhaite que la loi de 2004 soit étendue dans son application aux établissements de la petite enfance et aux personnes employées dans le service public. Pour Manuel Valls : « Le voile qui interdit aux femmes d'être ce qu'elles sont restera pour moi et doit rester pour la République un combat essentiel ».

Le GODF, traditionnellement socialiste dérange, aux mois de mars, mai, et décembre 2013 des manifestants se sont réunis sous les fenêtres des locaux occupés par le Grand Orient pour dénoncer une « dictature maçonnique », des inscriptions ont défiguré la façade de certains temples maçonniques, des « arbres de la laïcité » ont été arrachés dans plusieurs villes. Les Frères, toutes obédiences confondues (environ 150 000 membres), font bloc, du moins ce qu'il en reste. Ils se sont réunis en janvier 2014 pour harmoniser leur position afin d'enrayer leur morcellement et mettre un terme à leurs divisions afin de sanctuariser la laïcité. Plusieurs obédiences ont constitué en 2013 le « think tank » (groupe de réflexion) franc-maçonnerie & société accessible également aux membres de la société civile chargés de fournir de nouveaux sujets de réflexion et d'établir des propositions aux décideurs. En attendant, les frères nous concoctent un : « guide pratique du vivre ensemble »... 

JPEG Une question demeure, est-ce la progression de la franc-maçonnerie qui a été un frein à la religion ou est-ce l'atténuation du fait religieux qui a profité à la laïcité ? A l'heure où certains invoquent un islam de France apaisé (sic), nous ferions bien d'étendre nos réflexions à une République renforcée entre ses citoyens laïcs et à ceux d'obédiences chrétiennes. S'il doit y avoir un tiers exclu à défaut d'union, pourquoi des communautés de longue date et fondatrice de notre État-Nation devraient-elles en être les premières victimes ? Les « bouffeurs » de curés que furent les francs-maçons vont-ils se muer en islamophages après la perte de deux de leurs frères lors de l'attentat contre Charlie et parvenir à rétablir la laïcité « religion » de l'État Républicain et à l'ériger en dogme ? Ils peuvent pour cela compter sur les frères de l'Amicale Fraternelle parlementaire qui compte quelques centaines de membres parmi le Sénat et l'Assemblée Nationale pour renforcer leur position, mais des loges sont gangrénées et cela commence à inquiéter les frères qui redoutent une infiltration qui n'ose pas dire son nom de peur de froisser la bien-pensance. Petite phrase du jour : « Un roi sans divertissement est un homme plein de misères. » (Pascal)



19 réactions


  • Anthrax 3 mars 2016 11:01

    La FM du 21 eme siècle est un rassemblement de bourgeois, par les bourgeois et pour les bourgeois qui trouvent plus sexy de se déclarer d’une loge plut^tot que du Rotary (encore que l’un n’empêche pas l’autre). Si les loges recrutent - ce qu’elles n’avaient pas besoin de faire jusque dans les années 1980 et qui est une hérésie pour les FM traditionnalistes - c’est parce qu’elles ne se renouvellent plus. Pourquoi ? parce que les FM d’aujourd’hui sont mis dans le même sac que les politiques : petites ou grosses affaires louchtingues entre initiés, élitisme pratiquant, inadaptation à la société d’aujourd’hui (obédiences sexistes), conflits d’intérêts etc. 

    Tiens, puisque l’on déplore le décès d’Umberto Eco, relisez le Nom de la Rose et remplacez les Bénédictins par des frangins et vous aurez une image de ce qui se passe aujourd’hui autour des piliers...

  • cathy cathy 3 mars 2016 11:41

    Ce n’est pas par hasard que la secte s’appelle Grand Orient. Elle vient d’Orient. (les turco-mongols).

    Le sang impur est le sang des goys.

    • Anthrax 3 mars 2016 13:38

      @cathy

      Tu devrais peut-être te renseigner ailleurs que dans les blagues Carambar.

    • cathy cathy 3 mars 2016 14:04

      @Anthrax
      Les bolcheviques ont pris le pouvoir en Russie en 1917 (65 millions de morts) maintenant c’est au tour de l’Europe et de l’Amérique. 


  • Vince from Mars 3 mars 2016 18:40

    Visiblement nous n’avons affaire qu’à des grands spécialistes de la FM comme commentateurs.
    Du coup, nous avons des remarques à la hauteur de l’article.
    Que nous dit il d’ailleurs ?
    que la FM vous manipule, qu’elle dévoie la démocratie,
    Et une petite affiche d’un film réalisé en 1943 - Forces Occultes - , donc sous le régime de Vichy, et hop le tour est joué.
    Pour une fois, ce monsieur Desmaretz n’a pas l’air très bien renseigné (en tout cas, j’ai bien apprécié le mode réthorique avec précisions en dates, lieux et faits pour des tas de choses et dès qu’il s’agissait de la FM c’est du pur subjectif objectivé)..

    J’espère au moins Mr Desmaretz que cela vous fait du bien, pour le reste, le « biais de confirmation » s’en charge.

    « Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale »

    Mr V.


  • Le421... Refuznik !! Le421 3 mars 2016 19:10

    Bah !!
    De toute façon, on va bientôt revenir à « Travail, Famille, Patrie » !!
    Marion Maréchal, nous voilà !!  smiley


  • jefraviatod (---.---.194.7) 4 mars 2016 00:10

    Les catholiques ont Marie et les républicains ont Marianne c’est presque le même prénom mais qui le remarque.


  • christophe nicolas christophe nicolas 4 mars 2016 01:01
    Vous savez que les archives de l’ex URSS on été ouvertes en 1991 et on y a trouvé des choses très intéressantes sur les relations entre la franc-maçonnerie, le communisme, la finance internationale, l’éducation et .... l’esclavage :


    Documenté et instructif, n’est-ce pas ?

  • lloreen 4 mars 2016 08:11

    Un ex-policier dénonce le contrôle de la franc-maçonnerie dans la police.
    Veuillez sauvegarder ces vidéos car elles ont été par trois fois censurée, preuve évidente qu’ elles dérangent, ce qui est bien sûr un excellent signe que le message véhiculé est véridique.
    Nous pouvons faire confiance en l’ excellent travail des censeurs de France.

    http://www.dailymotion.com/video/x3td202_laurent-cuenca-denonce-l-infiltration-de-la-franc-maconnerie-dans-la-police-francaise-1-2_news

    http://www.dailymotion.com/video/x3td203_laurent-cuenca-denonce-l-infiltration-de-la-franc-maconnerie-dans-la-police-francaise-2-2_news

    Les présidents de la république française et les hauts cadres politiciens y sont (presque) tous affiliés.

    A ce niveau de l’ état c ’ est le crime qui fait fonction de politique.
    Sarkozy a menacé des présidents africains de mort...
    http://fawkes-news.blogspot.fr/2016/03/sarkozy-menace-de-mort-les-presidents.html


  • lloreen 4 mars 2016 08:14

    pardon : censurées


  • roby roby 4 mars 2016 09:38

    La FM est infiltrée depuis des années par les maffias internationales


  • smilodon smilodon 4 mars 2016 15:34

    La connerie de nos gouvernants aura été de permettre à des mecs sans boulot d’avoir accés à « internet » !.... Désolé, mais « l’info » n’est plus à la « téloche » !... C’est terminé !... N’importe quel pauvre con a accès à « internet » !... Et ne s’en prive pas !.. La vraie « info », c’est plus la téloche !..... Vous le saviez ??..... Adishatz.


  • soi même 4 mars 2016 17:12

    Imbuvable texte d’un gaucho bobo fondamentaliste légaliste régionaliste qui joue le rôle de Troll inconscient de l’UE, en même temps si il n’est pas écolo défroquer, cela serait très étonnant qu’il ne le soit pas ... !

    Quand à la critique des Franc cons, c’est tellement devenue une habitude, qu’il est pas étonnant du coup de voir les pires gauchos bobos devenir les supplétifs de cette exécrable extrême droite qui détestes tant par ailleurs.... !


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