jeudi 29 décembre 2011 - par Gérard Luçon

Sarkozy se serait-il fait « génocider » sa candidature ?

Ce texte est dans la suite de mon premier article, intitulé „Ton génocide est plus grave que le mien”, il se veut tenter d’ouvrir une autre lecture de ce qui s’est passé, une lecture beaucoup plus de type politique politicienne en interne et géostratégique en externe.

D’abord ce nouveau titre ne veut pas être choquant en ce qui concerne le mot „génocide”, mais à force de l’utiliser à tort et a travers, on a enfin réussi à le banaliser. Il n’est désormais plus réservé à la Shoah, au massacre des juifs sous le régime nazi, il s’applique à toute race, ethnie, groupe social dont les descendants ont le droit de vote (pour les tsiganes, les biafrais et les tutsies,on verra plus tard). Pour ne pas me reprocher d’avoir écrit „on a réussi enfin à le banaliser”, je tiens à expliquer qu’un pays, Israel, qui garde sous son contrôle un gigantesque camp de concentration, Gaza, méritait de voir son passé banalisé. Parfois se comporter en criminel de guerre coûte plus que cela ne rapporte, malgré la puissance de sa propre diaspora. Et pour que le lecteur ne se trompe pas sur mon message, je suis très fier d’avoir en ma possession un document qui prouve que, durant la 2ème guerre mondiale, mes grands-parents cachaient des israélites, et qu’il y ait des juifs dans ma famille.

Sortant de ces explications préliminaires, je vais tenter d’aborder ce „coup d’état du 21 décembre 2011” sous deux autres aspects :

1/-en interne :

-la loi est votée par une poignée de députés de droite (UMP) comme de gauche (PS) : bilan électoral = 0, même s'il y a 500,000 français d'origine arménienne. Si les musulmans réagissent négativement ils ne voteront ni pour l’un, ni pour l’autre, ils s’abstiendront ou pire voteront pour ceux qui s’y sont opposés (Bayrou, les Verts, le Front de Gauche). Leur nombre est beaucoup plus important que celui des arméniens, dont le vote se partagera entre PS et UMP ... Bref un résultat du style : Un partout, la balle au centre !

-en l'observant et en l'écoutant il semble que le Hutin, comme Juppé, ait été pris de court, qu’il soit un tantinet furieux, mais comme patron effectif de l'UMP il ne pouvait pas s'en dissocier comme l’a fait Juppé. Bref il assume la charge d’une gigantesque connerie, ou d’un vrai coup de Trafalgar de la part de certains de ses „partisans”. Il pensait sans doute que ses députés UMP étaient moins cons (ou pervers) que ce qu'ils viennent de démontrer et ne voteraient pas la Loi après en avoir parlé abondamment „pour les besoins de la cause”.

-qui profite réellement de cette tension turco-française, et quel est l’apport de l’Arménie en terme de partenariat de substitution ? En bagarre avec l’Azerbaidjian, coincée loin de l’Europe entre des mondes qui se disloquent mais peuvent encore mordre (rappelons nous la raclée subie par la Géorgie quand elle a attaqué l’armée russe le jour de l’ouverture des JO de Beijing (08/08/2008), l’Arménie est un partenariat de second rang au plan stratégique, n’en déplaise à Aznavour, ce chanteur qui paye ses impôts dans quel pays, déjà ????

-parmi les présidentiables, Bayrou s'est élevé contre cette loi sans équivoque, Hollande n’a rien dit faute d’idées comme d’habitude, Marine le Pen compte les points. Manifestement Bayrou fait un retour „triomphant” au milieu de ces deux petits candidats que sont le Hutin et Flanby, il est le seul des trois à avoir (et à montrer) une stature gaullienne !

-donc il reste à savoir qui sont ces 50 „misérables” qui ont saboté la position de la France et celle du Hutin au moyen-Orient et en Afrique du nord, sachant que parmi eux l’initiatrice de la Loi, déjà connue pour son attrait pour la vérification des phymosis, est membre du groupe d’amitié France-Israel, que dans la salle se trouvaient si je ne me trompe et pour la majorité les députés „arméniens”, dont Devedjian, ancien militant d’extrême-droite, ainsi que Christian Jacob, ministre „coppéispe”, et bien entendu J.F. Coppé, celui qui fait tout pour savonner la planche de Sarkozi, faire passer la gauche en 2012 et revenir en sauveur en 2017. D’ailleurs Copé n’est-il pas à l’origine de la proposition de demander aux militants de l’UMP qu’ils écrivent à Sarkozi pour que celui-ci se représente, comme coup vicieux c’est quelque chose !

Creusons et enlevons les couches supérieures de lisier pour aborder ce sujet sous l’aspect géostratégique :

2/-en externe :

-le poit d’achoppement d’abord, les USA avec les anglais, les italiens, les australiens et quelques autres, mais sans la France, envahissent l'Irak. Nous savons tous pourquoi : Saddam Hussein et ses missiles (à portée aléatoire) menaçaient la paranoia d’Israel et George W. devait tenir la promesse faite par Papa George H. à Israel d'éliminer Saddam pour empêcher Israel d'intervenir directement lors de la 1ère guerre du Golfe en 91 et en cascade semer la merde habituelle.

-des pacifistes affrêtent un bateau de vivres et médicaments en Turquie et partent vers Gaza. En route des pirates au drapeau bleu et blanc attaquent le bateau turc et tuent neuf turcs à l'occasion (pour le fun ?). Les Turcs demandent des excuses, les pirates refusent. Les Turcs annulent leurs bonnes relations avec l'état des pirates.

-une série de révolutions se déclenche simultanément dans les pays arabes, en particulier méditerranéens, et personne (américains, anglais, français) ne voit le coup venir.

-la Libye offre une occasion unique à la France, via BHL, un philosophe guerrier copain des pirates, de redorer son blason et prendre le devant de la scène internationale au Moyen-Orient, avec les félicitations et l’adoubement d'Obama.

-dans la foulée, chose imprévue à Washington et Tel-Aviv, la France se trouve un frère au Qatar, qui va jusqu'à sauver une gloire nationale en détresse, le PSG, et suggère aux nouveaux maitres Tunisiens, Egyptiens et Libyens de se monter une démocratie à la turque. Ce même Qatar dont les ressortissants sont dispensés en France de l’Impôt sur la fortune et les plus-values (si je me souviens bien).

Probabilité et risque : une France copine des Turcs, de tous les Emirats du Golfe et du monde musulman.

D'un seul coup un certain nombre de personnes, convaincues jusqu’àlors d'être les maîtres du monde, se sentent couillonnées, parmi elles (entre autres ?) :

-Israel ;

-l'extrême droite protestante américaine, très riche, déjà pro-Israel et anti-française, cette droite qui avec le lobby juif américain contrôle Wall Street et le Gouvernement.

Pour les protestants et les prêcheurs on peut penser à Foxnews, en particulier son principal commentateur Bill O'Riley. Se dressèrent également contre la France les nombreuses églises chrétiennes ultra conservatrices, très riches et totalement dévouées à la cause d'Israel dont les Pasteurs ont une influence considérable sur la chambre basse US (Billy Graham par exemple qui a „sévi” avec plusiers chefs d’Etat des USA). Ne pas oublier que le premier chef de cabinet d'Obama, Rahm Emanuel, est issu d'une famille inconditionnellement pro-Israel, son Père s'est battu au sein de l'Irgun et lui-même a vécu quelque temps en Israel. Il faut aussi ne pas oublier que ce sont 5 femmes de l’Illinois, juives, démocrates et richissimes dont Cristie la fille de Hefner (Play Boy) qui ont „fait” le couple Obama et construit leur carrière et son image (info The New Yorker)

-le lobby juif français qui opére aussi bien à partir du PS et de l'UMP et qui sont tous des amis d'Israel ;

-quelques pétroliers américains qui voudraient bien conserver leur main-mise (monopole) sur l'or noir.

Et surtout, comme l'a d'ailleurs suggéré ce triste personnage qu’est BHL, ces groupes de pression et d’influence ont senti le coup de maître du Hutin pour s'installer comme le „régent” du royaume méditerranéo-arabique. Et même si BHL en est arrivé à se déclarer „fier d'être Français”, la manoeuvre devient trop gênante pour „les maîtres du monde”.

N’oublions pas cette analyse d’Alain Duhamel sur le Hutin :

Le Consulat est de retour. Il y a chez Nicolas Sarkozy bien des aspects d'un Premier consul contemporain. Certes, il n'est pas Bonaparte mais c'est un bonapartiste grand teint. Lui comme le Corse à ses débuts ont tendance à tout vouloir réinventer eux-mêmes. Ils avancent sur tous les terrains à la fois. Leur ambition est immense. Issus l'un et l'autre d'une petite noblesse fraîchement établie en France après des épreuves, ils tiennent à démontrer leur supériorité. Dominateurs et sujets à de brusques anxiétés, ils ne doutent pas de leurs qualités mais ils craignent souvent que le destin ne se dérobe. Ils ont de grands espoirs et de sombres pressentiments. Ils ne résistent pas à l'ostentation. Ils aiment aussi beaucoup les femmes, avec emportement, non sans de cruelles déconvenues, non sans d'enviables succès. Là encore, la discrétion n'est pas leur fort. Ils ont de l'orgueil à revendre, une impressionnante promptitude d'esprit. Ils aiment décider, ils n'ont pas peur d'imposer. Ils attachent semblablement le plus grand prix à la mise en scène publique de leur action. Le nouveau président de la République se vit comme un cousin de Bonaparte à une époque aussi tourmentée, à sa manière, que le Consulat. Apparaîtra-t-il comme un nouveau Premier consul plus civil, plus démocrate, moins génial bien sûr, moins chimérique, moins submergé par le mythe de sa propre gloire mais aussi avide de marquer et de rompre ? C'est son rêve. Ce serait un miracle. Faut-il prier pour cela ?”

Alors :

-Qui est, vraiment, le bénéficiaire du drame (tragi-comédie) franco-turc ?

-Qui a utilisé qui, et pour quels desseins ?

-D’ailleurs le gouvernement Turc n’a pas manqué de rappeler la promesse orale faite par Sarkozy de laisser tomber ce sujet. Pourquoi aurait-il de lui-même pris le risque de se griller complètement à la fois la Turquie et le monde Arabe et de se saborder ?

Avoir des frenchies au pouvoir dans cette région du monde ? No Sir, never !

L’Union pour la Méditerranée ne reliera jamais Dunkerque à Tamanrasset, et pas besoin de veto à l’ONU.



18 réactions


  • Fergus Fergus 29 décembre 2011 15:46

    Bonjour, Gérard.

    Il n’est pas exact d’écrire que « Hollande n’a rien dit faute d’idées comme d’habitude ». Car en l’occurrence, Hollande était à la manoeuvre pour relancer ce texte au Sénat. Et Sarkozy, à vouloir contrer à toute force son adversaire, est tombé tête baissée dans le piège en faisant déposer par Valérie Boyer une proposition de loi aussitôt votée.

    Une énorme ânerie dans le contexte géopolitique actuel ! Avec, sous le bonnet d’âne de la pire initiative politique de cette fin d’année, Sarkozy, victime de son acharnement à combattre Hollande sur tous les terrains, sans même prendre le temps consulter Juppé. En la circonstance le candidat du PS a finement joué !


    • Fergus Fergus 29 décembre 2011 15:53

      J’ajoute à cela que Hollande savait pertinemment que ce type de vote n’avait, comme vous l’avez souligné, strictement aucun intérêt électoral, les Français d’origine arménienne susceptibles de voter lors de la présidentielle ayant toutes les chances de s’exprimer en fonction de considérations socioéconomiques purement hexagonales.

      Visiblement Sarkozy a encore de très gros progrès à faire en matière de stratégie politique. En attendant, les caciques de l’UMP sont consternés par cette bévue de débutant !


    • Gérard Luçon Gerard Lucon 30 décembre 2011 03:21

      Bonjour Fergus,

      sauf que, à l’intérieur du PS, il y a un lobby qui est actif pour faire passer ce texte aussi au Senat, Rebsamen en tete

      donc cela éclaboussera aussi Hollande, et je maintiens ce que j’écrivais dans mon 1er texte, on ne legifère pas sur l’Histoire ni sur la pensée humaine


    • Fergus Fergus 30 décembre 2011 09:26

      Bonjour, Gérard.

      En politique, seul est réellement éclaboussé par un texte législatif celui qui est aux manettes, en l’occurence Sarkozy.

      D’accord avec vous sur l’imbécillité des lois portant sur l’Histoire.


  • fn2009 29 décembre 2011 15:52

    il n’y a jamais eu de genocide armenienne. c’est la turcophobie des francais, appuyes par la daispora armenienne qui controle la france, qui veut cela.

    toute verite contraire à celle de la diaspora armenienne est interdite en france.

    rappeler vous de l’affaire du professeur bernad lewy, linché par la france genocidiare.

    en france, il est interdit de contredire les mensonges répandus par la puissante diaspora arménienne, seuls connus des francais et des européens.



    Bernard Lewis accorde un entretien au quotidien Le Monde, publié dans l’édition du 16 novembre 1993. À la question « Pourquoi les Turcs refusent-ils toujours de reconnaître le génocide arménien ? » Bernard Lewis répond : « Vous voulez dire : la version arménienne de cette histoire ? » et reprend les arguments habituels du gouvernement turc sur une population arménienne cherchant l’indépendance et pactisant avec l’ennemi russe pendant la Première Guerre mondiale. Il renvoie dos à dos les deux camps et affirme que chacun d’entre eux a subi de nombreuses pertes humaines. Selon lui, les Ottomans ne voulaient que déplacer les populations arméniennes, pas les exterminer.

    Trente intellectuels, parmi lesquels André Chouraqui, Jacques Ellul, Alain Finkielkraut, André Kaspi, Yves Ternon26 et Jean-Pierre Vernant lui répondent dans le même journal le 27 novembre 1993, affirmant notamment : « Nier les faits, effacer le crime, c’est à quoi s’emploient les gouvernements turcs depuis Mustafa Kemal. Qu’un savant de l’autorité de Bernard Lewis accrédite cette thèse officielle, qui réitère elle-même le mensonge des criminels d’hier, rien ne le justifie27. »

    Dans l’édition du 1er janvier 1994, Bernard Lewis précise son point de vue, faisant valoir cinq arguments :

    « Il n’y a eu aucune campagne de haine visant directement les Arméniens, aucune démonisation comparable à l’antisémitisme en Europe. »
    « La déportation des Arméniens, quoique de grande ampleur, ne fut pas totale, et en particulier elle ne s’applique pas aux deux grandes villes d’Istanbul et d’Izmir. »
    « Les actions turques contre les Arméniens, quoique disproportionnées, n’étaient pas nées de rien », citant à l’appui la formation d’unités de volontaires arméniens dans l’armée russe, incluant des sujets ottomans, encadrés par des personnalités arméniennes de citoyenneté ottomane (allusion à Garéguine Pasdermadjian).
    « La déportation, pour des raisons criminelles, stratégiques ou autres, avait été pratiquée pendant des siècles dans l’Empire ottoman. Les déportations ottomanes ne visaient pas directement et exclusivement les Arméniens. Exemple : sous la menace de l’avancée russe et de l’occupation imminente de cette ville, le gouverneur ottoman de Van évacua à la hâte la population musulmane et l’envoya sur les routes sans transports ni nourriture, plutôt que de la laisser tomber sous la domination russe. Très peu de ces musulmans survécurent à cette déportation “amicale”. »
    Il y aurait certes eu « de terribles atrocités », mais « pas d’un seul côté ».

    Le Comité de défense de la cause arménienne attaque Bernard Lewis, se fondant sur la loi de juillet 1990, dite loi Gayssot. Il est débouté par la 17e chambre de tribunal correctionnel de Paris, qui le condamne à payer les frais de justice de Bernard Lewis ; deux autres procédures au civil, menées par l’AGRIF et l’Union médicale arménienne de France (UMAF), toutes deux représentées par Jacques Trémolet de Villers échouent également, et les plaignants sont également condamnés à payer les frais de justice de Bernard Lewis28.

    Une autre procédure, au civil, conduit à la condamnation de Bernard Lewis, le 21 juin 1995. Le tribunal, tout en se déclarant inapte à juger de questions historiques, argue d’une faute en sa qualité d’historien, d’un manquement aux devoirs d’objectivité. Le Tribunal a relevé que c’est en « occultant les éléments contraires à sa thèse, que le défendeur a pu affirmer qu’il n’y avait pas de « preuve sérieuse » du génocide arménien ; qu’il a ainsi manqué à ses devoirs d’objectivité et de prudence, en s’exprimant sans nuance, sur un sujet aussi sensible ; que ses propos, susceptibles de raviver injustement la douleur de la communauté arménienne, sont fautifs29 ». Les juges ont rappelé dans leurs attendus que « cette thèse est contredite par les pièces versées aux débats, desquelles il résulte que dans l’étude sur la question de la prévention et de la répression du crime de génocide, adoptée par la sous-commission de l’ONU le 29 août 1985, le massacre des Arméniens par les Ottomans figure parmi les causes de génocides recensés au XXe siècle  ; que le colloque intitulé Tribunal permanent des peuples, réuni à Paris le 29 août 1984 et composé d’éminentes personnalités internationales, a considéré comme bien fondée l’accusation du génocide arménien formulée contre les autorités turques ; que le Parlement européen, dans une résolution adoptée le 18 juin 1987, a reconnu la réalité du génocide arménien et considéré que le refus par la Turquie de l’admettre constituait un obstacle à l’entrée de ce pays dans la Communauté européenne ».

    Ce jugement est apprécié par la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) qui s’était constituée partie civile, de par sa vocation à « combattre par tous moyens la négation des génocides et l’apologie des crimes contre l’humanité ». En revanche, il a été critiqué sur la forme par des historiens comme Madeleine Rebérioux30, Amnon Kohen31, Pierre Nora32 et René Rémond33. Un des adversaires les plus constants de Bernard Lewis, Noam Chomsky, regrette aussi la décision du tribunal, arguant qu’un « État ne devrait pas pouvoir déterminer la vérité, même s’il a raison »34.

    Bernard Lewis maintient sa position dans son livre The Middle East, dans un entretien à Haaretz du 23 janvier 199835, dans un entretien à la chaîne américaine C-SPAN du 25 mars 200236, et dans la troisième édition de The Emergence of Modern Turkey (New York-Oxford, Oxford University Press, 2002, p. 356).



    Bernard Lewis, né le 31 mai 1916 à Londres, est un historien, professeur émérite des études sur le Moyen-Orient à l’Université de Princeton, spécialiste de la Turquie, du monde musulman et des interactions entre l’Occident et l’Islam1. Il est l’auteur de nombreux ouvrages de référence sur le sujet1. De citoyenneté britannique à sa naissance, il a aujourd’hui la double nationalité américaine et israélienne.


    • Gérard Luçon Gerard Lucon 30 décembre 2011 03:26

      Vous ecrivez « appuyes par la daispora armenienne qui controle la france » ...elle n’arrive pas meme a controler la production de chaussures en France ..


  • Defrance Defrance 29 décembre 2011 16:37

          J’attend avec impatience une loi sur le génocide des Amérindiens et la destruction de tous les films de John Wayne  ! 


  • fn2009 29 décembre 2011 17:13

    à quand une loi condamnant les multiples genocides francais ??


    • Nina888 29 décembre 2011 18:18

      Et une loi qui condamne le génocide des banques surtout ...


    • speeder speeder 29 décembre 2011 18:55

      et à quand un loi qui condamne les imbéciles qui ne font que retranscrire des textes de wikipédia ?


    • Gérard Luçon Gerard Lucon 30 décembre 2011 03:16

      vous pouvez faire plus court, demander une loi contre les imbeciles en general au lieu de cibler seulement wikipedia


    • SbII 30 décembre 2011 11:26

      Une loi contre les imbéciles est le premier pas vers le plus grand génocide de tous les temps smiley


  • Defrance Defrance 29 décembre 2011 19:23

    -Qui est, vraiment, le bénéficiaire du drame (tragi-comédie) franco-turc ?

      Les Allemands et les anglo saxon qui vont pouvoir faire du Business tranquille ? Et Israël qui a reussi a créer un ennemi en plus au Turc !

      Les Allemands viennent de vendre des sous marins aux Grecs, ils vont pouvoir vendre des chasseurs de sous marin aux Turc ? 


    • Gérard Luçon Gerard Lucon 30 décembre 2011 11:37

      pour les sous-marins, la Turquie paye cash, la Grece continue a emprunter a ses « sauveurs » ... c’est-y pas beau ?


    • Defrance Defrance 31 décembre 2011 17:08

        Voyons l’auteur, il ne faut pas mélanger Business et sauvetages, ce sont deux postes comptables differents ! 


  • Aldous Aldous 30 décembre 2011 11:52

    Votre article est truffe de contradictions et de contreverites.


    Cette loi ne denature en rien le terme de genocide, elle ne fait qu’en penaliser la negation.

    C’est plutot votre titre qui banalise le terme en l’aplliquant de facon plus que legere a des consideration politicardes.

    La loi reconnaissant le genocide armenien date de plusieurs annees deja.

    La loi penalisant le negationnisme ne serait pas utile s’il n’y avait une campagne active de la part de la Turquie pour imposer le silence aux desvendants des rescapes du genocide armenien.

    Silence imposee par la loi en turquie mais aussi par le meutre.

    Les autres cobsideration que vous soulevez sont du pipi de chat.

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