samedi 25 mars 2017 - par Pierre JC Allard

Uberisation... Über Alles ! (1)

Ce qu’on appelle 'Uberisation est le phénomène d'adaptation du travail à une économie tertiaire que j'ai décrit dans des bouquins et des articles nombreux dont certains que j'ai publiés il y a plus de 20 ans !  Je vais en proposer deux (2) ci-dessous. Ils sont libres de droits d’auteur… J Ce phenomène est irréversible et SOUHAITABLE. Il faut seulement ajuster la société à cette nouvelle réalité et l'État dot assumer une nouvelle responsabilitié sociale. Pour en savoir plus, cherchez moi sur Google.à .. :. « Pierre JC Allard »

 Voici le premier.

Demain, les autonomes

L’employeur ne demande qu’à remplacer un travailleur par une machine. L’avenir des postes de travail qui sont des agrégats de tâches, programmables et inprogrammables – et des services biens réels qu’en retire la population – n’est assuré que quand ces postes sont confiés à des travailleurs autonomes.

Ceux-ci, quand ils sont confrontés à la programmation de certaines de leurs activités traditionnelles, ne choisissent pas, en effet, de se mettre eux-mêmes au rancart… Ils poursuivent plutôt leur activité, en mettant l’accent sur le volet inprogrammable de leur fonction et en offrant au consommateur un service de meilleure qualité. J’aurais aimé, pour ma part, au lieu de supprimer leurs postes, qu’on eut permis aux réceptionnistes de prendre le temps de mieux nous informer.






Non seulement les emplois sont vulnérables à la tendance normale des employeurs vers l’optimisation de leurs profits, au détriment des aspects qualitatifs des postes de travail en mutation, mais l’emploi est intrinsèquement une mauvaise structure d’encadrement pour le travail inprogrammable : le travail de créativité, d’initiative et de relations humaines. Quand la main-d’oeuvre a émigré vers le tertiaire, ce sont bien des emplois qu’on a créés pour l’encadrer ; mais c’était là une solution de facilité : on ne peut pas superviser la production des services comme celle des jujubes. Si on cherche à le faire, on constate vite que l’essentiel nous échappe.

Parce que l’essentiel des services est la satisfaction d’un besoin qui est qualitatif, subjectif, intangible. On ne peut pas calculer l’apport de chaque professeur à l’éducation d’un enfant, ni l’impact d’un sourire sur la santé d’un patient. On ne peut pas mesurer l’effet de l’objection posée par un fonctionnaire à une proposition de projet, ni celui des critiques d’un vice-président Marketing au vice-président Finances d’une société. On ne peut pas gérer l’activité inprogrammable de l’employé, parce que l’essentiel, qui est la satisfaction finale du client, ne peut pas être capté par les moyens de contrôle traditionnels propres à l’emploi.



Le système des emplois, originellement mis en place pour mesurer et contrôler un output quantifiable dans le secteur industriel, est inadapté aux activités inprogrammables. Il leur est même pernicieux, en ce qu’il démotive le travailleur et le distrait de son objectif réel qui est de fournir un service, en lui imposant un contrôle quantitatif qui repose sur le temps qui passe et des papiers remplis, au risque que le temps passe alors à remplir des papiers.

Une relation tripartite – employeur, employé, utilisateur – nuit au contact efficace entre celui qui offre et celui qui reçoit le service, puisque l’employé fait face au dilemme de se consacrer prioritairement à sa tâche réelle qui est de servir l’utilisateur… ou à sa tâche formelle qui est de satisfaire aux indicateurs quantitatifs de performance à partir desquels l’employeur jugera de son travail.



Le contrôle que permet la structure d’emploi de la qualité et donc de la valeur réelle du travail inprogrammable accompli par le travailleur est inadéquat. Faut-il donc s’étonner que l’entreprise de services cherche à éliminer la structure désuète des emplois pour favoriser la sous-traitance et la consultation ? Faudra-t-il s’étonner, demain, si les grands réseaux de l’éducation et de la santé sont démantelés, pour permettre à de petits groupes de partenaires, vraiment motivés, d’assurer à la population un bien meilleur service ? Un service dont l’État pourrait garantir le paiement et l’universalité tout comme aujourd’hui, mais à bien meilleur compte et, surtout, avec une qualité incomparablement supérieure.


Prenons le système d’éducation secondaire. Lycée en France, ou application/adaptation dans le reste du monde du « Comprehensive school  » américain. Ce système ne répond pas à nos besoins. Il n’y a pas toujours d’insuffisances quantitatives à mesurer ; on trouve souvent dans les structures d’éducation des ratios employés/élèves bien satisfaisant. (1:16 au Québec) ! Mais le rapport des ressources au front à celles de l’intendance est vicié par le préjugé de la supériorité d’« organiser » sur « enseigner » et ne peut que se détériorer, tant qu’on ne comprendra pas qu’administrer de l’éducation n’est pas éduquer.

RIEN ne peut régler, par exemple, le problème des polyvalentes québécoises, si ce n’est une nouvelle structure qui établisse un lien HUMAIN entre l’élève et l’enseignant. Un enseignant salarié sous tutelle d’administrateur et qui doit comptabiliser ses heures n’éduque pas.



Ce sont des travailleurs autonomes, pas des employés, qui doivent fournir à la population les services inprogrammables dont elle a besoin. Ils le feront pour les services existants, particulièrement les services d’éducation à tous les niveaux et les services de santé. Ils le feront aussi pour les ajouts à ces systèmes et pour tous ces postes de travail en mutation, dont le système n’a pas encore décidé s’ils seraient conservés ou si on leur substituerait des machines.



Cette évolution vers l’autonomie du travail est inévitable. Elle correspond au besoin de laisser le travailleur, maintenant plus instruit et mieux formé, mettre à profit son initiative et sa créativité sans les contraintes rigides d’un emploi. Elle facilite du même coup l’évaluation de la performance du fournisseur de services. Pas en vérifiant les gestes qu’il pose – ni même sa façon de les poser, sauf dans un cadre très permissif – mais en évaluant les RÉSULTATS de son intervention.

Des résultats qui peuvent être objectivés, mais auxquels doit surtout s’ajouter l’évaluation de la SATISFACTION du client.. Au palier de l’utilisateur final, c’est sa satisfaction qui est le premier critère d’évaluation ; quand il d’agit d’une activité qui n’est qu’une étape d’un processus plus complexe, il faut évaluer dans quelle mesure l’extrant d’une activité est bien l’intrant que souhaite le responsable de l’exécution de l’activité en aval.

La structure « par emplois » a été créée parce qu’elle collait aux nécessités de la production en chaîne dans une structure industrielle. Elle ne répond pas aux besoins d’une économie de services, alors que c’est la relation humaine et la motivation qui sont les grandes exigences. Nous le comprendrons rapidement, et ce sont des travailleurs autonomes qui vont conquérir le marché des services.




 

Pierre JC Allard



20 réactions


  • Clark Kent Jeussey de Sourcesûre 25 mars 2017 10:15

    Comment se fait-il qu’on ne qualifie pas de « travailleurs autonomes » les médecins, les avocats, les huissiers ?


    Et comment se fait-il que des « travailleurs autonome » se mettent en grève contre la structure qui leur assure le bonheur éternel, qui assure leurs gestions administrative et commerciale ?
    Vous confondez manifestement « travail autonomes » et « servitude volontaires ».

    S’ils étaient autonomes, pourquoi auraient-ils eu besoin de s’engager contractuellement avec un partenaire qui impose des clauses léonines ?

    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 25 mars 2017 14:43

      @Jeussey de Sourcesûre


      « Comment se fait-il qu’on ne qualifie pas de « travailleurs autonomes » lesmédecins, les avocats, les huissiers .... 

      Médecins, les avocats, etc, tout travailleur qui prend ses directives et est remunéré par l’tilisateur du services EST UN TRAVAILEUR AUTONOME. Le désigner autrement est une asyuce de vocabulaire et un trucs des capitalistes employeurs pour abuser des travailleurs en créant la confusion.

      Et comment se fait-il que des « travailleurs autonome » se mettent en grève contre la structure.... 

      Les travailleurs a qui on ne garantit pas le travail et le revenu qu’ils meritent protestent. Ils ont raison, l’État doit assumer la responsabilité du plein emlploii et du revenu qui en découle et correspond a la qualificatiion du travailleur. Quand il le fait PERSONNE n’a a se soumettre a des conditions léonines.... a moins que vous ne disiez »léonines" (comme stricto sensu elles le sont, bien sûr,) toutes le regles auxquelles une société astreint ses citoyens...


      PJCA




  • La Voix De Ton Maître La Voix De Ton Maître 25 mars 2017 10:34

    Bon bin optimisons tout alors :

    Si l’employeur ne doit pas payer la pause pipi de l’employé moderne, celle ci n’intervenant que très rarement dans la satisfaction du client, autant faire de même pour votre retraite, votre sécurité sociale... pourquoi d’autres paieraient le service que vous consommez ?
    Et pour encore plus d’efficacité économique, il faudrait mettre un intermédiaire qui se prenne 20% de marge (Uber) pour que vous ayez la facilité d’acheter ou de vendre votre service depuis un smartphone.

    L’uberisation c’est le dernier spasme, le dernier délire de vieux milliardaires qui veulent augmenter leur valeur nette de 0.1% et ils veulent vous faire croire que c’est pour atteindre une hypothétique justice économique...


    • La Voix De Ton Maître La Voix De Ton Maître 25 mars 2017 10:49

      @Arcane

      Techniquement, le mieux, c’est la puce RFID (pas en suppositoire dans notre cas) qui va vous pister jour et nuit pour calculer la valeur de votre contribution nette à la société (dans tous les sens du terme)
      Puce que vous devrez payer vous, en tant que travailleur indépendant, pour avoir le droit de barboter dans la piscine aux richesse qu’on vous a promis.

      Ce qui est marrant dans l’histoire, c’est que tous ceux qui imposent le concept de justice économique ne parlent que d’employés dissipés sans jamais évaluer l’apport économique à la société des hyper-riches.

      L’auteur est tombé dans le panneau.


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 25 mars 2017 15:17


      @La Voix De Ton Maître


      Dans les années « 50, un visiteur d’un pays, disons »étranger’, sans plus, avaient souligné au cours d’un symposium au Québec une grave lacune de notre systeme d’hygiene publlque. « Je n’ai pas vu, dans vos gares »- diit-il -" une seule station d’épouillage ! ’...

      Vous faites grief au travail autonome de ne pas apporter de solutions a des problemes qui, dans une société évoluée, ne peuvent plus exister.. Ce n’est pas avec Uber ou un clone d’Uber prenant sa livre de chair que le travaillleur autonome transigera. mais avec le Bureau du Travail qui garantira le pleim emploir et à chaque travailleur le revenu correspondant à sa compétence reconnue.


      PJCA

       

    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 25 mars 2017 15:27

      @La Voix De Ton Maître


      On trouvera mieux - pire - et vous avez raison de craindre la proliféraion des moyens de controle. Je vous souligne cependant que je ne suis pas aveugle au probl.me des suuper-riches Voyez le lien ci dessous.  Mais c’est une autre question

      PJCA


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 25 mars 2017 15:35

      @La Voix De Ton Maître


      (Voici le lien ci-dessous, qui a été escamoté)


      PJCA


    • La Voix De Ton Maître La Voix De Ton Maître 25 mars 2017 16:34

      @Pierre JC Allard

      D’accord Mais...

      Pourquoi diable vous défendez une position économique des têtes pensantes du Tea Party ? L’emploi à la demande est un maillon essentiel de cette doctrine qui prime la responsabilité personnelle (jusqu’à la mort selon Paul Ryan, n’est ce pas ?)

      Politiquement si vous vous laissez aller, la responsabilité personnelle mangera idéologiquement TOUT. Votre Bureau du Travail, telle une exception, se fera ubériser à son tour, pour toutes les bonnes raisons que vous évoquez !

      Sous l’effet de bonne idée se cache uniquement la volonté de payer les employés encore moins, de mettre le dernier clou dans le cercueil syndical, et un besoin de complexité suffisamment puissant pour détruire un état déjà fragilisé par la diminution des fonctionnaires.

      Et si je peux me permettre : ou avez vous lu ces informations sur le travailleur autonome pour la première fois ? Si vous avez un lien


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 25 mars 2017 20:51

      @La Voix De Ton Maître


      Je ne doute pas que l’oligarchie fasse tout le mal qu’elle peut, mas je suis persuadé que les dés cette fois roulent pour les petits et contre les grands. Si vous me lisez, vous verres pourquoi : le mot clef est
      COMPLÉMENTARITÉ.

      Pour mes sources, je vais vous paraitre facétieux, prétentieux ou les deux, mais, ayant 82 ans, j’ai l’excuse d’avoir été là avant eux pour me faire pardonner l’incivilité d’avor dit avant eux bien des idées des auteurs qu’on considère aujourd’hui comme les sources. smiley 

      J’ai voulu proposer un projet de société et j’ai donc exploré bien des sujets.


      Concernant le travail autonome - qui a toujours été mon dada, car j’étais Directeur général de la main d’oeuvre au gouvernement du Québec à la fin des années "60 - je puis vous rférer à Rifkin, mais j’ai écrit Crisis $ Beyondj bien avant qu’il ne popularise ce thème qui fait maintenant les manchettes....


      PJCA








    • La Voix De Ton Maître La Voix De Ton Maître 26 mars 2017 03:02

      @Pierre JC Allard

      Pour mes sources, je vais vous paraitre facétieux, prétentieux ou les deux, mais, ayant 82 ans, j’ai l’excuse d’avoir été là avant eux pour me faire pardonner l’incivilité d’avor dit avant eux bien des idées des auteurs qu’on considère aujourd’hui comme les sources

      Mais non, cela commence à m’arriver aussi smiley

      J’ai commencé à vous lire. Et j’ai noté que le tea party n’était pas pour vous un débouché souhaitable. J’ai survolé Rifkin, et je peux aisément conclure que vous n’êtes pas un ultra-libéral.
      Je me suis un peu emporté dans mon premier commentaire et je vous adresse mes excuses.

      Avant de finir votre livre, j’aimerai juste vous montrer la raison de ma méfiance envers le travail autonome, qui, du fait qu’il s’intègre si bien dans le puzzle libertarien. Si vous poussez à fond le concept de justice économique vous vous retrouverez avec ceci.

      Je pense que vous savez qui est Bannon, vous savez peut-être qu’il est proche du CEO d’über, peut-être connaissez vous aussi Robert Mercer.
      Je ne crois pas qu’ils pensent que les dés roulent pour tout le monde dans le sens que vous l’espérez, je ne crois pas qu’ils soient des gens raisonnables.


  • Patricia 26 mars 2017 05:27

    L’ubérisation c’est réduire l’humain a travailler plus pour gagner moins, en fait, à ne faire que travailler et pour préparer la belle crise financière qui nous arrivera après les élections très probablement après celles en Allemagne.

    L’ubérisation, c’est aussi des sociétés qui se réfugient derrière un rôle de « mise en relation client/travailleur » ce qui leur permet :
    - de ne pas établir de fiches de salaires avec leur entête et,
    - ne pas payer les prélèvements obligatoires, et,-
    - par contre prélever 27 % sur le montant total encaissé par le travailleur - dans le cas des taxis, et vélos -


    • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 26 mars 2017 06:07

      @Patricia

      On PEUT tutiliser le passage du statut de salarié à celui de travailleur autonome pour abuser du travailleur ou filouter l’État, mais cela ne signifie en aucune façon que ce soit une conséquence inéluctable de ce changement de statut. Le prétendre est d’une si évidente mauvaise foi qu’on ne peut que chercher QUI gagne à propager ce bobard. Si on va au fond des choses, le perdant de la diffusion du travail autonome, est EVIDEMENT l’employeur, le capitaliste qui est évincé de la relation entre le fournisseur du service et son utilisateur. Je suis souvent stupéfait de ce dont on peut convaincre le bon peuple si on le lui dit avec assurance et un gros budget. Mais dire que supprimer un intermediaire a une transaction va en augmenter le cout est un défi au bon sens . L"Etat doit proteger le travailleur autonome. Il ne le fait pas..... pour defendre la rente des emplyeurs et c’est une infamie.

      PJCA



  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 26 mars 2017 06:14

    Le syndicalisme protégeait des travailleurs interchangeables de industrie par leur nombre et leur solidarité. Au tertiaire, ils sont tous différents, rivaux, et la solidarité disparaît. La zizanie triomphe de tout Ce qui protège le travailleur, désormais, c’est sa spécificité ; il est d’autant mieux protégé qu’il devient rare, unique, irremplaçable. Or une société qui se complexifie multiplie le nombre des « irremplaçables » et en devient d’autant plus juste et tendanciellement égalitaire que le pouvoir ainsi s’y diffuse. C’est la seule faon d’y arriver, car elle ne dépend pas de la morale ni de la générosité ; elle place avec réalisme le bien d’un nombre croissant d’individus dans la trajectoire du plus grand bien de chacun. Cette marche de chacun vers son irremplaçabilité est optimisée pour le travailleur autonome.


  • eau-du-robinet eau-du-robinet 26 mars 2017 08:28

    Bonjour Pierre,
    .
    L’uberisation de la société rime avec la mise en place d’un intermédiaire entre un prestataire de service et un client aux frais des travailleurs (prestataire de service) le conduisent vers la précarisation, accompagné d’une mise en place d’une concurrence féroce au profit de l’intermédiaire !
    .
    Le concept de l’uberisation est en fait pas vraiment nouveau. Il existe déjà depuis longue date dans notre société sans que les gens se rendent vraiment compte !
    Si vous voulez par exemple acheter un bien immobilier vous allez vous adresser à un prestataire de service, intermédiaire, l’agence immobilière. Cette agence se glisse entre l’acheter et le vendeur et se prend des grasses commissions au passage.
    .
    On y pourrait bien se passer de l’agence immobilière, car il y à déjà une autre intermédiaire, le Notaire, qui fait toute la paperasse....
    .
    Le problème des intermédiaires c’est qu’ils sont très gourmands, trop gourmands, et qu’ils ne sont souvent pas indispensables.
    .
    Dans la chaine alimentaire nous trouvons de très nombreuses intermédiaires... voire par exemple la filaire de lait .... Les éleveurs ont du mal à survivre avec le peu d’argent qu’on leur paye. Le prix du lait, arrive au consommateur, est multiplié par 5 voire plus encore !


  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 26 mars 2017 16:50

    VOUS ETES AU COEUR DE LA QUESTION. Pour acheter quoi que ce soit sans se faire rouleri l’ndividu a besoin d’une expertise qu’il n’a pas ... et ca ne peut que devenir pire ; Il a besoin d’une batrerie de conseillers et l’État, progressivemnt, à la mesure de l’enrichissement de la société, lui en founira gratuitement Il a deja un medecin, il lui faudra un juriste... puis toute un gamme d’experts. Mais ce seront ces conseillers qui dovient etre au service de l’individu : Il doit demeurer le décideur. 


    Tout travailleur au teriiaire est à devenir un expert. Il offrira ses services. Des conseillers l« y aideront... mais il doit devenir et rester autonome. Un employeur qui mene le jeu est un concept totalement dépassé. Un effort d »education pour Quidam Lambda sera necessaire....,mais on y viendra

    PJCA

  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 26 mars 2017 16:57

    VOUS ETES AU COEUR DE LA QUESTION. Pour acheter quoi que ce soit sans se faire rouleri l’ndividu a besoin d’une expertise qu’il n’a pas ... et ca ne peut que devenir pire ; Il a besoin d’une batrerie de conseillers et l’État, progressivemnt, à la mesure de l’enrichissement de la société, lui en founira gratuitement Il a deja un medecin, il lui faudra un juriste... puis toute un gamme d’experts. Mais ce seront ces conseillers qui dovient etre au service de l’individu : Il doit demeurer le décideur. 


    Tout travailleur au teriiaire est à devenir un expert. Il offrira ses services. Des conseillers l« y aideront... mais il doit devenir et rester autonome. Un employeur qui mene le jeu est un concept totalement dépassé. Un effort d »education pour Quidam Lambda sera necessaire....,mais on y viendra

    PJCA

  • Pierre JC Allard Pierre JC Allard 26 mars 2017 17:18

    @ eau-du-robinet 


    Dois-je préciser que j’ai de plus en plus de difficultès techniques a publier sur ce site. Aurais-je commis un mpair. Si le lien ci-dessus et ci dessous ne passe pas, on peut le recopier et y acceder directement.







    • eau-du-robinet eau-du-robinet 28 mars 2017 08:03

      Bonjour Pierre JC Allard,
      .
      Vous n’êtes pas de seul d’avoir des difficultés techniques sur Agoravox.
      .
      Quand je fait un copier / coller d’un de mes anciens messages la plupart des liens sont systématique écrases !
      .
      C’est pour cette raison que je publie le texte et le lien séparément !
      .
      Je suis obligé de mettre de points pour paragraher mes lignes

      EXEMPLE cette ligne apparait bien distancé de la précédente en mode édition mais à la publication elle est quasiment colle sur la précédente... L’espace entre les deux lignes est réduite à moitié !
      .


  • adrien 1er décembre 2017 11:55

    il faut dire que le développement important d’emplois « uberisés » implique des risques spécifiques pour ces travailleurs : les conditions de travail indépendant très modulables (horaire, emploi du temps, lieu...) rémunéré à la tâche présentent certains avantages mais aussi beaucoup d’inconvénients pour la santé et la sécurité du travail avec de la précarité, et peu de prévention des risques professionnels et de protection sociale : voir « La prévention des risques professionnels liés aux plateformes de services » : http://www.officiel-prevention.com/formation/fiches-metier/detail_dossier_CHSCT.php?rub=89&ssrub=206&dossid=574


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