mardi 18 mai 2021 - par republicain

Variant indien : Ivermectine 1 / OMS 0

Ecouter l’OMS tue, l’ivermectine sauve ! Le Tamil Nadu est le seul état indien où la pandémie continue à exploser

 

Responsables : la médecin en chef de l’OMS et le chef ministre Staline qui ont interdit l’IVERMECTINE

L’Inde est un état fédéral, la politique sanitaire dépend des états locaux comme aux Etats-Unis ou au Brésil. La protection sociale coute cher, les vaccins sont le plus souvent payants ainsi que les soins mais paradoxalement les catégories les moins pauvres sont celles qui enregistrent le plus de décès… Le Tamil Nadu est plus riche et plus urbanisé que la moyenne nationale. La capitale de l’État est Chennai (autrefois appelée Madras).

Le Tamil Nadu serait à notre connaissance, le seul état Indien à interdire l’ivermectine. C’est aussi le seul dans lequel l’épidémie accélère. L’Etat mise tous ses espoirs dans la vaccination et… dans le Remdesivir pourtant interdit par l’OMS..

Le malheur du Tamil Nadu est liée à une de ses gloires locales, la no2 de l’organisation, Soumya Swaminathan. Celle la même aui avouait que pour discréditer l’hydroxychloroquine les essais de l’OMS comparait des malades soignés à une dose mortelle d’HCQ et un groupe placébo soigné à une dose normale d’hcq.

Le Tamil Nadu est dirigé par un progressiste du nom de Staline, je ne plaisante pas… Comme son homonyme il laissera de funestes souvenirs. Dès à présent sur un mois on constate une multiplication par quatre du nombre de cas avec 5% de la population le Tamil Nadu représente 10% des nouveaux cas le 10 mai 2021 soit 300 cas quotidiens par million d’habitant.

Le 16 mai la situation s’améliore nettement en Inde mais pas au Tamil Nadu qui fournit 13% des nouveaux cas du pays soit plus de 500 quotidien par million

Des médecins du Vellore Christian Medical College au TamilNadu sont en première ligne contre l’ivermectine, ils viennent tout juste de recevoir un million de dollars de Bill Gates…

https://www.thehindu.com/news/national/tamil-nadu/tn-drops-ivermectin-as-covid-19-drug/article34561235.ece

Vendredi, le gouvernement de l’État a révisé son protocole de gestion des cas de COVID-19, retirant de la liste le médicament très controversé Ivermectin. Le département de la santé avait auparavant prescrit le médicament pendant trois jours.

Le protocole de gestion des cas COVID-19 a été publié pour la gestion des patients dans tous les établissements de santé autres que les hôpitaux universitaires de médecine / les hôpitaux gouvernementaux / les hôpitaux COVID-19 dédiés.

Selon des sources officielles, le médicament a été retiré de la liste car quelques membres du comité d’experts se sont opposés à son utilisation. Plus tôt cette semaine, Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), avait publié sur Twitter que l’innocuité et l’efficacité étaient importantes lors de l’utilisation de tout médicament pour une nouvelle indication. L’OMS s’est opposée à l’utilisation de l’ivermectine pour COVID-19, sauf dans les essais cliniques, a-t-elle déclaré.

La situation du TamilNadu est d’autant plus scandaleuse que la situation s’améliore dans les autres états avec un cours systématique à l’ivermectine.

Le premier journal de langue régionale du Kerala ayant environ 20 millions d’exemplaires imprimés titre : « Ivermectin est la seule solution de Pandémie  ».

 Dans l’Utar Pradesh les cas ont baissé de 70% en 20 jours et ils sont retombés à moins de 50 cas quotidiens par million d’habitants. Tout est dit, dix fois moins qu’au Tamil NADU. Cet état peuplé comme tout le Brésil compte trois fois plus d’habitants que le TN

SIGNER LA PETITION POUR L’IVERMECTINE EN France 30 000 signataires

https://www.mesopinions.com/petition/sante/remplacer-paracetamol-ivermectine-soigner-covid-precocement/132856

L’appel de 1500 médecins

https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/

L’ivermectine n’est pas une illusion complotiste :

La Dre Tess Lawrie présente sa méta-analyse des données cliniques sur l’#ivermectine en traitement et prévention du COVID. Son travail est un modèle de rigueur ; en 17 minutes, vous saurez tout ou presque sur l’efficacité clinique de l’ivermectine.

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11 réactions


  • rogal 18 mai 2021 11:55

    Constat intéressant. Dispose-t-on des statistiques pour chacun des États (et pas seulement pour l’Utar Pradesh) ?


  • lejules lejules 18 mai 2021 12:25

    afin de réagir avec un peu d’humour face a une propagande éhontée je me défend a ma maniere avec radio serpent N°5

    https://www.youtube.com/watch?v=96iKj1SsluQ&t=4s

    pour ceux qui n’aurait pas vu la N°4

    https://www.youtube.com/watch?v=WChhqRouZ0s&t=13s


  • jjwaDal jjwaDal 18 mai 2021 16:24

    L’OMS est fidèle à elle-même en torpillant l’utilisation du Remdesivir (à raison semble-t’il) comme de l’Ivermectine ( à tort manifestement). Tout médicament efficace contre la Covid19 risquerait de remettre en cause la vaccination , or vu ses sources principales de financement (Gates déjà directement et indirectement) elle a un conflit d’intérêt sérieux nuisant à un arbitrage impartial. Il ne faut rien attendre d’elle avant qu’une avalanche de résultat la force à reculer pour ne pas perdre toute crédibilité.


  • Alice Alice 18 mai 2021 17:55

    @l’auteur

    "Celle la même qui avouait que pour discréditer l’hydroxychloroquine les essais de l’OMS comparait des malades soignés à une dose mortelle d’HCQ et un groupe placébo soigné à une dose normale d’hcq."


    Idem pour « l’étude » Discovery de Mars 2020 qui avait conclu que « non seulement l’HCQ ne marchait pas mais était dangereuse ». Vous vous en souvenez peut-être.

    Mais a été découvert par ceux qui lu « l’étude », que ces essais ont consisté à :

    - donner une dose proche de la dose mortelle à des personnes âgées

    - ne rien donner au groupe témoin (ce qui revenait à ne pas les soigner  : certains sont morts faute de soins, belle éthique de la part de ces « expérimentateurs »).

    Résultat  : beaucoup plus de morts dans le 1er groupe que dans le second.

    Malgré cette révélation et bien que les pays (les 3/4) qui traitent leurs malades du Covid-19 à une dose normale (après vérification de non contre-indication : v. c19study.com ), il y ait guérison, le gouvernement continue à l’interdire.


  • JulesDu13 18 mai 2021 19:38

    Si la crise strictement Covid s’arrête on ne pourra pas appeler ça une vraie victoire car
    * on n’a toujours pas pris en compte la pyramide des âges dans la mortalité globale
    * il n’y a pas de plan de mise à niveau du système de santé face au vieillissement de la population (années épidémiques à venir)
    * les dommages psychologiques sur certaines personnes âgées sont peut-être irréversibles
    * la crise a été une opportunité pour aggraver les inégalités sociales
    * l’hystérie vaccinale n’est pas jugulée (à quand des vaccins obligatoires pour toutes les grippes, rhumes, gastro, etc..., c’est à dire une dizaine de vaccins obligatoire par an, avec les conséquences en terme d’effets secondaires et sur l’immunité globale de la population)
    * le terrorisme d’état a d’autres peur en réserve (les russes sont à nos portes, depuis que l’on a mis nos portes sur leur frontière)

    La seule façon d’obtenir réparation est que les décideurs politiques impliqués, les labo pharmaceutiques qui les ont influencés en sous-main, les médecins et les media peu scrupuleux qui en ont profité pour faire leur beurre soient traduits en justice, car leurs mauvais traitements ont quand même causé la mort prématuré de quelques milliers de personnes et dévalorisé l’économie française de quelques % par rapport aux autres pays, sans compter les dégats sur la démocratie.


  • Vercassivellaunos Vercassivellaunos 18 mai 2021 21:50

    L’ivermectine est efficace ?

    Si c’est le cas, logiquement, un gouvernement qui se respecte aurait du laisser les médecins prescrire l’ivermectine, à charge pour les médecins d’observer leurs patients et de fournir une petite fiche sur chacun, âge, date présumée de l’infection, effets secondaires, degré de gravité etc. On aurait eu à peu de frais des données très intéressantes sur ces traitements et créé peut-être une possibilité d’éviter les trop nombreux passages en réanimation. En tous cas, cela valait la peine d’essayer.

    J’attends avec impatience l’expérience scientifique à grande échelle in vivo. Les scientifiques recommandent la plus grande prudence avec cette antiparasitaire et demandent qu’une étude scientifique soit mené et ils ont le plus grand doute sur ce produit.


    • Vercassivellaunos Vercassivellaunos 18 mai 2021 22:12

      @Philippe Huysmans, Complotologue
      Je n’ai pas les données sur l’ivermectine, mon avis est de faire plus de tests sur ce produit. Il n’y a pas que l’Ivermectine. Le clofoctol par exemple de l’institut Pasteur de Lille qui a eu du mal à trouver des financements. Merck est en train de travailler sur le Molnupiravir (traitement oral de 5 jours), je crois financé au départ par un mécène. Ce que je pense est que le choix politique et financier s’étant porté sur les vaccins rien n’a été fait pour développer très vite des antiviraux.


    • babelouest babelouest 19 mai 2021 12:29

      @Philippe Huysmans, Complotologue en tout cas, de l’Ivermectine j’en ai pris il y a une quinzaine. Commande par Internet bien sûr.


    • jjwaDal jjwaDal 23 mai 2021 13:13

      @Vercassivellaunos
      On sait très bien qu’un médicament génériqué efficace contre le SARS-Cov2 et ne valant que quelques centimes le comprimé, serait une catastrophe pour l’industrie pharmaceutique. Cela représenterait une perte de marché désastreuse. Le système est conçu ainsi : nouveau médicament ou vaccin, gros profits et comme le but de l’industrie privée ne peut être que le profit et non la préservation des comptes du NHS ou de la SECU, on a ce qu’on a.
      Collectivement notre avantage est bien sûr le médicament connu depuis 30 ou 50 ans et ne valant rien mais pour avoir délégué la santé au privé on voit bien qu’il fera tout (coûte que coûte) pour trainer dans la boue et discréditer en amont un médicament comme l’HCQ ou l’Ivermectine. Il en va de leur chiffre d’affaire et de leurs profits.
      Il se trouve que l’Inde est le dos au mur et a peu de moyens pour gérer plus d’un milliard d’humains. Elle semble donc prête à faire ce que les fabricants de candidats vaccins font avec les pays riches, à savoir une expérience « scientifique » à grande échelle in vivo.
      Si ça marche, les tribunaux vont avoir du travail, car la mise en danger de la vie d’autrui en autorisant le doliprane et interdisant HCQ et Ivermectine ne repose pas sur la science. On peut se tuer avec le doliprane en vente libre. Or là on parlait de prescription médicale interdite aux médecins généralistes.


    • TSS (...tologue) 23 mai 2021 18:06

      @Vercassivellaunos
      Vous devriez aussi vous interroger sur les vaccins !. Les tests de phase
      terminale doivent se faire sur au moins 10000 volontaires et sur 2 ans
      donc les vaccins auraient été disponibles en 2023,c’est pour cela que
      tous les vaccins n’ont qu’une AMM provisoire et que les vaccinés sont
      les cobayes(gratuits bien sur)... !!


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