vendredi 4 septembre 2020 - par Jean-Michel

Vive la rentrée !

...du moment qu’elle reste non violente et respectueuse de « l’autre », hormis peut-être de ceux qui se moquent de nous, elle devient un support à la construction de notre avenir et celui de nos enfants.

Vive la rentrée !
Vive la rentrée 2020 et toutes les absurdités qui vont avec !
Toujours autant d’incohérences, toujours autant d’infantilisation, de restriction des libertés et de soumissions, choisies ou forcées.
Considérants que le virus qui nous « pourrit la vie » depuis près de huit mois fait aussi sa rentrée en force, du jour au lendemain on nous oblige à porter un masque, même si la veille et au même endroit le tour de France est passé, suffisamment sécurisé et aseptisé lui, il a un pouvoir très lucratif, mais manifestement le virus n’aime pas l’argent, il est absent des endroits et manifestations qui rapportent !
On l’a bien vu dans l’été, avec des ouvertures de parcs à thèmes, des reprises de manifestations sportives, des aéroports et des frontières sans contrôles (toujours les mêmes frontières perméables à toute attaque gênante !).
Aujourd’hui, dans beaucoup de villes, étonnamment, le seul moyen de respirer de l’air librement, de ne pas reprendre jusqu’à 20 % de son propre gaz carbonique rejeté (on en reparle dans quelques mois et autant de nouvelles pathologies), c’est d’aller s’asseoir à la terrasse d’un café ou d’un restaurant, et de consommer, car à l’idée du mot « argent », le virus qui est se trouve dans le même espace, il n’attaque pas dans ces lieux de consommation !
Les clubs de sports ont repris leurs activités, les joggeurs et les cyclistes sont exemptés de port du masque ( ?), le virus ne doit pas aimer les sportifs !


Trêve de plaisanterie, je ne nie aucunement l’existence d’un virus, virus qui malheureusement a fait un trop grand nombre de morts, je ne conteste pas la nécessité d’être prudent, vigilant lorsqu’il y a du monde où que le risque est vraiment là.
Mais si le danger pour tous est si grand que certains le disent, pourquoi ne pas être clair, pas de dérogations, surtout pour des situations à risque. Les cyclistes qui en ville ont le droit de tousser en pédalant, les joggeurs qui crachent, tous ces sportifs qui par définition respirent fort et donc sont susceptibles de postillonner sur le pauvre gars ou la pauvre fille assis à la terrasse d’un café sont alors aussi potentiellement dangereux et peuvent être la cause d’un nouveau foyer ! On a même vu des images à la télévision, de boxeurs sur un ring, qui d’autre que les boxeurs projettent plus de sueur, de postillons, d’air vicié et donc d’éventuels virus !
Mais il y a des raisons à cette confusion entretenue par des élites manipulateurs et sans honneur ni fierté. Ils préfèrent jouer sur tous les tableaux, ménager la chèvre et le chou, dire tout et autoriser son contraire, ils écoutent et sont liés par les liens du profit et du pouvoir à de puissants lobbies très lucratifs, à des électeurs, à leurs petits privilèges douteusement gagnés pour certains.
Nous ne sommes plus seulement des « vaches à lait », nous sommes aussi devenus des moutons, apeurés à la seule idée soit de ne pas faire partie du « groupe bien-pensant », soit à l’idée d’être puni et de payer le droit à être un peu libre de ses choix, et non prisonniers des leurs !
La preuve par une autre absurdité non liée au virus.
En été, les massifs forestiers sont fermés pour cause de risques d’incendies, très bien, mais comment expliquer que le premier septembre, rentrée d’autres lobbies, peu des temps avant l’ouverture de la chasse, les barrières disparaissent, le danger d’incendie a-t-il disparu ? Et la pluie n’a pas forcément rendu plus sûr le fait de pénétrer dans ces lieux qui ont étés interdits au promeneur, et qui dès lors devient déconseillé de par un nouveau danger, les balles perdues !
Voyant tout ça et après toutes les aberrations subies pendant le confinement, j’ai le sentiment qu’en plus de l’entretien d’un climat anxiogène, délétère et violant (on a vu des violences entre ceux qui portent le masque et « les autres »), j’ai le sentiment que nos libertés, notre droit à être, à penser et avoir son avis sont de plus en plus bridés, enchaînés dans un carcan de politique, de pouvoir mélangé à de la bien-pensance et de l’intérêt personnel ou communautaire, mais certainement pas humanitaire !
Rien de bon et tout le contraire de ce que nous avons le plus besoin, de sérénité, de vie sociale authentique empreinte de vraies valeurs, de vraies règles harmonisantes et non dé structurantes.

Alors ne nous laissons pas enfermer encore plus, sans y être systématiquement adepte, je pense que la désobéissance civile a de plus en plus de raisons d’être, du moment qu’elle reste non violente et respectueuse de « l’autre », hormis peut-être de ceux qui se moquent de nous, elle devient un support à la construction de notre avenir et celui de nos enfants.
Un dernier petit coup de gueule !
Je viens d’apprendre de la bouche d’un préventeur, que si vous êtes dans une pièce avec un masque en tissus avec une personne détectée positive, alors vous rentrez dans la catégorie des « cas contacts » et serez donc obligés de vous isoler le temps de vous faire tester (par un test même pas fiable).
Ça voudrait dire qu’on nous oblige à porter un truc inefficace, même dans des conditions douteuses telles que dans un lieu extérieur et ventilé comme un chemin de promenade en bord de mer ou dans des rues désertes sous peine d’amende ! Je pense qu’il y a avec tout ces comportements ubuesques, un manque de compétence mêlé à de l’abus de pouvoir et un peu d’avidité, mais : « …dans quelles proportions ? Ça reste à déterminer ! » comme le disait Jean Gabin dans un film d’Henri Verneuil de 1961 passé récemment sur ARTE.
Nous prendrait-on pour des « Biiiip » !

Bon courage, soyez malgré tout vigilants et portez-vous bien.

03 septembre 2020

 



1 réactions


  • Ouallonsnous ? 5 septembre 2020 19:15

    Il est plus que temps que les citoyens et résidents dans notre beau pays fassent comprendre au régime de Foutriquet et sa maffia qu’ils en ont assez d’être pris pour des ’cons« depuis la fin de l’année 2019, pour le moins.

    Les prétendues forces de l’ordre doivent choisir leur camp, en attendant que soit réglé le contentieux des violences faites à la population depuis 2018, quant au commanditaires des attentats depuis 2015, ils seront poursuivis »jusque dans les chiottes" pour reprendre une expression prêtée à Poutine en son temps à propos des terroristes !


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