Commentaire de edend
sur Ni pour Hadopi, ni pour le piratage
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Dans son article « Le suicide professionnel d’un musicien » Bob Ostertag explique qu’il préfère diffuser librement ses oeuvres, entre autre car tant qu’il les commercialisait, son public si il ne piratait pas, passait des années à fouiller en vain les bacs, car ses œuvres étaient bloquées pour des raisons de droit ou surtout parce que les éditeurs préfèrent ne pas rééditer des albums de qualité pour éviter de faire de la concurrence à leurs « artistes » préfabriqués... http://bobostertag.com/writings-articles-professional_suicide.htm
Concrètement face à l’uniformisation de la culture dans les médias, au boycott semble t il des créations non commerciales dans les médias, (exceptions faite de marianne ou elle qui ont abordés le sujet de la culture libre), si il n’y avait pas eu les réseaux peer to peer comme prodigieux instrument de découverte culturelle, nombre de chef d’œuvres seraient encore introuvables. Qu’il est été positif ou non, on aurait sans doute pas connu le revival de l’underground des années 80.
Alors, oui, le piratage fait vivre la création musicale.
Et ce même si on peut lui préférer la libre diffusion, qui préfigure le monde de demain.
Si vous voulez en avoir un aperçu musical, libre à vous d’écouter le volume 1 de Necktar 2017 www.necktar.info