Commentaire de Fergus
sur Pierrounet, rebouteux de l'Aubrac


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Fergus Fergus 13 avril 2010 14:11

Bonjour, Brieli.

Personnellement, je nai d’a priori ni pour ni contre les disciplines parallèles à la médecine et à la chirurgie officielles. Je me contente d’observer ce qui se passe autour de moi sans en tirer de conclusions définitives.

Comme je l’ai indiqué précédemment, j’ai un ex-collègue qui a été manifestement guéri par les manipulations d’un chiropracteur, et des membres de ma propre famille ont suivi sans le moindre effet des traitements homéopathiques.

Un échantillon insuffisant pour affirmer que la chiropractie est plus efficace que la médecine traditionnelle dans certains cas ou que l’homéopathie est une vaste blague.
 
Ma seule expérience hors de la médecine traditionnelle est beaucoup plus marginale que ces disciplines tantôt controversées tantôt défendues bec et ongles par des inconditionnels. Elle remonte à mes 12 ans. J’avais à l’époque en Auvergne attrapé une sorte de pelade infectieuse sur l’une de mes tempes. Emmené chez une guérisseuse, celle-ci avait coupé une mèche de mes cheveux, l’avait trempée dans un bol de plantes chaudes puis m’avait ordonné d’avoir toujours sur moi quelques feuilles de houx soigneusement enveloppées dans un mouchoir, ce mouchoir devant, la nuit, être placé sous mon oreiller.

Huit jours plus tard, la situation n’ayant fait qu’empirer, un oncle que j’avais accompagné pour une foire à Saint-Flour m’avait conduit chez un pharmacien. « Impétigo » avait dit le potard en me prescrivant de nettoyer ma pelade avec de la simple Eau de Dalibour. Quelques jours plus tard, tout était revenu dans l’ordre.


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