Commentaire de SANDRO FERRETTI
sur Edward Hopper, un colosse entre réalisme et abstraction
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Bonsoir, Jack
J’apprécie Hopper depuis assez longtemps. C’est Américain, mais pas trop : c’est donc transposable un peu partout dans l’urbanitude et la vie qui fout le camp doucement, comme de l’eau entre les doigts.
La premier tableau me fait penser à une illustration du fameux vers de Mallarmé :
« La chair est triste, hélas, et j’ai lu tous les livres ».
Bref, Hopper ou Stéphane, on est assez mal armés face à la vie.