Romain, je serai juste curieux d’avoir l’avis de ces vétos dont tu parles, pour juger sur pièce si tu le permets, et ceci dit sans forfanterie ni défiance excessive.

Pour ma part, la documentation + des gens très sérieux (dont une personne en particulier, largement aussi sensible que toi a priori sur la question de la cruauté envers les animaux) m’ont amené à voir ici deux éléments plausibles :
1. une véritable habitude alimentaire des volatiles en liaison avec les pratiques migratoires,
2. d’où découle une appétence naturelle qui fait que le gavage n’est donc pas forcément en soi pur acte de barbarisme.

Après reste de toute façon le traitement qui est réservé aux animaux dans les faits (industriel ou artisanal, etc....), et donc tout autant de circonstances propres à faire se quereller un « eugéniste végétarien » comme toi et un « barbare malgré tout conscient du nécessaire progrès à faire en faveur de la question animale » comme moi.