Commentaire de JL
sur Chavez ou la stupéfaction des crétins
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Disjecta,
vous maniez le second degré d’une bien curieuse façon. J’ai failli m’arrêter là, je cite : ’’empêcher le peuple français de voir autre chose dans la « grotesque » révolution bolivarienne du gorille Chavez qu’une dictature effrayante, sanguinaire et, accusation ultime, antisémite ?’’
Même avec des guillemets à grotesque, et en traitant Chavez de gorille, vous flirtez à votre insu peut-être, avec le premier degré.